Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 30 août 2018

Faut-il brûler les « populistes » ?

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

 

 Article publié le 29.08.2018

   
Michel Garroté -- Les partis souverainistes, populaires et patriotiques d'un certain nombre de pays européens sont de plus en plus incontournables et ils bousculent le discours - pour l'instant dominant - des partis classiques de l'establishment politico-médiatique installé (des partis souverainistes, populaires et patriotiques accusés de "populisme" par les médiocres écrivassiers des castes médiatiques).
-
Les principaux points communs à ces partis souverainistes, populaires et patriotiques sont le refus de la migration musulmane massive, l'opposition aux institutions européennes (qui ne proposent aucune réforme des Etats et de l'UE), institutions européennes jugées - à juste titre - autoritaires et liberticides, le conservatisme éthique (avec notamment leur opposition au pape François islamophile et immigrationniste), et, pour la plupart d'entre eux, un grand respect pour le président russe Vladimir Poutine.
-
De plus, les partis souverainistes, populaires et patriotiques sont de plus en plus soutenus par le peuple car ils condamnent fermement le fait que des centaines d'Européennes et d'Européens sont violés et tués par des étrangers musulmans, des clandestins musulmans et des migrants musulmans, sans provoquer d’indignations médiatiques et sans provoquer des mobilisations chez les personnalités politiques. Bref, en résumé et en conclusion, notons que le "populisme" est devenu la seule alternative face aux puissants du moment sur le déclin.
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 29.8.2018

Il y a 60 ans, à Brazzaville, de Gaulle posait les jalons de la décolonisation de l’Afrique noire

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

Par  le 28/08/2018
fdesouche

En visite en Afrique en août 1958, Charles de Gaulle souhaite rallier les colonies du continent en une Communauté qui donnerait une certaine autonomie à ses membres, dans le but d’éviter que ces territoires ne fassent sécession. Mais moins de deux ans plus tard, ces pays accèdent à l’indépendance.

 

«Il est naturel et légitime que les peuples africains accèdent à ce degré politique où ils auront la responsabilité entière de leurs affaires intérieures, où il leur appartiendra d’en décider eux-mêmes», lance le 24 août 1958 le général de Gaulle à Brazzaville, la capitale de l’Afrique équatoriale française (AEF), qui regroupait quatre colonies françaises d’Afrique centrale […]

La Croix


24 août 2018-24 août 1958, il y a exactement soixante ans, le général de Gaulle lançait, depuis le Congo, le processus de la décolonisation devant aboutir, deux ans plus tard, à l’indépendance des pays de l’Afrique équatoriale française (AEF) et de l’Afrique occidentale française.

Le général de Gaulle, alors président du Conseil de la IVe République française, prononçait le 24 août 1958 un texte fondateur de la décolonisation lors du voyage qu’il avait entrepris dans les territoires français d’Afrique. Devant une foule enthousiaste au stade Félix-Eboué, à Brazzaville, il énonçait les principes qui devaient régir les nouveaux rapports entre la France et son empire (autonomie interne, libre détermination des territoires, création d’un vaste ensemble politique, économique et de défense) et définissait, par la même occasion, les structures institutionnelles de la « Communauté », posant avec exactitude la question de l’indépendance.

Dans ce discours, le général de Gaulle balayait toute équivoque. Dans « ce qui était alors la capitale de la France libre », il parlait ouvertement, solennellement et à plusieurs reprises d’indépendance. « On dit, nous avons droit à l’indépendance. Mais certainement oui. D’ailleurs l’indépendance, quiconque la voudra pourra la prendre aussitôt. La métropole ne s’y opposera pas… Il est nécessaire que s’établissent de grands ensembles, économiques, politiques, culturels et au besoin de grands ensembles de défense. Mais au sein de cette communauté, chaque territoire aura l’entière responsabilité de ses affaires intérieures. Chacun aura le gouvernement libre et entier de lui-même », déclarait-il.

[…]

Congo actuel

En Suède, le parti anti-immigration en ordre de marche

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

Par  le 30/08/2018
 

Avec plus de 20 % d’intentions de vote dans les sondages pour les Démocrates de Suède, le scrutin du 9 septembre en Scanie (extrémité sud du pays) pourrait chambouler le paysage politique suédois.

Avec 20 % au moins d’intentions de vote aux législatives du 9 septembre, et plus encore dans certains scrutins municipaux et régionaux organisés le même jour, la formation d’extrême droite, créée en 1988, est déjà annoncée comme le grand vainqueur de ces élections dominées par le thème de l’immigration et de l’intégration.

En 2014, les SD avaient remporté 12,9 % des voix aux législatives. Entre-temps, il y a eu la crise des réfugiés et l’arrivée de 250 000 demandeurs d’asile en Suède, en 2014 et 2015. La fermeture des frontières et le durcissement de la politique d’asile, décidés fin 2015 par le gouvernement composé des Verts et des sociaux-démocrates, n’ont rien changé. Malgré une économie florissante, les SD ont su capitaliser.

Dans les terres agricoles de Scanie, berceau historique de l’extrême droite suédoise, où vit 13 % de la population du royaume, la formation pourrait même arriver en tête des régionales. «C’est ici, rappelle le politologue Anders Sannerstedt, basé à Lund, que la modernisation du parti a commencé à la fin des années 1990.» […]

Le Monde via fdesouche

Immigration et super-classe mondiale

Publié par Guy Jovelin le 30 août 2018

POSTÉ LE 28 AOÛT , 2018

finance,immigration,pouvoir,super-classe mondiale

Une analyse logique des faits montre clairement qu’une super-classe mondiale (principalement les dirigeants des multinationales et des banques) veut mettre en place une gouvernance mondiale grâce au pouvoir de la finance.

Pour y arriver, cette oligarchie veut détruire les nations qui constituent le principal obstacle à son dessein.

Certains membres de cette super-classe ne s’en cachent pas.

Tout cela est expliqué en détail dans le livre de Michel Geoffroy « La super-classe mondiale contre les peuples ».

Il est maintenant évident (sauf pour les incultes) que l’islam n’est pas une religion de paix, mais, au contraire, une idéologie totalitaire violente et conquérante, suite au choix de la voie médinoise qu’il a fait il y a plusieurs siècles.

Plusieurs oulémas, « leaders musulmans », n’ont pas caché que leur but était d’islamiser le monde, en commençant par l’Europe occidentale qui leur paraît la proie la plus facile.

Pour s’en persuader, il suffit de lire les écrits d’historiens spécialistes de l’islam (Annie Laurent, Anne-Marie Delcambre, le père Henri Boulad, et bien d’autres).

Les dirigeants européens le savent, ce qui n’empêche pas certains de favoriser l’islamisation de leur pays.

Pourquoi ? La réponse est devenue pour moi évidente.

Le général 4 étoiles Gomart, ancien chef du renseignement militaire français, avait déclaré en 2017, avant son départ, que rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappait aux services de renseignement français et européens.

Il serait donc tout à fait possible d’arrêter, ou tout au moins de limiter fortement, ce trafic.

En réalité, la surveillance, l’intimidation et les sanctions s’exercent en France sur les opposants à l’immigration !

L’Islamisation et l’immigration massive ont pour but de détruire les nations.

Michel Geoffroy écrit : « L’immigration de peuplement est le brise-glace du mondialisme car elle permet de disloquer les États-nations en s’attaquant à leur homogénéité et à leur identité. »

L’auteur explique très bien comment, grâce au pouvoir de la finance, la super-classe mondiale fait pression sur les politiques, les médias et toute la société pour tenter d’imposer sa gouvernance.

Il est évident que Monsieur Macron (petit pion de chez Roth­schild) a été propulsé, dans des conditions particulièrement malsaines, à la tête de la France, dans ce but.

Il était bien formaté pour cela puisque, avant même son élection, il déclarait que la France avait commis un crime contre l’humanité en Algérie, qu’il n’y avait pas d’histoire de France, de culture française, etc.

Le premier devoir des États est d’assurer la sécurité de leur peuple. Mais, en fait, les dirigeants français, le président en tête, font exactement le contraire.

Seule la révolte des peuples peut stopper cette idéologie funeste pour les nations et, au final pour l’homme, mais, pour y parvenir, il est indispensable d’éveiller les consciences.

Un mouvement a commencé à se dessiner, notamment en Europe de l’Est. Il s’agit d’un combat crucial pour l’avenir de l’humanité.

 

Source : les4verites

Il faut sortir du piège de la dépense sociale !

Publié par Guy Jovelin le 30 août 23018

POSTÉ LE 28 AOÛT , 2018

budget,dépense sociale,pib

Le budget de la France est de 386 milliards d’euros (18 % du PIB). Il permet à notre pays de financer l’ensemble des dépenses de fonctionnement qui sont réparties dans les différents ministères.

Cela va des salaires des fonctionnaires aux investissements indispensables à la vie des Français : ensemble des infrastructures, armées, police, justice, loisirs, etc. Tout ce dont un pays a besoin pour fonctionner correctement.

Le social, lui, est comptabilisé séparément et son budget a fortement dérivé, pour atteindre à ce jour 34 % du PIB, soit environ 750 Mds€ – donc, à lui seul, deux fois le budget de la France et 30 % des dépenses sociales européennes.

Vient s’ajouter à cela un déficit budgétaire 2017 de 75 Mds€, avec un total cumulé de plus de 2 200 Mds €. Autant dire, et l’Europe y veille, que nous ne pouvons plus continuer comme cela !

Notre pays a donc choisi de sacrifier son développement pour satisfaire une demande de social toujours plus exigeante, mais, là, nous sommes arrivés à une impasse !

L’actualité en Italie, avec l’effondrement du pont Morandi et ses plus de 40 morts, nous invite à réfléchir sur des conséquences analogues en France, avec les quelque 800 ponts qui présentent un risque majeur.

Cela doit nous alerter sur la répartition des budgets car notre endettement, qui a déjà dépassé les limites tolérables, ne peut plus être une option, d’autant que nous demandons déjà à nos enfants de payer nos inconséquences.

L’entretien des ouvrages d’art n’est malheureusement pas le seul domaine sacrifié, il y en a d’autres potentiellement beaucoup plus dangereux. Je citerai les quatre qui me paraissent les plus urgents :
– Notre défense nationale, seule garante de notre indépendance : 34,2 Mds€ (1,5 % du PIB) pour 2018, alors que les USA y consacrent près de 700 Mds de dollars, dont 187 pour la seule lutte contre le terrorisme !
– Notre leadership dans le monde : la France a rétrogradé dernièrement à la 7e place mondiale (en date du 11 juillet 2018), alors qu’elle était 4e en 2000.
– Notre déficit commercial dans le rouge depuis 10 ans qui prouve notre faiblesse récurrente.
– Notre industrie qui voit sa part dans le PIB divisée par deux en 15 ans.

À vouloir faire toujours plus de social, on tarit, par manque de résultats économiques, la source même de financement du social au risque de ne plus pouvoir le financer. Même s’il était réduit de moitié !

Il y a donc extrême urgence à revoir la répartition de nos dépenses publiques, afin d’améliorer notre compétitivité qui sera seule garante d’une réelle justice sociale pérenne.

 

Source : les4verites