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samedi, 27 janvier 2018

GRAND RASSEMBLEMENT CONTRE L'IMMIGRATION CLANDESTINE OUISTREHAM (14)

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2018

 
 

Samedi 3 février à 14h, à Ouistreham (14), Esplanade Alexandre Lofi, Carl Lang et le Parti de la France donnent rendez-vous à tous les Français attachés à leur identité et à leur terroir pour un grand rassemblement contre l'immigration clandestine.


Grand rassemblement contre l'immigration clandestine Ouistreham (14)
Après le démantèlement de la « Jungle » de Calais, Ouistreham est une nouvelle cible pour les migrants décidés à passer en Angleterre, ainsi que pour les agitateurs d'extrême-gauche qui souhaitent installer durablement dans cette ville ces étrangers entrés illégalement sur le territoire français. Ce qui constituerait un véritable appel d'air pour d'autres migrants du monde entier.
 
C'est par la mobilisation populaire que nous ferons entendre la voix de la majorité silencieuse qui refuse cette invasion migratoire illégale dont nos gouvernants sont les complices et même les promoteurs.
 
Samedi 3 février, dites non à la colonisation migratoire !
 
Pour tout renseignement : arpecourriel@gmail.com

Algériens soyez rassurés : la France continuera à vous accueillir !

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2018

Xavier Driencourt, notre excellent ambassadeur de France en Algérie, a la bonté de nous tenir informés régulièrement sur son action et nous l’en remercions chaleureusement.

Ainsi, par exemple, un travail de révision est en cours d’opération concernant d’une part la « fiche conseil » destinée aux voyageurs intéressés par l’Algérie, mais également pour les voyageurs algériens, de plus en plus nombreux, « intéressés » par un séjour en France.

Il estime que ces « conseils » aux voyageurs ne sont pas « figés » dans le temps mais, au contraire, ont vocation à être actualisés, et même à évoluer vers plus de facilité, et que, s’agissant plus particulièrement de l’Algérie « ce travail est en cours ».

La dernière mise à jour datait du 2 décembre 2016 et le point majeur qui posait problème concernait les informations relatives à la sécurité du pays.

Driencourt estime que l’Algérie s’ouvre au tourisme et suscite de plus en plus l’intérêt des « voyagistes ».

Il note que le sud algérien est toujours considéré comme « zone rouge » (formellement déconseillé), de même que le reste de l’Algérie « sauf raison impérative ». Il prévient amicalement que «  bien que le Sahara ne soit pas un monde de « bisounours », destiné aux promenades touristiques, il n’y a tout de même pas, derrière chaque dune, un terroriste dissimulé à bord d’une « Toyota ».

A part cela, l’Algérie dispose, selon lui, d’un potentiel touristique énorme (Nous n’en doutons pas, nous qui connaissons l’Algérie certainement mieux que lui, c’est un pays magnifique, mais à la condition que les touristes de sexe féminin prennent bien garde d’éviter de se promener en short ou mini-jupe, que les maris gardent une main sur le portefeuille, et qu’ils ne s’aventurent pas dans des coins trop solitaires et, qu’enfin, tous ces futurs touristes courageux ne s’arrêtent pas aux détails d’hygiène et de propreté. En deux mots, si les paysages algériens attirent les touristes je leur conseille plutôt de visionner « L’Algérie vue du ciel » de Yann Arthus-Bertrand !)

L’ambassadeur a également la bonté de nous confirmer que les visas pour la France ont doublé en cinq ans et qu’il était regrettable qu’un bon nombre de ces demandes ne pouvaient être satisfaites en raison, très souvent, de dossiers incomplets (Par pitié, Algériens, faites bien attention et vérifiez vos dossiers, avant de les présenter, l’Ambassade est désolée de devoir les rejeter !)

Il n’a pas manqué d’ajouter que « des ressources suffisantes, pour couvrir les frais de séjour et d’hébergement, étaient des critères déterminants (mais non obligatoire) pour l’obtention d’un visa. »

Il a surtout pris bien soin d’écarter l’idée saugrenue que l’on pouvait avoir sur un durcissement en matière de délivrance des visas, jamais la France n’a eu une telle intention, bien au contraire (Nous voilà rassurés !) le nombre de visas continuera à connaître une forte hausse (Plus de 410.000 en 2017), bien que les attentats terroristes, en France, incitent à plus de rigueur et de prudence. (Pour qui ? Pour nous citoyens français ou pour les Algériens qui risqueraient leur vie en venant « chez nous » ?)

Au passage, M. l’ambassadeur rappelle que plus de 26.000 jeunes algériens poursuivent actuellement leurs études en France (Ce que nous voudrions surtout savoir, c’est combien de ces 26.000 « étudiants » retournent en Algérie, à la fin de leurs études ?) et que la France poursuit une politique résolument attractive en direction des étudiants algériens : la preuve est apportée par l’augmentation de visas de longs séjours délivrés à Alger, vers la France, qui est en augmentation de 64% par rapport à 2015.

Après la lecture de ce compte-rendu rassurant, je me sens nettement mieux car je craignais, à tort je m’en rends compte, que le flux de « voyageurs » de l’Algérie vers la France, ce pays colonialiste qui les a tant fait souffrir, qui a même, selon certains, pratiqué un « génocide » et, pour le moins, des « crimes contre l’humanité » puissent les inciter à réfléchir et donc à hésiter de choisir une destination aussi périlleuse !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

vendredi, 26 janvier 2018

Les progrès fulgurants de la Ville de Paris

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2018

 

C’est aux petits détails qui s’accumulent qu’on voit le progrès s’épanouir en France.

Il y a, bien sûr, cette volonté affichée par toute la classe dirigeante de faire du pays le tremplin de toutes les innovations sociétales, de toutes les idées politico-économiques les plus formidables, depuis l’économie collaborative lourdement taxée jusqu’au revenu universel automatique de base pour toutezétousses, en passant par l’assurance santé, retraite ou chômage gratuite payée par les autres, deux fois.

Il y a aussi cette myriades d’initiatives colorées, vitaminées et résolument festives qui visent à dépenser sans compter l’argent pas encore récolté sur les générations futures pour des happenings géants aux retombées commerciales incertaines, depuis l’invraisemblable COP21 jusqu’aux prochains Jeux Olympiques dont la facture promet quelques grands moments de champagne pétillant pour le contribuable.

Il y a bien sûr ces expérimentations artistiques bigarrées à la subversion savamment calculée pour choquer le bourgeois qui permettent des progrès décisifs dans l’ouverture des chakras culturels de la population, à ses frais et sous ses plaintes pourtant nombreuses.

Il y a enfin cette adéquation quasi-magique entre ces bricolages sociétaux, ces dépenses pharaoniques sans encadrement et la gestion résolument progressiste des contingences terre-à-terre de la vie de tous les jours.

Car c’est aussi ça, le progrès : trouver des moyens innovants de ne pas traiter des problèmes courants, aussi aigus soient-ils. Or, en France en général et à Paris en particulier, plus qu’une idée à la mode, cette propension à innover aussi dans la non-gestion est devenue un art de vivre.

C’est peut-être pour cela que, de pistes prétendument cyclables en quartiers interlopes réinvestis par des foules alternatives, les grandes villes les plus rongées conscientisées à ce festivisme fébrile redécouvrent les joies oubliées des proliférations impromptues d’encombrants mammifères.

Ici, je ne parle pas des hipsters ou des politiciens dont la société, fort peu lucide, encourage la reproduction, mais plutôt des rats. Et si toutes les grandes villes doivent supporter des populations de parasites plus ou moins grandes, Paris montre une vitalité toute particulière dans l’entretien de son cheptel local.

Cela n’est pas neuf puisque, comme en témoigne un éboueur qui a réalisé une intéressante vidéo, cela fait plus d’un an que la situation est connue et qu’elle se dégrade pourtant avec rapidité.

Manifestement, la lutte contre les automobilistes, les travaux pharaoniques du Grand Paris, les commémorations diverses et la préparation des Jeux Olympiques occupent un peu trop l’actuelle équipe municipale qui n’a plus guère de temps pour ces banalités sanitaires. D’ailleurs, l’adjoint au maire à la propreté, le communiste Mao Peninou – le prénom n’a pas été changé – explique doctement que ces petits soucis sont essentiellement liés à d’obscurs changements de réglementation :

« C’est dû au changement de la réglementation sur les raticides et aux capacités de résistance biologique du rat. »

Méchante réglementation ultra-libérale ! Vilaine résistance biologique des rats-mutants turbocapitalistes ! Quand, en plus, les crues font rien qu’à les forcer à sortir de leurs trous, pas de doute, les éléments se liguent contre l’équipe municipale ! C’est vraiment trop injuste.

Oui, il faut bien comprendre que cette prolifération parasitaire à Paris n’a rien à voir avec la désinvolture de l’équipe en place face au problème de la crasse immonde qui s’est installée depuis plusieurs années. Cela n’a rien à voir avec la prolifération de bidons-villes à ciel ouvert dans certains quartiers. Cela n’a rien à voir avec le trou de plusieurs centaines de millions dans le budget parisien et les choix politiques qui consistent à continuer d’abonder malgré tout les lignes budgétaires « fêtes & petits fours » et pas celles concernées à l’entretien de l’infrastructure…

Non, décidément, cela n’a aucun rapport avec la saleté indigne de cette ville qui nous renvoie aux heures les plus sales de l’Histoire. C’est plus sûrement à cause du Réchauffement Climatique, de la fachosphère, des néo-réacs et des gros machos qu’il convient donc de combattre âprement avec des budgets conséquents. Au moins la politique municipale actuelle s’explique bien sous ce prisme…

En tout cas, la marche vers le progrès semble à présent encombrée par ces rongeurs qui noient la ville dans leurs miasmes infâmes. On attend avec impatience les fermes résolutions que ne manqueront pas de prendre les édiles pour nettoyer tout ça…

Peut-être pourrait-on résolument se tourner vers l’aven…pardon le passé, comme en 1901 où de grandes opérations furent lancées pour nettoyer la capitale ?

Sauf qu’avec le progrès, se lancer dans un raticide de grande ampleur peut être politiquement risqué.

Utiliser des poisons, c’est risquer des retours de flamme puissants de la part des écologistes qui ne supporteront certainement pas une pollution de la Nature, fût-elle parisienne. Utiliser de l’arsenic ? Ah mais vous n’y pensez pas, grand fou ! D’une part, Mao l’a dit : les rats ont muté et ne s’y laissent plus prendre. D’autre part, le problème ne provient pas de la mairie payée pour gérer les égouts et l’hygiène de la ville, mais des citoyens qui y vivent et dont l’incivilité régulière (en jetant de la nourriture dans des poubelles peu ou pas fermées) met en danger le vivrensemble de certains mammifères avec d’autres.

Et de toute façon, le progrès, là encore, a clairement fait comprendre à tous les Français que les animaux sont dorénavant des humains comme les autres, doués de sensibilité et très mignons, qu’on ne peut donc pas tout à fait éliminer par trouzaines grouillantes sans attirer à soi l’ire de certaines ligues.

S’ajoute bien évidemment tous les problèmes purement logistiques : lorsqu’on dératise d’un côté, les rats fuient de l’autre, et rapidement, tout est à refaire ! Sapristi, on dirait des contribuables fuyant l’impôt !

Quoi qu’il en soit, on peut de toute façon douter que la volonté affichée ou réelle de l’équipe soit suffisante pour venir à bout du fléau : comme je l’évoquais dans un précédent billet, on se souvient des réactions particulièrement sous-optimales et extrêmement mesurées de cette même équipe lorsque des quartiers entiers se retrouvent livrés à des camelots ambulants qui laissent derrière eux détritus et immondices par kilos. Difficile d’imaginer que pour des rats, la réaction sera plus forte.

En réalité, seule la menace d’une déroute électorale fera peut-être bouger les lignes ; rattraper des années de laxisme, de jmenfoutisme assez décontracté sera long et difficile.

En somme, les rats ont investi Paris et pour les Parisiens, il va falloir s’y habituer.

 

Source : ndf

Ces féministes qui n’en sont plus

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2018
 

Dans un monde en pleine confusion où les repères idéologiques deviennent de plus en plus flous et se diluent dans un délire verbal postmoderne et une phraséologie sectaire, les nouvelles féministes, elles aussi, perdent la boussole. Elles détournent leur principal combat – l’égalité homme-femme – au profit d’une bataille qui ressemble plus à une chasse à l’homme qu’à une juste cause idéologique. Leur haine du mâle transpire de partout. Des lesbiennes agressives ne s’y prendraient pas autrement… Avec leurs discours fallacieux et perfides sur l’égalité des sexes, combleraient-elles un manque en enculant des mouches qui n’avaient rien demandé ? Croient-elles vraiment que la grotesque campagne qu’elles mènent sur Internet, “BalanceTonPorc” va vraiment réguler les rapports hommes-femmes ? Savent-elles qu’il y a des lois pour punir le viol et le harcèlement, et qu’il n’est pas nécessaire d’en rajouter avec des délations à l’emporte-pièce trop souvent inconséquentes ? Et qui discréditent le féminisme. Sont-elles conscientes de la petite différence sexuelle qui assujettit l’homme à aborder une femme comme elle ne pourra jamais le faire à son encontre, même quand elle est libertine ? Heureusement que quelques femmes intelligentes ont eu le bon goût de rappeler à ces agitées du bocal, dans une tribune intitulée «Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle», qu’il y a un énorme fossé entre l’agression sexuelle, qui est un délit et la drague insistante qui est une liberté accordée à un homme. Si la femme le veut bien ! D’autant qu’un galant connaît, forcément, la limite à ne pas dépasser. Pas besoin de lui rappeler que la courtoisie est d’abord une preuve de savoir-vivre et un hommage à la gente féminine. 

Si nos gauchistes féministes veulent déboulonner le patriarcat, qu’elles commencent déjà par dénoncer les agressions machistes et sexuelles commises par des hommes venus de pays où la femme est voilée et où elle n’a aucun droit. Là, il y a de quoi faire ! Mais sur ce sujet, on ne les entend jamais ! Quant aux actrices, soi-disant féministes, qui se sont engouffrées dans la délation tardive, alors que la plupart d’entre elles n’hésitent pas à jouer les allumeuses avec leur producteur pour obtenir un rôle, elles feraient mieux de se faire une publicité moins tapageuse, mais plus en adéquation avec leur profession.

Il est aberrant d’exiger la codification des relations sexuelles. La rationalité administrative n’a rien à faire dans la construction d’une relation amoureuse. Qui peut s’établir sur un malentendu ou une ambiguïté. Dans ce petit jeu, l’égalité des rapports ne peut pas se quantifier. Abus de pouvoir ou pas, la frontière de l’acceptable n’est qu’un partenariat arrangé entre les personnes concernées. Quitte à dénoncer, pour une des parties, les excès subis malgré ses dénégations. La loi lui permet de ne pas endurer ce qu’elle juge intolérable. Dans la pratique, vouloir imposer l’égalité sexuelle absolue, c’est évacuer un peu vite les différences qui existent entre hommes et femmes. Si la nature a donné certains attributs aux uns et aux autres, ce n’est pas pour rien : la procréation de l’espèce est toujours sous-jacente. Même quand on ne le souhaite pas.

Le féminisme doit rester un noble combat pour légalité sociale entre les hommes et les femmes ; dommage que des précieuses ridicules délirantes veuillent en faire une libération sexuelle pour soixante-huitardes attardées et pour imposer le féminin partout, comme par exemple dans l’écriture, parce que le genre neutre est masculin… Il n’y a pas si longtemps, elles préconisaient, dans la société civile, le genre neutre sexuel… Comprenne qui pourra !

 

Claude Picard

 

Source : ndf

C’était un 26 janvier…

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2018

Publié le 26 janvier 2018 Auteur par admin4 pour contre-info

allemagne,alsace,armistice,bismarck,france,napoléon III,1871 : signature d’un armistice entre la France de Napoléon III et l’Allemagne menée par Bismarck, concluant de façon catastrophique la guerre commencée – imprudemment et pour des motifs légers – par l’empereur le 19 juillet 1870.

L’Alsace (sauf ce qui deviendra le territoire de Belfort) et les trois quarts du département de la Moselle vont être arrachés à la France.

Des centaines de milliers d’Alsaciens et Lorrains quittent leurs foyers et s’exilent par refus de devenir citoyens allemands (près de la moitié de la population de Metz).

Les conséquences pour l’Europe vont être très lourdes.

 

Source : contre-info