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dimanche, 28 janvier 2018

Chômage : l’effet Macron a le goût de perlimpinpin

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2018 

Rédigé par notre équipe le 27 janvier 2018 

 

 

L’information ne passe pas inaperçue depuis deux jours et certains risquent de se prendre une soufflante par le locataire de l’Elysée. Malgré les promesses et les discours d’auto-persuasion et d’auto-satisfaction faisant de la France une économie fleurissante, le chômage est toujours aussi haut. La petite baisse de 2016 est encore moins marquée en 2017… Le premier bilan en la matière est terrible pour l’illusionniste jupitérien. Allez, courage ! Dorénavant, les chiffres ne seront communiqués que tous les trois mois… 

Un peu de Hollande, pas mal de Macron est le résultat pourrait faire rire s’il ne s’agissait pas de la vie de millions de personnes. L’année 2017 – celle de toutes les reprises à en croire les politiques et les médias – sera donc (aussi) celle d’une décrue lilliputienne du chômage. Selon les chiffres officiels, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle-emploi est passé de 3,467 millions à 3,451 millions entre la fin 2016 et la fin 2017. 16 000 personnes sorties du chômage en un an alors que « la reprise est là », c’est un exploit auquel les Français crédules n’étaient pas prêts. Et il ne s’agit là que des chômeurs de catégorie A recensés par Pôle emploi !

Le hollandisme fait de la résistance (et pour cause… !)

Pour un bilan mensuel et annuel plus conforme à la réalité, mieux vaut s’intéresser aux chiffres toujours aussi décapants présentés ici. En sortant du roman écrit par le pouvoir, on arrive à une hausse (+52 500) et non à une infime baisse du nombre de demandeurs d’emploi en 2017. Le coup est rude et il est utile de radiographier cet échec cinglant pour le gardien de la poudre de perlimpinpin. Pourtant beaucoup aura été fait pour assurer un premier succès à la nouvelle équipe soit disant experte sur les questions économiques. Rien qu’en décembre, plus de 310 000 personnes ont été radiées des listes de Pôle-emploi, mais les pseudo-économistes à la botte du pouvoir expliquent que l’année 2016 était en trompe l’œil et est venue casser la formidable dynamique de 2017…

Pour espérer une réélection, Hollande avait sorti des centaines de milliers de demandeurs d’emploi des statistiques à coups de radiations, de formations au rabais et d’emplois aidés. Des efforts qui avaient permis de comptabiliser près de 110 000 chômeurs en moins en 2016. Pas assez toutefois pour pouvoir se présenter. Son ancien poulain devenu président aurait été pénalisé par la fin des formations et de contrats aidés sans avenir. Des remèdes qu’il assure ne pas administrer, car ses solutions à lui sont censées être bien plus pérennes. La flexibilité est le maître-mot. Le Code du Travail a été cassé et cela permettra à tous d’avoir un emploi… La poudre de perlimpinpin a fait son temps et d’autres combines sont à trouver.

La principale déjà mise en œuvre consiste à ne plus réagir à la publication des chiffres du chômage. Ne pas parler d’une réalité signifie qu’elle n’existe pas dans le monde jupitérien. La ministre du Travail est donc invisible et à partir de 2018, ce sont carrément les statistiques qui vont disparaître pour ne revenir que sur la pointe des pieds une fois par trimestre. Cela ne fait plus que quatre mauvais moments à passer chaque année. Nul doute que les statistiques pliées dans le bon sens ainsi que les commentaires mielleux des analystes permettront de faire passer la pilule.

Au fond, Macron n’est qu’une copie de Hollande en un peu mois grotesque, car comme lui il attend simplement un retour du beau temps en gesticulant beaucoup et en mettant en place un programme européiste qui va dans le sens contraire des intérêts des Français. Après la pluie, le beau temps… Mais à force de noirceur, les embellies ponctuelles sont de moins en moins profitables. La France plonge la tête la première, mais avec une bonne dose de gôchisme, on finira peut-être par croire que le salut vient vraiment des migrants…

 

Source : 24heuresactu

Les instruments de musique ont-ils un sexe ?

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2018

instruments-de-musique.jpg
La journaliste Aliette de Laleu vient de nous gratifier dans Slate d’un article surprenant au titre fracassant :

« Musique: malheureusement, les instruments ont un sexe »

« On associe certains instruments de musique à un genre: masculin ou féminin. Une réflexion qui relève à la fois de l’histoire de la musique, mais surtout de bons gros clichés. »

http://www.slate.fr/story/156416/instruments-musique-genr...

Le lecteur de base aurait pu légitimement imaginer que madame de Laleu nous apporterait ses lumières de « Journaliste spécialisée en musique classique » (sic !) sur l’origine du genre des instruments, comme le sous-titre de l’article le laisserait supposer…

C’est vrai qu’on peut se demander pourquoi épinette, clarinette ou trompette sont du genre féminin, quand clavecin, hautbois ou cor sont du genre masculin…

Et que dire de l’orgue, masculin au singulier et féminin au pluriel ?… Mais pas du tout !

L’analyse que nous livre cette auteur.e porte sur le sexisme dans le monde… des interprètes !

Car madame Laleu se revendique « féministe » ! Le grand mot est lâché !

http://www.slate.fr/source/155111/aliette-de-laleu...

Et là effectivement elle évoque de « bons gros clichés » : ceux qui associent une méconnaissance totale de la spécialité – à moins que ce ne soit de la pure mauvaise foi – à une indéniable bêtise qui n’excuse pourtant l’abyssale ignorance dont elle fait ici preuve !

Mais faut-il en rire quand on pense qu’elle sévit sur la station radio qui est considérée comme LA référence nationale en matière de musique classique : France Musique ?

Sans reprendre point par point les inepties dont elle est prolixe, nous nous contenterons d’évoquer quelques personnalités célèbres que visiblement elle ne doit pas connaître. Ainsi, si d’aventure elle lit ce texte, elle apprendra au moins quelque chose…

La thèse féministe de madame Laleu est de chercher à démontrer que le milieu professionnel orchestral est un infâme ramassis de machistes méprisant le beau sexe, alors qu’à l’époque du Moyen Age les femmes tenaient une place très importante dans la musique.

A l’appui de cette affirmation osée, elle cite même deux critiques musicaux aux commentaires effectivement peu amènes mais de 1840 et de 1912 : au XXIeme siècle, les féministes doivent aller chercher loin leurs têtes de turc. Jugez-en !

«La femme qui empiète sur les instruments spécialement réservés aux hommes et qui, par exemple, joue du violon, de la flûte ou de la contrebasse, a, pour l’ordinaire, une allure de caractère masculin et un soupçon de moustaches.» (Albert Cler – 1840)

Et à propos des concours de harpe, ce commentaire dont nous laisserons la responsabilité à son auteur :

«Aux concours annuels de harpe, on voit parfois un timide adolescent, fourvoyé dans l’essaim blanc et rose des fillettes aux doigts légers, se présenter gauchement sur la scène qu’attriste son veston noir et froisser de ses rudes phalanges les cordes d’or toutes vibrantes de la douce caresse de jolis bras nus.»

(Emile Vuillermoz dans Le Péril rose – 1912)

Et là, toute frétillante de ces trouvailles, Aliette de Laleu ironise sur la supposée fragilité féminine qui aurait cantonné les femmes à des instruments considérés comme féminins tels le piano ou la flute, estimant que les autres instruments à vent étaient considérés comme « demandant trop de souffle pour les femmes qui n’étaient pas accueillies dans les classes de conservatoire de hautbois ou de trombone.» (sic !)

On notera d’abord que cette pauvre ignorante mélange – ou confond – la musique pratiquée de manière professionnelle par les concertistes et la musique de loisir ou de salon, telle qu’elle se pratiquait beaucoup dans la bourgeoisie et l’aristocratie au XIXeme siècle, très souvent associée au chant d’ailleurs…

De ce point de vue un instrument comme le hautbois, ou le trombone, est évidemment inenvisageable autrement qu’en accompagnement dans une formation musicale déjà conséquente!

Mais c’est peut-être déjà un peu compliqué à comprendre pour elle…

Tout comme le fait que la professionnalisation, en musique comme dans de nombreuses autres activités, est un phénomène récent qui, date des années soixante/ soixante-dix quand les femmes ont massivement investi le monde du travail…A peine une génération…

(Avant, les femmes virtuoses se recrutèrent donc naturellement dans des familles de musiciens.)

Que des classes de conservatoire jusqu’aux années deux mille se soient très préférentiellement adressées aux hommes pour les instruments d’orchestre à perspective professionnelle est parfaitement logique, tout comme le fait que cela évolue aujourd’hui…

Le plus grave est sa méconnaissance des grand.e.s virtuoses féminines comme masculins du XXeme soigneusement occulté.e.s car constituant de cinglants contre exemples à sa théorie fumeuse.

Quant à l’idée sexiste avancée qui distingue les instruments en fonction de capacités physiques et qui veut que l’on aurait considéré que les hommes ont plus de souffle que les femmes pour justifier de cette « ségrégation » il suffira de lui opposer les performances des cantatrices en la matière…

Le chant impose un développement important de la cage thoracique qui explique en revanche que les intéressées rentrent, pour la plupart, plus facilement dans une taille 46 que dans du 34…

C’est probablement un constat « sexiste » mais c’est une réalité !

La flute serait, selon elle, un instrument féminin… Elle fait même une véritable fixation dessus…

Loin de moi l’idée de nier qu’il existe d’excellent.e.s flûtistes, mais j’attends encore de voir émerger sur la scène internationale des virtuoses aussi réputés que Jean Pierre Rampal ou Maxence Larrieu !

La harpe est aussi un instrument « féminin » selon sa classification, ce qui fera certainement plaisir à feu Nicanor Zabaleta, l’un des plus grands virtuoses du XXeme siècle… Et pourquoi ne pas évoquer ici la dynastie des Jamet dont le père Pierre, virtuose et professeur, a fondé l’école de harpe de Gargilesse – devenu festival depuis sa mort – et dont la fille Marie-Claire a dominé la fin du siècle dans la discipline?…

Les cordes étaient un « domaine réservé aux hommes » parait-il ?

J’ignorais que Ginette Neveu fut transsexuelle !

Quant à la contrebasse interdite aux femmes « parce qu’elles étaient trop petites », j’évoquerai un souvenir d’enfance : une époque préconciliaire où lors de grandes cérémonies (souvent mariages ou enterrements) des orchestres de musique religieuse accompagnaient l’orgue.

Il existait à Paris quelques orchestres professionnels spécialisés dans cette « musique d’église ».

L’un d’entre eux avait une contrebassiste devenue célèbre car elle mesurait 1,50 m et jouait debout, montée sur un petit tabouret !

Finissons ce survol avec l’accordéon.

Voilà un instrument physique, car très lourd, un instrument qui peut être éventuellement symphonique mais qui règne surtout dans les orchestres de variété et les bals musette… Un instrument d’homme!

C’est sans doute pourquoi nous pouvons nous enorgueillir d’avoir une virtuose inégalée de l’instrument, lauréate de la coupe du monde, en la personne – bientôt centenaire – d’Yvette Horner…

Pour ne pas accabler le lecteur nous arrêteront là cette énumération qui est loin d’être exhaustive.

(Mille pardons, entre autres, à l’adresse de l’organiste Marie-Pierre Alain)

Cet article en fait, au-delà des élucubrations de son auteur.e, pose une question :

« la bêtise aurait-elle malheureusement un sexe ? »

Le débat est ouvert.

Il semblerait surtout que le féminisme contribue très largement à sa banalisation et à sa diffusion !

Claude Timmerman

 

Source : medias-presse.info

Valenciennes : après avoir agressé sexuellement 4 filles dont une de 15 ans, le réfugié afghan repart libre

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2018

Mis à jour le 27 janvier 2018 Auteur par admin4

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Un « migrant » afghan de 22 ans, en France depuis plus d’un an et hébergé dans un foyer valenciennois, a été laissé libre par les magistrats après une série d’agressions sexuelles commises sur quatre filles âgées de 15 à 24 ans.

La Voix du Nord :

Le mode opératoire est sensiblement le même. Il les accoste et exerce des attouchements, les embrasse, leur lèche le visage et les invite chez lui. L’une d’elle sera même mordue au visage. Mais l’agresseur sera piégé par sa dernière victime âgée de 20 ans.

À 16 h 45, dans le tram, il s’installe près d’elle, lui prend son téléphone et rentre son numéro pour qu’elle puisse le rappeler. Il devient insistant et déplacé, elle décide de descendre. Il n’abandonne guère, la suit, puis la plaque contre un mur pour l’agresser. Elle sera sauvée par l’arrivée d’un groupe de jeunes.

Après avoir déposé plainte et en accord avec les enquêteurs, la victime le rappelle et lui fixe un lieu de rendez-vous où il sera interpellé. Les investigations permettent le rapprochement avec trois autres faits. Faire face à leur agresseur est un moment difficile, c’est visible, pour les victimes assises près de leur avocate.

Sur le chemin de l’école

Le soutien des parents leur est nécessaire lors de l’audience. M.A., lui, le prévenu, répond à la présidente Pollet par le truchement d’un interprète. Me Honnart se dit effrayée. Quatre victimes agressées sur le chemin de l’école ou du travail en quelques jours. Le procureur Colomar dénonce un comportement de prédateur. Il requiert dix-huit mois ferme, l’interdiction de séjour dans le Nord et l’inscription au FIJAISV (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes). Le tribunal le suivra sur tous les points, troquant le ferme pour du sursis.

Le prédateur sexuel étranger est donc libre.

 

Source :  breizatao via contre-info

Déjeuner patriotique

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2018

 

carl,lang,déjeuner patriotique,fred delplace,guy jovelinC’est au bord de la « grande bleue » à Peyriac-de-mer dans le département de l’Aude (11) que le Président Carl Lang fut accueilli par les délégués régionaux Frédéric Delplace, guy  jovelin et les cadres locaux.

Le froid extérieur (hé oui, il fait de temps en temps frisquet en Méditerranée) fut vite remplacé par la chaleur patriotique de la trentaine de personnes venues écouter notre président dans un restaurant très sympathique.

L’ambiance fut très conviviale, et le président Carl Lang a démontré avec pragmatisme et très logiquement que seul le Parti de la France est le chemin de résistance pour le devenir de notre pays, devant une assistance particulièrement à l’écoute et très motivée par son discours.

La journée se termina avec de nombreuses adhésions.

Guy Jovelin

Délégué Occitanie (Midi-Pyrénées)

 

Pour des raisons techniques les photos seront publiées dans quelques jours.

samedi, 27 janvier 2018

Le cas Karim Zéribi : le juteux business du vivre-ensemble

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2018

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Il s’appelle Karim Zéribi. C’est le champion marseillais du « vivre-ensemble ». Il a été chargé de mission auprès du ministre Chevènement. Il a été candidat socialiste ou écologiste dans les quartiers nord. On l’entendait souvent dans l’émission d’Olivier Truchot, « Les Grandes Gueules », sur radio Monte-Carlo. A présent, on l’entend souvent devant les tribunaux. Il est aujourd’hui gravement mis en cause pour abus de confiance et abus de biens sociaux.

C’est que le vivre-ensemble est un fabuleux business. Zéridi, qui est malin, a compris très jeune comment marchait le système. Il s’est inscrit au Parti socialiste, a créé toutes sortes d’associations, attrape-gogos et attrape-monnaie, comme « le parlement des banlieues », « Agir pour la citoyenneté » etc. Ces associations ont décroché des subventions de toutes natures. Pensez, c’était pour le vivre-ensemble ! Il faut « faciliter l’accès des habitants des quartiers populaires et des jeunes à la citoyenneté », proclamait Zéribi à qui voulait l’entendre. Et il fallait surtout faciliter cet accès à un habitant des quartiers populaires, un jeune : lui-même.

Car cet argent collecté, ces subventions énormes du conseil régional, du conseil général, de mairies, d’entreprises même, semblent avoir surtout été utilisées à son profit personnel. C’est ce que, pudiquement, les contrôleurs ont appelé la création d’un « clientélisme politique ». Zéribi se comportait comme un politicien d’Afrique noire, façon République Démocratique du Congo de Kabila, par exemple. Un billet par-ci, un billet par-là, la famille rémunérée pour coller les affiches du parti etc.

Il faut dire qu’en jouant la carte du PS marseillais, ainsi que celle des écologistes, il était tombé dans un sacré panier de crabes, et ne bénéficiait pas de l’exemple de ses ainés pour ce qui est de l’intégrité.

Il était le « vivre-ensemble » fait homme !

L’acte d’accusation est rempli d’exemples d’utilisation des fonds pour permettre le « vivre-ensemble » sur un grand train de vie, pour Karim Zéribi et son clan. Néanmoins, quand il allait frapper à la porte du conseil général, il bénéficiait toujours d’une oreille attentive et complaisante de la part de l’ex-caïd socialiste local, Jean-Noël Guérini qui, indirectement, tirait parti de ce « vassal » stipendié. Un exemple parmi tant d’autres : le 13 novembre 2007, il vient demander 50 000 euros pour son association du vivre-ensemble. Le 30 novembre, il repart avec un chèque signé de Guérini. Même les fonctionnaires du conseil général, qui en avaient pourtant vu d’autres, n’en revenaient pas ! Vous pourriez, vous, frapper à la porte d’un conseil général, au nom de n’importe quelle association douteuse ou même réellement caritative, et repartir avec un tel chèque ? Zéribi y arrivait sans problème. Il était « l’Arabe de service » du PS, le « vivre-ensemble » sur pattes, le « vivre-ensemble » fait homme.

Après une dizaine d’années de gabegies, il a été « fait aux pattes », précisément. Il va vraisemblablement passer devant le tribunal correctionnel, après enquête du Parquet de Marseille. Cinq de ses complices et commensaux devraient être de la charrette des condamnables.

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Extrait de: Source et auteur