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lundi, 29 janvier 2018

Agen (47) : un fiché S accusé d’avoir donné des coups de couteau à un agriculteur au cri d’ « Allah Akbar » remis en liberté

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

 

Mis en examen pour violences volontaires avec arme et placé en détention provisoire depuis juillet, Kamal Belbakkal, 40 ans, a quitté la maison d’arrêt d’Agen vers 22 heures vendredi.

Il a été placé sous contrôle judiciaire à Agen. Son avocat Me Laurent Bruneau avait précisé il y a quelques semaines qu’il entendait déposer auprès du juge d’instruction une demande de remise en liberté. L’avocat agenais avait un argument de poids : ce fiché S depuis le printemps 2016 a été relaxé par la cour d’appel le 4 janvier dernier. Condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel d’Agen pour diffusion d’images relevant de la propagande de Daesh, Kamal Belbakkal niait avoir envoyé ses fichiers via l’application WhatsApp et les juges en appel étaient allés dans ce sens.

Il était fiché S pour avoir, lors d’une audition chez les gendarmes, tenu des propos de soutien à l’Etat Islamique. Il avait été assigné à résidence à la suite de l’arrêté préfectoral.

Dans le dossier de violences avec arme de juin 2017, aucune confrontation n’a pour l’instant eu lieu. Kamal Belbakkal nie avoir crié Allah Akbar au moment de l’agression de l’agriculteur de 50 ans qui moissonnait ce dimanche-là à Laroque-Timbaut, entre Agen et Villeneuve sur Lot. Il contestait aussi les coups de couteau. La victime porte encore les cicatrices psychologiques et physiques, à l’épaule gauche. Jointe ce samedi, Sophie Grolleau, son avocate, affirme ne pas avoir été tenue informée de cette remise en liberté.

 

« Oppressions de race, de genre et de classe »… à l’école et la fermeté ministérielle

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

« Oppressions de race, de genre et de classe »… à l’école et la fermeté ministérielle

29 JANVIER 2018 | POLÉMIA

Par Pierre Romain ♦ Autres preuves que certains osent tout : un petit syndicat du monde enseignant, Sud-Éducation 93, avait organisé en novembre deux journées sur des thèmes osés : « Le racisme d’État dans la société et en particulier dans l’Éducation nationale » (sic) ; « La question des privilèges de race et de classe que les enseignant.e.s peuvent avoir face à leurs élèves » (resic) ; « Comment décoloniser les savoirs » ; « Qu’est-ce qu’un élève racisé.-e. ». Avaient été prévues des séances plénières mais aussi des réunions « en non-mixité raciale ». Le programme de ces colloques passionnants entrait dans le détail lors de certains ateliers : « À partir de nos constats, nous allons établir des outils de lutte et des stratégies pour faire face aux oppressions liées au concept de race mais aussi de genre et de classe à l’école… » ; une réunion avait pour sujet la « vie professionnelle des enseignant.e.s racisé.e.s », une autre était ouverte aux « enseignant.e.s blanche.s ».

Pour être plus clair (si j’ose dire), il me faut révéler parmi les invités du colloque les présences annoncées de Marwan Muhammad, ancien directeur du Collectif contre l’islamophobie en France, Nacira Guéanif, vice-présidente de l’Institut des cultures d’Islam… plus d’autres militants d’extrême gauche. Bien entendu, ce genre de syndicat perçoit des subventions et des soutiens de certaines municipalités. L’été dernier, dans des bâtiments appartenant à la Ville de Paris, s’est déroulé un « festival afroféministe ». En août, on a eu également droit à un « camp d’été décolonial » dont le but précis était de distiller une « formation à l’antiracisme » (sic). Dans ce cas aussi, le préfet n’a rien trouvé à redire.

L’émergence de ces groupes « tendance islamo-gauchiste », considérés par la LICRA comme « des compagnons de route des Indigènes de la République » (Le Monde, 22/11/2017) est essentiellement due aux réseaux sociaux. Des sites identitaires ont signalé ces « formations » bien peu laïques et se firent insulter. Estimant que les réunions annoncées par Sud-Éducation 93 étaient inacceptables car les « formations » proposées seraient inconstitutionnelles, le ministre de l’Éducation nationale a évoqué de porter plainte. Cette simple menace a suscité des mêmes groupes des protestations véhémentes contre le commentaire très mesuré du ministre. Notons que, pour faire bon poids, les « sudistes » s’en sont pris dans la foulée à la « fâchosphère » !

En dépit de ses efforts pour redresser la discipline, Jean-Michel Blanquer ne peut, semble-t-il, aller plus vite dans le chantier scolaire. Ainsi pour sa position sur le voile islamique. Depuis ses débuts en 1989, le sujet est devenu brûlant. Tous les ministres de l’Éducation nationale ont bredouillé, bombé le torse, puis renoncé à interdire ce signe religieux musulman.

Le dimanche 12 décembre, invité par Le Grand Jury RTL-Le Figaro, il fut interrogé sur la question du voile islamique. Durant quelques années, au nom de la défense de la laïcité, furent pris des arrêtés interdisant, dans les bâtiments publics, les signes religieux dont, pour certains, faisait partie le voile islamique. Mais le Conseil d’Etat prit des arrêts très « compréhensifs » qui permettent de contourner l’interdit du voile. Evidemment, ce fut la faille qui finit par briser le mur. En 2013, sur une question d’apparence anodine, le virage fut pris. Dans les sorties scolaires, les enseignants acceptent que des membres des familles accompagnent les enfants. Très vite se posa le statut des accompagnateurs bénévoles (le plus souvent des femmes). Pour des chefs d’établissement, le voile était bien un signe religieux. Le Conseil d’État fut saisi et trancha : les accompagnatrices des sorties, n’étant pas fonctionnaires, n’étaient pas astreintes à l’obligation de neutralité religieuse (donc pouvaient porter le voile).

Les journalistes revinrent sur cette affaire en demandant au ministre Blanquer son avis. Il commença en évoquant la laïcité française, prenant comme référence « la belle histoire de 1905 » (sic). C’est un peu vite passer sous silence les expulsions des congrégations et la liquidation de leurs biens, les inventaires des églises avec des affrontements parfois sanglants. Les républicains montrèrent alors qu’ils n’entendaient la laïcité que comme l’arme la plus efficace contre la seule religion catholique. L’histoire n’est pas vraiment « belle ». Le ministre le sait parfaitement. Poussé par les journalistes sur l’affaire des accompagnatrices de sorties scolaires, il a dû s’enfoncer dans ses contradictions. Personnellement, il « considère qu’un collaborateur bénévole du service public doit se conformer à un certain nombre de devoirs ». – Donc, lui dit le journaliste, pas de voile pour les accompagnatrices ? Réponse : « Normalement non, mais il y a une jurisprudence qui doit être consacrée ». Il est pour le moins désagréable de voir un ministre français se rendre aussi vite à Canossa. Il n’a pas expliqué pourquoi l’Etat républicain, qui se montre inflexible sur des détails d’équipements dans les écoles privées hors contrats, cède devant la moindre poussée des fidèles d’une autre religion ?

Pierre Romain
13/01/2018

Source : article paru dans le mensuel Lectures françaises n° 729 de janvier 2018.
Correspondance Polémia – 26/01/2018

Un peu de décence Monsieur Darmanin !

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 29 janvier 2018.

Gérald Darmanin n’a décidément pas les idées claires. Le ministre des Comptes publics est au cœur d’un scandale qui le voit accusé de viol. La plainte déposée en juin 2017 avait rapidement été classée sans suite avant sa réouverture en janvier 2018. Les accusations sont lourdes, et le ministre n’a plus la tête à sa fonction. Il avait déjà des envies de départ… Mais non, il reste accroché comme une moule à son rocher et le pire est que tous les membres du gouvernement se pressent dans les médias pour affirmer leur soutien à un ministre au passif peut-être bien lourd… 

Serait-on dans un système de deux poids, deux mesures ? A l’heure où les crimes sexuels sont honnis et traqués, certains individus voient leur monde de perversion s’effondrer. Une perspective encore lointaine pour Gérald Darmanin et ce malgré l’horreur des accusations qui pèsent contre lui. En l’espèce, il ne s’agit plus de plaisanteries déplacées ou des rendez-vous en tête à tête histoire de discuter boulot de manière plus décontractée. Non, Darmanin est accusé de viol par une femme qui lui avait demandé de lui rendre service en 2009. L’histoire commence sur des bases sordides puisque l’accusatrice se serait adressée à Darmanin en 2009, lorsqu’il était chargé de mission au service des affaires juridiques de l’UMP, pour faire annuler une condamnation prononcée cinq ans auparavant. Selon elle, Darmanin aurait accepté contre des faveurs sexuelles…

Viol par surprise ? Une cohésion gouvernementale surprenante

Cela s’appelle un viol par surprise et est condamné par la loi. Dans le détail, Darmanin et sa présumée victime se seraient vus au siège de l’UMP où « l’aide » demandée par Darmanin pour intervenir se serait matérialisé en dîner puis un moment de détente dans un club libertin avant de finir la nuit à l’hôtel… L’enquête doit déterminer de la véracité des accusations et du déroulé des faits, mais pour le gouvernement les choses sont très claires : Darmanin est présumé innocent et doit rester ministre. Peu importe qu’un torrent de boue et un malaise croissant s’empare de tous les observateurs. Darmanin doit rester ministre au moins jusqu’à une éventuelle mise en examen.

C’est la justification de la ministre de la Justice (et de tous ses collègues). Seule une mise en examen fera sauter le jeune ministre. Bayrou et Ferrand n’ont pas eu le droit à cette grâce jupitérienne et ont dû quitter le navire lors de l’enquête préliminaire. Mais à l’époque Macron voulait laver plus blanc que blanc et se débarrasser par la même occasion d’un ami paumé et d’un idiot utile désormais ermite dans les montages pyrénéennes.

Les temps ont changé. Il faut aujourd’hui donner l’impression que le gouvernement est une machine bien huilée à la cohésion exceptionnelle. Un gouvernement en marche ! Dans cette optique, les accusations de viol n’ont aucune prise sur les événements et le spleen affiché par Darmanin – lequel préférerait ouvrir « une boîte avec un pote » – ne sont pas de taille à faire lâcher un ministère. Les féministes et leur pétition pour réclamer le départ du petit Gérald ne changeront rien. Le pion Darmanin ne doit pas encore être déplacé et l’on espère en haut lieu qu’une mise en examen ne sera pas prononcée (tout de suite). Pour ce qui est de la pression médiatique, tout est déjà sous contrôle. Ô surprise ! Il fut des temps moins cléments alors que la « libération de la parole » n’était pas encore passée par là. Mais la politique est un monde à part où les règles s’appliquent en fonction des intérêts de quelques puissants. Cette fois-ci, c’est la présomption d’innocence. Demain, ce sera peut-être une autre règle qui prendra cette place.

 

Source : 24heuresactu

Réfugies de guerre hier… et aujourd’hui

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

 

 

Source : ndf

LÉGISLATIVES PARTIELLES DU VAL D’OISE: FÉLICITATIONS À HUGUETTE FRANÇOIS

Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2018

Félicitations à Huguette François candidate du Parti de la France pour son résultat de 2,63% obtenu hier à la législative partielle du Val d’Oise et ce malgré une omerta médiatique totale. 


Législatives partielles du Val d’Oise: félicitations à Huguette François
Huguette François réalise un score bien supérieur à la candidate soutenue par monsieur Philippot qui réalise 1,19% des suffrages. Pour autant ce dernier était invité à la matinale d’Europe 1 et non Carl Lang....vive les médias du système ! 
Le FN quant à lui continue son inexorable déclin et perd plus de 5% par rapport à son dernier score en passant de 15,31% à 10,11%.