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mercredi, 05 septembre 2018

Remaniement : les copains et les coquins

Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 04 septembre 2018 

 
Ça y est ! Le remaniement a enfin été bouclé et présenté à la presse. Hulot aura a un successeur en la personne de François de Rugy. L’ancien écologiste, ex-socialiste et aujourd’hui gardien de la Macronie s’envole du Perchoir de l’Assemblée nationale pour porter la bonne parole de l’écologie. L’homme va beaucoup parler et surtout peu faire pour bien respecter les priorités de l’équipe en place. Une équipe sans Laura Flessel, une ministre des Sports dit-on populaire, mais qui aurait oublié de déclarer d’importantes sommes au fisc. Aïe !

Tous les chemins mènent à un ministère. François de Rugy l’a bien compris, mais pour un politicien aussi peu talentueux que lui, il aura fallu attendre vingt ans et de nombreux retournements de veste pour atteindre le Graal. Arrivé en haute politique en 2007 par la case député (après deux échecs de rang), il incarnait la jeune garde verte combinarde qui a fait éclore des personnes (comme Jean-Vincent Placé). Des ambitieux avides d’obtenir des postes en se prenant pour les sauveurs de la planète.

Un écolo de pacotille mais cerbère de la Macronie

Un temps pressenti pour garnir les rangs d’une Hollandie aux abois, de Rugy fut finalement le seul de la bande Duflot, Pompili, Placé à ne pas atterrir dans un ministère. Le coup fut rude pour celui qui avait tout renié pour glaner un portefeuille au moins quelques mois. Son rattachement à un socialisme mourant ne fut donc pas couronné de succès et de Rugy chercha alors une nouvelle écurie où satisfaire ses ambitions. Il retrouve la flamme au contact d’une baudruche appelée Macron. François de Rugy joue à l’écologiste de service pour le plus grand plaisir d’un Macron aux mains des lobbies car engendré par eux.

Finalement propulsé au Perchoir de l’Assemblée nationale, de Rugy se révèle être un allié précieux de la Macronie, mais un piètre défenseur des institutions et de la démocratie. L’homme veut encore et toujours son petit ministère, il atterrit dans un grand en ce 4 septembre 2018. Monsieur est désormais ministre de la Transition écologique et solidaire et ministre d’Etat. C’est très joli sur un CV, mais ça ne va pas rendre la planète plus vivable. de Rugy le sait (ça fait vingt ans qu’il est dans le circuit), mais il est parvenu à son but.

Le nouveau ministre n’est qu’un énième alibi, qui, lui, ne démissionnera pas. On ne quitte pas un navire sur lequel on a eu tant de mal à embarquer ! de Rugy restera un fidèle soldat de la Macronie et son ministère un mouroir pour les politiques réellement écologistes. Les autres prétendants au poste le savent, mais font semblant pour ne pas griller leurs quelques cartouches qu’ils croient encore détenir. Les Pompili et les Royal se disent ravies d’un tel choix alors qu’elle voulaient le ministère pour faire au moins aussi peu que de Rugy.

Un nouveau ministre qui n’aura pas le plaisir d’échanger avec Laura Flessel, éphémère ministre des Sports qui a officiellement quitté son poste pour « raison personnelle ». Un calendrier curieux puisque le Canard Enchaîné s’apprêtait à dévoiler les oublis de la ministre face au fisc. Une information confirmée par Mediapart, mais qui ne doit nullement être liée au départ surprise de la ministre… Il semblerait que la Macronie ait voulu s’éviter un nouveau scandale, mais avec les copains et les coquins qui la peuple, il n’y a qu’à tendre la main pour se retrouver avec des scandales plein les doigts. Une réalité bien connue par Richard Ferrand, un autre gardien de la Macronie qui succèdera certainement à de Rugy à la tête de l’Assemblée nationale. Pauvre démocratie française !

 

Source : 24heuresactu

mardi, 04 septembre 2018

Le billet de Franck Timmermans Rentrée scolaire : le cru 2018 de la vermine gauchiste

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

   
 
 
Rentrée scolaire : 
Non, Blanquer ne sauvera pas l’Éducation nationale!
 
Comme chaque année, la rentrée des classes sera, cette semaine, l'occasion pour le ministre en place de vanter ses réformes et de laisser entrevoir aux parents et aux élèves la perspective d'un avenir radieux de l’Instruction publique indûment appelée Éducation nationale.
L'actuel ministre, Jean-Michel Blanquer jouit, certes, d’un préjugé favorable même s’il évite soigneusement de rompre avec les pratiques de « discrimination positive » chères à ses prédécesseurs, comme en témoigne sa décision de dédoubler les classes de CP uniquement en « réseaux d'éducation prioritaires », même s’il accepte les folies de Madame Schiappa concernant l’éducation sexuelle à l'école et même s'il donne raison aux syndicats d’enseignants contre l'avis des familles en rétablissant la semaine de quatre jours. Le « détricotage » de la loi Vallaud Blekacem dans les collèges, la réintroduction de la méthode syllabique pour l’enseignement de la lecture, le renforcement de l’apprentissage des fondamentaux dans le primaire, une meilleure évaluation des élèves et des professeurs, et l’interdiction des portables dans les établissements vont bien sur dans le bon sens.
Mais, tout comme repeindre une maison en train de brûler ne l'a jamais empêché de finir en ruines calcinées, des réformes, même justes, ne peuvent entraver la marche d’un mal profond qui progressera d’autant plus aisément qu’il sera mieux dissimulé.
Une école minée par l'immigration, dominée par la culture égalitariste, habitée de l'esprit de repentance et de désidentification historique, ouverte aux mille vents des modes sociétales et aux mains des marxistes ne sera véritablement relevée que dans le changement global et radical d’un État national. Tout le reste relève de la segmentation technique et de la parcellisation progressiste version « citoyenne ».
Sur le même sujet, lire ci-dessous l'excellent billet de Franck Timmermans…
 
Le billet de Franck Timmermans
Rentrée scolaire : le cru 2018 de la vermine gauchiste
 
 
Cinquante ans après mai 1968, jamais les livres scolaires consacrés à l’Histoire, la géographie et l’enseignement « moral et civique » n’ont été aussi pernicieux, aussi engagés, aussi endoctrinés comme s’ils avaient été écrits par les maos et trotskards de naguère, réincarnés aujourd’hui en bobos fanatiques. Pour ne prendre qu’un exemple : l’ouvrage d’Histoire – géographie de l’éditeur Belin (éditeur fétiche des Conventionnels de 1792 et qui baptisa son fils « Thermidor »…), pour la classe de 3e, cycle 4, 2016, est une vraie caricature en la matière : l’iconographie puise ainsi énormément dans toutes les sortes d’affiches associatives gauchistes, la Loi sur le mariage pour tous sert de modèle à un exercice, les élèves doivent plancher sur l’éventualité d’une possible dictature en France, émanant de l’extrême droite évidemment, chacun l’aura compris, car l’idéologie de la pensée unique est partout dominante, allusive, subversive. Plusieurs pages sont aussi consacrées aux dictatures, fasciste et nazie bien-entendu, mais celle du communisme n’est évoquée qu’au travers du seul Staline, ses crimes cantonnés aux purges de 1937-1938 et rien sur le bilan des dizaines de millions de morts alors que nous sommes en plein centenaire de l’URSS et du génocide planétaire engendré par toutes les tyrannies communistes ! Tout est donc prétexte à y illustrer et promouvoir les idées de gauche à toutes les époques et leurs ramifications associatives. Et ceci est valable dans le privé comme dans l’école publique, c’est le même menu, le même catéchisme ! Alors que faire quand on est parents ? D’abord évidemment rien qui consiste à instrumentaliser votre enfant pour politiser davantage le débat en classe car les conséquences seraient funestes et raviraient nos ennemis. La résistance ne peut se faire qu’autrement : d’abord par l’adhésion à un syndicat de parents d’élèves apolitique ou réformiste car vous ne pouvez rester seuls et devez faire partager vos sentiments. Ensuite, vos réactions consisteront à interpeller par écrit l’éditeur, le directeur de l’établissement, le Ministère et, le cas échéant, le professeur lui-même bien qu’il soit souvent le propagandiste le plus zélé de ce matraquage idéologique. Mais attention aux thèmes que vous contesterez :
  • L’ensemble du cours est à l’évidence orienté : les enseignants doivent tenir compte de la diversité démocratique de 2018, respecter les libertés de l’élève et rester impartiaux.
  • Les exercices sur le mariage pour tous, par exemple, ne peuvent servir de règlements de compte rétroactifs : il conviendra donc de plaider que ce sujet, bien que la Loi soit désormais entrée en vigueur, est encore trop clivant (surtout dans le Privé) pour de nombreuses familles, à l’heure surtout où les débats sur la GPA et la PMA vont bientôt reprendre, et qu’il s’agit là d’une question fondamentale d’éthique de respecter les convictions familiales de tous bords sans créer de confrontations scolaires.
  • Les exercices sur les abondants articles consacrés aux dictatures doivent être l’objet d’une interrogation : 100 ans après la guerre civile révolutionnaire en Russie, quid du bilan catastrophique de ce système concentrationnaire et des millions de morts en URSS, en Chine, au Cambodge et partout où il s’est implanté ? Quid du génocide vendéen, lui aussi généré par une guerre civile qui a débouché sur la Terreur ? Car Hitler et Staline ne sont finalement que les émules et héritiers de Robespierre.
  • Les risques d’une dictature en France ? Il existe car le risque immédiat est de voir s’implanter en France un fort courant islamiste s’appuyant sur un réseau de mosquées et d’associations salafistes mais aussi sur l’éventuelle obtention d’un droit de vote étendu à tous les immigrés. Il n’est que de voir et d’entendre Monsieur Erdogan sillonner les villes d’Allemagne ou la Bosnie pour y prôner un Islam conquérant. Il était de bon ton ces 20 dernières années d’envisager une Turquie européenne…
  • En utilisant la laïcité comme prétexte, vous mettrez les enseignants bobos en porte à faux, face à leurs contradictions et piégés par leurs propres méthodes coercitives.
Vous ne parviendrez pas à faire changer le choix des livres imposés à vos enfants cette année mais les protestations peuvent petit à petit faire réfléchir les exécutifs sur les ânonnements gauchistes. N’oubliez pas que les professeurs les plus endoctrinés sont souvent les cibles favorites des représailles dans les quartiers des cités. Le mérite scolaire en somme…

Le Premier ministre tchèque approuve les manifs anti-immigration de Chemnitz et déclare : « Nous ne voulons pas vivre en Afrique ! »

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

Par  le 03/09/2018

 

D’après Andrej Babis, les manifestations de Chemnitz dans l’ex-Allemagne de l’Est pourraient constituer un déclencheur en Europe. Face à la crise migratoire, la République tchèque ne veut toujours pas entendre parler de répartition européenne.

Commentant les manifestations anti-immigration qui ont lieu dans l’est de l’Allemagne, le chef du gouvernement tchèque Andrej Babis s’en est vivement pris à la politique migratoire de l’Union européenne. «Chemnitz, est là, au coin de la rue !», s’est-il exclamé le 2 septembre sur un plateau de télévision tchèque, cité par le média Parlamentni Listy«J’ai expliqué en long et en large qu’il s’agit d’un combat pour préserver notre civilisation européenne et notre culture. Nous ne voulons pas vivre en Afrique ou au Moyen-Orient», a-t-il poursuivi, dénonçant les efforts menés par la Commission européenne pour faire accepter par Prague l’accueil de migrants.

(…)

RT via fdesouche

Eglise et homosexualité : le malaise des médias du Système

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018 

Eglise et homosexualité : le malaise des médias du Système

Eglise et homosexualité : le malaise des médias du Système

Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ La super classe mondiale a lancé une offensive générale contre le catholicisme en Occcident. Les médias du Système relayent donc servilement cette offensive, alors qu’ils seraient évidemment beaucoup plus prudents s’il s’agissait d’une autre religion. Mais la tournure prise par les polémiques qui traversent l’Eglise, les met désormais en porte à faux.

 L’offensive anti-catholique du Système

Le Système a lancé une offensive générale contre l’Eglise catholique en Occident d’abord parce que le cœur de la super classe mondiale, l’oligarchie économique et financière transnationale, n’adhère pas au catholicisme. On vient d’ailleurs de voir Emmanuel Macron, l’homme de la Davocratie, préférer publiquement les luthériens danois aux gaulois rétifs : ce n’est pas qu’un simple trait d’humour comme il a tenté de le faire croire.

L’offensive contre le catholicisme s’inscrit en effet dans l’attaque que l’oligarchie conduit contre l’identité européenne en général et française en particulier : car le catholicisme c’est justement le christianisme façonné par les Européens.

En s’attaquant à l’Eglise, le système poursuit donc sa politique d’épuration culturelle en Europe, avec notamment le relai actif en France des milieux dits « laïcs » qui ont été réveillés de leur torpeur pour la circonstance.

Le patronat ne voit pas non plus d’un mauvais œil la déconstruction des fêtes chrétiennes, qui constitue une autre façon de remettre en cause la protection des salariés.

Enfin, le Système s’attaque aussi à l’Eglise catholique car il la perçoit à juste titre comme faisant obstacle aux « réformes sociétales » qu’il veut entreprendre pour déconstruire l’institution familiale. L’ampleur de la réaction populaire de la Manif Pour tous en France est restée dans toutes les mémoires oligarchiques !

La surmédiatisation de la dénonciation de la pédophilie

La dénonciation de la pédophilie dans l’Eglise a donc été surmédiatisée, pour l’affaiblir, cette médiatisation ne visant avant tout que les ministres du culte catholique.

Cette orchestration n’est d’ailleurs pas sans rappeler la dénonciation de la corruption des mœurs ecclésiastiques à la veille de la Réforme. Car l’attaque contre l’Eglise catholique ouvre aussi la voie à la progression de l’évangélisme, variante du puritanisme, en Europe et en Afrique, une progression qui convient très bien à l’oligarchie.

Sans évoquer bien sûr aussi la progression de l’Islam en Europe, qui est objectivement encouragée par la Davocratie immigrationniste.

Un changement de cible qui perturbe les médias

Malheureusement pour les médias, la controverse qui frappe l’Eglise porte désormais sur la question de l’homosexualité et plus précisément sur la complaisance supposée du Vatican à son égard.

A noter que cette nouvelle vague de dénonciation vient d’Amérique ce qui n’est peut-être pas un hasard non plus. Aux Etats-Unis, les catholiques ne représentent que le ¼ de la population [1] et ont toujours été suspectés de déviance par rapport au modèle américain qui repose avant tout sur le protestantisme puritain. La polémique et les accusations sont notamment portées par Mgr Carlo Maria Vigano, ancien nonce apostolique aux États-Unis et par le procureur de Pennsylvanie Josh Shapiro [2].

Cette nouvelle polémique constitue un virage très difficile à négocier pour les médias du Système.

En effet, ils présentaient avant tout l’Eglise et les catholiques comme des homophobes forcenés au motif qu’ils dénonçaient les réformes sociétales. Et voilà que des prélats dénonceraient l’existence d’un lobby homosexuel au sein de l’Eglise ?

En outre le Système n’a cessé de banaliser et de normaliser l’homosexualité : et il faudrait la dénoncer dans l’Eglise ? Ou l’associer à la pédophilie ?

Enfin la polémique touche également le Pape François qui passait justement pour un Pape « progressiste », puisqu’il prenait position pour l’accueil des migrants, donc pour la politique du Système. C’est pourquoi les médias mainstream aimaient le citer si souvent…

Un emballement médiatique pour masquer le malaise du Système

Pour essayer de masquer ces contradictions, les médias ont pour le moment choisi de s’en tenir à leur ligne initiale, en surfant sur une expression employée par le Pape François dans l’avion qui le ramenait d’Irlande le 26 aout dernier.

L’emballement médiatique porte en effet sur le fait que le Saint Père aurait indiqué qu’il faudrait avoir recours à la psychiatrie si un enfant avait des tendances homosexuelles. Psychiatrie, le « mot polémique » comme écrit Le Monde.

Ce qui a permis de déclencher un beau tollé médiatique, orchestré par les lobbies LGBT et relayé par Mme Schiappa, toujours en mal de publicité. Le Pape est donc homophobe puisqu’il considère l’homosexualité comme une maladie ! C’est odieux ! C’est incompréhensible et indéfendable tonne Mme Schiappa !

Un emballement en porte-à-faux

En réalité, cet emballement est, comme souvent, complètement artificiel.

Il est d’abord manifeste que le Pape François adopte vis à vis de l’homosexualité en général une attitude plus tolérante que la doctrine classique de l’Eglise. D’où d’ailleurs des tensions au sein de l’Eglise avec les tenants d’une approche plus traditionnelle de la foi et dont certains se trouvent justement aux Etats-Unis.
On ne peut donc le présenter sérieusement comme homophobe.

D’autant que l’examen des propos réellement tenus le 26 août par le Saint Père en réponse à la question « que pourrait dire un père catholique à son fils lorsqu’il apprend que celui-ci est homosexuel », montre que le recours à la psychiatrie ne tient qu’une part tout à fait marginale dans ses propos, qui prônent au contraire l’ouverture  et la compréhension vis-à-vis de l’homosexuel dans sa famille. C’est d’ailleurs ce que reconnaît avec honnêteté Le Monde du 27 août [3].

Enfin, comment présenter le Pape comme homophobe au moment même où certains mettent en cause publiquement la complaisance prétendue du Vatican vis-à-vis des prêtres homosexuels ?

La suite au prochain bobard

En France, le buzz médiatique fait autour des propos du Pape a bien sûr servi aussi à détourner opportunément l’attention sur le fait que les mauvais résultats s’accumulent pour la présidence Macron en cette fin de l’été (aucune avancée au plan international, mauvais sondages, croissance atone – la plus mauvaise au sein de la zone euro [4] – affaire Benalla et maintenant démission du ministre Hulot).

Mais la polémique ouverte sur l’homosexualité dans l’Eglise n’en est manifestement qu’à ses débuts, d’autant que le Pape n’a pas encore répondu aux affirmations de Mgr Carlo Maria Vigano.

Il sera donc intéressant de voir, dans les prochaines semaines, par quels bobards le système médiatique va essayer de continuer à diaboliser l’Eglise et son Pape tout en défendant la normalité de l’homosexualité !

Michel Geoffroy
04/09/2018

[1] 22% de catholiques contre 46% de protestants repartis en différentes « églises »
[2] « Le Vatican était au courant des abus et était impliqué dans leur dissimulation » déclare J.Shapiro
[3] Article de Cécile Chambraud
[4] 0,4% en France contre 0,8 au 1er semestre 2018 dans la zone euro

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : ECQD [CC BY 2.0], via FlickR

 
 

 

Macron en chute libre…

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

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Plus impopulaire que son prédécesseur Hollande à la même époque, Emmanuel Macron, celui qui veut faire de la France une start-up cosmopolite, est en chute libre dans les sondages.

Le désamour avec les Français est là et bel et bien là !

D’après un sondage publié aujourd’hui par Paris-Match « seuls 31% des Français sont satisfaits de l’action du président de la République. En recul de dix points dans notre tableau de bord politique Ifop-Fiducial, Emmanuel Macron paie à la fois un été calamiteux et une rentrée horribilis. »

Affaire Benella, démission de la Hulotte, mauvais coup de com avec la suppositionDany le Rouge’ comme ministre, pataquès sur le prélèvement à la source, plombent la popularité de Macron auprès des Français :

 » Les Français semblent déçus par sa capacité à renouveler la fonction présidentielle (47%, -5), sa vision de l’avenir (35%, -10) et sa politique économique (32%, -6). Preuve que la déception des Français se concentre d’abord sur la personnalité du chef de l’Etat qu’ils ont élus l’an passé : le Premier ministre Edouard Philippe ne perd que 3 points (35%). »

Paris-Match ne l’évoque pas mais la politique pro-migrants de Macron doit être pour quelque chose dans cette dévaluation du banquier de chez Rothschild entré au Palais de l’Élysée !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info