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jeudi, 03 mai 2018

La Hongrie refuse de ratifier une déclaration euro-africaine reconnaissant « les avantages des migrations »

Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2018 

Par  le 02/05/2018 

La Hongrie a refusé mercredi [2 mai] de ratifier une déclaration euro-africaine reconnaissant « les avantages des migrations en termes de développement » adoptée lors d’une conférence ministérielle au Maroc réunissant une soixantaine de pays d’Europe et d’Afrique.

La « déclaration politique de Marrakech » a été signée par les représentants de 55 pays (27 européens et 28 africains).

Ce texte « dépeint la migration comme un phénomène nécessairement positif (…) qui contribue au développement global, nous pensons que c’est une approche déséquilibrée et nous la désapprouvons », a déclaré le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijarto.

[…]

La Hongrie rejette « l’approche internationale actuelle (qui) se concentre sur la façon de gérer la migration », alors qu’il faudrait « stopper le flux illégal en Europe », a-t-il encore insisté.

La déclaration de Marrakech plaide pour une « approche fondée sur les droits de l’Homme », sur la « protection des migrants en situation vulnérable » et sur le développement d’une communication permettant de lutter contre « la xénophobie, le racisme et les discriminations ».

[…]

Le royaume[chérifien] doit accueillir en décembre une conférence internationale de l’ONU sur la migration qui devrait déboucher sur l’adoption d’un Pacte mondial en cours de discussion.

 

Source via fdesouche

Une quinzaine de terroristes revenus en France déjà libérés

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

 

Capture d’écran 2018-05-03 à 08.22.11Dans un rapport qui sera publié au mois de mai, le CAT (Centre d'analyse du terrorisme) s'apprête à dévoiler certains chiffres alarmants :

  • nombre de personnes majeures parties combattre en Syrie et en Irak et revenues en France : 258, dont 184 hommes et 74 femmes.
  • 93 de ces djihadistes ont déjà été jugés pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste
  • 59% d'entre eux seront libérés avant 2020.
  • une quinzaine de ces 93 a déjà été libérée.

Michel Janva

Source : lesalonbeige

L'inutile violence des Black Blocs

Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2018

black machin.jpg

 par Patrick Parment

On pourrait souscrire au combat anticapitaliste des Black Blocs si d’aventure leur violence débouchait sur une prise de pouvoir. Or, c’est loin d’être le cas. La violence fasciste comme celle des nazis dans les années 1920 a débouché sur une prise de pouvoir parce qu’elle reposait avant tout sur le soutien du peuple. On omet trop souvent de rappeler que Mussolini comme Hitler ont pris le pouvoir le plus légalement du monde.

La situation est tout autre aujourd’hui et ces nigauds de Black machins qui rêvent de je ne sais trop quel lendemain qui déchante sont très en retard sur la violence qu’exerce le libéralisme sur le corps social. Et l’apparent régime démocratique qui nous gouverne masque mal la réalité ploutocratique de ce pouvoir.

Cette violence sociale a d’autant plus de facilité à s’exprimer que la société de consommation a détruit la solidarité des communautés naturelles et l’homogénéité du peuple. Au sein d’un paysage social littéralement dévasté, fragmenté et en partie communautariste, le libéralisme a tout lieu d’imposer sa loi d’airain.

Le vrai problème, ce n’est pas la violence aussi désuète qu’inutile des Black machins, c’est de savoir comment, au sein de cette société dite libérale, un peuple reprend son destin en main.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 02 mai 2018

Si la peine de mort existait pour les violeurs d’enfants, Angélique serait encore vivante

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

 

Combien d’autres petites filles violées et assassinées devrons-nous pleurer avant que la société se pose la question sur le rétablissement de la peine de mort pour les récidivistes ?

Combien de jeunes femmes violées et assassinées, par des « monstres », connus des services de police, connus de la justice, tous déjà condamnés et tous remis en liberté… en liberté de récidiver, de violer et d’assassiner de nouveau.

Qui sont les complices ? Notre société qui les juge, les condamne mais ne les élimine pas, afin qu’ils ne puissent jamais récidiver.

Qui ne les élimine pas parce qu’elle n’a plus ce courage, soi-disant par humanité, alors que l’humanité est absente pour des millions de morts chaque jour sur notre Terre.

Ne devraient-ils pas être poursuivis pour complicité ces magistrats, ces psychiatres, qui prennent la décision de remettre en liberté ces récidivistes ? Leurs responsabilités ne devraient-elles pas être sanctionnées ?

La liste des victimes innocentes de notre société, de notre justice, plus d’une centaine, serait trop longue à énumérer. Ces quelques cas sont présents dans ma mémoire :

  • Mélodie Massé, 23 ans, violée et assassinée par Cédric Bernarsconi. 
  • Sofiane Rasmouk, condamné à 24 reprises, placé en semi-liberté, sous prétexte d’un stage, le 7 août 2013, il violait et assassinait aussitôt deux jeunes femmes, Sandra Grolez et Priscilla Atzori. Ne sont-ils pas complices, les magistrats qui se sont laissés abuser ? 
  • Le 14 juillet 2015, une jeune femme de 31 ans, agressée sexuellement dans une église, à Poitiers. Son agresseur, David Mohamed, comptait déjà 12 condamnations, la dernière à 17 ans de prison pour viol d’une dame âgée de 85 ans. Il venait de bénéficier d’une remise de peine et le juge lui avait rendu sa liberté un mois plus tôt, à mi-juin. 
  • Fin juin de cette même année, une autre jeune femme violée, alors qu’elle faisait son jogging sur les bords du Clain, à Poitiers (Vienne). 
  • Le 16 juillet 2011, encore une jeune femme violée par un récidiviste, condamné pour viol à 4 ans de prison en 2009. 
  • Alain Penin, 42 ans, remis en liberté le 30 septembre 2009, après une condamnation à 10 ans pour viol le 30 mai 2004. Il récidive en 2010 : viol et assassinat de Natacha Mougel, à Marcq-en-Barœul. 
  • Tony Meilhon, 31 ans, remis en liberté après avoir commis 13 viols est libéré fin février 2010. En janvier 2011, il viole et assassine une jeune fille de 18 ans, Laetitia Perrais..

L’obligation de soins, c’est du pipeau ! Le suivi c’est du pipeau ! La réhabilitation c’est du pipeau ! Il n’y a pas de suivi médical rassurant, c’est faux !

Un violeur-assassin doit-il être remis en liberté ? La réponse s’impose car nous ne devons pas accepter que nos enfants, nos femmes, soient exposés à la merci de ces prédateurs sexuels, ces pédophiles, ces assassins.

Un violeur-assassin récidiviste ne doit jamais être remis en liberté. Le devoir de notre justice, de nos magistrats, est de protéger « la veuve et l’orphelin », les petites filles et les jeunes femmes.

Doit-on accepter que nos lois ne nous protègent plus ?

Au cours du XXe siècle on « lobotomisait », on « castrait », les récidivistes de viols et d’assassinats, quand ils n’étaient pas condamnés à mort, était-ce plus humain ? Non, fustigeaient les « bonnes consciences » de l’époque.

Le viol, l’assassinat, d’une petite fille, d’une jeune femme, est-ce plus humain ?

Il manque des places dans nos prisons alors ne les remplissons pas davantage, rétablissons la peine de mort pour tous les récidivistes de viols, d’assassinats, de crimes de sang.

C’est la seule sanction totalement dissuasive, la seule qui peut nous protéger, qui peut nous assurer qu’ils ne récidiveront jamais.

Il ne se passe pas un mois sans qu’un récidiviste libéré viole et assassine de nouveau.

Si vous n’avez pas le courage, Messieurs les politiques, de prendre cette décision, alors donnez la parole aux citoyens, confiez-leur la responsabilité afin qu’ils la prennent à votre place.

Combien de centaines de petites filles, d’enfants et d’adultes, femmes et hommes, seraient encore en vie aujourd’hui s’ils n’avaient pas été enlevés à l’affection des leurs par des « monstres » qui auraient dû être éliminés d’une manière ou d’une autre ?

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

Marseille : Une mosquée salafiste installée sur un terrain municipal

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2018

Par  le 01/05/2018

 

La mosquée salafiste des Caillols, située dans le XIIe arrondissement de Marseille, sur un terrain municipal, est surveillée par la DGSI. Arrosée de subventions, elle se trouve sur un terrain appartenant à la commune.

Vendredi 20 avril, El Hadi Doudi, l’imam salafiste connu pour ses prêches radicaux et haineux à la mosquée As-Sounna, située en plein coeur de Marseille, a été expulsé vers l’Algérie. Par un arrêté du 11 décembre, la fermeture de la mosquée a été ordonnée par la préfecture des Bouches-du-Rhône. Reste que l’imam algérien jouissait d’une grande influence et avait la mainmise sur au moins 17 mosquées du département. Dont celle des Caillols, située dans le XIIe arrondissement. Une mosquée aujourd’hui qualifiée de salafiste et surveillée comme telle par la DGSI.

Avant de se transformer en mosquée et même d’abriter une école coranique clandestine, le bâtiment était dédié à une association sportive, Jeunesse 11/12, à destination des gamins des quartiers. La structure avait été bâtie en 2005 sur un terrain appartenant à la Mairie, et l’association bénéficiait alors d’un bail emphytéotique de soixante ans, pour un loyer dérisoire de 30 euros, et de multiples subventions (394 800 euros du conseil régional et 51 000 euros de la Mairie). Jusqu’à sa mutation en association cultuelle, Les Jardins de la paix, en 2014 et, six mois plus tard, en mosquée, inaugurée en toute discrétion par Valérie Boyer, députée LR des Bouches-du-Rhône alors maire du 6e secteur de la cité phocéenne.

« La mosquée salafiste des Caillols a pu prendre racine sur un terrain municipal, arrosée de subventions et en violation totale de la loi de 1905 ! », s’insurge la conseillère municipale des XIe et XIIe arrondissements de Marseille, Élisabeth Philippe, qui s’est autosaisie du dossier. Après des courriers adressés aux préfets de région et de police, elle attend une réponse à celui envoyé début avril au ministre de l’Intérieur.

Valeurs Actuelles via fdesouche