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vendredi, 06 juillet 2018

Revue de presse : ET EMMANUEL MACRON DANSA AU NIGERIA

Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2018

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Jean-Charles Mignard Boulevard Voltaire cliquez ici

En promenade au Nigeria, Macron a célébré la « créativité africaine » en s’exhibant sur la piste d’une boîte de nuit de Lagos au son des tambours, comme aurait dit Rose Laurens. Sans grâce ni rythme, il bouge vaguement et tape des mains. Bof ! C’est moins branché que la désormais célébrissime fête de la Musique à l’Elysée, mais tout aussi déplacé et ridicule. Et surtout plus immature encore.

Imagine-t-on un autre président de la République française – même Hollande, même Sarkozy – dans de tels dévoiements de la fonction présidentielle ? Le scooter de Hollande était involontaire. La teuf africaine de Macron, elle, se veut, avec la suffisance habituelle de son auteur, un acte de communication doté d’une signification profonde.

En fait, ce comportement révèle un manque de maturité étonnant et un goût prononcé de l’exhibition personnelle. L’impression de malaise devant un comportement si marqué par l’adolescence incite à la réflexion. À quel Président les Français ont-ils confié leur destin ? À quelle personnalité ? Et dire que certains croyaient que Macron incarnerait avec sérieux et dignité le renouveau de la fonction présidentielle !

Mais si, voyons, l’autorité est bien au rendez-vous. L’autorité ? Non, l’autoritarisme !

Autoritarisme. Le « Je suis votre chef » rappelé maladroitement aux militaires, comme si ces hommes et femmes capables du sacrifice suprême avaient besoin de cette inutile et obscène piqûre de rappel. Un vrai chef n’a nul besoin de préciser qu’il est le chef. Hélas, sa scolarité à l’ENA n’a pas appris au jeune Macron cette évidence humaine.

Autoritarisme quand on met à pied, au mépris de toutes les règles, un ambassadeur respecté et efficace, coupable de dire ce qu’il pense d’un gouvernement brillamment réélu. Ah, mais le gouvernement hongrois de Viktor Orbán fait partie de ce que l’on qualifie hypocritement de « vent mauvais ». Éric Fournier, ambassadeur de France, a juste commis un délit d’opinion, si curieusement révélé par Mediapart.

Toutefois, mettons au défi Macron d’être aussi brillamment réélu qu’Orbán dans quatre ans. Et mettons-le au défi de se remettre en cause à mi-mandat, comme l’a annoncé le nouveau président mexicain Andrés Manuel López Obrador.

Ces défis-là ne seront jamais relevés. Car les autoritaristes sont des faibles ; seule leur inconscience les protège de leur propre ridicule.

 

Source : synthesenationale

Carl Lang s'adresse aux Nantais "qui ne comprennent pas ce qui se passe" :

Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2018

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Carl Lang,

Président du Parti de la France

Après une nouvelle nuit d'émeutes et d'incendies dans leur ville, on voit défiler sur les médias des Nantais qui déclarent ne pas comprendre toute cette violence. En regardant un peu mieux à quoi ressemblent les casseurs, cela devrait les aider à comprendre...

jeudi, 05 juillet 2018

Genderofolie en Grande-Bretagne : les jupes interdites à l’école

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018 

La dernière folie de « genre » vient de Grande-Bretagne : les jupes ont été interdites dans une quarantaine d’écoles pour imposer un habillement sans distinction de sexe entre hommes et femmes.

Les Anglais donnent à fond dans le politiquement correct et l’idéologie de genre. Ainsi des lycées en signe d’un respect pas très bien défini pour les gay, lesbiennes, transsexuels et transgenre, n’autoriseront plus le port de la jupe pour les étudiantes mais aussi… les étudiants puisque certains de ceux-ci, en signe de non-genre, s’habillent en femme !

L’uniforme devra être « gender free » : ce sera donc le pantalon et la chemise pour tous, vêtements genré masculins par excellence !

Le monde arc-en-ciel et la pensée unique dans toutes leurs contradictions…

Francesca de Villasmundo

 

Source : hmedias-presse.info

Le 5 juillet 1962, à #Oran, la chasse à l’Européen fait plus de 2000 morts et des centaines de disparus !

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

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Evaluation des ministres : la com’ date un peu

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 04 juillet 2018. 

Edouard Philippe va devoir évaluer ses ministres...

C’est la fin de l’année scolaire et c’est aussi le temps pour les ministres d’être évalués par le premier d’entre eux. Matignon communique à fond depuis plusieurs jours sur ce sujet et deux ministres sont déjà passés sous les fourches caudines d’Edouard Philippe. L’idée présentée comme révolutionnaire n’en est pas une et les conséquences de ces évaluations devraient être extrêmement limitées. C’est ce qu’on appelle un coup de com’ un peu trop réchauffé.  

Jean-Michel Blanquer, hier, et Bruno Le Maire aujourd’hui ont déjà passé leur entretien individuel avec Edouard Philippe. En mai dernier, le Premier ministre expliquait qu’il était important de « faire le bilan de l’avancement de la feuille de route, vérifier ce qui a été engagé, étudier la suite ». Avec les deux premiers à passer l’examen, il n’y a aucun problème (Matignon se fait fort de ne rien laisser fuiter pour le moment). Blanquer est l’un des trop rares ministres qui tentent de redresser les catastrophes érigées en modèles par ses prédécesseurs tandis que Le Maire possède un totem d’immunité politique. 

Une évaluation de la com’ ?

Le ministre de l’Economie est une bonne prise à droite et son évaluation est vite fait puisqu’il exécute ce que lui dit l’Elysée et son administration. Le ministre n’a plus qu’à potasser ses dossiers pour donner l’impression qu’il sait où il va. Habitué aux projecteurs, le vote de la loi Pacte à l’automne prochain ne lui fait pas peur même si ce que contient ce texte devrait en effrayer plus d’un. Demain, ce sera au tour de Nicolas Hulot d’avoir son tête-à-tête avec Edouard Philippe. Vu le bilan du ministre de l’Ecologie, ses atermoiements et ses déclarations contradictoires, l’examen devrait déboucher sur une mise en garde (au mieux).

Pas de sanction pour le ministre qui a du mal avec nombre de décisions prises par le Gouvernement auquel il appartient ? Hulot est trop précieux pour être sanctionné publiquement. Le jour où il quittera ses fonctions, ce sera son choix et non pas celui d’un Edouard Philippe qui existe juste pour faire le piston entre le cœur de la macronie et la droite. Les trois premiers entretiens sont un bon résumé des conséquences qui seront tirées par le Premier ministre : aucune !

Les ministres les plus mauvais ne seront pas virés, et ceux qui sont considérés comme bons resteront. Mais à la fin du mois de juillet, on dira que tous les problèmes ont été mis sur la table et un séminaire gouvernemental de rentrée donnera le sentiment que cet exécutif est décidément un bourreau de travail. Macron promettait le renouveau, les Français ont du réchauffé. L’évaluation des ministres avait alimenté les médias en 2008 sous Sarkozy et les mêmes phrases sont ressorties en 2018 pour nous vanter l’audace et l’inventivité de la chose…

Si même la macronie n’arrive plus à innover en termes de communication, que lui reste-t-il ? Les quatre prochaines années à combler le vide vont être éreintantes. Pas sûr que tous les ministres puissent faire preuve d’assez d’inventivité pour berner leur monde et contribuer à une réélection facile d’Emmanuel Macron.

 

Source : 24heuresactu