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mercredi, 21 novembre 2018

Castres (81) : vaste opération des gendarmes dans un camp de gens du voyage, plusieurs interpellations

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Par  le 20/11/2018

 
C’est une opération de grande envergure qu’ont menée les gendarmes ce mardi matin à Castres. Pas moins de 143 militaires issus du groupement de gendarmerie départementale d’Albi, des compagnies et des pelotons de surveillance et d’intervention de Castres, Albi et Gaillac, de la brigade cynophile et de l’antenne du GIGN de Toulouse, appuyé par un hélicoptère, ont investi l’aire des gens du voyage de la Vivarié vers 6 heures.

Un déploiement de force qui visait à l’interpellation d’individus recherchés dans le cadre d’une enquête diligentée par la brigade de recherches de Castres pour des faits de violences volontaires avec arme à feu envers des personnes dépositaires de l’autorité publique commis il y a un mois.

[…] C’est finalement dans des habitations de Castres que les individus âgés de 23 et 41 ans ont été arrêtés ce matin. Les quatre individus ont été placés en garde à vue, deux à la brigade de gendarmerie de Castres et les deux autres au commissariat. Des perquisitions, menées par les gendarmes et les policiers, ont eu lieu sur le camp et aux domiciles des mis en cause.

Si les affaires sont différentes, elles ont un point commun : les individus n’avaient pas hésité à s’en prendre violemment aux forces de l’ordre. Ce qui explique l’opération d’envergure de ce mardi matin.

La Dépêche via fdesouche

La France est-elle le poumon de la planète ?

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Auteur

Roland DUBOIS

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Pendant des décennies, l’usage du diesel a été encouragé par les pouvoirs publics.

Ces moteurs consommaient moins que ceux à essence et émettaient moins de CO2, gaz à effet de serre que le GIEC feint de croire responsable, à lui seul, du réchauffement de la planète.

Par ces deux arguments, on justifiait la moindre taxation de ce carburant.

C’est fini.

On ne parle plus du CO2, mais des particules fines.

Du coup, on brûle ce qu’on a adoré. Dehors le diesel !

Or tous les diesels fabriqués depuis 2009 ont des filtres à particules (FAP), pas parfaits mais efficaces.

Le chef du service de pneumologie de la Pitié-Salpêtrière, invité sur une chaîne de télévision, a lui-même reconnu que la pollution parisienne était aujourd’hui très inférieure à ce qu’elle était il y a 10 ou 15 ans malgré l’augmentation de la circulation.

En réalité, dans 3 ou 4 ans, les véhicules diesel sans FAP seront une infime minorité.

En outre, d’autres progrès techniques seront intervenus.

En attendant, tout ce battage est, pour les pouvoirs publics, une mauvaise raison pour augmenter les taxes sur le gazole, de façon, dit-on, à en dissuader les futurs acheteurs de véhicules.

Bien sûr, on aurait pu diminuer les taxes sur l’essence ; le but recherché aurait été le même non ? Curieusement, on n’y a pas pensé.

Le pouvoir se défend mal en insistant sur le fait que l’augmentation du prix des carburants et du fuel de chauffage est due essentiellement aux récentes augmentations du prix du baril de brut – qui sont réelles.

Mais remarquons quand même que l’État perçoit 60 % du prix en taxes et impôts divers et qu’il est trois fois gagnant.

La part de TVA qui lui revient sur le carburant augmente avec le prix du brut, la consommation des « essences » est supérieure à celle des « diesels » donc encore plus de taxes à engranger, taxes qu’il augmente en outre régulièrement en relevant la TICPE.

Et, au passage, tant pis pour les gaz à effet de serre qui étaient son obsession il y a peu.

Il faut dire que le gouvernement oublie opportunément de rappeler aux Français qu’ils sont, à cet égard déjà de bons élèves, car, grâce à l’électricité d’origine nucléaire, ils émettent deux fois moins de gaz à effet de serre par habitant que les Allemands. Pile il gagne, face on perd !

Nous ne pouvons pas croire le président et son premier ministre qui nous affirment que c’est dur, mais que la survie de la planète est à ce prix.

L’urgence était-elle si grande qu’on ne puisse surseoir aux augmentations prévues de la TICPE pour adoucir le coup des augmentations dues à celles du pétrole auxquelles on ne peut rien ? À ça non plus, ils n’ont pas pensé.

La France, c’est 1 % de la population de la planète et 0,9 % des émanations de gaz à effet de serre et polluants divers.

Ces deux chiffres montrent les limites de notre influence sur le réchauffement climatique de la planète et sa pollution.

Croit-on vraiment que l’augmentation constante des taxes chez nous va avoir une influence quelconque sur l’environnement de la planète ?

Évidemment non ; aucune, ou alors de manière inappréciable, contrairement à la surcharge fiscale imposée aux Français ; pour rien ; pour satisfaire l’orthodoxie écolo qui nous ment en permanence sur les éoliennes, les capteurs solaires et la voiture électrique.

Le percepteur se cherche un alibi vertueux.

D’ailleurs, moins de 20 % de tout ce qui est ponctionné au titre de la campagne « carbone », est investi dans la « transition énergétique », ectoplasme vague qui à lui seul mériterait une explication plus convaincante que ce qu’on entend.

Cela sonne comme un aveu. Et tant pis pour les Français pris en otages, une fois de plus, par une idéologie quasi religieuse qui les dépasse.

Rien de sérieux ne justifie cette politique dont les conséquences financières néfastes pour tout le monde aggravent encore un peu plus le sentiment d’oppression fiscale de la population la plus imposée parmi les pays développés.

 

Source : les4verites

Retrouvons nos libertés concrètes !

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Auteur

Guillaume de Thieulloy

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Emmanuel Macron va sans doute entrer dans l’histoire par la grande porte. Après avoir été le porte-drapeau du « dégagisme » qui agite profondément le peuple français, il est en passe de devenir la caricature de cette oligarchie totalement déconnectée du peuple qu’elle est censée représenter et gouverner.

Un récent sondage Via Voice montre que 34 % seulement des Français estiment que la démocratie fonctionne bien.

En janvier dernier, 54 % répondaient positivement à cette question.

Autrement dit, les dix derniers mois, et l’accumulation des bourdes arrogantes de la part du chef de l’État, ont entraîné une chute vertigineuse de la confiance dans la démocratie de la part des Français.

Dans le détail, 3 % des Français estiment que la démocratie fonctionne très bien chez nous, 31 % qu’elle fonctionne assez bien, 40 % qu’elle fonctionne assez mal et 21 % qu’elle fonctionne très mal (et il y a de sérieuses raisons de penser que les 5 % qui ne se prononcent pas ne sont pas enthousiastes devant la situation !).

Même au plus fort du désamour à l’égard de François Hollande, en septembre 2016, les chiffres étaient moins catastrophiques : 36 % des Français estimaient alors que la démocratie française fonctionnait bien.

On pourrait penser que M. Macron pousserait un soupir de soulagement en regardant les questions suivantes, puisque l’on y constate que la crise de la démocratie n’est pas seulement française, mais européenne.

On l’imagine même fort bien remonter sur son cheval et haranguer les peuples de l’Est de revenir aux sources de la démocratie représentative et d’abandonner le populisme, comme il s’apprête visiblement à le faire lors de la prochaine campagne européenne.

Las, 60 % des Français estiment que la France n’est pas un modèle démocratique à suivre pour les autres pays européens !

Il faut dire qu’avec la chasse aux libertés publiques organisée par l’actuel gouvernement, il serait difficile qu’il en soit autrement.

Une partie de la mobilisation des gilets jaunes, aussi anarchique soit-elle, tient à ce sursaut des vieux Français, non seulement surtaxés, mais ligotés par des réglementations idiotes.

Mais revenons aux sources. La démocratie a été conçue en 1789 sur le modèle rousseauiste, catastrophique abstraction, en vertu de laquelle nous abandonnerions tous nos antiques libertés privées pour nous fondre dans le corps social qui nous offrirait en échange une liberté civique.

Ladite liberté civique n’est, cependant, disponible que pour ceux qui soutiennent le Pouvoir, puisque la loi étant supposée l’expression de la volonté générale et celle-ci étant supposée être la volonté de chacun, ceux qui ne sont pas d’accord avec la loi sont réputés ne pas même savoir ce qu’ils veulent, c’est-à-dire qu’ils sont réputés purement et simplement fous.

C’est au nom de ce principe délirant (et, hélas, toujours d’actualité sous Marianne V) que l’on a pu clamer : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » ou que les communistes, en fidèles disciples des jacobins de 1793, ont pu « rééduquer » les dissidents dans leurs hôpitaux psychiatriques.

L’arrogance d’Emmanuel Macron et de ses confrères oligarques vient, notamment, de cette superstition selon laquelle ils sont le peuple et selon laquelle le peuple peut changer à volonté la nature des choses.

Et le populisme, c’est aussi cette volonté du peuple de sortir d’une abstraction mortifère et de revenir à des libertés concrètes, en lieu et place de cette pseudo-représentativité dont le mot d’ordre, outre la spoliation fiscale, semble : « Tout ce qui n’est pas obligatoire est interdit ! »

 

Source : les4verites

mardi, 20 novembre 2018

Moussa Darmanin à propos des 600 millions d’€ non affectés au budget de l’écologie : « Ne cédons pas à la démagogie »

Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Ce gouvernement se paye chaque jour un peu plus la tête des Français. Les marconistes commencent par donner une leçon de morale écologique aux propriétaires de véhicules diesel. Suite à l’exaspération des augmentations successives, Castaner affirme sans sourciller (et pour faire peur) que les « gilets jaunes » se radicalisent. Désormais, on apprend que l’argent des taxes sert de variable d’ajustement au budget du gouvernement. Pour finir, Moussa Darmanin en essayant de défendre son maître, demande au peuple de continuer à payer, et surtout de se la fermer.

Le ministre de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin a justifié, mardi au Sénat, la décision de transférer 577 millions d’euros de recettes de la taxe écologique sur les carburants pour les réaffecter au budget général en 2018. Il dénonce des critiques démagogiques.

« Nous, qui connaissons les mécanismes budgétaires, nous ne devrions pas céder à la démagogie ». Le ministre de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin a justifié, mardi au Sénat, la décision de transférer 577 millions d’euros de recettes de la taxe écologique sur les carburants pour les réaffecter au budget général en 2018.

Ces 577 millions d’euros faisaient partie du compte d’affectation spéciale « Transition énergétique » mais les dépenses de l’Etat dans ce domaine étant plus faibles que prévues en 2018, ces recettes ont été réaffectées au budget général.

Le ministre a expliqué aux sénateurs que ces recettes de la taxe sur les carburants pourraient financer « l’école, les armées, l’intérêt de la dette ». « Si toutes ces recettes sont affectées (à la transition énergétique en l’occurrence), comment couvrira-t-on les besoins dans les secteurs qui ne dégagent pas de recettes et qui n’en sont pourtant pas moins essentiels ? » s’est défendu le ministre.  

Source : Public Sénat via FDS

Deux nouveaux suicides de policiers en 48h. Les deux étaient pères de famille.

Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2018

Par  le 19/11/2018 
 

Selon nos informations, durant la nuit dernière, Cédric P., qui exerçait au service de nuit du Quart Sud de Marseille, s’est donné la mort. Il a retourné son arme de service contre lui, alors qu’il se trouvait à son domicile de La Ciotat.

Ce père, âgé de 42 ans, laisse derrière lui deux enfants de 10 et 12 ans.
(…)

Actu17


Vive émotion au commissariat d’Épernay ce lundi 19 novembre. Un des policiers, un homme de 46 ans, s’est suicidé. Il était hors service et à son domicile au moment de son passage à l’acte.

Ce père de deux enfants a retourné son arme de service contre lui.
(…)

France Bleu via fdesouche