Manif. La France insoumise avait appelé ses partisans à descendre dans la rue de plusieurs villes de France avec des casseroles pour protester contre la loi Travail, samedi 30 septembre.
L'appel aux "casserolades" lancé par la France insoumise n'a pas déplacé les foules, ce samedi 30 septembre. Des événements ont eu lieu dans toute la France mais ont peiné à rassembler plus d'une dizaine de personnes à chaque fois. Selon le décompte de l'AFP, seule la manifestation de Marseille a mobilisé plus d'une centaine de mécontents. Ailleurs, à Grenoble, Rennes, Lille, Bordeaux, Pau, Caen ou La Rochelle…, c'était morne plaine.
À Paris, selon les images diffusées sur Twitter par la conseillère municipale Danièle Simonnet, quelques dizaines de militants seulement ont tambouriné sur leur casserole devant l'Assemblée nationale et dans le XIXe arrondissement. "Il faut continuer dans l'élan du 23 septembre pour montrer qu'on ne lâche pas le Code du travail, s'autopersuade Françoise, plaque de cuisson en métal à la main. "La casserole, c'était je trouve assez bon enfant, une façon de continuer le combat sans lancer des pavés."
Le 23 septembre dernier, Jean-Luc Mélenchon avait rassemblé environ 50 000 personnes place de la République, à Paris, pour protester contre les ordonnances voulues par Emmanuel Macron afin de réformer le Code du travail. Un chiffre considéré comme faible pour une manifestation parisienne effectuée un week-end sous le soleil.
Source : valeursactuelles





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Les anti indépendantistes ont fait entendre leur voix hier dans plusieurs villes d’Espagne pour dénoncer le danger que le référendum organisé ce dimanche pour l’indépendance de la Catalogne faisait courir à l’unité de leur pays. A Madrid, Barcelone, Valladolid, Santander, Valence, Alicante, Lerida, la majorité silencieuse jusque là restée muette, au cours de rassemblements organisés devant les mairies des principales villes s’est exprimée en faveur d’une Espagne unie et réclamé l’arrestation de Puigdement. le Président de la Generalitat, le principal artisan d’une consultation qui semble dors et déjà avoir pris la tournure d’une farce électorale. La grande majorité des espagnols ne veulent pas tourner le dos à 500 ans d’histoire commune, ni laisser une foie la boîte de Pandore ouverte leur pays se retrouver face au défi mortel d’un scénario à la Yougoslave.