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mardi, 10 juillet 2018

Un transgenre représente l’Espagne au concours Miss Univers

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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L’idéologie du genre est promue par les instances mondialistes. C’est donc un transgenre qui se fait appeler Angela Ponce, 26 ans, qui représentera l’Espagne au concours de Miss Univers. Vendredi 29 juin dernier, ce transgenre avait remporté l’écharpe de Miss Espagne !

C’est en 2014 que cet individu débute une longue série d’opérations pour se donner l’apparence physique d’une femme. En 2015, il se présente une première fois à l’élection de Miss Espagne, sans succès.

Mais la propagande LGBT s’impose à la façon d’un rouleau compresseur et le transgenre est devenu Miss Espagne trois ans plus tard.
Quant au concours de Miss Univers, il est ouvert aux transgenres depuis six ans, mais c’est la première fois qu’un transgenre y participera.
 
Source : medias-presse.info

Un discours qui ne peut pas nous convaincre

Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2018

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 Jean-Gilles Malliarakis

Le régime hybride dans lequel nous vivons se compose d'éléments concrets de plus en plus présidentiels et de fictions parlementaires évanescentes. Un tel mélange instable produit d'année en année des révisions constitutionnelles à répétition. D'intérêt inégal, toutes tendent à démontrer, 60 ans après sa fondation, la fragilité d'institutions qu'on présente pour inébranlables. À titre de comparaison rappelons au besoin que la Troisième république (1873-1940) a vécu 67 ans, et l'Union soviétique (1922-1991) 69 ans.

Le Congrès s'est réuni 16 fois depuis 1958 pour adopter une réforme constitutionnelle. Il s'agit, avec le référendum, d'une des voies possibles de révision, prévue par l'article 89.

Mais depuis la présidence Sarkozy s'est instituée en 2008 une disposition additionnelle. À l'évidence elle s'inspire de la constitution des Etats-Unis, où une fois par an le chef de l'exécutif fédéral prononce un discours sur l'état de l'Union.

À la suite des attentats de 2015, les groupes parlementaires ont disposé d'un temps de réponse. Or, cette disposition, ne permet au chef de l'État, qu'un petit monologue. Cet espace d'expression personnelle, fort coûteuse, semble désormais insuffisant à son actuel bénéficiaire.

Face au Congrès des deux chambres réunies en une seule, ce 9 juillet à Versailles, il s’est plu à annoncer une évolution. Un an près la première édition de son exercice, car il regrette déjà de s'en tenir à cette improbable humilité, qu'il affirme sans conviction. Campant résolument dans le rôle de Jupiter, il désire désormais que cela ressemble à un dialogue avec la représentation nationale.

Sur le fond, ce discours de Macron devant les parlementaires pieusement réunis en Congrès laisse perplexe. Il lui a peut-être valu des ralliements. On ne peut pas affirmer qu'ils n'existent pas. Negatio non probatur, on ne démontre pas une négation dit la pensée scolastique. C'est donc la discrétion de ces mystérieux ralliés mérite le respect, car au moment où ces lignes sont écrites je n'en perçois aucun signe.

Pour résumer son propos, celui qui devrait se comporter comme le président de tous les Français, s'est ingénié à Versailles à tenir surtout une communication gaucho-compatible. On dirait qu'il cherche toujours à présenter une sorte de réponse modérée aux grognements de la France insoumise, son opposition préférée. Il ne cherche à répondre qu'aux seules aspirations considérées comme légitimes entre héritiers du jacobinisme.

Les collectivités locales, ce qu'on appelle les territoires, comme toujours, n'ont qu'à obéir. Le pouvoir central décide seul, à peine écoute-t-il.

La contradiction la plus frappante se développe donc entre les cibles possibles du ralliement, qui se situent, grosso modo, au centre droit et celles que visaient les contorsions du discours. Celui-ci était conçu en direction de l'orphelinat socialiste. C'est à gauche qu'il cherche à séduire, c'est à gauche qu'il cherche à convaincre, c'est la critique de gauche qu'il cherche à désamorcer.

Selon lui, l'État Providence, n'est pas à liquider, il est à reconstruire en vue du XXIe siècle.

Selon lui, le rééquilibrage des finances publiques s'opère avec succès par un "ralentissement de la hausse continue des dépenses".

Selon lui, la retraite par répartition doit demeurer la pierre angulaire du système. On s'apprête même à la renforcer au détriment des professions indépendantes ou des créateurs d’entreprises, qu'on prétend protéger : on va les spolier encore plus par des cotisations de plus en plus lourdes finançant des pensions de plus en plus décourageantes et de plus en plus incertaines.

Selon lui, beaucoup plus grave encore pour l’avenir, "la république n’a aucune raison d’être en difficulté avec l’islam". Tels sont les mots employés.

Mais alors, Monsieur le président, qui parlez comme si vous étiez aussi le Premier ministre, pourquoi tout ce développement pour nous expliquer ce que vous allez entreprendre pour réglementer cet ensemble disparate de prédications rivales, auxquelles, manifestement, ni vous, Monsieur le Président, ni aucun de vos condisciples, technocrates comme vous, ne connaissent rien ou pas grand-chose.

Non ce long discours ne peut pas nous convaincre.

Source L'Insolent cliquez ici

lundi, 09 juillet 2018

Agressions de policiers à répétition : « L’inquiétude est prégnante chez les enfants de policiers »

Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2018

Par  le 08/07/2018 

 

Alors que vient de sortir un rapport de la Commission d’enquête du Sénat sur la police, un jeune a été tué lors d’un contrôle à Breil (Nantes), le 3 juillet dernier. Deux jours plus tard, un couple de policiers a été agressé à Othis (Seine-et-Marne) , en dehors de son service. Autant de faits qui interrogent sur une profession en plein burn-out.

Jean-Marie Godard, journaliste indépendant et auteur de «Paroles de flics» chez Fayard, auditionné par la Commission d’enquête du Sénat en amont de la publication du rapport, décrypte pour La Vie ces deux derniers événements.

Un couple de policiers a été agressé en Seine-et-Marne devant leur enfant de trois ans. Cet événement peut-il renforcer les inquiétudes des policiers sur la sécurité de leur famille ?

Beaucoup d’entre eux ont intégré le risque de mourir dans l’exercice de leur fonction. Mais réaliser que des personnes pourraient s’en prendre à des membres de leur famille est une éventualité très difficile à gérer. Cela leur demande d’être constamment sur le qui-vive. Je pense notamment à ce policier qui a mis récemment en place un «code secret» pour communiquer avec ses enfants et sa femme en cas de rencontre dans un centre commercial ou dans la rue d’une personne interpellée ces derniers mois. J’ai rencontré également plusieurs policiers qui, pour protéger leurs enfants, leur ont demandé de taire la profession de leur parent à l’école et ce, dès la maternelle et l’élémentaire. Enfin, beaucoup gardent 24h/24h avec eux leur arme de service. Une façon pour eux de protéger leur vie ou celle de leur famille si une attaque devait brutalement survenir.

En passant du temps dans les familles de policiers, j’ai mesuré à quel point l’inquiétude est prégnante chez les enfants, notamment le matin, quand les parents partent au travail.

L’onde de choc de l’attentat du couple de Magnanville, en juin 2016, est donc toujours vive …

(…) Même si l’agression des policiers de Seine-et-Marne de la nuit dernière, le 5 juillet, ne se situe pas sur un registre terroriste – l’auteur est un dealer, elle ravive les peurs : Le couple a été attaqué en dehors de son service et face à son enfant. Ajoutons que ce type d’agressions semble se répéter. Pas plus tard que la nuit du 30 juin dernier, dans l’Ain, un policier des frontières a été tabassé chez lui, dans son jardin, par six jeunes qui avaient reconnu qu’il était flic.

Othis, en Seine-et-Marne et le Breil à Nantes sont toutes deux des banlieues. Or, selon le rapport de la Commission d’enquête du Sénat, c’est en banlieue que les policiers sont le plus en difficulté…

Il faut savoir que 90% des policiers qui sortent d’école sont envoyés en banlieue pour leur première mission. Or, beaucoup ne sont pas préparés à un tel choc et craquent face à cette première confrontation. (…)

 

La Vie via fdesouche

Squat des piscines privées, le nouveau jeu des « jeunes » toulousains

Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2018

   
 
piscines privées
Il fait beau sur Toulouse. Il fait chaud… les températures sont caniculaires. Il faut se rafraîchir. Et rien de plus idéal qu’une bonne trempette. Problème, à Toulouse, la mer est à 150 kilomètres et dans la Garonne comme le canal du Midi… c’est interdit ! Alors certains jeunes se rabattent sur le squat des piscines privées.

C’est pour ces multiples raisons que l’on assiste depuis plusieurs semaines à un phénomène devenu maintenant récurrent dans la ville rose : l’occupation illicite des piscines privées ou résidentielles.

Des « jeunes » issus de la banlieue toulousaine, pour qui le squat de piscines privées est devenu la nouvelle attraction à la mode, n’hésitent plus à s’approprier ces lieux privées, quitte à déclencher des rixes avec les propriétaires.

Lire aussi : Dans certains quartiers, tuer du « flic » n’est plus un tabou

À l’été dernier, plusieurs de ces délinquants, après avoir été sommés de quitter une  piscine de résidence, sont revenus avec plusieurs de leurs amis pour en découdre. Ils ont successivement frappé deux mères de famille devant leurs enfants et ont donné des coups de poing à deux hommes qui cherchaient à protéger ces femmes. Un des locataires a tenté de faire fuir les occupants en leur donnant des coups de ceinturon. En représailles, la bande de jeunes l’a frappé de plusieurs coups de pied, de poing et avec le ceinturon qu’ils sont parvenus à lui arracher.

« Début juillet, un homme a eu le nez cassé  après avoir tenté de faire fuir une autre bande qui squattait la piscine de sa résidence, à côté de Toulouse. »

À Toulouse, nombre de jeunes n’hésitent pas à escalader les clôtures des propriétés ou résidences privées pour aller couler quelques brasses dans les eaux claires de leurs voisins. Certains vont même jusqu’à s’inviter au bord de l’eau en présence des propriétaires, qui, intimidés, restent pétrifiés.

« Les services de police de la ville comptent actuellement plus d’une centaine d’appels téléphoniques par semaine de résidents Excédés demandant à la police de venir faire déguerpir les intrus. »

Cette nouvelle forme de délinquance prend de plus en plus d’ampleur chaque année, la police ne pouvant intervenir faute de personnels sur chaque incident, les obligeant à prioriser les cas de violences, eux aussi de plus en plus fréquents. 

 

Source : infos-toulouse

Qu’emporte avec lui l’immigré clandestin ? Des préservatifs…

Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

immigrés clandestins,préservatifs

Tom Kiefer, ancien employé des douanes américaines, s’est lancé dans un projet artistique qu’il a appelé « El Sueño Americano » (« Le rêve américain ») et qui consiste à photographier les objets que transportent les immigrés clandestins lors de leurs tentatives de traverser illégalement la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis.

Lorsque ces immigrés clandestins sont arrêtés par les agents des douanes, ils sont fouillés et la plupart des objets qu’ils transportent sont jetés dans des poubelles par les douaniers. Tom Kiefer a donc photographié le contenu de ces poubelles.

On y trouve du savon, des vêtements, du dentifrice, des brosses et peignes. Et beaucoup de préservatifs…