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dimanche, 21 janvier 2018

Vladimir Poutine s’immerge trois fois dans un lac glacé pour célébrer le baptême du Christ

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2018

  20 janvier 2018

Dans la nuit de jeudi à vendredi 19 janvier 2018 (théophanie orthodoxe à date fixe), Vladimir Poutine s’est plongé dans les eaux glacées du lac Saliger  (à mi-chemin entre Saint-Petersbourg et Moscou), à l’occasion de l’anniversaire du baptême de Jésus-Christ par saint Jean-Baptiste, selon la tradition orthodoxe qui a vu cette année 1,5 millions russes affronter l’eau glacée, en sacrifice traditionnel et pour la purification du corps et de l’âme. Les participants, complètement immergés, doivent tremper trois fois leur tête dans l’eau au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

«Il y avait beaucoup de fidèles et le Président a assisté à une partie de la liturgie dans la cathédrale, tout se passait donc en public. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de montrer les photos», a déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, ajoutant que Vladimir Poutine  plongeait «dans le trou [dans la glace] depuis plusieurs années».

Un acte révélateur

Ceux qui cèdent à la propagande occidentale riront sous cape en se disant que le président russe flatte son électorat alors qu’il est candidat à la présidence pour la deuxième fois cette année. Quels que soient les motifs qui ont poussé Vladimir Poutine à célébrer la Théophanie, le président russe ne fait que ce qu’il a toujours fait depuis 1999, année où il a été président de la fédération de Russie pour la première fois. Par ailleurs, cela démontre aussi que la foi des Russes est vive prés de 30 ans après la chute du régime athée soviétique, ce qui n’est hélas plus le cas en Occident. Si les Russes n’étaient pas sensibles aux démonstrations de foi, cette vidéo ne serait jamais parue en pleine période électorale. Et si les autorités de  la Fédération n’encourageaient pas cette foi, elle serait en déliquescence comme en Occident. On peut même constater le complet renversement de paradigme entre l’Occident et l’Europe orientale depuis la chute du régime communiste, puisque du temps de l’empire soviétique, l’Occident mettait Dieu en avant, alors que les soviétiques raillaient la foi en Dieu de l’Occident, tandis qu’aujourd’hui ce sont les anciennes républiques soviétiques d’Europe, Russie en tête, mais aussi la Pologne et la Hongrie qui se revendiquent de leur foi en Dieu à travers l’orthodoxie ou le catholicisme et qui, -en ce qui concerne les pays de l’Union européenne-, luttent pour protéger leur identité religieuse face aux attaques de Bruxelles.

Il importe donc peu de sonder les reins et le cœur du président Poutine. Même dans les meilleurs moments de la Guerre froide, jamais les chefs d’État occidentaux n’ont manifesté avec autant d’éclat ni de constance leur foi en Dieu. Celle-ci n’était manifestement qu’un argument contre leur adversaire pour flatter les chrétiens de Russie [ainsi que l’avait dénoncé Soljenitsyne, surpris de l’athéisme militant qui sévissait en Occident], on le constate bien aujourd’hui où pour continuer de faire de la Russie le faire-valoir de leurs ambitions, les oligarques occidentaux ont inversé leurs arguments contre la Russie, bien loin de se féliciter du retour officiel à la foi de celle-ci et de la fin des persécutions religieuses dans les anciens pays soviétiques.

Des Français suivent l’exemple d’1 à 2 millions de Russes qui se sont baignés dans les eaux glacées pour célébrer le baptême du Christ.

Une tradition qui fait de plus en plus d’émules en Russie chaque année.

Voir aussi:

Migrants : habiter chez une famille française pour mieux s’intégrer

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2018 

Par  le 20/01/2018 
 
Ilias vit depuis sept mois avec Paul et Brigitte, sa famille d’accueil.
 
Face à la difficulté de certains centres d’hébergements d’urgence d’accueillir tous les réfugiés, le Samu Social de Paris a lancé en 2016, son programme Elan. Il permet à des citoyens qui le souhaitent, d’accueillir pendant quelques temps (entre 3 et 12 mois), un réfugié. L’objectif est de l’aider à s’intégrer dans la société française, en apprenant la langue et l’aider à s’émanciper. C’est le cas d’Ilias, il vit à Gif-sur-Yvette (Essonne) chez Paul et Brigitte. Témoignages recueillis par François-Pierre Noel

Ilias, réfugié somalien, arrivé en France il y a 2 ans :  » Si on parle votre langue, le Français dit ‘bienvenue’ mais si on le parle pas, il dit le contraire  »

Ilias est arrivé en France il y a 2 ans. Ce Somalien de 29 ans a dû quitter son pays car il y était menacé de mort. Pendant plus d’un an, il a alterné entre la rue, les appartements de ses amis et les chambres d’hôtels. Depuis juin, il a intégré le programme Elan et vit, désormais, dans sa nouvelle « famille d’accueil ». Au départ, il ne connaissait pas un mot de français hormis les chiffres,  » j’avais besoin de les connaître si je voulais acheter des choses « . Depuis son arrivée dans « sa famille » comme il l’appelle, ses progrès sont spectaculaires :

Je me sens bien, je sens qu’ici j’habite avec ma famille, j’ai franchi une étape par rapport à avant. Quand je suis arrivé, j’avais pleins de questions, je demandais toutes les 5 minutes :  » C’est quoi ça ? Et ça ? » Pour moi, c’était une surprise quand j’ai vu la chambre, je me suis dit  » c’est grand ! « 

Il a aussi découvert les vacances, un concept qu’il ne connaissait pas en Somalie. Paul et Brigitte, sa « famille » d’accueil, est ravi de l’intégration réussie d’Ilias dans leur cercle familial. Même si Paul reconnait qu’il y avait une certaine « appréhension » au début, tout s’est dissipé très vite au vue du projet et de la motivation d’Ilias pour sa nouvelle vie française.

Ce qui était important pour nous, c’était le sérieux de sa motivation. C’est à dire que l’on ne fasse pas ça pour rien. Il nous a dit tout de suite, je veux m’intégrer, je veux parler français, je souhaite fonder une famille. Je pense qu’il a une réelle motivation et ça nous plaît beaucoup parce qu’on l’impression de servir cette motivation. S’il arrive vraiment à une autonomie complète, c’est gagné.

Paul, retraité à Gif-sur-Yvette (Essonne) :  » Ce programme, ça nous change vraiment le regard sur l’autre  »

En France, de nombreux migrants n’ont pas accès aux centres d’hébergements d’urgence, par manque de place ou parce qu’ils sont sur le territoire illégalement. C’est le cas des migrants qui ont déjà été fichés dans un autre pays de l’Union Européenne. Discuter avec Ilias, des difficultés concernant l’immigration mais aussi de parler de la vie en générale a permis à Paul de prendre conscience de certaines réalités concernant la vie des réfugiés :

D’un point de vue mathématique, on peut se dire que s’il y avait seulement 1 famille française sur 1000 qui faisait cet effort-là, il n’y aurait plus de problème de migrants. Le deuxième point que je trouve aussi, très important, dans cet accueil, c’est justement de faire disparaître le mot  » problème de migration ». Pour nous, Ilias, ce n’est pas un migrant, c’est Ilias et ça permet finalement de voir la personne derrière.

Aujourd’hui, des liens forts se sont créés entre la famille de Paul et Ilias. Paul sait qu’ils ne « vont pas disparaître comme ça ». Des cas comme Ilias, il y en a 34 en Île de France. Nadège Letellier est responsable du programme Elan au Samu Social de Paris, elle voit que cette méthode fonctionne et permet au réfugié logé, de se faire une place dans la société française. Cette cohabitation permet d’offrir de beaux échanges à la famille qui l’accueille :

Rencontrer l’autre et l’accepter en tant que tel, découvrir sa culture, sa manière de penser et de voir les choses, c’est forcément des expériences qui enrichissent personnellement. Je pense qu’une intégration réussie, ce n’est pas avant tout, travailler et avoir un logement. Je pense que pour se sentir bien, avoir une place, sa place, il faut aussi un réseau amical et familial. Le fait d’être accueilli, comme ça, dans une famille française, renforce ce sentiment d’inclusion et ça leur redonne confiance.

Pendant qu’Ilias vit chez Paul et Brigitte, le programme Elan l’aide dans ses démarches administratives. Une méthode qui fonctionne puisque certains réfugiés qui ont intégré le programme sont devenus autonomes.

France Culture via fdesouche

L’indéboulonnable Jean-Michel Baylet

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2018

 
   
Jean-Michel Baylet à Carmaux

Jean Michel Baylet à Carmaux en 2012. Photo : Wikipédia

Après sa réélection à la tête au poste de PDG du groupe La Dépêche du Midi en juillet dernier, Jean-Michel Baylet, a été également élu mardi 16 janvier à la présidence de l’Union de la presse en région. Ces élections font suite à la fin de son mandat de 15 mois en tant que ministre dans le gouvernement de Manuel Valls.

Ce n’est ni sa carrière politique en tant qu’ex-député, ex-sénateur, ex-ministre, ou ex-président du Parti Radical de Gauche, ni même son grand âge de 71 ans qui aurait pu arrêter l’homme le plus connu des médias toulousains. Après un passage de quinze mois au gouvernement de Manuel Valls en tant que ministre de l’aménagement du territoire, Jean-Michel Baylet a bel et bien repris, en juillet dernier, le poste de PDG du groupe hégémonique La Dépêche du Midi. Un poste qu’il occupe depuis 1995, mais qu’il avait cédé à son ex-femme, Marie-France Marchand-Baylet, le temps de son mandat de ministre.

Lire aussi : Jean-Michel Baylet, soutien d’Emmanuel Macron

Et les prérogatives continuent. Jean-Michel Baylet vient également d’être élu, à l’unanimité des membres du comité directeur, président de l’Union de la Presse en Région (UPREG), l’union des deux principaux syndicats de la presse régionale et départementale. L’UPREG compte en son sein près de 64 titres de presse régionale, en France métropolitaine et en Outre-Mer. Sa mission est de promouvoir et de défendre la presse régionale, dont La Dépêche fait évidemment partie. Un pouvoir supplémentaire, donc, entre les mains du grand patron du groupe La Dépêche du Midi. Un pouvoir dont il fait généreusement profiter sa famille, actionnaire comme lui du groupe, puisque son fils, Jean-Nicolas Baylet, occupe toujours le poste de directeur de la publication pour le groupe.

Lire aussi : Baylet est de retour. Le monde a changé, pas lui

Les titres sous influence de Jean-Michel Baylet

Groupe Centre France
La Montagne, Le Berry Républicain, Le Populaire du Centre, L’Echo Républicain, Le Journal du Centre, L’Yonne Républicaine, La République du Centre et L’Eveil.

Groupe Dépêche
La Dépêche du Midi, La Nouvelle République des Pyrénées et Le Petit Bleu.

Lire aussi : Plus d’un Million d’euros accordé à La Dépêche du Midi

Groupe Ebra
Le Républicain Lorrain, L’Alsace, Le Progrès, Le Journal de Saône et Loire, Le Bien Public, Le Dauphiné Libéré, Vaucluse Matin, L’Est Républicain/Le Pays, Dernières Nouvelles d’Alsace, Vosges Matin et le Journal de la Haute Marne.

Groupe Journaux de l’Ouest
Ouest France, Le Maine Libre, Le Courrier de l’Ouest, La Presse de la Manche et Presse Océan.

Groupe La Provence
Nice Matin, Var Matin et Monaco Matin, Corse Matin et La Provence.

Groupe Les Journaux du Midi
Midi Libre, L’Indépendant et Centre Presse Aveyron.

Groupe Normandie
Paris Normandie, Le Havre Libre et Le Havre Presse / Le Progrès de Fecamp.

Groupe Nouvelle République
Nouvelle République du Centre Ouest et Centre Presse

Groupe Rossel – Voix du Nord
La Voix du Nord, Nord Éclair, Nord Littoral, Le Courrier Picard, L’Union / L’Ardennais, L’Est Éclair, Libération Champagne

Groupe Sud-Ouest
Sud Ouest, Charente Libre, Dordogne Libre, La République des Pyrénées, et L’Eclair.

Mais aussi : L’Echo, La Marseillaise, Le Parisien, Le Télégramme.

Mathieu Vergez

 

Source : infos-toulouse

samedi, 20 janvier 2018

21 janvier : assassinat de Louis XVI par la Révolution maçonnique

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2018

Publié le par Clément LECUYER

Le 21 janvier 1793, le roi Louis XVI rendait l'âme, assassiné par la vermine révolutionnaire anti-catholique. Orchestrée par la franc-maçonnerie, la Révolution française restera l’un des pires bains de sang de l’histoire française.

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"En coupant la tête à son Roi, la France a commis un suicide" (Mgr Delassus)


 Extrait du testament de Louis XVI
"Je meurs dans l'union de notre sainte Mère l'Église Catholique, Apostolique et Romaine, qui tient ses pouvoirs par une succession non interrompue de Saint Pierre auquel Jésus-Christ les avait confiés. Je crois fermement et je confesse tout ce qui est contenu dans le Symbole et les commandements de Dieu et de l'Église, les Sacrements et les Mystères tels que l'Église Catholique les enseigne et les a toujours enseignés.... Je finis en déclarant devant Dieu et prêt à paraître devant Lui, que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancés contre moi."  Lire en entier le testament ICI


 Le Pape Pie VI pleure la mort du roi français et dénonce fermement ce régicide

 
Lire la très belle allocution que ce Pape déclara le 17 juin 1793 (fichier PDF) :  "Pourquoi notre voix"

La Révolution française est satanique dans son essence

http://www.bibleetnombres.online.fr/images39/marianne.jpg

"La révolution a pour but de façonner un homme nouveau, en détruisant la constitution chrétienne de la France" (Constitution de 1792)

C'est ce qu'affirma le Cardinal Pie et les auteurs catholiques tels que :

- Le Papie Pie IX : "La Révolution est inspirée par Satan lui-même; son but est de détruire de fond en comble l’édifice du christianisme et de reconstruire sur ses ruines l’ordre social du paganisme." (Encyclique Noscitis et Nobiscum).

- Le pape Pie XI : "Effrayante et regrettable sédition, total renversement du régime social qui, à la fin du XVIII° siècle, sévit en France et persécuta haineusement les choses divines et humaines... En ce temps-là, des hommes ignobles s'emparèrent hardiment du pouvoir, masquant la haine qui les agitait à l'endroit de la religion catholique sous le fallacieux prétexte de philosophie, tendant de toutes leurs forces à abolir le nom chrétien" (Pie XI, Actes, Bonne Presse, t. 12, p. 132, cité in Jean Ousset, ibid.,, p. 123).

- Le Pape Benoît XV: "C'est sous l'effet de la folle philosophie issue de l'hérésie des Novateurs et de leur trahison que, les esprits déraisonnant en masse, éclata la Révolution dont l'extension fut telle qu'elle ébranla les bases chrétiennes de la société, non seulement en France, mais peu à peu dans toutes les nations" (Benoît XV, A.A.S. 7 mars 1917).

- Mgr Freppel : "la Révolution française est une doctrine et une doctrine radicale, une doctrine qui est l’antithèse absolue du christianisme. La Révolution, c'est la société déchristianisée; c'est le Christ refoulé au fond de la conscience individuelle, banni de tout ce qui est public, de tout ce qui est social; banni de l'État, qui ne cherche plus dans son autorité la consécration de la sienne propre; banni des lois, dont sa loi n'est plus la règle souveraine; banni de la famille, constituée en dehors de sa bénédiction; banni de l'école, où son enseignement n'est plus l'âme de l'éducation; banni de la science, où il n'obtient plus pour tout hommage qu'une sorte de neutralité non moins injurieuse que la contradiction; banni de partout, si ce n'est peut-être d'un coin de l'âme où l'on consent à lui laisser un reste de domination. La Révolution, c'est la nation chrétienne débaptisée, répudiant sa foi historique, traditionnelle, et cherchant à se reconstruire, en dehors de l'Évangile, sur les bases de la raison pure, devenue la source unique du droit et la seule règle du devoir." (La Révolution française. A propos du centenaire de 1789, Éditions du Trident, 1997)

- Mgr de Ségur : "la Révolution est, ou plutôt serait la destruction totale de l’ordre divin sur la terre, le règne parfait de Satan dans le monde. C'est la grande révolte de la société contre l'Eglise, de l'homme contre le Fils de l'homme, de la terre contre le Ciel." (La Révolution expliquée aux jeunes gens, 1862, Éditions du Trident, 1997)

- Joseph de Maistre : "Il y a dans la Révolution française un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu'on a vu, et peut-être de tout ce qu'on verra." (Considérations sur la France, chap. V., cité in Marquis de la Franquerie, Louis XVI le roi-martyr)

- Abbé Augustin BARRUEL : "Dans cette révolution française, tout, jusqu’à ses forfaits les plus épouvantables, tout a été prévu, médité, combiné, résolu, statué ; tout a été l’effet de la plus profonde scélératesse, puisque tout a été amené par des hommes qui avoient seuls le fil des conspirations longtemps ourdies dans les sociétés secrètes, & qui ont su choisir & hâter les moments propices aux complots." (Mémoires pour servir à l’histoire du jacobinisme, Paris, 1796-1797)

 

La Révolution française : l'Eglise persécutée

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5d/No%D1%91l_Pinot.jpg/220px-No%D1%91l_Pinot.jpg

  Mgr Freppel : "Assurément la destruction du catholicisme en France, par la constitution civile du clergé d'abord, par la persécution violente, dans la suite, n'a cessé d'être le principal objectif des chefs de la Révolution.."    

- les ordres religieux sont abolis et supprimés.
- les églises sont fermées et deviennent propriétés de l'Etat.
- de véritables profanations et sacrilèges sont perpétrés par les révolutionnaires.
- les prêtres et les évêques doivent être élus par les électeurs de leur paroisse ou de leur diocèse, que ces électeurs soient catholiques, athées, protestants... Le Pape n'a plus le droit de donner son avis. 
- les curés et les évêques doivent prêter serment à la nation républicaine sous peine d'être bannis ou condamnés à mort. 
- les biens de l'Eglise (statues, ornements, calices, objets sacrés...) sont détruits ou bien vendus au profit de la révolution  les couvents sont vendus et souvent pillés.
- le dimanche, jour du Seigneur est aboli.
- de nombreuses tombes sont profanées.

 Le Pape Pie VI, qui mourut alors qu'il était prisonnier par la République, dénonça toutes ses lois anti-catholiques. Il les condamna comme étant hérétiques, sacrilèges, schismatiques et profondément injurieuses contre Dieu (cf. le Bref Quod Aliquantum et la Lettre apostoliqueCaritas). Il demanda aux membres du clergé de ne pas prêter le serment à la République.   Pratiquement tous les évêques et le trois quarts des prêtres refusèrent de signer. On les appelle le clergé réfractaire. Tous ces religieux durent se cacher. Beaucoup furent arrêtés, exilés, torturés et/ou condamnés à mort.

La Révolution française, véritable massacre

 > La Guerre de Vendée : premier génocide des temps modernes 

 Le Général révolutionnaire Westerman, chef des colonnes infernales se félicite : "Il n'y a plus de Vendée, elle est morte sous notre sabre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer. Suivant les ordres que vous m'avez donnés, j'ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes qui n'enfanteront plus de brigands. Je n'ai pas un prisonnier à me reprocher. J'ai tout exterminé... Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que sur plusieurs points, ils font des pyramides." 

http://lesalonbeige.blogs.com/.a/6a00d83451619c69e20120a8e1650a970b-320wi

  "la Vendée doit être un cimetière national" (Première loi de Carnot du 1° août 1793)

 Les procédés les plus barbares d'extermination furent mis en oeuvre par les colonnes infernales. Des généraux révolutionnaires mirent en place des fours crématoires où sont jetés vivants enfants, femmes et vieillards :

"Voici les témoignages des Commissaires républicains Morel et Carpenty à la Convention le 24 mars 1794 :

A Montournais, aux Epesses et dans plusieurs autres lieux, le général Amey fait allumer les fours et, lorsqu'ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants. » (Jean Dumont, Pourquoi nous ne célébrerons pas 1789). A qui ose le lui reprocher, il répond que "c'est ainsi que la République veut cuire son pain". (Charles Vaugeois,  l'Extermination des Vendéens: les colonnes infernales)

 D'autres témoignages nous apprennent de nombreux faits similaires. Noyades collectives à Nantes, massacres de villages entiers (Cf. les enfants martyrs de Lucs-sur-Boulogne), pillages... le sang coula à flot.

  Selon les historiens, entre 200 000 et 600 000 français ont été tués lors de cette guerre de Vendée (dont environ 30 000 soldats révolutionnaires)

> La Révolution déclare la guerre à l'Europe

  La première République française déclara rapidement la guerre à de nombreux pays européens, entre 1792 et 1802. Les français furent obligés sous peine de mort de rentrer dans l'armée révolutionnaire. Le bilan est terrible : entre 400 000 et 600 000 français morts.  Brissot, un important chef révolutionnaire déclarait en 1991 : "La guerre serait actuellement un bienfait national et la seule calamité serait de n'avoir pas la guerre." (Histoire critique et militaire des guerres de la révolution, T. 1, par Antoine Henri Jomini, 1837)

> La Terreur : la France entière ensanglantée

 

http://www.nationspresse.info/wp-content/uploads/2009/02/stnoelpinot1.jpg

Saint Noël Pinot, prêtre, guillotiné tout comme des milliers de français
 

 A partir de 1792, les chefs révolutionnaires imposèrent un régime de terreur. Environ 17 000 personnesfurent guillotinées, 25 000 furent victimes d’exécutions sommaires et environ 500 000 emprisonnées.  

 La Révolution française est une œuvre criminelle de bout en bout. Les crimes y ont été perpétrés à ciel ouvert, publiquement. Les prisonniers sont livrés aux brutes, égorgés et dépecés sans aucun pitié.

 Laissons désormais la parole à M. l'abbé J. Olivier :

"Après ces destructions, il fallait rebâtir :

Les révolutionnaires donnèrent pour fondement à la nouvelle société le principe de "l’homme bon par nature"(Rousseau). Là-dessus fut élevé la trilogie maçonnique : Liberté, Egalité, Fraternité.

- Liberté, à tous et pour tout, puisqu’il n’y a en l’homme que de bons instincts...

- Egalité, parce que tous sont également bons, donc ont des droits égaux en tout...

- Fraternité, en rupture de toute barrière entre les individus, familles ou nations, pour laisser le genre humain s’embrasser dans une république universelle...

A la religion catholique fut substitué le culte de la Nature. Elle avait un dieu : l’Etre Suprême, et une déesse, la Raison ; elle avait des dogmes : la liberté, la volupté, la loi et la nation.

Ainsi, "l’homme put revenir à la pureté et à la simplicité de la Nature." (Talleyrand)

A la royauté fut substitué la démocratie révolutionnaire, pour perpétuer les réformes. Tout ce qui pouvait rappeler l’ancien temps fut proscrit (jusqu’au calendrier)...

Les résultats furent épouvantables. L’Homme retourna à l’état d’animal, et au bout de dix ans, la France était retournée aux temps les plus barbares de son histoire. Réalisme chrétien et utopisme révolutionnaire...

Alors arriva fort opportunément Napoléon, qui sauva la révolution de sa propre ruine en l’endiguant. Il rétablit l’Eglise de France par le concordat, mais ne rétablit point la civilisation chrétienne... Les institutions révolutionnaires perdurèrent. Et au fil du temps, la révolution continua et continue toujours à saper le règne du Christ pour instaurer toujours davantage celui de Satan.

Et notre siècle n’est que la continuation du précédent, fondé sur les mêmes idées, qui progressent sans cesse. Les racines de notre mal sont profondes..."

 Le régicide vu par Albert Camus
 Ce fils des rivages d’Afrique du Nord, malheureusement fort éloigné du christianisme, n’en avait pas moins saisi le sens profond de l’assassinat de Louis XVI, beaucoup mieux que la grande majorité des hommes politiques :

"Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau." (L’homme révolté, La Pléïade)

  Conclusion

 En tant que français et catholique, nous nous devons  d'avoir une sainte horreur de ce régime républicain français qui a pour fondement :

- un attentat contre l'ordre voulu par Dieu,
- l'assassinat d'un Roi et d'une Reine, certes loin d'être de saints dirigeants, mais qui tenaient leur pouvoir directement de Dieu et qui aimaient leur patrie,
- une persécution violente contre l'Eglise catholique,
- des sacrilèges et profanations inouïs,
- le génocide de tout un peuple qui a voulu défendre sa foi,
- des crimes innombrables de milliers d'innocents.

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Je ne chanterai pas votre révolution.
Elle a fait trop coulé de sang, de pleurs, de larmes.
De notre vieux royaume elle a rompu le charme
Et fait perdre, au pays, sa noble vocation.

Aujourd’hui nous pouvons vous juger à vos faits.
Votre révolution a incendié notre terre.
Elle a porté, partout, la misère et la guerre,
Quand le monde a jamais plus désiré la paix…
Je ne peux pas fêter votre révolution.
On ne célèbre pas le vol, le viol, le crime.
Je porterai le deuil de toutes ses victimes.
Elles seules ont droit à ma vénération.

(extrait d'un poème consultable ICI)

Le Conseil d’Etat juge insuffisante l’allocation logement pour les demandeurs d’asile

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2018

Par  le 17/01/2018 
 

Le Conseil d’Etat a une nouvelle fois retoqué le montant de l’allocation logement versée aux demandeurs d’asile non hébergés, estimant que la somme de 5,40 euros par jour n’était pas « pas suffisante », selon une décision transmise mercredi à l’AFP.

La plus haute juridiction administrative était saisie par plusieurs associations d’aide aux migrants, qui demandaient l’annulation d’un décret revalorisant à 5,40 euros par jour le montant de l’aide complémentaire versée aux demandeurs d’asile auxquels les pouvoirs publics n’ont proposé aucun hébergement.

Ce montant vient en complément de l’allocation de base, dite Ada, qui s’élève à 6,80 euros par jour et par personne et qui est modulable selon la composition familiale.

Le Conseil d’Etat a annulé le point portant sur la revalorisation parce qu' »il ne fixe pas (…) un montant journalier suffisant » pour permettre « de disposer d’un logement sur le marché privé de la location » dans la plupart des grandes agglomérations où se concentrent les demandeurs d’asile.

Cette décision marque un nouvel épisode dans la bataille que se livrent par tribunal interposé associations et pouvoirs publics autour de cette allocation. […]

 

Le Figaro via fdesouche