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lundi, 23 juillet 2018

SCANDALE D’ÉTAT : DE QUOI BENALLA EST-IL LE NOM ?

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018

Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité au grand dam des vrais professionnels. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.


Scandale d’État :  De quoi Benalla est-il le nom ?
En soixante ans d'existence la Ve République nous a habitués à ces « chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-file officiels, pour tous de l'impunité d’État.
Benalla n'est même pas une barbouze comme on a pu le lire ici ou là. Tout juste un ex-gros bras socialo mué en porte-flingue (à 10 000 euros par mois, appartement de fonction, voiture à deux tons et gyrophare, permis de port d'arme, badge d'accès à l'hémicycle de l'Assemblée nationale, voie entrouverte vers la Préfectorale) du roitelet de régime bananier qui, depuis un an, s'est installé rue du Faubourg Saint Honoré.
Savoir, dans ces conditions ce que faisaient Benalla et son comparse en coups tordus Vincent Crasse le 1er mai place de la Contrescarpe dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui leur a fourni le brassard « police » qu'ils arboraient fièrement ce jour-là en tabassant un manifestant gauchiste – sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes –, importe finalement assez peu. Nous le devinons aisément. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la Commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en commission d'enquête. Nous en pressentons les conclusions.
Des sanctions seront prononcées par la Justice. Des têtes tomberont au sein de l’Élysée et de la haute administration policière. Des démissions « spontanées », peut être même au niveau ministériel seront présentées et acceptées. Des lampistes paieront. Des fusibles sauteront. Nos compatriotes, écœurés, approuveront tandis que le pouvoir et celui qui l'incarne au plus haut niveau trouveront les boucs émissaires nécessaires à leur survie en laissant dans l'ombre ce qui constitue l'essentiel de l'affaire : les étranges protections jupitériennes dont bénéficiait ce très curieux chargé de mission à la si étonnante proximité avec Emmanuel Macron qu'il tutoyait…
Et puis ?
Nous sommes, à l’évidence, en présence d'une affaire d’État qui, dans tout autre pays occidental, causerait la chute de l’Exécutif. Mais, de ces scandales, la République a une si grande habitude…
La vraie question est de savoir si le peuple de France veut reconduire et reconduire à l'infini ce régime de confiscation totalitaire de ses droits, de ses libertés et de son identité. Un régime, par delà les alternances trompe l'œil et de pure forme, fait de mépris clanique, de prébendes, de détournement partisan des affaires de l'État et de coups bas
La vraie question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront-ils à s'en remettre à ce Système dépravé.
La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront, par habitude, résignation et résilience, les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue. La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?
 
Jean-François Touzé
Membre du Bureau politique du PdF

Nouvel appel du pape François en faveur des migrants

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018 

Alors que l’Italie, pour décourager le trafic d’êtres humains entre l’Afrique et l’Europe, ferme ses ports aux bateaux humanitaristes chargés de clandestins, alors que le ministre de l’Intérieur allemand, Horst Seehofer, prescrit à son pays une politique immigrationniste plus ferme pour contrer les vagues sans fin d’immigrés, le pape François, dont la vision immigrophile ne varie pas d’un iota, est venu au secours de l’invasion.

Au cours de l’Angelus d’hier dimanche 22 juillet place Saint-Pierre, il a employé à nouveau des mots larmoyants et culpabilisants pour promouvoir en Europe l’impératif de l’accueil des ‘migrants’. Il a exprimé « sa douleur » pour les naufrages en mer, « sa prière » et « ses condoléances » pour les disparus et leurs familles : « J’exprime ma douleur face à de telles tragédies et j’assure les disparus et leurs familles de mon souvenir et de ma prière». Et il a appelé, encore une fois, la communauté internationale à « agir avec décision et promptitude afin d‘éviter que de semblables tragédies se répètent » et « à garantir la sécurité, le respect des droits et de la dignité de tous » :

« j’adresse un appel plein de tristesse afin que la communauté internationale agisse avec décision et promptitude, afin d’éviter que de telles tragédies se répètent, et afin de garantir la sécurité, le respect des droits et de la dignité de tous. »

Il a formulé cette ingérence dans la politique intérieure des pays européens, cet appel à l’ouverture sans limites des portes du Vieux Continent à toute la misère du monde qui s’invite, cette culpabilisation des Européens qui innocente à bon compte les dirigeants africains, devant un groupe de religieux et laïcs qui les jours derniers avaient participé à un jeûne relayé devant le parlement italien, organisé par le père Zanelli, pour protester contre la fermeture des ports italiens aux débarquements de clandestins.

Le pape François reste pour l’instant le meilleur allié des mondialistes et des cosmopolites, ces artisans d’un monde sans nations, sans peuples, sans identité, d’un monde de nomades matérialistes corvéables à merci…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Affaire Benalla-Macron : le pire est à venir !

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 22 juillet 2018.

Les semaines passent et apportent leurs lots de mauvaises surprises pour le pouvoir. Il y a encore sept jours, Macron pensait surfer tout l’été sur la victoire de l’équipe de France de football en Russie. Aujourd’hui, le président se terre et craint pour la première fois de sa vie les journalistes. Reclus à l’Elysée comme un vampire dans sa tanière une fois le jour venu, Macron veille à ce que la semaine qui s’ouvre ne soit pas celle qui jettera aux orties une macronie peu reluisante.  

Après avoir accaparé les joueurs de l’équipe de France au détriment des supporters, Emmanuel Macron est accaparé par les affaires. Les affaires au pluriel car depuis que la France a découvert le visage et le nom d’Alexandre Benalla, elle commence à apercevoir ce qu’est le macronisme. La question se posait encore pour les plus naïfs et ceux qui avaient déjà compris peuvent ajouter une nouvelle perle à ce collier bien laid.

L’incompétence reine de France

La France est habituée à être gouvernée par des individus qui ne se distinguent pas par leur compétence – bien au contraire. On savait aussi que Macron aimait s’entourer de personnes très médiocres pour avoir une chance de briller, mais ce à quoi on assiste depuis quelques jours dépasse l’entendement. Une cellule grise a été mise en place au cœur de l’Elysée pour veiller à la sécurité du chef de l’Etat. Depuis les débuts de la Ve République, les services de sécurité ont fait preuve de leur compétence. Sauf que Macron est unique et déteste tout ce qui n’a pas été créé par lui. Les gendarmes et les policiers sont donc priés de laisser la place à « la bande d’Alexandre ».

Une bande qui fait la loi à l’Elysée et partout ailleurs depuis un an sans que personne n’ose même l’évoquer. Les forces de l’ordre sont méprisées, les journalistes trop pleutres pour évoquer des méthodes insupportables dont ils ont été témoins et il aura fallu la diffusion d’images incroyables pour que la machine médiatico-judiciaire se mette en marche. Des images certainement balancées par des policiers qui en ont eu assez de ces cowboys sans foi ni loi. Pas tout à fait puisque leur foi et leurs lois se confondent et se tournent vers un seul Dieu : Macron.

Un Dieu qui a facilité l’ascension de ses prophètes comme en témoigne le grade de lieutenant-colonel de la réserve opérationnelle dont se gargarise Benalla. Un grade impensable pour un individu âgé de 26 ans et qui n’a prouvé aucune qualité pour obtenir une telle promotion. Mais en Macronie, être le copain du président est un sésame qui vaut toutes les qualités. Les amis se goinfrent et En Marche est à l’arrêt, stupéfait de s’être fait prendre la main dans le dac ou plutôt le poing dans la figure du citoyen.

Placé sous contrôle judiciaire, Benalla va chuter encore plus vite qu’il n’a brûlé les étapes. Un coup dur pour ce sous-diplômé qui émergeait il y a encore quelques jours à plus de 7 000 euros bruts par mois ! Pôle-Emploi va devoir régaler un drôle et coûteux coco qui prétendait refonder les services de sécurité et même les services secrets pour le compte de l’Elysée. Heureusement que ce gusse a été stoppé avant que les services secrets ne soient sous sa coupe !

Benalla aurait exprimé des regrets face au juge. Des regrets d’avoir bastonné des innocents ou des regrets d’avoir perdu tout ce qu’il avait obtenu malgré son absence totale de légitimité ? Il s’est dit dans la presse qu’en plus de ses curieuses attributions, Benalla était responsable de l’agenda privé du président. Un poste qui confirme l’impression que cet individu peu recommandable connaît de sombres histoires qui peuvent finir d’écrouler le donjon macronien. Un donjon en grand danger avec l’audition prochaine du ministre de l’Intérieur qui a montré par le passé qu’il n’était pas une assurance tous risques pour une macronie déjà aux abois. Le déballage ne fait que commencer !

 

Source : 24heuresactu

Incitation à la débauche : les infections sexuellement transmissibles explosent

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018

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Entre 2012 et 2016, les infections à Chlamydia et à gonocoque ont été multipliées par en 3 en métropole et en Outre mer. Les jeunes de 15 à 24 ans sont particulièrement touchés par cette recrudescence, d’après une enquête présentée par Santé Publique France. Pour l’année 2016, les laboratoires de biologie médicale ont diagnostiqué près de 268 000 cas d’infections à Chlamydia chez les plus de 15 ans, contre 77000 en 2012, et près de 50000 infections à gonocoque, contre 15000 en 2012. Ainsi, en seulement 4 ans, le nombre de ces IST a plus que triplé.

Autre information :

«La fréquence élevée des infections à gonocoque chez les hommes s’explique en partie par l’importance de l’infection observée chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH)».

Un précédent rapport de Santé publique France a montré qu’entre 2013 et 2015, le nombre de gonococcies a doublé chez les HSH.

Pour les spécialistes, ces résurgences reflètent... une utilisation insuffisante du préservatif. Aussi Santé Publique France lance une nouvelle campagne pour utiliser le préservatif. Bref, toujours plus d'incitation à la débauche, plutôt que d'encourager la continence... Et pourtant, il y a quelques jours, l'IGAS indiquait que se reposer entièrement sur le préservatif facilite la contamination par le virus du sida.

De son côté, l'association LGBT Aides en profite pour demander de l'argent public :

"On appelle Emmanuel Macron à être le premier de cordée pour financer la lutte".

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

Le 23 juillet 1951: mort du Maréchal Pétain

Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2018

Le 23 juillet 1951: mort du Maréchal Pétain, chef de l'Etat français, héros de Verdun et sauveur de la France. À l'instar de certains traitres à la Patrie, le Maréchal par son action en 1940 a permis à la France de garder son prestige et de préparer la reconquête. Sans lui, la France serait tombée sous le joug total du nazisme. En acceptant la Collaboration , il est entrée aussi en résistance. Emprisonné durant six ans, il meurt chrétiennement il y a 67 ans jour pour jour.

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