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mardi, 15 mai 2018

Toulouse (31) : une bande de « jeunes » de 17 à 22 ans semait la terreur dans le métro, deux femmes ont été agressées sexuellement et tabassées

Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2018

Par  le 14/05/2018

 

Quatre jeunes de 17 à 22 ans ont été interpellés pour attouchements sexuels, violences et vol dans le métro toulousain dans la nuit de vendredi à samedi.

Leur première victime est une jeune femme, croisée dans une rame en direction de Ramonville. L’un des garçons s’en est pris à elle et a tenté des attouchements sexuels. La jeune fille s’est défendue. Mais avec ses copains, il a continué à s’en prendre à elle, ainsi qu’à une autre usagère.

Face à leur refus de se laisser faire, les malfrats leur ont donné des gifles mais aussi des coups de poing. Elles ont fini pas réussir à s’échapper et les agents de la sécurité de Tisséo se sont interposés en attendant l’arrivée de la brigade anticriminalité.

La réactivité des agents Tisséo et de la BAC a permis l’interpellation, peu après 3 heures du matin, à la station de métro de Ramonville-Saint-Agne, des quatre suspects, des garçons âgés de 17 ans, 20 ans et 22 ans dont trois sont déjà très défavorablement connus des services de police. (La Dépêche)

 

20minutes via fdesouche

Pleurniche africaine : « Ismaïl Bokar Deh est mort du seul fait de sa condition d’homme noir et sans-papiers »

Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2018

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Lorsqu’un vendeur de camelote est tué en tentant d’échapper à la police, ça pleurniche, mais jamais de remerciement aux Français pour l’accueil, les allocations et aides diverses, le système de santé gratuit, le logement à prix diminué, l’école gratuite, le minimum vieillesse etc…

Ismaïl Bokar Deh, vendeur d’articles de souvenirs devant le château de Versailles, est décédé le 30 avril percuté par un fourgon de police alors qu’il tentait de fuir un contrôle d’identité. Collectifs et associations d’aide aux sans-papiers ont manifesté, vendredi 11 mai, pour exprimer leur désarroi et réclamer justice pour le Sénégalais de 58 ans arrivé en France en 2001, époux et père de huit enfants.

Le cortège prend la direction du ministère de l’Intérieur, en métro, mais n’a pas pu atteindre la place Beauvau en raison d’un important dispositif policier quadrillant le secteur. C’est devant la paroisse Saint Philippe du Roule, dans le 8ème arrondissement parisien, que les manifestants s’arrêtent. Une minute de silence est d’abord observée à la mémoire d’Ismaïl Bokar Deh. S’ensuivent des cris de colère de plusieurs manifestants réclamant la démission du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, qu’ils prennent pour responsable de l’acharnement à l’égard des sans-papiers. « Ismaïl Bokar Deh est mort du seul fait de sa condition d’homme noir et sans-papiers. Rien que cela l’exposait plus que quiconque aux contrôles et aux violences policières, vous vous rendez compte ? s’indigne Denis, membre de l’association « Zone de solidarité populaire » dans le 18ème arrondissement. Il faut en finir avec ces politiques brutales dont est victime une grande partie de la population aussi bien les sans-papiers que des jeunes de banlieue ou des étudiants dans les facs. Il ne faut pas attendre qu’il y ait des drames pour agir ».

 

Source : bondyblog via contre-info

Le Maroc va envoyer 146 enseignants de langue arabe en France

Publié par Guy Jovelin le 15 mai 2018

contre-info

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146 enseignants de langue arabe vont être envoyés en France, 26 en Espagne et 16 en Belgique, rapporte l’Agence marocaine de Presse (MAP).

L’objectif de cet enseignement est de structurer la langue parlée dans le milieu familial, favoriser l’épanouissement personnel des jeunes issus d’autres cultures, et valoriser la diversification des langues à l’école, indique le ministère français de l’Education nationale.

En général, ils sont dispensés à partir de la classe de CE1 à raison de 1h30 à 3 heures par semaine, juste après les classes ou très rarement le samedi.

bladi via FDS

lundi, 14 mai 2018

Chartres (28) : elle épouse un migrant clandestin, un mois après le mariage il la tabasse déjà

Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2018

Par  le 14/05/2018

 

Moins d’un mois après la cérémonie, il frappe son épouse. « Une conception moyenâgeuse du couple », résume le procureur.

« J’étais très en colère », se défend le Chartrain de 42 ans, dans le box des comparutions immédiates du tribunal de Chartres : « Elle était partie pendant quatre jours. Et elle m’a menti ».

Mais il nie avoir frappé la femme qu’il a épousée un peu moins d’un mois auparavant : « Elle marque facilement. Elle a dû tomber toute seule ».

Pourtant, le soir du 6 mai, elle appelle au secours depuis sont balcon. Les voisins téléphonent à la police. À leur arrivée, l’homme leur ouvre la porte : « Tout va bien. Ne vous inquiétez pas ».

« Dans ces conditions, pourquoi l’avez-vous épousée ? », interroge le juge. La réponse se trouve peut-être dans la situation administrative du prévenu. Il est arrivé en France en 2014 et il est en situation irrégulière. Il vivote de petits boulots au noir.  (…)

« Il a déjà été violent avec elle en 2016 », révèle le procureur : « Mais aucune poursuite n’avait été engagée ». Le magistrat stigmatise « une vision moyenâgeuse du couple ».

L’homme est condamné à huit mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, avec l’obligation de soigner sa dépendance alcoolique. Il ne doit plus rentrer en contact avec son épouse.

 

Benoît de Valicourt : « Abattre un homme avec un couteau sous prétexte qu’il est terroriste est une atteinte aux droits de l’homme et à notre démocratie »

Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2018

Par  le 13/05/2018