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samedi, 01 septembre 2018

Macron : le début de la fin !

Publié par Guy Jovelin le 01 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 31 août 2018 

Macron, un président impopulaire pour de bonnes raisons

 
 
Les emmerdes, ça vole en escadrille. Chirac l’avait appris à ses dépens et Macron expérimente à son tour cette désagréable sensation. Mais Chirac n’est pas le modèle de notre cher président. Le mentor du petit Emmanuel n’est autre qu’un certain François Hollande. Une parenté qu’il est bon de rappeler pour mieux comprendre les déboires de l’actuel président. Macron cumule les ennuis qu’il a lui même créés et cru pouvoir mettre sous le tapis. Mauvaise pioche ! Et ce n’est pas fini… 

Que la rentrée est compliquée ! Alors que les écoliers n’ont toujours pas retrouvé les bancs de l’école, le gouvernement et le président s’assoupissent déjà sous les ors de la République. Enfin, certains ne peuvent plus dormir tranquillement tant le climat est à l’orage. Les affaires n’en finissent plus de court-circuiter la communication de l’exécutif et tous les sujets qui relèvent de la politique se transforment en boue. Cela n’a rien de surprenant, mais à force de se débattre dans le purin, le Gouvernement ne peut plus cacher son incompétence même aux Français les plus aveugles.

Quand l’insulte est plus facile que la communication

Rentré de son périple nordique où Macron a fait du vélo et insulté les Français, il a présidé ce matin un Conseil des ministres incomplet. Manquait à l’appel Nicolas Hulot qui n’en pouvait plus de se mentir à lui même. Macron cherche désespérément un gusse qui ferait l’affaire, mais la personne idoine est difficile à trouver. Malheureusement, sans surprise Ségolène Royal fait des appels grotesques du pied pour reprendre un ministère où elle n’a rien fait pendant trois ans dépassant ainsi sa première expérience d’un an au début des années 1990. Il faut croire que les déjeuners sont succulents et les sièges délicieux car, Royal se bat pour un poste qu’elle n’aura plus jamais.

Macron ne veut pas de l’ancienne compagne de son mentor et qui est de surcroît une figure de l’ancien monde. Alors, il fait chauffer ses méninges et c’est un homme d’un monde encore plus ancien qui est ressorti du formol. Ainsi, on apprend que Daniel Cohn-Bendit a été contacté par Christophe Castaner pour remplacer Hulot. Celui qui avait juré qu’il ne parlerait plus que de football laisse planer le doute sur sa réponse. Si Macron est assez stupide pour récupérer ce beau parleur, ce sera signe que tout est placé encore une fois sous le signe de la communication et non de l’action.

Le président est obnubilé par les coups de com’ à tel point qu’il est prêt à en sacrifier le bien être des Français. Ainsi, la réforme de l’impôt sur le revenu est poussée sur le bas-côté. Officiellement, il s’agit de prendre le temps de « remédier au niveau d’impréparation de nos prédécesseurs ». Une curieuse ligne de défense puisque Macron a hanté Bercy pendant 3 ans et a été conseiller économique de Hollande avant cela. Les équipes de Macron président obligées de corriger le piètre travail de Macron ministre ? C’est si farcesque que cela en devient possible, mais la vraie raison se cache dans la communication.

Si la réforme de l’impôt sur le revenu devait être mise en place (après déjà un report d’un an), alors on estime à l’Elysée que les Français ne verraient qu’une baisse de leur salaire et non pas un moyen moderne de prélever l’impôt. Cela priverait aussi le gouvernement des fruits communicationnels d’une des trop rares mesures pouvant être perçue comme positive (largement compensée par les coups de massue sur le pouvoir d’achat) : la suppression des cotisations sociales d’assurance chômage. Macron veut que ça se voit, et avec l’impôt sur le revenu prélevé à la source, cela ne se verra pas. Quelle malchance ! Macron aurait dû mettre en place la réforme de l’impôt sur le revenu il y a un an. Cela aurait eu l’effet d’occulter la hausse inique de la CSG… !

Le président, en plus d’être un as de plomb de la communication, est un couard qui ne veut même pas mettre en place les rares réformes (non fondamentales) qui sont pourtant prêtes. A croire qu’il est un « Gaulois réfractaire au changement ». Attention, comme le disait son mentor, « le changement c’est maintenant » et cela pourrait bien amener Macron hors de l’Elysée plus tôt que prévu. La chose est incertaine institutionnellement, mais avec une cote de popularité qui s’effondre et qui prend des allures hollandaises, rien n’est impossible. Sarkozy, Hollande, Macron… la politique du pire réserve quelques surprises et des emmerdes…

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 31 août 2018

La Ligue propose de taxer les transferts d’argent des immigrés extra-européens afin de financer des aides aux familles italiennes

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2018

 

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Italie – La Ligue du Nord entend bien utiliser sa participation au gouvernement pour défendre la famille “fondée sur le mariage entre un homme et une femme”, parce que c’est la seule qui “protège et garantit le rôle social de l’éducation des enfants” grâce aux “figures parentales du père et de la mère”. La Ligue a aussi l’intention de promouvoir la natalité. Parmi les projets défendus par la Ligue : écoles maternelles gratuites, aide à l’acquisition du premier logement de la famille, etc.

Et la Ligue met sa politique familiale en conformité avec sa politique visant à mettre fin à l’immigration : les aides aux familles proposées par la Ligue seront réservées “aux citoyens italiens ou d’autres pays membres de l’UE formant une famille”.

D’ailleurs, pour financer “une allocation de soin et de garde pour soutenir les familles dans les dépenses nécessaires comme la prise d’une babysitter”, la Ligue propose de taxer les transferts d’argent effectués par les immigrés extra-européens en instaurant “un droit de timbre sur les transferts d’argent effectués par les agences agréées vers l’étranger” et de prélever 3% sur le montant « transféré à chaque transaction individuelle ayant un montant minimum de 5 euros« .

 

Source : medias-presse.info

Le banquier contre les Gaulois

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2018

Rédigé par notre équipe le 30 août 2018 

Emmanuel Macron s’est distingué à plusieurs reprises pour ses dérapages incontrôlés contre les Français. Pas assez riches pour beaucoup, pas assez ouverts à la modernité macronienne, trop Français en un mot. Monarque républicain et surtout roi du mépris, Macron a récidivé hier avant de plaider pour le « trait d’humour ». Une gauloiserie qui ne passe pas et qui montre que le locataire de l’Elysée est en pleine crise de nerfs.  

Alors qu’il fait la tournée des popotes en Europe du nord, Emmanuel Macron a eu la mauvaise idée de parler des Français. Il se croit légitime et capable, mais comme à chaque fois, dès qu’il sort de ses réformes en forme d’usine à gaz, Macron perd le contrôle et en vient à insulter les Français. C’est donc depuis le Danemark que les gueux que nous sommes avons été remis à notre place. Une place extrêmement lointaine qui nous range au même niveau que nos ancêtres les Gaulois.

Le banquier sans racine veut l’or des Gaulois

Se prêtant au jeu des comparaisons entre les peuples, Macron déclare le plus sérieusement du monde : « Il ne s’agit pas d’être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien, qui a vécu les transformations de ces dernières années, n’est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement! Encore que! Mais nous avons en commun cette part d’Européen qui nous unit ». Dans l’esprit de Macron, les Français sont de tels beaufs qu’ils peuvent être rangés directement à côté de peuples qui ont foulé la terre de France il y a 2 000 ans. L’insulte est d’autant plus grave que le terme « gaulois » est devenu une des expressions favorites de toutes ces « chances pour la France » qui exècrent notre pays tout en croquant ce qu’il reste du fruit français.

Bref, Macron insulte le peuple qu’il est censé dirigé et face à la polémique légitime. Le jeune politicard plaide 24 heures plus tard pour le trait d’humour. De l’humour que ne peuvent pas comprendre les Français puisqu’ils sont des beaufs, « analphabètes » pour beaucoup, doublés de « fainéants » au « cynisme » affligeant. Le tableau dressé ces derniers mois par Macron n’est pas reluisant. Pourquoi donc avoir voulu gouverner un tel peuple ?

La réponse est simple ! Pour lui faire les poches ! Les Français (ou Gaulois, c’est au choix) sont pris à la gorge et au porte-monnaie par Bercy. Le ministère où a régné Macron avant son opération Elysée. Le même ministère qui a lancé le haschtag « gauloispasréfractaire » sur Twitter ! Le mépris envahit toutes les maisons où passe Macron. La couardise aussi, car après plusieurs heures, Bercy a retiré son message insultant. Ça sent la petite frappe à plein nez. Insultes de loin et victimisation en guise de pseudo excuse.

Les mots ont leur importance. Les actes aussi. Ainsi Macron a montré depuis longtemps qu’on peut insulter un peuple avec des décisions. La dernière en date ? La nomination de Philippe Besson au poste de consul de France à Los Angeles. Une nomination qui prend la forme d’un gros doigt d’honneur aux Français qui voient que les amis du couple Macron sont choyés tandis que le peuple est méprisé. En Macronie, il y a deux camps. Celui des Gaulois et des losers est une masse qui ferait bien d’aller botter les fesses à une élite qui n’en peut plus d’elle même.

 

Source : 24heuresactu

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 31 août 2018

L’INSUPPORTABLE et INTERMINABLE ÉTÉ MACRONIEN. Après la rocambolesque et scandaleuse « affaire Benalla », - en fait « Lahcène Benahia, lieutenant-colonel de réserve dans la gendarmerie, comme moi je suis Evêque !-, il y a, enfin, comme un « air de rentrée », avec une odeur de cartables neufs pour des petites têtes de moins en moins blondes.


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Lesquelles vont se préparer pour  une longue année scolaire semée d’embûches : vous pensez, savoir lire, écrire et compter, quels exploits !  Les embouteillages  vont recommencer, comme les inéluctables  retards dans les transports en commun avec ses cavalcades d’usagers  qui n’en peuvent plus, ainsi que les inévitables rendez-vous syndicaux. Avec, au bout, d’inutiles et vieillissants cortèges d’appareils  militants. Sans oublier la certitude  d’un avenir plus difficile encore, pour les retraités. Merci qui ?... 
Mais tout ceci participe d’une routine. Mais, ce qui est plus grave, l’opinion va finir par s’habituer à une autre « routine » : celle des trop nombreux « faits divers » qui ont émaillé notre été français. Qu’on en juge : des dizaines et des dizaines d’agressions « diverses et variées», beaucoup de coups de couteaux assénés par des « déséquilibrés » qui, curieusement, crient à chaque fois « Allah Akbar ». Une épidémie ? Quand ce ne sont pas les allogènes eux-mêmes qui s’entretuent, comme à Alençon début août, en l’occurrence des Afghans. Le 29 juillet, c’était le jeune Adrien Perez à qui pourtant l’avenir souriait, qui périssait à Grenoble ,mortellement frappé par les frères El Habib, « des chances pour la France », comme aurait dit feu Stasi, ci-devant député-maire d’Epernay. A la fin du mois, c’est Kamel Salhi, licencié de la RATP, inscrit au FSPRT, le fichier des « apprentis terroristes »,  pour soupçon de « radicalisation », qui poignardait sa femme, sa sœur( ?) et une passante, en criant, là aussi, « Allah Akbar ». Dans la même période, à la sortie d’un match PSG/Angers joué au Parc des Princes, un jeune homme de 25 ans s’écroulait sur le quai de la station de métro Exelmans,  mortellement touché au thorax par une lame. Encore  l’acte d’un « dingue » ? En début de mois, le 8 août, un  autre étranger  égorgeait, apparemment sans raison, un passager du bus parisien 255, avant de prendre la fuite. Identifié, arrêté, mais jugé « psychologiquement instable », il pourrait échapper à la justice ! Le département de la Drôme, a lui aussi, connu  un  dramatique épisode du même tabac. 
Consulter la presse régionale aux pages des faits divers, c’est prendre un coup de massue quotidien et se démoraliser pour le reste de la journée ! 
Un bilan catastrophique 
Les violences « gratuites », pour un regard de travers, une « clope » refusée, un accrochage en voiture, sont de plus en plus fréquentes. Depuis le début de l’année, c’est de 170 à 173 000 actes de violence ( !) que la police et la gendarmerie ont enregistrés. Et encore, toutes les agressions ou tentatives de viols ou de vols, ne donnent  pas forcément lieu  à un dépôt de plainte. Les agressions sexuelles sont à la hausse, comme par exemple celles dont ont été victimes le 19 août à Nantes, plusieurs jeunes filles à la sortie d’une discothèque. Et  il ne semble pas que la pétroleuse en chef de Macron, Dame  Schiappa  ,s’en  soit émue . Quelques noms en bas de page, au mieux une « marche blanche » pour accompagner leur trépas, vite oubliées sauf de leurs proches, les victimes rejoindront l’immense répertoire  de celles et ceux qui sont tombés par la faute d’une justice laxiste, par l’absence d’un pouvoir politique,  hautain et indifférent, insensible, bref pour tout dire, inhumain. 
Un jeune Coq…. « Gaulois », vraiment ? 
Et pendant ce temps-là, notre jeune et sémillant Président de la République s’époumone sur les tréteaux, de Copenhague à Helsinki où il est en visite officielle, à étriller qui, Victor Orban, qui Mattéo Salvini, pour leur supposée  politique  « égoïste » face aux migrants, pour tout dire leur « populisme ». Ce que m’a confirmé Mr François-Xavier Lauch dans sa lettre du 30 juillet, en réponse à mon propre courrier du 26/6 interpellant justement le Chef de l’Etat sur  sa politique « immigrationniste » :-« Le repli des égoïsmes nationaux, Monsieur Emmanuel Macron en est profondément convaincu, porte le germe de la haine et de la division et il ne saurait l’accepter ». Voilà, vouloir défendre sa patrie contre une immigration sauvage, incontrôlée, illégale et illégitime,-combien de faux demandeurs d’asile ?-, c’est être porteur de « haine » ! Il en prend combien chez lui, Mr Lauch ? Poser la question, c’est deviner la réponse : aucun. « Faites ce que je vous dis, ne faites pas ce que je fais ! ». 
Et le même Emmanuel Macron de fustiger le mercredi 29 août, ces « Gaulois » que nous sommes, car nous serions hostiles à toute réforme. Le Président devrait savoir, lui, qu’il est contraire aux usages de commenter ou d’émettre une opinion sur la politique intérieure de son pays depuis une capitale étrangère. Nous  ferons respectueusement remarquer à notre « Coq en chef » que des « Gaulois », grâce à sa politique et à celle de ses prédécesseurs,  ne les oublions pas, et bien, il y en a…de moins en moins ! Une consolation dans tout cela, une cerise sur le gâteau en quelque sorte, c’est que Monsieur Hulot, à contre-courant, a enfin pris ses vacances ! 

Jean-Claude ROLINAT

jeudi, 30 août 2018

Gaulois réfractaires

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

 

 

Puisque Macron, avec sa morgue coutumière, affiche son mépris pour le peuple français,il nous rendrait service en retournant dans sa banque d'affaires. Ainsi, il pourrait se tenir loin des Gaulois réfractaires.