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jeudi, 05 juillet 2018

Seine Saint-Denis : la situation migratoire est catastrophique !

Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2018

Auteur : Pierrot

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Selon un rapport parlementaire (voir ici), les clandestins pèsent entre 8 % et 20 % de la population de la Seine Saint-Denis. Dans certaines villes, plus près de neufs enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré… La situation est catastrophique, mais selon les médias « mainstream », la substitution des Français par des populations allogènes est une théorie complotiste.

« Le département est un sas d’entrée de la France par l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle qui accueille chaque année 65 millions de passagers, dont 35 en entrée sur le territoire. Sur le flot d’entrants figurent des personnes désireuses de demeurer en France mais ne disposant pas des titres de séjours les y autorisant. S’ils ne figurent pas dans les statistiques officielles, ces hommes, femmes et enfants sont une réalité démographique avec laquelle les pouvoirs publics doivent compter », poursuivent les auteurs. Les « personnes en situation irrégulière seraient entre 150.000, 250.000 voire 400.000 », ce qui équivaut à la population d’un département comme l’Ariège (152.000 habitants), le Jura (259.000 habitants), voire les Landes (411.000). Bref, entre 8 % et 20 % de la population.

Pour la seule immigration régulière, le rapport rappelle que, « parmi les 36 communes de France métropolitaine comptant plus de 10.000 habitants et dont plus de 30 % de la population est d’origine étrangère, 15 sont situées en Seine-Saint-Denis». Pour autant, selon ce document, «cette population immigrée n’est majoritaire dans aucune commune. Les maximums sont atteints à La Courneuve et Aubervilliers (43 %). Dans ces deux communes, plus de huit enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré (88 % à La Courneuve, 84 % à Aubervilliers). »

« Cette réalité amène assurément à sous-estimer la réalité sociale de la Seine-Saint-Denis eu égard au poids de la population étrangère irrégulière. Or, affronter la réalité dans un cadre d’action publique exige d’être plus précis », assurent les auteurs du rapport. Ils ajoutent même: « Pour identifier des phénomènes urbains de ghettoïsation, pour expliciter des difficultés scolaires, pour lutter contre les discriminations, pour adapter les moyens de la police et de la justice à une population spécifique, se pose alors la question de l’établissement de statistiques dites ethniques. »

 

Source : contre-info



mercredi, 04 juillet 2018

Taubira se lâche et dérape !

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 03 juillet 2018 

Christiane Taubira fait du freestyle

L’ancienne ministre de François Hollande et toujours égérie d’une partie de la gauche a accordé un entretien au Parisien. Plutôt discrète depuis son départ (on l’en remercie), Christiane Taubira n’a pas résisté à un nouveau numéro de dérapage contrôlé. Un contrôle quand même peu évident à lire ce qu’elle dit de Trump et de Poutine. Nous avons affaire à un véritable dérapage qui ne choquera plus que ceux qui ont encore le sens de la mesure. Cela exclut de fait l’ensemble de l’appareil médiatico-juridique français…

Dans notre société orwelienne, la moindre critique doit être pesée et sous-pesée avec le plus grand soin. Le risque de censure est énorme et les menaces de procès sont légion. Mais pour certaines personnes, les règles (iniques) ne s’appliquent pas et la liberté de parole est totale. On peut envier ces personnes, mais pour arriver à ce degré de liberté, il faut avoir une carrière irréprochable au profit du système. Christiane Taubira est de ceux-là et nul doute que ses propos sur Trump et Poutine ne lui vaudront aucune mise en garde de la part des médias et de la justice française.

Liberté d’exception totale pour quelques uns

En allant à son rendez-vous pour rencontrer l’ancienne Garde des Sceaux, la journaliste du Parisien, Nathalie Schuck, savait qu’elle tenait à l’avance une bonne histoire à raconter. Réputée pour son franc-parler, Christiane Taubira n’a pas failli à sa réputation en dézinguant deux chefs d’Etat qui ont pour défaut de s’intéresser au sort de leur population avant de jouer aux mousquetaires au service du reste de l’humanité. Sans surprise aucune, les deux cibles se nomment Donald Trump et Vladimir Poutine. Le premier a l’honneur de la tirade la plus longue : « Un fou furieux. Un cocktail explosif inédit d’ignorance, de vulgarité, de détermination, d’aveuglement joyeux. Sexiste ! Raciste ! Xénophobe ! Et réjoui ! ».

Voilà le président américain habillé pour l’hiver. Son sort, si Taubira venait un jour à présider un gouvernement mondial si cher à Jacques Attali, est presque enviable en comparaison avec ce que souhaite faire l’ancienne ministre de la Justice au président russe. Elle n’a pas froid aux yeux puisqu’elle pourrait « découper Vladimir Poutine en lamelles ». Soit il s’agit d’une mauvaise blague, soit c’est ce qu’on appelle en justice une incitation à la haine et à la violence. Autant le rappeler tout de suite, si un dixième de ces propos étaient tenus à l’encontre de Taubira, les menaces, procès et exécutions médiatiques auraient déjà versé leurs dividendes.

Mais dans ce cas, il s’agit des méchants Trump et Poutine attaqués par la gentille Taubira alors le citoyen n’a plus qu’à se plier au diktat de la non-pensée unique. Au mieux, il sera autorisé à laisser un commentaire dubitatif, mais pas plus. Le moindre rappel aux faits d’armes de Taubira peut valoir une condamnation en justice… Et que les frustrés s’y fassent, car malgré sa sortie des radars médiatiques pendant quelques mois, Christiane Taubira ne renonce pas à un avenir en politique. Draguée par tous les partis de gauche ou presque – comme le rappelle Le Parisien – Taubira se voit plutôt une stature européenne ou internationale. Evidemment, elle trouvera à rebondir quelque part et les Français en seront quittes pour de nouvelles sorties en mode dérapage incontrôlé. Pourquoi se priver de petites sensations quand on est intouchable ?

 

Source : 24heuresactu

Jean-Philippe Tanguy, ce « lieutenant de Nicolas Dupont-Aignan » qui défile avec le lobby LGBT

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Autant savoir : Jean-Philippe Tanguy, qui se présente comme « Lieutenant de N. Dupont Aignan » et « Délégué national DLF », exprimait ce samedi sur Twitter sa fierté de participer au défilé LGBT à Paris.

Les eurodéputés refusent de rendre des comptes sur l’utilisation des indemnités forfaitaires qui leur sont offertes

Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le bureau du Parlement européen a rejeté lundi soir une proposition visant à rendre plus transparente l’indemnité de plus de 4.300 euros que chaque eurodéputé perçoit mensuellement en plus de sa rémunération pour faire face à ses dépenses de mandat.

Cette indemnité est une somme forfaitaire destinée à couvrir les dépenses de fonctionnement du député et celles de ses assistants accrédités et locaux (frais téléphoniques, matériel de bureau, location de bureaux, etc.) La façon dont elle est dépensée ne fait actuellement l’objet d’aucun contrôle, alors que nombre d’eurodéputés n’ont pas de bureau dans leur pays.

Il y a un an, le président du parlement Antonio Tajani avait lancé un groupe de travail pour réviser la liste des dépenses imputables sur cette indemnité. Mais lundi soir, le bureau du Parlement européen, organe de gestion de l’institution, a rejeté une majorité des propositions formulées.

Les eurodéputés conservent donc leurs privilèges et restent non tenus de publier un aperçu de leurs dépenses. Le remboursement des sommes éventuellement non dépensées et le contrôle par un comptable restent essentiellement dépendantes de la seule bonne volonté de l’élu.

Seule la proposition de verser l’indemnité sur un compte séparé a été adoptée, mais sans faire l’objet d’un contrôle.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 03 juillet 2018

Encore 5 projets de mosquées à Toulouse et dans l’agglomération

Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2018

Par  le 02/07/2018 

Après 13 ans de travaux, la grande mosquée de Toulouse a été inaugurée samedi 23 juin dans le quartier d’Empalot. D’autres édifices religieux sont actuellement en projet.

1. Basso-Cambo : le (futur) plus grand lieu de prière de la Ville

2. La Faourette : un permis de construire accordé

3. Une mosquée au nord de Toulouse

4. Un projet à Portet-sur-Garonne

5. Blagnac : le financement reste encore à trouver