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samedi, 24 novembre 2018

Pour montrer qu’il comprend les gilets jaunes, Darmanin évoque ses restos parisiens à 200 euros (sans le vin !)

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2018

Publié le 23 novembre 2018 Auteur par admin4
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Le ministre du Budget semble ne pas savoir qu’il existe des restaurants à moins de 100 euros par personne à Paris…

Dans un discours à la Sorbonne, en évoquant les Gilets jaunes, il a voulu se montrer compréhensif envers ceux qui avaient du mal à boucler leur budget :

« Si nous ne voulons pas être dans le Brexit intérieur (…), nous devons tous intégrer et pas seulement expliquer, mais entendre et comprendre, ce que c’est de vivre avec 950 euros par mois quand les additions dans les restaurants parisiens tournent autour de 200 euros lorsque vous invitez quelqu’un et que vous ne prenez pas de vin », (source)

Cette classe politique, habituée des grands restaurants aux frais des contribuables, est bien complètement déconnectée de la réalité des Français !

 

Source : contre-info

Un violeur acquitté. Marlène Schiappa silencieuse

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2018

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Un violeur acquitté. Marlène Schiappa silencieuse

Marlène Schiappa est aux abonnés absents suite à ce jugement ubuesque :

Le verdict est tombé mercredi 21 novembre 2018 dans le procès en cour d’assises d’un jeune homme de 21 ans qui était accusé du viol et de l’agression sexuelle de deux lycéennes à Saint-Lô (Manche) fin 2015. L’avocat général avait requis six ans de réclusion criminelle.

Le mis en cause est acquitté du viol mais condamné pour l’agression sexuelle de la première victime à deux ans de prison avec sursis assortis d’une mise à l’épreuve. Il sera inscrit au fichier des délinquants sexuels. Il est donc ressorti libre du palais de justice de Coutances.

L’avocate de la défense a plaidé les difficultés d’interprétation qui, selon elle, sont le fil conducteur de ces affaires. Difficulté d’interprétation de la part de son client qui “n’avait pas les codes culturels” pour prendre conscience qu’il imposait une relation par crainte ou par surprise. Difficulté d’interprétation de la part de la victime qui a pu prendre un regard comme une menace et donc une contrainte. Difficulté d’interprétation des enquêteurs qui n’ont pas su mesurer le désarroi de la victime.

Après l’énoncé du verdict, le président a pris soin de préciser que “la décision de la cour n’est pas une remise en cause de la sincérité” de la plaignante. La cour a estimé que l’accusé n’avait pas conscience d’imposer un rapport sexuel.

Le mis en cause est un réfugié originaire du Bangladesh hébergé au foyer des jeunes travailleurs de Saint-Lô. Quand on est immigré, on a donc tous les droits… L’une de ses victimes a fait une tentative de suicide. Avec ce jugement, elle risque de récidiver…

 

Source : lesalonbeige

Une taxe de 9 % s’appliquera au 1er janvier 2019 sur les garanties décès des contrats d’assurance emprunteur

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2018

Auteur : Philippe Carhon

Une taxe de 9 % s’appliquera au 1er janvier 2019 sur les garanties décès des contrats d’assurance emprunteur

Nous annoncions hier l’augmentation prévisible en 2019 de l’assurance-auto, un lecteur nous alerte sur une autre augmentation de la fiscalité en 2019 du fait du gouvernement :

Le gouvernement a décidé de mettre fin à l’exonération de taxe dont bénéficiaient jusqu’ici la garantie décès des contrats d’assurance emprunteur. Une exonération qui ne serait “pas justifiée, sur les plans juridiques ou économique”, selon l’évaluation préalable de l’article 52 du projet de loi de finances 2019. Ainsi, la TSCA, la taxe spéciale de 9% sur les contrats d’assurance de prêt, qui ne s’imputait jusqu’à maintenant qu’aux garanties couvrant l’incapacité de travail, la perte d’emploi et une partie de l’invalidité, touchera bientôt l’ensemble des primes versées par les assurés. La mesure concernera tous les nouveaux contrats souscrits à partir du 1er janvier 2019.

Et cet alourdissement de la fiscalité se traduira évidemment par un surcoût pour l’emprunteurEn septembre déjà, Capital avait calculé ce surcoût, en fonction de différents profils d’assurés, dans le cas où les banques et compagnies d’assurances viendraient à répercuter intégralement la hausse de taxe. Résultat : une augmentation potentielle d’environ 4,5% du montant des primes. Soit quelques euros en plus par mois. Mais, selon nos simulations, ce surcoût pouvait augmenter si l’emprunteur exerçait un métier à risque ou s’il présentait un profil à risque aggravé de santé.

Nos calculs viennent d’être confirmés par le gouvernement, qui a lui aussi mesuré l’impact potentiel de l’assujettissement à la TSCA de la garantie décès. Ses résultats sont comparables à nos simulations, puisqu’il évalue un renchérissement moyen de 44 euros sur les cotisations annuelles d’assurances. Pour un crédit auto de 15.000 euros sur 72 mois, par exemple, le supplément annuel représenterait 12 euros. Pour un crédit immobilier de 500.000 euros sur 25 ans : 204 euros par an. Selon le gouvernement, la mesure permettra “de rendre plus lisible la tarification de son contrat pour l’assuré et d’éviter des possibilités d’optimisation fiscale dans la ventilation de la prime globale entre les différentes garanties”. Mais on ne peut que vous conseiller de renégocier votre contrat avant la fin de l’année, pour éviter d’avoir à subir cette hausse.

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 23 novembre 2018

Être végan, un mode de vie réellement écologique ?

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2018

 
Vegan
Crédit photo : CC-ZERO.
En novembre, chacun est convié à s’essayer au véganisme. Bien plus qu’un simple régime alimentaire, qu’est-ce que le véganisme ?

Tandis que le végétarien se contente de ne pas consommer de chair animale, le végan va bien plus loin. Désireux de « faire cesser tout type d’exploitation animale », il ne consomme aucun produit d’origine animale : viande, miel, lait, œufs, fourrure, cuir, soie, laine… Les loisirs découlant de la dite exploitation sont également prohibés : zoo, cirque, corrida.

Qu’importe que cette consommation fasse souffrir ou non l’animal. Par exemple, il est nécessaire de tondre le mouton pour préserver sa santé et pourtant, le port de vêtements en laine est prohibé. De même pour l’activité apicole qui a pourtant un grand rôle à jouer dans la sauvegarde des abeilles. Pour justifier ce mode de vie très poussé, certains n’hésitent pas à affirmer que l’Homme est végétarien par nature.

Le véganisme, un lobby en pleine expansion ?

Des sites comme veganimpact.com définissent le véganisme comme une lutte anti-capitaliste et dénoncent le lobby de la viande. Mais qu’en est-il du lobby anti-viande ? Le marché semble surfer sur cette tendance « veggie » et ces rayons fleurissent au sein des supermarchés. Mais malgré le coût de production de ces produits, nettement réduit par l’absence de produits d’origine animale, leurs prix restent bien supérieurs au prix de la viande. Par exemple, le prix au kilogramme des knacks végétaux est quatre fois supérieur aux knacks traditionnels. Un bon moyen pour les industriels de maximiser leurs profits en somme.

Crédit Photo : Adeline Humbert / Infos-Toulouse

Un mode de vie qui n’est pas tant sain et « éco-friendly »  

Beaucoup adhèrent à ce nouveau mode de vie du fait de certaines études dénonçant l’impact environnemental important de la production de viande. Mais qu’en est-il du « tout légume » ?

Le corps humain a besoin d’un apport suffisant en protéines pour fonctionner. Ainsi, les végans doivent remplacer la viande par des substituts végétaux avec un fort apport en protéines comme le soja, les pois chiches, les lentilles, les haricots, les oléagineux etc… Mais est-ce logique de bannir la viande pour son empreinte écologique pour la remplacer par des aliments provenant de l’autre côté du globe ? L’Inde est le premier producteur de pois chiches, les amandes sont majoritairement importées des États-Unis et le soja provient surtout des USA, d’Inde et de Chine.

Ce dernier est de loin le substitut le plus fréquent : tofu, lait végétal, crème, etc. Il contient des isoflavones, molécules végétales qui influent sur les hormones. Une consommation régulière peut entraîner de graves problèmes hormonaux, des problèmes de développement et de fertilité. Un faux-ami donc.

Toujours par rapport à l’alimentation, les « herbivores » des temps modernes ont recours à des similis-viandes, similis-fromages, etc, pour ne pas trop bousculer leurs habitudes alimentaires. Des produits intégralement végétaux mais qui n’en restent pas moins sur-transformés pour mimer une alimentation omnivore tout en demeurant « cruelty-free ». Les ingrédients principaux ? Généralement du soja ou des lentilles, de l’huile et surtout beaucoup de sucre et de sel. Si certains pensaient qu’être végan, c’était dire adieu aux produits transformés, à l’hypertension et à l’obésité, c’est raté !

Cette alimentation est très critiquée. Certains lui opposent une consommation omnivore basée sur la modération avec des produits non-transformés issus de l’agriculture traditionnelle et de circuits courts. Une dualité se crée ainsi, entre un retour aux sources ou une négation de la nature humaine pour des idéaux extrémistes. Mais ce mouvement semble avoir vocation à s’étendre, coûte que coûte.

Véganisme « pour tous »

Si le véganisme part d’une bonne volonté, les dérives se multiplient. Dans une lettre du 22 juin 2018, la Confédération française de la boucherie, boucherie-charcuterie, traiteurs a demandé la mise en place d’une protection policière face aux agissements parfois très violents des végans : projection de faux-sang sur les vitrines de boucheries, caillassage, vandalisation, insultes… Une militante de la cause avait notamment été condamnée pour apologie du terrorisme après avoir félicité le meurtre d’un boucher lors des attentats de Trèbes.

Ainsi, certains tentent de généraliser à n’importe quel prix un idéal qui se veut pourtant personnel. Les conséquences sont bien souvent dramatiques. Une fillette de 16 mois avait notamment trouvé la mort en décembre dernier des suites de malnutrition après que ses parents l’aient convertie à la « cause végan ».

Cette conversion forcée au véganisme se répand également chez nos amis les animaux. Aujourd’hui, internet foisonne de conseils pour nourrir son chat ou son chien avec une alimentation végan, en contradiction totale avec la nature carnivore de l’animal. La privation de viande peut avoir des conséquences mortelles et plus spécifiquement chez le chat qui a impérativement besoin de taurine, qui ne peut être que d’origine animale.

Pour la préservation du « bien-être animal », certains sont prêts à sacrifier leur santé, comme celle de leurs animaux voire de leurs enfants. Une logique qui fait coexister lutte pour les droits de l’oeuf et lutte pour le droit à l’avortement.

Adeline Humbert

 

Source : infos-toulouse

France : l’Union des Mosquées de France lance des formations pour contrer les discours extrémistes sur internet

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2018

Par  le 22/11/2018

 

Dans le cadre des efforts visant à lutter contre la propagation des discours extrémistes et haineux sur le web, l’Union des Mosquées de France (UMF) a procédé, samedi, à Evry (sud-est de Paris) au lancement d’une série de formations en faveur des imams et des prédicateurs de toutes les régions de France en vue de les initier aux techniques d’enregistrement et de diffusion de contenus sur internet.

L’UMF, qui a déjà organisé dans le même cadre des sessions de formation sur des concepts tels que le jihad ou la laïcité, vise par cette initiative à prendre à contre-pied les discours radicaux diffusés sur internet et portant atteinte aux valeurs de paix et de tolérance de l’Islam.

A l’occasion du lancement de ces formations, qui a eu lieu au sein de la Mosquée d’Evry-Courcouronnes, l’UMF a doté des dizaines d’imams et de prédicateurs de matériel d’enregistrement audio et vidéo leur permettant de produire des capsules de prédication en arabe et en français, expliquant les véritables valeurs de l’Islam en vue de leur diffusion sur la toile à travers notamment les sites de l’UMF et sa chaîne UMF-TV, mais aussi sur les réseaux sociaux.