Ecrit parLéo Kersauzie
La fastueuse cérémonie d’investiture de Vladimir Poutine, reconduit à la présidence de la Russie.
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018
Par Francois le 07/05/2018
Le Think tank espagnol, Real Instituto Elcano, qui dit «analyser le monde d’un point de vue espagnol et européen», a étudié la provenance de terroristes qui sont passés à l’acte entre 2013 et 2017 en Espagne. Elle livre également quelques chiffres sur ce qu’en pensent les Marocains.
Au cours de ces cinq dernières années en Espagne, 233 djihadistes ont été arrêtés et huit autres abattus. L’étude qui se contente d’analyser la nationalité ou les origines de ces terroristes, affirme ainsi que «près de la moitié des djihadistes arrêtés ou tués en Espagne entre 2013 et 2017 sont de nationalité marocaine». Plus précisément, ils sont de 46%.
Ceux de nationalité espagnole sont près de 37,9%, tandis que le reste est constitué de 19 autres nationalités. Cependant, un autre point évoqué dans cette étude est la naturalisation. Dans ce sens, 53% de l’ensemble des djihadiste sont nés au Maroc et 29,5% en Espagne.
Sur cette base, l’étude souligne qu’actuellement, le djihadisme en Espagne «est principalement le fait de personnes de nationalité marocaine ou de parents Marocains, ce qui implique qu’un problème existant au Maroc est projeté sur notre pays (Espagne)».
L’étonnante affirmation qu’avance le document est que la société marocaine légitimerait même le djihad :
«Le Maroc est aussi un pays où existe une culture populaire avec certains contenus religieux, comme ceux qui se réfèrent à l’‘Islam Morabito’, à travers lequel sont vénérés des guerriers sacrés et légendaires dans les mausolées. Cette glorification aurait permis à des tranches de la population, les jeunes en particulier, d’être réceptifs aux interprétations islamistes et aux combattants de la notion de djihad ou de la pratique du martyre.»
Par ailleurs, le Think tank rapporte qu’après les attentats du 11 septembre 2001, «un degré d’approbation sociale pertinent, mesuré en termes de soutien aux actes de terroristes kamikazes, en défense de l’Islam» a été relevé par un sondage de Pew Global Attitudes Survey.
Ce sondage daté de 2004 précise que 40% des Marocains de plus de 18 ans «ont exprimé leur soutien à l’exécution, dans leur propre pays, d’attentats suicides pour la défense de l’Islam». (…)
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Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018
Par Francois le 07/05/2018
«J’aimerais avoir une Kalach pour tuer tous les mécréants !» Cette phrase, un détenu de 38 ans en semi-liberté l’a lâché devant ses codétenus, le 17 octobre dernier, à Montgiscard lors d’un chantier extérieur. Une menace également entendue par les agents de l’administration pénitentiaire. Alerté, le parquet a ouvert une enquête qui a abouti vendredi devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Le détenu était poursuivi pour «apologie du terrorisme». (…)
Pourtant certains codétenus qui se trouvaient avec lui lors de l’incident l’ont entendu, lors d’un chantier sur les berges du Canal du Midi, affirmer : «Daesh a eu raison de tout faire péter en France». Inquiétant. (…)
Après délibéré, le prévenu a été condamné à 4 mois de prison ferme, avec un maintien en détention. A la lecture du jugement, le prévenu a explosé. «Procureur de merde !», hurle-t-il devant le tribunal, tentant de passer par-dessus la vitre du box des prévenus. Il a alors été maîtrisé non sans mal par quatre policiers. Une grosse colère qui pourrait entraîner de nouvelles poursuites
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Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018
par Constance Prazel
Depuis jeudi, Emmanuel Macron est en Nouvelle-Calédonie, à tout juste 6 mois du référendum prévu pour l’indépendance, et trente ans exactement après les « événements » d’Ouvéa, c’est-à-dire la prise d’otages d’une gendarmerie par des indépendantistes kanaks. Quatre gendarmes avaient péri au moment de l’attaque de la gendarmerie. L’assaut s’était soldé par 19 morts du côté des ravisseurs ; deux militaires y avaient trouvé la mort, le 5 mai 1988.
Voilà qui motive les indépendantistes à parler d’une véritable « provocation » dans la visite d’Emmanuel Macron. Combien sont-ils ? Une poignée. N’en déplaise à certains, ils sont nombreux, les kanaks loyalistes, et parfois depuis plusieurs générations.
Le 5 mai 1998, c’est cette fois sous le gouvernement de Lionel Jospin qu’avaient été signés les « Accords de Nouméa », prévoyant un transfert de compétences généralisé à la Nouvelle-Calédonie, et prévoyant l’organisation de consultations populaires sur l’auto-détermination des îles calédoniennes. Emmanuel Macron poursuit une politique inaugurée par les Accords de Nouméa. La question qui sera posée le 4 novembre prochain est sans ambiguïté : « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ? »
Même si la plupart des observateurs s’accordent sur le fait que le « non » l’emporterait à une très large majorité, le signal envoyé est puissant. Certains organes de presse n’hésitent même pas à brandir le mot de « décolonisation », avec une irresponsabilité certaine, comme La Dépêche, qui parle des « étapes de la décolonisation ». Le terme est même repris par le site de l’ONU. Ce n’est pas un hasard : depuis l’Afrique du Nord, on sait que l’ONU aime se mêler de nos territoires outre-mer, et on fait de la Nouvelle-Calédonie une affaire de principe. Il faut prouver au monde qu’on peut faire une « décolonisation réussie ». En attendant, la Nouvelle-Calédonie dépend encore pour 30 % de ces recettes publiques de la métropole, ce qui relativise sérieusement l’idée d’une indépendance, ce que les Calédoniens savent très bien. Et devant l’explosion de la délinquance, ils attendent aussi beaucoup d’un Etat fort, à tel point que Nouméa a été choisi comme territoire test pour la police de sécurité du quotidien, promesse de campagne du candidat Macron.
Le Président se montre plutôt favorable, bien qu’avec discrétion, au maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la communauté française. Et pour cause : outre l’enjeu bien connu du nickel, c’est aussi la question d’une zone économique exclusive de 1 740 000 km² qui disparaîtrait dans le Pacifique avec l’indépendance.
Mais plus fondamentalement, ce qui frappe aujourd’hui, c’est la difficulté des gouvernants à envisager un discours d’avenir et une vision pour ces terres françaises lointaines. En cas de statu quo à l’issue du vote de novembre, deux autres référendums sont prévus. On connaît la méthode : faire revoter les citoyens jusqu’à obtenir le résultat attendu ? La presse de gauche, pourtant grande prêtresse du vivre-ensemble, peut être prompte, sur de tels dossiers, à monter les communautés les unes contre les autres.
Il faut donc se rappeler ce qu’est la Nouvelle-Calédonie : une terre découverte par le britannique James Cook, qui lui donna son nom en y voyant une réminiscence, aux Antipodes, des paysages écossais. Mais surtout, une terre convertie par la France, et la foi des missionnaires maristes, qui ont donné naissance à une communauté catholique qui rassemble aujourd’hui plus de la moitié des habitants, qu’ils soient blancs ou kanaks. La jungle calédonienne porte encore la trace de leur passage et de leurs frêles constructions : églises, écoles et dispensaires. C’est cet héritage commun et méconnu qu’il faut aujourd’hui préserver.
> Constance Prazel est la déléguée générale de la Fondation de Service politique.
Source : ndf
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Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018
La fastueuse cérémonie d’investiture de Vladimir Poutine, reconduit à la présidence de la Russie.
Source : medias-presse.info
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : investiture, poutine | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2018
Rédigé par notre équipe le 07 mai 2018.
Bien heureux comme un président français hors de France. Après son voyage aux Etats-Unis qui a laissé songeur plus d’un observateur averti, Macron a passé une semaine en Océanie où il notamment assuré travailler à un rapprochement « stratégique » avec l’Australie. Ces vacances auraient dû lui redonner un peu d’allant à son retour à Paris, mais les casseurs du 1er mai et les difficultés présidentielles avec la langue de Shakespeare ont annihilé ce plan de comm’ bien travaillé.
La magie de l’étranger n’opère plus avec autant d’efficacité qu’autrefois. Tous les présidents l’ont compris, l’Elysée est une cage dorée contre laquelle tous les mécontents viennent taper. Et avec les politiques qui se suivent et se ressemblent étrangement depuis 40 ans, les mécontents sont nombreux et de plus en plus énervés. La solution est simple, on prend un avion à 20 000 euros de l’heure (pas encore d’Air Force One car Macron n’a pas réussi à imposer son rêve d’imitation béat des Etats-Unis) et on part tourner de belles images dans des contrées exotiques.
Du vide oui, mais de dimension internationale !
Cette fois-ci, c’est l’Australie qui a eu l’honneur d’accueillir un président français désireux de fuir le spectre des grèves et du mécontentement. Une arrivée qui pourrait paraître précipitée tant la hotte du père Macron était bien vide. Il aura fallu ramer et montrer que la France et son économie vont bien en signant des contrats dans le domaine de l’armement. La gentille France qui veut la paix partout dans le monde ne dit jamais non à un contrat à la finalité létale.
Contrats signés, chèques espérés, mais c’est un peu court pour faire de ce long déplacement un succès. Alors, Macron joue au stratège et explique doctement que l’axe Paris-Delhi-Canberra est essentiel pour contrecarrer l’hégémonie d’une puissance bien connue dans la région. Macron aurait-il enfin décidé d’arrêter de jouer au valet de Trump ? Que nenni, le président français vise la Chine et non pas les Etats-Unis. Une pique que n’a pas apprécié Pékin et qui l’a fait savoir d’emblée.
Les Chinois n’ont pas peur de dire ce qu’ils pensent contrairement à un Macron qui n’ose critiquer son nouveau meilleur ami : Donald Trump. Ce dernier a pris le temps de mimer les exécutions perpétrées par les terroristes au Bataclan. Un mauvais sketch fait devant une NRA attaquée par certains citoyens américains traumatisés les dernières tueries aux Etats-Unis. L’exemple du Bataclan avait déjà servi au président américain sans que son ami Macron lui dise de le laisser de côté pour régler les problèmes inhérents aux Etats-Unis. La lâcheté de Macron se répète grossièrement puisque (peut-être coupé du monde en Océanie), il est le seul responsable politique français à ne pas avoir réagi.
Macron est bien sous la coupe de Trump et non pas l’inverse. Lors de son voyage à Washington qui n’a débouché sur rien, les équipes de Macron ont tout fait pour distiller dans les médias, l’idée que le président américain est friand des conseils de son homologue français. Emmanuel serait le bon génie de Donald en lui soufflant quelques idées sur le plan international. Est-ce Macron qui a soufflé l’idée de bombardement en Syrie ? La stratégie est simple du côté de l’Elysée. Si Trump prend une décision jugée positive alors c’est la voie macronienne qui a été entendue. Si une décision est jugée désastreuse alors le silence radio se fait. La témérité présidentielle est bien faible.
Le temps du retour à Paris est venu. Il va falloir se pencher sur les cheminots, les grévistes d’Air France, les retraités, les chômeurs, les pauvres, les étudiants, les classes moyennes en voie de disparition… En un mot il va falloir s’occuper des Français ! Dure tâche qui va appeler de nouveaux voyages un peu partout à l’étranger pour ne pas se salir les mains. Comme dirait l’un des députés de la majorité, Macron a été élu pour faire ce qu’il veut et non pas pour s’emmerder avec un pays de ploucs. Quand même !
Source : 24heuresactu
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : esquive, macron, valet de trump | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |