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mercredi, 05 décembre 2018

Chronique d’une époque renversante : la nouvelle folie de l’identité ‘fluide’, le transracialisme

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

On vit décidément une époque renversante !

Voici venir le temps du ‘transracialisme’, la nouvelle frontière de l’identité fluide qui postule que « chacun a le droit de rechercher le bonheur à sa façon ».

Rachel Dolezal est une américaine de Spokane, de l’État de Washington. Depuis des années elle clame qu’elle est une femme de couleur même si elle est née avec la peau blanche. Elle est une des premières activistes du mouvement appelé « Transracialisme » : une idéologie selon laquelle on peut décider à quelle ethnie on appartient sans tenir compte de la nature, indépendamment de son identité biologique.

Le feuilleton de Dolezal a suscité de nombreux débats : pendant des années elle a fait croire être la fille d’un Africain et d’une blanche. Sa famille a démystifié son histoire, fruit d’une imagination déboussolée par ce politiquement correct qui prêche la discrimination positive et la honte d’être blanc. Rachel a perdu son travail et sa réputation. L’activiste a alors demandé pardon pour ses mensonges mais n’a rien lâché quant à son boniment : elle a écrit un livre In full color dans lequel elle affirme le droit de chaque personne à choisir son identité ethnique : le « transracialisme » is born

Des histoires de ce genre se multiplient depuis aux États-Unis. Du ‘transsexuel’ Ja Du qui, natif de Californie, se prend pour un Philippin. Ou du mannequin Martina Big qui, après s’être crue une poupée Barbie et avoir subi nombres d’opérations chirurgicales, croit maintenant être une femme de couleur : nouvelles opérations, greffes de mélanine, et changement de nom en Malaika Kubw, ce qui veut dire « grand ange » en swahili.

Le mouvement ‘transracialiste ‘ se fonde sur l’idéologie de genre : si l’identité sexuelle que l’on ressent vaut plus que celle réelle, alors ce discours vaut pareillement pour l’ethnie. Une nouvelle barrière du ‘transhumanisme’ est franchie avec l’aide des lobbies lgbt, de la pensée sexuellement correcte et grâce au consentement tacite des autorités sanitaires et administratives.

Il fut un temps où ce genre de personnes, manifestant des troubles de la personnalité ou de l’identité, étaient tout simplement enfermés dans des asiles de fous. Où les ‘Napoléon’ fleurissaient… Aujourd’hui la folie règne en maître et ce sont les gens normaux qui passent pour fous. On vit décidément une époque renversante !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

La Macronie part en morceaux et lance des miettes aux Français

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 décembre 2018

Il aura donc fallu plus de trois semaines, une mobilisation record (malgré les contre-vérités de Castaner), puis finalement une bouffé d’incroyables violences pour que le Gouvernement finisse par reculer (un peu). Après une concertation qui n’a pas eu lieu ce mardi (le Premier ministre avait déjà eu sa dose d’humiliations), Edouard Philippe a donc fait plusieurs annonces dans le sens des revendications des gilets jaunes. Mais il ne faut pas être un fin politicien pour comprendre que cette reculade n’est en rien un changement de programme. Les Français devront payer et le report pourrait bien servir ce gouvernement qui décidément n’entend pas les souffrances du peuple.

Une victoire pour les gilets jaunes ? Les annonces du Premier ministre ressemblent plus à un piège qu’à autre chose. Les Français sont descendus dans la rue il y a près d’un mois (pour ne plus en repartir) parce qu’ils ne peuvent plus vivre dignement. Le sarkozysme, l’hollandisme plus encore et la dégénérescence macroniste sont passés par là. La pression fiscale est trop forte. Les Français ne peuvent plus subvenir à leurs besoins les plus primaires alors ils se font entendre avec l’espoir de ne pas sombrer complètement dans le chaos de la misère. La situation est grave et la réponse du Gouvernement est des plus cyniques.

Donner des miettes en attendant de mieux plumer

Les Français ne sont jamais contents ! Comment être content lorsque votre bourreau vous annonce après vous avoir estropié qu’il suspend son exécution de six mois. A la nouvelle date venue, pas d’échappatoire. Il faudra passer à la guillotine. Que fait un supplicié normal ? Il remercie son bourreau et lui dit à la prochaine ou continue-t-il à se débattre avec la perspective de se défaire de ses liens et d’échapper à la mort ? Les Français sont dans cette situation et doivent choisir entre mourir dans six mois ou continuer à se battre pour vivre avec dignité.

Le moratoire qui était sur bien des lèvres depuis quelques jours n’est qu’un cache misère. Un moratoire sur les nouvelles taxes sur les carburants signifie que ces taxes finiront par passer. Ce n’est qu’une question de temps. Le Gouvernement donne six mois de répit. Pourquoi un tel calendrier alors qu’il s’est arc-bouté sur de futurs pseudos consultations dans les territoires d’une durée de trois mois ? Six mois cela renvoie directement au début du mois de mai soit, ô surprise, une semaine après les élections européennes !

Des élections qui ont toutes les chances de tourner au carnage pour la Macronie alors on décide tant qu’il est temps de geler quelques mesures impopulaires pour mieux les faire passer après les élections ! Du travail de renard politique, mais qui se voit comme le nez au milieu de la figure. Si les élections se passent mal pour Macron et ses copains, alors ils se vengeront en augmentant la pression fiscale. Si elles se passent un peu mieux que prévu, alors ils iront parader partout en disant que la hausse des taxes sur les carburants et l’énergie fait partie du contrat passé avec les Français. Le résultat est simple : à chaque fois les Français l’ont dans l’os. Pile, tu paies – face tu paies aussi !

Les suspensions de la hausse des carburants, du gaz, de l’électricité et du contrôle technique plus drastique sont donc un moyen de retrouver la paix sociale tout en entubant le Français moyen. La stratégie ne doit pas prendre et les premières réactions montrent toutes que personne ne tombe dans ce piège grossier.

Il suffit d’écouter le discours du Premier ministre pour se convaincre qu’il est prêt à tout pour arriver à ses fins. Après avoir fait comprendre aux gilets jaunes que leur sort ne l’intéressait pas, Edouard Philippe fait mine d’ouvrir les yeux et de comprendre les « sans-dents » : « Les Français qui ont enfilé un gilet jaune aiment leur pays. Ils veulent que les impôts baissent et que le travail paie. C’est aussi ce que nous voulons. C’est le cœur de l’engagement du président de la République. Si je n’ai pas réussi à l’exprimer, si la majorité a peiné à en convaincre les Français, c’est que je dois, nous devons changer quelque chose » affirme le Premier ministre…

Une chose est sûre, les gilets jaunes aiment plus leur pays que Philippe ou Macron. Comment Philippe peut-il prétendre vouloir moins d’impôts quand il ne fait qu’augmenter la pression fiscale ? « Quelque chose » doit « changer »… Oui mais quoi ? Le Gouvernement veut poursuivre dans une voie que ne veulent pas les Français. Il faut changer de politique et pour cela il va falloir dégager ce pouvoir. Parlementaires, ministres et président. Ils doivent tous laisser leur place pour amener un personnel politique en phase avec la réalité électorale du pays. Une nécessité à laquelle une Macronie qui tombe en morceaux ne voudra jamais céder. Le pouvoir encore et toujours pour une petite élite aveugle, sourde et misanthrope. Les miettes pour les Français. Le mouvement ne fait que commencer !

 

Source : 24heuresactu

657e anniversaire de la naissance du franc

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Auteur : admin4
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N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique.

L’espoir de la retrouver prochainement grandit régulièrement.

Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).

Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.

Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec le terme « Francorum Rex » (Roi des Francs).

Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de cette inscription.

Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :

« Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…


Source :  contre-info

L'argent des Français aux Français ! »

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Ce gouvernement cherche à faire des économies dans les dépenses publiques? Qu'il commence par réduire à zéro le coût social de l'immigration et mette en oeuvre le patriotisme social. L'argent des français aux français!

Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Auteur : Michel Janva

Des plaintes contre Emmanuel Macron : racket, dilapidation, détournement, extorsion…

“Racket”, “atteinte au droit de manifestation”, “extorsion en bande organisée”… Des Gilets jaunes ont déposé des plaintes aux motifs variés contre Emmanuel Macron, aux quatre coins de la France. Et elles sont enregistrées.

La valse des plaintes a débuté lundi, avec une plainte contre Emmanuel Macron pour sept motifs:

racket, dilapidation de l’argent public, préjudice moral et mise en danger de la vie d’autrui, violences volontaires avec arme, usage abusif de la force publique sur personne vulnérable, et atteinte au droit de manifestation”.

Après quelques recherches dans le code pour évaluer la conformité de la demande, les agents ont finalement enregistré la plainte.

Quelques heures plus tard, un gilet jaune a entrepris la même démarche en Charente. La personne attaque le président de la République pour

“usurpation de fonction et détournement de fonds publics”.

Mardi, en région parisienne, les policiers ont reçu la visite d’un gilet jaune pour une plainte contre le chef de l’Etat pour “atteinte à la liberté de manifester” et “violences volontaires avec armes”.

Le lendemain, un habitant de Belfort a déposé plainte contre le président et son gouvernement pour “extorsion de fonds en bande organisée”.

 “Depuis l’élection de M. Macron, je me sens racketté”. “J’ai le sentiment d’une dilapidation de l’argent public. C’est pour cela que je demande la démission du président voire sa destitution”.

L’homme aurait été imité par cinq autres manifestants dans la région.

De nombreux internautes appellent à multiplier ce type d’initiative pour faire entendre leur voix. 

 

Source : lesalonbeige