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jeudi, 06 septembre 2018

Halte à la robotisation à outrance !

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 septembre 2018

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La course à la robotisation des tâches est loin d’être une fatalité. Plus que jamais attachées à la qualité de la relation client, des sociétés comme SFAM ou Akio misent sur l’humain.

Dans un contexte médiatico-politique qui clame que ce qui est nouveau est forcément mieux, la robotisation de l’économie est considérée comme une excellente nouvelle. Finies les tâches les plus ingrates, les robots sont voués à remplacer les travailleurs précaires. Ça, c’est pour le côté pile. Le côté face est beaucoup moins reluisant, notamment pour ce qui est de la destruction de centaines de milliers d’emplois. Un virage extrême que certaines entreprises comme SFAM et Akio refusent de prendre pour le plus grand bonheur de leurs salariés et… de leurs clients.

Tout est à portée de clic. Une commande à faire, un virement à effectuer, un rendez-vous à prendre. Tout se fait désormais en quelques secondes. Plus besoin d’entrer en contact avec un humain. Les serveurs informatiques s’occupent de tout et même de la relation client. Les robots sont censés pouvoir répondre à toutes les demandes, mais la pratique montre que cela n’est ni possible ni souhaitable. Alors oui, les robots permettent, dans certains cas, de faire des économies substantielles. C’est vrai, mais bien souvent au détriment de la relation client.

SFAM embauche… des humains!

Ainsi, la société SFAM spécialisée en assurance mobile et multimédia est aujourd’hui en plein essor, notamment grâce à une ressource unique : ses employés. Dans un secteur particulièrement touché par la robotisation, SFAM a fait le choix d’embaucher 1 000 personnes en CDI en 2018 pour contribuer à son développement et même l’accélérer. Si SFAM a fait le choix de grossir ses rangs, c’est notamment parce qu’elle porte une attention particulière à la qualité de sa relation client.

Et les clients en ont marre de converser par téléphone avec des serveurs vocaux qui leur rabâchent sans cesse ne pas avoir compris leurs demandes. « Les marques sont souvent engagées dans une course perpétuelle à la réduction des coûts et elles peinent à voir le service client comme un centre de profit », estime Patrick Giudicelli, président et fondateur d’Akio, éditeur de logiciels dédiés à l’expérience client. Or, « ce qu’attend le consommateur, c’est le sentiment que sa demande, quelle qu’elle soit, sera prise en considération ». Une réalité que SFAM a semble-t-il bien comprise.

Le secteur de la banque-assurance est pourtant parmi les premiers frappés par les pertes d’emplois dues à la robotisation. Selon une étude de l’Institut Sapiens, rien que dans le secteur bancaire, 135 000 emplois (sur 356 000 en 1986) ont été supprimés en à peine 30 ans. Le phénomène n’est pas anodin et appelle à une large réflexion et une approche différente du travail.

De nombreuses pertes d’emplois à venir

Les robots sont destinés à occuper les travaux les plus pénibles et dangereux. C’est souvent vrai, mais que faire des milliers de salariés mis sur la paille par des machines qui peuvent travailler jour et nuit ?  La question se pose dans tous les pays du monde et est l’objet d’études et de prospectives plus ou moins avisées.

L’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, Andy Haldane, a récemment tiré la sonnette d’alarme : « ce que nous pouvons, je pense, affirmer avec certitude, cependant, est que l’ampleur des pertes d’emplois est susceptible d’être au moins aussi importante que celle des trois premières révolutions industrielles ». Autrement dit, les 6,5 millions de chômeurs (catégories A, B et C) en France vont être rejoints par des centaines de milliers d’autres au bas mot.

Ce qui est détruit d’un côté est créé de l’autre, clament les tenants d’une robotisation à outrance. Cela n’est pas vrai au début et il faudra des décennies pour amortir le choc qui se prépare. La France a-t-elle les moyens économiques et moraux de laisser végéter des millions de sans-emploi sans aucune perspective d’avenir à moyen terme ? Non ! Un autre futur est possible et s’écrit dès aujourd’hui.

 

Source : 24heuresactu

Com’ : Macron procède à son vrai remaniement

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 septembre 2018 

C’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour l’exécutif. Après les scandales en série et la symphonie des couacs inspirées de son mentor Hollande, Macron veut tourner la page et écrire un chapitre brillant de son quinquennat. Pour cela, il a saupoudré la France de poudre de perlimpinpin en mettant de Rugy au ministère de la Transition écologique et en sortant Flessel avant qu’un énième scandale n’éclabousse cette bande de bras cassés. Mais le plus important se passe ailleurs. Il s’agit de revoir la cellule de communication du président. Un haut lieu de la Macronie puisque la com’ en est la quintessence même !  

C’est la crise à l’Elysée ! L’été a laissé la Macronie chancelante, incapable de balayer devant sa porte et d’assumer les échecs politiques et les scandales qui mettent pour certains d’entre eux la démocratie en danger. Les professionnels de l’entourloupe ont montré qu’ils étaient des amateurs dans le domaine de la communication. Un art qu’ils étaient censés maîtriser à en croire les médias qui s’étaient tous agenouillés devant le pouvoir en devenir. Les choses ont changé (un peu) et on commence à voir apparaître des titres moqueurs et des interventions un poil critiques vis-à-vis de Macron. Nos chers journalistes tirent dans le sens du vent et il est peu de dire qu’il est mauvais pour la Macronie.

Changement d’illusionniste en vue

Le président Macron est dans une telle impasse qu’il réussit l’exploit d’être encore plus impopulaire que Hollande après à peine plus d’un an en poste. Le chef de l’Etat est crédité de 31 % d’opinions favorables. C’est une chute de 10 points par rapport au début du mois de juillet. Un beau gadin mérité à la lumière des révélations qui illustrent la manière dont le pouvoir est exercé. Même Hollande faisait mieux en son temps avec 32 % d’opinions favorables. La trajectoire de son traitre de successeur est identique et on peut même se prendre à espérer une fin de quinquennat anticipée. Pour cela il faudra une bonne dose de politiques néfastes pour les Français et des scandales si gros qu’on a peine à les imaginer.

Mais qui aurait pu inventer un couple diabolique comme Benalla-Macron ? Cela relevait d’un film entre science fiction et épouvante. Ils l’ont fait et vu l’ADN de ceux qui nous gouvernent, des histoires au moins aussi sales ne manqueront pas de sortir. A moins que… A moins que la communication de l’Elysée se reprenne et ne boucle une bonne fois pour toutes toute expression un peu contestataire ou curieuse. L’équipe en place a fait preuve de sa grande incompétence, alors le vrai remaniement à lieu en ce moment même au saint des saints.

Cible numéro un : Bruno Roger-Petit. L’ancien journaliste qui faisait tellement la promotion de Macron pendant la campagne qu’il en dégoutait ses collègues a obtenu le porte-parolat de l’Elysée pour services rendus. Un porte-parole discret qui aurait bien fait de le rester, car il a bien handicapé son équipe en racontant n’importe quoi dès que l’affaire Benalla a éclaté. Mais en Macronie, la différence entre le n’importe quoi et le storytelling est très mince et Roger-Le-Petit communicant s’est pris les pieds dans le tapis rouge de l’Elysée. Ses anciens confrères attendent son éviction imminente surtout que le Monsieur discours de Macron va chapeauter l’équipe de com’ de l’Elysée. Une équipe où l’on retrouve l’unique hashtag « La meuf est dead ».

Ce n’est pas avec un tel remaniement que les choses vont mieux aller en Macronie. C’est bien dommage pour elle, car la Macronie ce n’est que du cynisme recouvert de com’. Il serait bon de revoir un peu la qualité des architectes du vide, car au rythme où descend Macron, il ne sera plus bon qu’à jouer au bouffon se prenant des tomates dans une tournée l’amenant de Paris à Chemnitz sans oublier Rome et Budapest. Un joli tour d’Europe, certes, mais qui n’était pas prévu dans les plans initiaux.

 

Source : 24heuresactu

Emmanuel Macron reçoit les francs-maçons à l’Élysée

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

 Ce soir :

Unknown-12"« C’est la première fois que le président les invite tous ensemble à l’Élysée depuis son entrée en fonction », a affirmé le GODF. Interrogé, l’Élysée n’avait pas fait de commentaire sur cette rencontre.

Selon un invité, sont conviés, outre le GODF, la Grande loge de France, la Fédération française du droit humain, la Grande loge féminine de France, la Grande loge nationale de France, la Grande loge mixte de France, la Grande loge de l’Alliance maçonnique française ou encore la Grande loge traditionnelle et symbolique Opéra.

Le thème de « la laïcité, alors que le président a promis un grand discours sur ce sujet, très attendu » sera au menu de cette rencontre, tous comme les questions de « bioéthique, l’Europe et le développement durable », selon cette source."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 05 septembre 2018

Grèce : les migrants mettent le feu à leur centre d’accueil pour protester contre la qualité de la nourriture.

Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2018

 

Le 20 août, un incendie s’est déclaré dans le camp de réfugiés de Pylaia, à Thessalonique, pour protester contre les «mauvaises conditions de vie» et la mauvaise qualité de la nourriture fournie.

Les mineurs non accompagnés ont causé des dégâts matériels puis ont mis le feu à leurs matelas, selon les premières informations.

Pendant ce temps, une forte proportion de citoyens grecs ne possède pas la capacité financière nécessaire pour couvrir ses besoins les plus élémentaires, tels que la nourriture et le logement, en raison de la profonde crise économique que connaît la Grèce depuis huit ans.

 

Origo.hu

Voice of Europe

Seleo.gr via lesobservateurs

Festival de musique réservé aux femmes et transgenres mais interdit aux hommes

Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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Suède – Le festival de musique Statement s’est tenu à Göteborg. Ce festival avait fait beaucoup parler de lui l’an dernier en raison du grand nombre d’agressions sexuelles qui y avaient été commises. La polémique avait pris d’autant plus d’ampleur qu’un grand nombre des agresseurs sexuels étaient décrits comme des immigrés. Dans un pays très accueillant envers les demandeurs d’asile, l’affaire avait créé un véritable traumatisme. D’autant plus que le phénomène s’était reproduit lors de plusieurs festivals. Notamment celui de Bravalla, le plus important de Suède, annulé cette année.

Et que croyez-vous qu’il est advenu ? Bien sûr, il ne fut pas question d’en tirer des leçons concernant l’immigration. Non, les féministes ont préféré prendre l’affaire en mains et tout simplement stigmatiser l’ensemble des hommes hétérosexuels.

La comédienne suédoise Emma Knyckare, fondatrice du festival, avait écrit sur Twitter :

 «Que penseriez-vous d’un festival génial où seules les non-hommes sont bienvenues jusqu’à ce que TOUS les hommes apprennent à bien se tenir».

Ainsi, les agressions sexuelles ont servi de prétexte pour mettre en place une nouvelle propagande féministo-LGBT.

Et les organisatrices du festival Statement ont réservé l’accès aux femmes… et aux transgenres nés hommes mais considérant être des femmes.

A la suite de plusieurs plaintes pour discrimination, l’agence gouvernementale pour l’égalité avait demandé au festival Statement de préciser ce qu’il entendait par «cis men». Il fut répondu qu’il s’agit des hommes se considérant des hommes et donc interdits de festival.

Ce monde est devenu fou !

 

Source : medias-presse.info