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vendredi, 06 octobre 2017

La lutte contre la théorie du genre et… sa mise en pratique! « Bus Citizen go anti‑genre »

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

 

Bus Citizen go anti‑genre

Théorie du genre BusNon à la théorie du genre

Cette initiative a déclenché l’ire de plusieurs collectifs de défense des LGBTIQ (Lesbiennes Gay Bi Trans Intersexuel et « Queer » littéralement « bizarre »).

 

Le journal Libération a notamment publié un article intitulé, je cite : « Bus de la honte : ne laissons pas l’avenir aux réactionnaires ». Le vocabulaire employé par les opposants manque d’originalité : « homophobe, réac, nazie, raciste », tout semble bon à dire. Ce ne sont pas les premières menaces que reçoit l’association.

  

Source et auteur: Bulletin de réinformation, 6.10.2017 ;  ferrer.annick@gmail.com

Meurthe-et-Moselle : un maire recadre le portrait de Macron pour protester contre la baisse de son budget

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

Jean-François Damien a réduit d'un tiers la photo officielle du chef de l'Etat dans la salle du conseil municipal de sa commune.

Le maire de Grand-Failly (Meurthe-et-Moselle) devant le portrait "réduit" de Macron en octobre 2017.

Le maire de Grand-Failly (Meurthe-et-Moselle) devant le portrait "réduit" de Macron en octobre 2017. (JEAN-CLAUDE EMMENDOERFFER)

"Comment voulez-vous que je réagisse à mon niveau ?" Depuis quelques jours, le maire de Grand-Failly, commune de 300 habitants située près de la frontière belge, a décidé de réduire le portrait officiel du chef de l'Etat dans sa mairie, détaille Le Républicain Lorrain. Il souhaite ainsi contester la baisse de dotations de l'Etat aux collectivités territoriales : "Jai pensé me mettre en grève, comme le maire d'Evreux, mais ça n'aurait eu aucun impact. Ma commune est trop petite", explique-t-il à franceinfo, jeudi 5 octobre.

Edile de la commune depuis 2001 et membre du conseil municipal depuis 1983, Jean-François Damien déplore "la baisse répétée des subventions de l'Etat" depuis une dizaine d'années. "A chaque fois que le pays va mal, on s'en prend aux collectivités." Cette année, avec la suppression de la taxe d'habitation pour une majorité de contribuables et des contrats aidés, le maire prévoit une diminution importante des services de la commune dès l'année prochaine.

Un tiers d'aide en moins

"Sur les 40 000 euros d'aides provenant de la taxe d'habitation, je vais perdre 13 000 euros l'année prochaine, détaille-t-il. En 2020, il n'y aura sans doute plus rien. On nous parle de compensations, mais je n'ai aucune information de la part de la préfecture ou de Bercy." Quant aux contrats aidés, la commune n'en possède qu'un mais sa présence est "essentielle"."Il rend la vie plus agréable aux habitants. Il s'occupe de l'entretien des espaces verts, du cimetière, il va chercher le courrier pour les personnes âgées ou apporte du pain." Sans compensations financières de la part de l'Etat, le maire prévoit de supprimer le poste, "et ça fera une personne de plus à Pôle emploi". 

Deux employés, sur les quatre de la mairie, pourraient aussi être menacés."J'ai déjà dit à mes deux contrats de 20 heures, que l'un d'entre eux devra partir si la situation perdure." Au total, la mairie devrait perdre un tiers de ses aides. "C'est pour ça que j'ai réduit la photo du chef de l'Etat d'un tiers exactement."

"Outrage au président"

Jean-François Damien a "caché et non déchiré" le tiers du portrait à l'aide d'une feuille A3. Il y a inscrit "1/3 de finance en moins, 1/3 de photo en moins". "La photo reste entière, j'en ai juste caché une part", précise-t-il. Une démarche qui n'a pas été du goût de la préfecture. "On m'a appelé pour me dire que c'était un outrage au président et qu'il pourrait y avoir des poursuites, relate l'élu. Je veux bien, mais j'ai utilisé un moyen à ma portée. Je n'en veux pas personnellement à Macron, je conteste ses décisions."

Jeudi matin, Jean-François Damien a reçu la visite des gendarmes, "ils m'ont autorisé à laisser la photo comme ça tant que je n'ai pas d'ordre de la préfecture". Le maire a déjà reçu le soutien de nombreux homologues de la région. "Ils sont prêts à venir manifester devant la mairie si besoin. Ils vont aussi envoyer un mot à la préfecture pour me soutenir", prévient-il.

 

Source : francetvinfo

Un ex-ministre québecois prévient : « Si on ne contrôle pas notre immigration, le Québec français disparaîtra »

 Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

Article de Richard Le Hir, ancien député québecois et ministre déléguée à la Restructuration (1994-1995).

J’ai hésité avant de m’associer à la diffusion de la présente étude, très conscient qu’elle risquait de rappeler de mauvais souvenirs. Si je m’y suis résolu, c’est qu’elle contient des informations que les Québécois doivent absolument connaître car elles sont déterminantes pour leur avenir en tant que peuple et nation.

(…) Cette étude a comme premier mérite de dissiper comme une douche froide certains mythes sur la diversité des origines des Québécois. Son premier tableau révèle en effet que les Canadiens-Français du Québec sont à 89,8 originaires de France, à 5 % originaires de l’Acadie, 1,5 % originaires de Grande-Bretagne, 1,4 % d’origine autochtone, 1 % d’autres pays européens, 0,6 % d’origine irlandaise et 0,4 % d’origine allemande. Rares sont les pays dont la population est si homogène sur le plan de ses origines.

Malgré tout, la conclusion est implacable : « En résumé l’analyse démontre que le nombre des immigrants est si élevé que les CFQ (Canadiens-français du Québec), qui étaient très largement majoritaires il y a une génération, deviendront minoritaires dans moins d’une génération. » D’où l’urgence absolue d’obtenir le plus rapidement possible le plein contrôle, je répète, le plein contrôle, sur notre immigration.

(…)

♦ En 1971, 79% des Québécois appartenant au groupe ethnique canadien-français

♦ En 2014, le poids démographique des Canadiens français était de 64%

♦ Le poids démographique des Canadiens français à diminué de 0.5% par année au cours des dernières années

♦ Les projections supposent que les Canadiens français passeront sous la barre des 50% à l’horizon de 2035

♦ En considérant le taux d’immigration, la fécondité des natifs et des immigrés, les taux de mortalité, le taux de rétention des immigrants, le métissage et les migrations interprovinciales, on constate que le principal facteur causant la chute du poids démographique des Canadiens-français est de loin les niveaux élevés d’immigrants s’installant au Québec

Vigile.Quebec

 

Source : fdesouche

Libération compare les djihadistes aux… Poilus

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2017

Auteur : admin4

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Le quotidien de gauche, détenu par des milliardaires cosmopolites et ne survivant que grâce à l’argent public versé annuellement (6,5 millions en 2015), a osé un article ignoble, essayant de comparer les Français s’étant sacrifiés pour la patrie durant la Grande guerre aux… assassins islamistes !

Intitulé Du Poilu Hertz à Merah, une radicalisation en famille, ce sommet de haine et de bêtise gauchistes prétend déjà en préambule :

« Tout semble opposer le tueur de 2012 et le militaire de 14-18. Mais des résonances existent, lorsque l’on compare la façon dont leurs proches ont défendu leurs actes, et disqualifié ceux qui les mettaient en garde. »

En essayant de mettre sur un même plan le soutien qu’a manifesté aux Poilus leur famille et celui dont les islamistes ont bénéficié de leurs proches, le pisse-copie de Libération tente un impossible et répugnant amalgame, et insulte nos morts d’il y a cent ans ainsi que les victimes d’aujourd’hui.

Notons que cet homme, Nicolas Mariot, est directeur de recherches au CNRS, c’est-à-dire payé par nos impôts pour « étudier »…

 

Source : contre-info

jeudi, 05 octobre 2017

Installation d’un camp de migrants dans l’université de lettres de Clermont-Ferrand

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Les universités françaises vont-elles devenir des nouveaux terrains de campements pour clandestins ?

Fin septembre, l’université de Reims fermait ses portes à ses étudiants à cause de l’installation sauvage par une cinquantaine de migrants illégaux d’un campement dans l’enceinte du campus. La sécurité n’étant plus assurée sur le domaine, le président de l’université avait décidé de prendre cette mesure dans l’attente que les pouvoirs publics trouvent une autre solution de relogement.

L’idée des illégaux de s’installer sur les terrains universitaires a fait des petits…

Depuis mardi 3 octobre, c’est au tour de la faculté de lettres de Clermont-Ferrand, sise en pleine ville, d’être envahie par un campement de migrants. Plus d’une centaine d’entre eux ont planté leur tente sous les fenêtres des salles de cours. Ils se servent des commodités de la fac comme bon leur semble, utilisent les prises électriques pour recharger leur portable, et se promènent au sein des étudiants dans les couloirs universitaires. Pour l’instant, ni le président de l’université ni les pouvoirs publics n’ont entrepris de les déloger. Le campement avec toutes ses nuisances et ses dangers s’installe pour le long terme…

En plein état d’urgence, dans une France soumise à des attentats meurtriers ou des tentatives d’attentats presque chaque jour, une telle complaisance envers des clandestins majoritairement musulmans de la part d’un État toujours plus laxiste est une infamie.

Et le plan anti-terroriste mis en place par le gouvernement Macron n’est qu’un attrape-nigaud de plus…

Francesca de Villasmundo  

 

Source : medias-presse.info