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lundi, 30 avril 2018

Les associations se mobilisent pour aider les migrants à obtenir l’asile en France

Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2018

Les migrants mineurs non accompagnés, un incontrôlable aspirateur de l'invasion
 

Les associations se mobilisent pour aider les migrants à obtenir l’asile en France

Par Robert MARTIN ♦ Un de nos lecteurs nous a récemment contacté. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, il est théoriquement soumis à un devoir de réserve, nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Plusieurs textes très sérieux et documentés suivront cette première publication, plus légère et pratique, décrivant l’une des voies offertes aux migrants africains pour rejoindre l’Europe sans trop de difficulté.
Polémia

Des faux récits faciles à construire

Après beaucoup d’hésitations, un Sénégalais décide de rejoindre l’Europe pour fuir la misère et profiter des richesses françaises. Bien qu’hétérosexuel, il décide de jouer le rôle d’un homosexuel. En effet, le droit d’asile lui sera ainsi ouvert.
Pour rédiger son récit de demande d’asile à déposer devant l’OFPRA, il lui suffit de consulter sur le site de la CNDA la fiche Pays consacrée au Sénégal, puis, d’ouvrir la fiche « Orientations sexuelles »où il aura le choix entre 7 études sur la question.

Choisissant celle de l’OFPRA, il y trouvera en 14 pages de quoi bâtir un récit crédible, en y ajoutant même un (faux) certificat de mariage avec une jeune femme (sa copine, bien entendu) à qui il est fortement attaché (évidemment, au seul plan affectif).

S’il sait bien raconter ses angoisses, il pourra même se faire parrainer par une association française de défense des homosexuels africains et obtenir ainsi gratuitement un visa et un billet d’avion.

Une fois obtenu le statut de réfugié, il ne lui restera plus qu’à demander la venue de son « épouse » dans le cadre du regroupement familial.

J’exagère à peine…. En fait, il existe de très nombreuses sources sur internet qui permettent aux migrants de construire un récit d’exil particulièrement efficace, d’autant qu’il existe des instructions « officieuses » données aux membres des juridictions de la CNDA pour « interroger avec tact » les demandeurs d’asile pour préférence sexuelle.

Si les migrants s’y prennent bien, il y a pratiquement 100 % de réussite à la demande d’asile, pour peu que le demandeur bénéficie de l’aide d’un « coach » bénévole et bien formé qui saura le faire « répéter ». C’est là qu’entrent en jeu les associations d’aide aux migrants.

La professionnalisation des travailleurs sociaux chargés d’assister les migrants

C’est la raison pour laquelle « France Terre d’Asile » a créé un centre de formation pour les professionnels de l’aide aux migrants.
En 2016, cette ONG a formé 1 482 stagiaires. En 2017/2018 elle prévoit 60 formations dont une partie répondent à la problématique que nous venons d’énoncer : « Techniques de recherche en information sur les pays d’origine ».
D’autres sont hyper spécialisées sur un pays (« Répression politique et tensions sociales en Guinée Conakry »« Paix et guerre en République démocratique du Congo »…) ou sur une spécificité du récit dans une zone géographique donnée (« La vendetta à l’origine d’une demande d’asile » fait référence au « kanun » auquel les demandeurs d’asile d’Albanie font très souvent référence.

C’est ainsi que « l’aide à la constitution des demandes d’asile et du dossier OFPRA » fait l’objet de deux modules de formation.
Le Niveau I coûte 440 € totalement financés par la formation professionnelle et dure 2 jours (14 heures).

L’association caritative est totalement transparente sur ses objectifs :

  • « L’accompagnement juridique dont peut bénéficier un demandeur d’asile durant ses démarches augmente sensiblement ses chances d’obtenir une protection.
    Il est donc essentiel pour le travailleur social chargé de cet accompagnement de maîtriser la constitution d’une demande d’asile et du dossier OFPRA en tenant compte de son cadre d’intervention (plateforme d’accueil, hébergement d’urgence, centre d’accueil pour demandeurs d’asile). Cette formation a pour objectif d’apporter les outils théoriques et pratiques afin de permettre aux professionnels d’accompagner de manière optimum les demandeurs d’asile dans la constitution de leur demande d’asile, la rédaction du dossier OFPRA et du récit de vie, et la préparation à l’entretien à l’OFPRA. »
  • Améliorer la qualité de l’information proposée et optimiser l’efficacité de l’accompagnement juridique du demandeur d’asile en étant en mesure de l’aider à constituer sa demande d’asile, à rédiger son dossier OFPRA et à le préparer en vue de son entretien à l’OFPRA en :
    – Acquérant une méthodologie pour établir une demande d’asile individualisée et circonstanciée
    – Apprenant à soulever les éléments de fait permettant de satisfaire aux conditions juridiques d’obtention d’une protection ainsi qu’à sélectionner et produire les preuves matérielles
    – Sachant analyser le sens des questions posées devant l’OFPRA et la CNDA et y apporter des réponses crédibles
  • MOYENS & MÉTHODES PÉDAGOGIQUES
    • Formation déclinée en modules comprenant une activité découverte, des apports théoriques, des mises en application (étude des cas, techniques d’entretien) et une synthèse
    • Échange et analyse de situations pratiques à partir des situations professionnelles des participants
    • Diffusion et remise d’un Powerpoint facilitant la prise de notes et un dossier pédagogique à caractère pratique (réglementation, exemples de récit de vie…)
    • Visite d’étude à la CNDA
    • Constitution du dossier de demande d’asile en vue de sa recevabilité
    • L’établissement des faits : les déclarations du demandeur d’asile et les preuves matérielles
    • La rédaction du récit de vie ou d’un complément de récit
    • Oralité dans la procédure : entretien OFPRA et audience CNDA

Selon Wikipédia, « l’association France terre d’asile a un budget de 68,249 millions d’euros qui provient presque entièrement des subventions publiques (70% du ministère de l’Intérieur). »

Répondant à un article du Monde pointant du doigt les associations recevant le plus de subventions, France terre d’asile précise qu’elle ne reçoit pas de subventions, mais « des dotations en contrepartie de prestations réalisées dans le cadre de la mise en œuvre de politiques publiques ».
Elle emploie 902 salariés.
Fin 2013, par le biais d’une lettre anonyme, des accusations de détournement de fonds ont été portées à l’encontre de France terre d’asile et de son directeur général, Pierre Henry. L’enquête préliminaire menée par le parquet de Paris a depuis été classée sans suite. Deux plaintes contre X, une de la part du directeur général et une du comité d’entreprise de l’association, ont été déposées.

Robert MARTIN
29/04/2018

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Migrants marchant vers la frontière hongroise – Freedom House [Domaine public] via Flickr

Les islamistes veulent faire de la France un pays musulman

Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2018

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Didier Bloway, Riposte laïque cliquez ici

Après des années d’hésitation et de blocage, il est enfin devenu licite de désigner les “terroristes” qui nous persécutent : ce sont des “islamistes”. Une victoire de la vérité qui recouvre en fait un gros mensonge. Ce ne sont pas les islamistes qui sont en train de nous coloniser, c’est l’islam. Les islamistes ne sont que la pointe de la flèche.

La plupart des musulmans sont bien sûr des gens paisibles et pacifiques, mais les dirigeants des organes officiels qui les représentent cachent de moins en moins leur but réel : faire de la France – et assez vite, d’ici vingt à trente ans – un pays musulman. Il suffira de citer le recteur de la grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, réputé des plus modérés, qui trahit sa pensée profonde en déclarant qu’il faut transformer en mosquées les églises plus ou moins oubliées des fidèles (15 juin 2015).

Inutile de parler de complot, d’on ne sait quel chef ou organe mondial planifiant l’occupation et la prise de pouvoir, il suffit d’un objectif commun et d’une entente tacite. Tous ceux qui ont des yeux pour voir savent que les musulmans ont pris le contrôle de nombreux clubs sportifs, et notamment dans la discipline la plus populaire, le football. Mais leur présence est aussi grandissante dans de multiples associations, parents d’élèves, colocataires, et dans le secteur social d’une manière générale, sans compter naturellement les conseils municipaux.

La question n’est pas de se livrer à une critique fondamentale de l’islam. Dans les nombreux pays où cette religion est dominante de longue date, c’est aux populations de ces pays de décider si elles veulent rester sous son autorité ou s’en délivrer. Mais en Europe, et particulièrement en France, rien ne justifie ni ne rend souhaitable que cette religion s’impose pour se substituer à nos croyances et à nos usages.

Si l’islam est une religion, c’est surtout une pratique. On n’y trouve guère de spiritualité, en tout cas dans son expression courante, mais on y voit à l’oeuvre une doctrine politique et sociale, visant la soumission et le contrôle des individus, et la conquête de nouveaux adeptes et de nouveaux territoires. Pourquoi devrions-nous accepter cette soumission et cette conquête ? De quel droit les autorités font-elles un délit de la résistance, légitime, face à une doctrine qui a pour finalité de détruire nos usages, nos codes, nos lois, nos croyances ou nos libertés de ne pas croire ?

Appelons ceux qui résistent les “Résistants” et demandons-nous comment il se peut qu’on parle à leur sujet de “dérive identitaire” et de “repli sur soi”. Pour ce qui est de la dérive identitaire, qui a commencé à brandir des drapeaux étrangers, à arborer des barbes bien reconnaissables et des voiles ? Et est-ce du repli sur soi que de vouloir défendre son pays, sa civilisation, sa langue, sa foi – et accessoirement sa famille ? Une foi dont les musulmans font grand état mais qui serait quantité négligeable quand elle est la nôtre ?

Ce discours, cette tromperie, c’est la position finalement adoptée par ceux qui sont au pouvoir depuis trente ou quarante ans. On rappellera juste la trahison profonde d’un Chirac refusant de reconnaître les racines chrétiennes de l’Europe et osant prétendre que l’islam y tient une place historique équivalente. Et que penser du milieu des intellectuels et artistes se plaisant à faire le jeu de l’islam au détriment du chistianisme honni, préparant ainsi la victoire d’une doctrine qui les écraserait (et qui a peu d’égards pour le féminisme dont ils se réclament). Enfin, il faut quand même rappeler que l’islam promet la mort à qui s’en affranchit, tandis que le christianisme est incontestablement une religion de libre choix et de respect de la personne (qui aboutira notamment à la Déclaration des Droits de l’Homme).

Comment, alors, ne pas encourager la “Résistance” ? Comment ne pas dénoncer la politique visiblement – quoique clandestinement – adoptée par le pouvoir dans divers pays d’Europe, dont bien sûr la France ? Il s’agit pour ces gouvernants d’éviter les attentats dans toute la mesure du possible, en essayant de neutraliser les islamistes actifs, mais sans jamais se mesurer frontalement à l’islam. Et bien sûr en faisant semblant de distinguer, on l’a vu, entre “islamisme” et “islam”. Mais le point le plus important du plan, c’est d’éviter à tout prix un conflit ouvert et une contre-attaque des Résistants. C’est pourquoi les efforts les plus intensifs de surveillance et de répression concerneront avant tout les “identitaires”, chrétiens traditionalistes, et, d’une manière générale les pestiférés de la présumée “fachosphère”. Voilà ce qu’il faut d’abord savoir. Pour commencer.

 

synthesenationale

dimanche, 29 avril 2018

Migrants à Paris (19e arr.) : les riverains se sentent « abandonnés », « depuis que le camp de migrants s’est installé, il y a des déchets partout ! »

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

Par  le 28/04/2018 

Nous sommes allés à la rencontre des riverains des camps de migrants. Ils racontent leur colère mais aussi parfois leur sentiment d’impuissance.

A l’ombre des immeubles de bureaux flambant neufs, le gigantesque campement du Millénaire grossit de semaine en semaine. Sinistre contraste avec ce quartier en pleine rénovation, à deux pas du boulevard Macdonald (XIXe), où magasins et restaurants branchés ont remplacé les entrepôts.

Etrange vision, aussi, que celle de ces promeneurs, de ces joggeurs, qui parcourent les deux rives du canal Saint-Denis, les quais de l’Allier et du Lot, entre les tentes igloo. Priscillia n’est pas de ceux-là. La jeune mère de famille ne décolère pas, et a même décidé de ne pas mettre son fils de 5 mois à la crèche du bord du canal : « Tout le quartier a été refait, on commençait enfin à profiter d’un environnement agréable, et le camp s’est installé ! Depuis, il y a des déchets jetés partout, peut-être des risques sanitaires… Ici, les gens ont l’impression d’être complètement abandonnés. (…) ».

 

(…) Le Parisien via fdesouche

La « grande régénération » pour finaliser l’utopie révolutionnaire ?

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

La « grande régénération » pour finaliser l'utopie révolutionnaire ?

La « grande régénération » pour finaliser l’utopie révolutionnaire ?

Par Pierre Lours, essayiste et romancier ♦ Pierre Lours, chroniqueur régulier de Polémia, nous démontre, avec humour, tous les avantages que nous pourrions tirer à considérer le « Grand Remplacement » comme une « grande régénération » digne des espoirs les plus fous de nos grands frères de 1789.

Il faut en finir, une fois pour toutes, avec l’opposition au « Grand Remplacement » – pardon d’employer cette expression haïssable qui nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Faisons toute la lumière sur notre avenir et parlons maintenant, avec enthousiasme, non pas de « Grand Remplacement » mais de « grande régénération », c’est-à-dire une substitution salutaire de la population indigène française dégénérée et vieillissante par une population allogène jeune et vigoureuse venant du reste du monde afin de régénérer la France.
Car il s’agit bien d’une « grande régénération » digne de celle que nos grands frères Révolutionnaires de 1789 ont essayé, trop timidement, de faire naître en amputant de la nation toutes ces têtes mal pensantes, notamment celles appartenant au petit peuple ignorant, refusant avec ingratitude et obstination le bonheur qui lui était obligatoirement et généreusement octroyé.

En effet, c’est bien un Homme nouveau qui nous arrive depuis 50 ans, par les airs, par la terre ou par la mer : un homme jeune qui n’a pas hésité à tout laisser, ses habitudes, sa famille et son pays, pour nous venir en aide en apportant généreusement sa vigueur physique ensoleillée, sa verdeur mentale, vierge des droits de l’Homme hérités d’une religion chrétienne compliquée et masochiste.
Par exemple, avec lui, plus besoin de procréation médicale assistée et autres détours médicaux coûteux. Il est tout disposé à fertiliser le ventre des filles de la Patrie (quitte à en épouser plusieurs) pour qu’elles retrouvent les joies d’une vie naturelle et saine réglée par une loi charriant des plaisirs simples et ancestraux, oubliant le stress du métro-boulot-dodo et les agressions sexuelles engendrées par une liberté des mœurs dégénérées et des tenues vestimentaires inqualifiables.

Avec lui, libérons-nous des méandres juridiques compliqués et fastidieux et revenons à des principes de bon sens appliqués par une justice de proximité, délivrée sous l’autorité bienveillante d’un chef coutumier reconnu et honoré. Ses décisions seront exécutées avec discernement et doigté, non par une police aveugle et partisane mais par une communauté masculine attentive, connaissant bien les ressorts de la psychologie féminine.

A ses côtés, nous avons toute notre place pour collaborer modestement et docilement à l’édification de cette fraternelle société soumise à ses nouveaux préceptes immuables plus que millénaires qu’il nous offre avec empressement et générosité. Sous ses conseils avisés et vigilants, nous nous affranchirons enfin des interminables et minables discussions démocratiques qui ont la prétention d’accroître en permanence nos droits alors qu’elles ne font que nous emberlificoter dans des arguties absconses au seul bénéfice de ceux qui votent les lois.

Certains diront que cet avenir est une régression, que nous allons devenir un pays immergeant, bientôt noyé dans une société s’appauvrissant politiquement, économiquement, culturellement, spirituellement. Ce sont les mêmes qui n’ont pas cru aux lendemains qui chantaient de la Grande Révolution et qui ont fait capoter, par leur scepticisme étriqué et leur frilosité de petit bourgeois, le meilleur des mondes qui nous attendait.

Cette fois, ils n’auront pas notre bonheur! De l’audace, toujours de l’audace comme disait Danton, tous ensemble, régénérons !

Pierre Lours
28/04/2018

Source : Correspondance Polémia – 27/04/2018

Crédit photo :  Irish Defence Forces [CC BY-SA 2.0] via Flickr

Le FN a perdu 17% de ses élus régionaux et devra faire face à une nouvelle tempête juridico-médiatique

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Robert Spieler signe une chronique politique régulière dans l’hebdomadaire Rivarol. Dans le numéro de cette semaine, on peut lire ce constat symptomatique au sujet du Front National ;

17 % DES CONSEILLERS RÉGIONAUX ONT QUITTÉ LE FN

Au soir des élections régionales, il y a deux ans, l’heure était à la joie. 358 conseillers régionaux FN avaient été élus, un record. Depuis, l’ambiance est devenue lourde. 64 ont démissionné du parti, soit un sur cinq. A ce rythme, combien en restera-t-il en fin de mandat (en 2021) ? D’autant que l’on risque d’assister à un grand déballage au FN. Le Huffington Post révèle que l’ancienne eurodéputée FN Sophie Montel — partie avec Florian Philippot chez les Patriotes — prépare un livre sur sa “désillusion” au Front dont la sortie est prévue « avant les élections européennes » de 2019. Et là, ça risque de balancer… « Les révélations de l’eurodéputée intéresseront de très près les autorités judiciaires », lit-on sur le site du Huffington Post. Rappelons que neuf membres du parti ont été mis en examen pour « abus de confiance » et/ ou « complicité d’abus de confiance » dans l’affaire du financement des permanents du parti avec des fonds publics de l’Union européenne. « A chaque session, on passait 10 minutes sur les sujets politiques, le reste sur la distribution des avantages », explique aujourd’hui Sophie Montel qui semble vouloir tout dire. Bref, la situation est hautement périlleuse pour Marine Le Pen. Le changement du nom du parti — qui devrait être effectif fin mai-début juin si les adhérents votent en majorité pour le nom de Rassemblement national — et l’éviction de son fondateur de la présidence d’honneur n’y changeront rigoureusement rien…

Robert SPIELER.

 

Source : medias-presse.info