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mardi, 28 août 2018

Saint-Tropez (83) : A nouveau soupçonné de viol, le chanteur marocain Saad Lamjarred mis en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Par  le 27/08/2018 

Soupçonné de viol, le chanteur marocain Saad Lamjarred a été placé en garde à vue gendarmerie de Saint-Tropez (Var) dimanche matin, a-t-on appris auprès du parquet de Draguignan. Les faits se sont déroulés dans un établissement de Saint-Tropez dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-il indiqué, et une enquête en flagrance a été diligentée à la suite de la plainte d’une femme pour « faits caractérisés de viol ».

La star marocaine, dont les clips ont été visionnés des millions de fois sur Internet, avait déjà été mise en examen en octobre 2016 à Paris pour « viol aggravé » et « violences volontaires aggravées » et écroué. A la veille d’un concert qu’il devait donner, une jeune femme de 20 ans avait porté plainte affirmant avoir été agressée quelques heures plus tôt par le chanteur dans la chambre d’hôtel de ce dernier.

Défendu par Mes Dupond-Moretti et Jean-Marc Fedida, Saad Lamjarred avait été remis en liberté en avril 2017, sous bracelet électronique, à la suite d’une décision de la cour d’appel de Paris. En mars dernier, autorisé par la justice française à voyager au Maroc, Saad Lamjarred, célèbre dans le monde arabe pour son titre « Enty » (91 millions de vues sur YouTube), avait lancé la promotion de son dernier single, « Ghazali Ghazali ».

Le chanteur a par ailleurs été mis en examen pour « viol » le 11 avril dans une enquête ouverte après la plainte d’une jeune Franco-Marocaine affirmant avoir été abusée et frappée par le chanteur, à Casablanca en 2015. Il a également été mis en cause aux États-Unis dans une affaire de viol présumé datant de 2010, mais les poursuites ont été abandonnées.

Le Parisien via fdesouche

L’Europe bruxelloise en guerre : la police recule partout devant les migrants

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Police Recule Migrants Guerre Europe Bruxelloise

La « crise des migrants » engendre logiquement une guerre en Europe. Alors que l’Est résiste à l’envahisseur, dans les pays sous influence bruxelloise la police recule devant des migrants de plus en plus sûrs d’eux et dominateurs. Au point que c’est aux militaires d’être attaqués.
 
En 2014, les médias dominants dans l’Europe bruxelloise ont nommé « crise des migrants », l’intrusion brutale, en sus de l’immigration habituelle, tant officielle que « clandestine », de centaines de milliers d’immigrés supplémentaires inassimilables, en majorité mâles et jeunes, par un abus manifeste de deux mots attachés à deux droits très anciens et respectables, l’asile à terre et la détresse en mer. Cet abus était conscient et organisé, afin de subvertir et d’exploiter, en vue d’une invasion planifiée par l’ONU, la compassion pour le malheureux, et le vieux devoir de solidarité humaine que souffle à chacun sa conscience.
 

Officiel : pour le HCR de l’ONU les migrants ne sont pas des réfugiés 

 
Aujourd’hui l’imposture est éventée. Le HCR, le Haut comité aux réfugiés de l’ONU, confirme ce que le téléspectateur pouvait voir sur son écran : 75 % au moins des migrants sont des hommes, d’âge compris entre vingt et quarante ans, les « mineurs », quand on parvient à leur donner un âge, ont souvent 35 ans, ils viennent de pays qui ne sont pas en guerre pour la plupart, et même dans le cas contraire, on a vu des Syriens, par exemple, retourner chez eux le temps des vacances avec l’argent du contribuable allemand. En d’autres termes, ces migrants ne sont, dans l’ensemble, pas des réfugiés, ce sont pour une part des immigrés « économiques », les autres étant des prédateurs, comme l’actualité nous le montre.
 

A Ceuta, l’attaque d’une horde de mâles en guerre

 
Les 116 migrants qui viennent d’envahir l’enclave espagnole de Ceuta étaient tous jeunes, en bonne santé, sportifs, n’ayant visiblement été brimés ni maltraités par personne. Ils ont escaladé les grilles vivement, et, pour repousser la police, lui ont jeté des excréments et de la chaux, causant pas mal de blessures. La police a reculé. Ils sont passés, faisant des V de la victoire et pour certains remerciant Allah, le grand, le miséricordieux, de la victoire qu’il leur avait donnée. On peut tourner les mots dans tous les sens, on n’empêchera pas la chose d’être un acte de guerre. Une guerre d’un genre nouveau puisqu’au lieu de planter leur drapeau en terre espagnole et européenne, ils ont brandi les drapeaux de l’Espagne et de l’Europe bruxelloise. Cela signifie plus que : nous vous vainquons. Cela signifie : nous sommes vous demain, nous vous éliminons, nous vous remplaçons.
 

Les dépouilles de l’Europe bruxelloise : argent, tueries, femmes

 
Sans doute Pedro Sanchez a-t-il renvoyé au Maroc, deux jours plus tard, ces envahisseurs victorieux (Pourquoi au Maroc ? C’est chez eux qu’il fallait renvoyer ces migrants, avec une sévère admonestation à leur gouvernement), mais le mal était fait. La police avait reculé. Comme partout en Europe bruxelloise. Et ce recul est un appel à tous les envahisseurs : vous pouvez y aller, une fois entrés vous jouirez sans entrave des grasses dépouilles de l’Europe bruxelloise, ses allocations, ses foyers d’accueil, ses répartitions administratives, ses distributions de nourriture (prévoir toutefois ses propres épices, la cuisine manque parfois de piment, à Calais par exemple), ses femmes faciles à attraper et à violer sur la voie publique.
 

La police recule devant la synergie migrants-immigrés plus anciens

 
La guerre en Europe bruxelloise est en effet fraîche et joyeuse pour ces jeunes mâles aux appétits de conquête non inhibés par le politiquement correct : tout est butin, les promeneuses de la Saint-Sylvestre à Cologne, les passants que l’on poignarde en criant – ou pas -Allahou Akbar, et bien sûr le bien d’autrui, droit d’aubaine pris sur les infidèles. De la Suède à la Sicile, les migrants ont changé l’insécurité en Europe bruxelloise, ils font une guerre de rapine, un gigantesque rezzou pour une gigantesque razzia. Et la police dans tout ça ? Eh bien, la police recule. Car, en bagarre avec les migrants, mais en synergie avec eux lorsqu’il s’agit des keufs, il y a les bandes de banlieue. La police se fait caillasser et tabasser dans les « quartiers ». Chacun a en mémoire les policiers lynchés pour la Saint-Sylvestre (encore ! C’est le patron de l’immigration turbulente) à Champigny-sur-Marne. Ou les policiers cramés dans leur voiture à Viry-Châtillon. Et l’on ne compte plus ceux qui sont tués par les terroristes, déséquilibrés et loups solitaires issus de l’immigration.
 

La police recule : la grande trouille du grand rezzou

 
Résultat, la police a peur. Devant la foule allogène et criminogène, elle recule. Ses voitures s’enfuient. Ses membres reculent en tâchant de rester groupés. Ce n’est pas propre à la France. En Italie, en Espagne, la consigne est de reculer jusqu’à l’arrivée de moyens supérieurs du type canon à eau. L’héroïsme est déconseillé. En Belgique, à Spa, un policier vient de se faire abattre pour être intervenu par une dispute. La vraie guerre arrive. Elle se fait de moins en moins au cocktail Molotov improvisé ou au couteau, plus à l’arme à feu. Récemment à Marseille, un petit rezzou s’est offert une fantasia à la Kalachnikov. 
 
De nombreuses vidéos circulant sur le net mettent en image les effets de cette terreur sur le moral des policiers, de la Grèce à la Scandinavie. Les équipes de deux ou quatre policiers en voiture sont systématiquement prises à partie. Comme l’usage de leur arme leur est interdit, les policiers se font repousser, insulter, molester par des adversaires supérieurs en nombre ou simplement en agressivité, et ne reçoivent naturellement aucune aide de la population, au contraire.
 

Terrorisme et migrants font partie d’une même guerre d’invasion

 
Il y a trois ans, Daech menaçait de pousser 500.000 migrants à envahir l’Europe. Il y en a deux, le président tchèque Milos Zeman accusait les Frères musulmans d’avoir provoqué le début de la crise des migrants. Ces informations, parues dans le Point et le Figaro, n’ont pas été démenties. Il y a une guerre dont l’Europe bruxelloise est le théâtre, une guerre d’invasion où s’articulent immigration et terrorisme. Dans cette guerre, les militaires de l’opération sentinelles sont souvent attaqués eux aussi. Leur bilan est meilleur que celui de la police. Mais, même quand ils ont le droit d’ouvrir le feu comme tout récemment à Lille, ils laissent leurs agresseurs s’enfuir sans trop de mal. Les consignes données par l’Etat sont de ne pas s’opposer aux envahisseurs. Ce qui a pour effet, visible sur toutes les vidéos, que les migrants et certains immigrés plus anciens ne considèrent pas les forces de l’ordre comme les représentants de la loi d’un pays qu’ils respectent, mais comme une bande ennemie, contre laquelle il est loisible de se battre, et qu’il est gratifiant d’humilier.
 

Europe bruxelloise : guerre civile entre orthodoxes et hérétiques

 
C’est là qu’entre en jeu la guerre civile qui enflamme l’Europe bruxelloise entre les orthodoxes, Allemagne, Benelux, Espagne, Grande-Bretagne, et les hérétiques, c’est-à-dire le groupe de Višegrad auquel s’ajoutent depuis peu l’Autriche et l’Italie. Là-bas, la police ne recule pas, ou plus, devant les migrants, et les frontières sont défendues. C’est pourquoi Macron et Philippe morigènent Salvini : il est coupable de deux choses, d’agir et d’être populaire, à l’inverse d’eux, et, à l’inverse d’eux, de s’opposer au diktat du mondialisme qui a décidé la léopardisation de l’Europe. 
 
A preuve les récentes déclarations de Josep Borell, le ministre espagnol des affaires étrangères, considérant les migrants comme le « sang neuf » de l’Europe, confirmées par celles du leader wallon André Antoine qui fait le « choix démographique » de l’immigration, et par celles du président allemand Franz-Walter Steinmeier, lui aussi favorable à la poursuite de l’immigration, qui nie l’existence « d’Allemands de souche ». Pour ces fanatiques de l’Europe bruxelloise, l’ennemi c’est Salvini, Orban, c’est Kurz, ce ne sont pas les migrants envahisseurs ni les immigrés délinquants ou criminels : et c’est pourquoi la police recule, laissant les citoyens sans défense.
 

Pauline Mille

https://reinformation.tv/police-recule-migrants-guerre-eu...

 

Source : leblogalupus

Un nouveau suicide démographique recommandé par les féministes : faire l’amour aux arbres

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Féministes Ecosexuelles Amour Arbre

Les pratiques dites « écosexuelles » sont tendance. Une étude américaine montre que la chose se répand particulièrement dans les milieux féministes. En faisant l’amour aux arbres, elles communient avec la nature, sauvent l’environnement et luttent contre le patriarcat.
 
Cela n’a rien d’un canular. Les Anglo-Saxons sont friands de ce qu’ils nomment des études « académiques », comme le montre le bonnet carré qu’ils arborent à la fin de leurs études. Un texte de cette nature vient de paraître dans le journal Feminist Theory, publié par le professeur Lauran Whitworth du St. Mary’s College of Maryland et porte sur les préoccupations et pratiques « écosexuelles », terme qu’on nous dit de plus en plus répandu dans les conversations d’outre-Atlantique.
 
Le professeur donne trois acceptions au terme. 1. Une personne qui trouve la nature sensuelle, sexy. Cela, ce n’est pas neuf. Le Tityre de Virgile aimait à se reposer sous le couvert des hêtres dans la chaleur de l’été, y jouer de la flûte en pensant à sa belle, certainement en respirant des fleurs et mangeant des framboises. 2. Une nouvelle identité sexuelle. Je le note dès aujourd’hui, cela aura des conséquences politiques, il sera bientôt interdit de discriminer les écosexuels (exemple : je ne pourrai pas refuser de louer à des écosexuelles, et tant pis pour les arbres du jardin). 3. Personne qui prend la Terre pour son amoureuse. C’est là que ça se corse, et Madame Withworth nous explique.
 
L’aventure écosexuelle a selon elle commencé avec les écologistes, qui recommandaient l’usage de produits écolo-friendly pendant l’acte sexuel, par exemple des capotes issues du commerce équitable ou des gels entièrement naturels. Mais les véritables écosexuelles vont beaucoup plus loin. Mme Withworth décrit ainsi une première rencontre amoureuse entre une jeune fille et les séquoias géants du Yosemite Park en Californie : » J’aimais le parfum du tronc, vanille mêlé de terre. Je me souviens très fort d’être tombée sur un séquoia arraché par une tempête. Je l’ai contourné et j’ai goûté ses racines fraîchement sorties de terre. Si douces, si sensuelles, si sexy. Il fallait que je les touche. » 
 
En fait, tout est dans le passage du « sensuelle », chacun sait que la nature l’est, au « sexy ». Mme le professeur Withworth semble en connaître là-dessus un rayon. Pour elle, faire caca dans la nature est une pratique écosexuelle. Selon elle, « l’écosexualité magnifie le charnel et le grotesque ». Peut-être est-ce en cela qu’elle plaît aux féministes, qui doivent se délasser de leurs incessantes études et de leurs veilles austères. Le site Breitbart relevait ainsi en 2016 que des féministes écosexuelles prenaient un plaisir sérieux à se masturber sous les cascades et à l’ombre des arbres pour sauver la planète. En septembre 2017, on apprit qu’un professeur de l’Université de Californie Sant Cruz exhortait ses étudiantes à faire l’amour avec la Terre dans le dessin de la préserver. Et en avril de cette année, c’est un enseignant de l’université du Michigan qui écrivait sur l’importance de « parler érotiquement aux plantes ». Pendant ce temps-là, les Chinois et les Subsahariens font des enfants. Il y a quarante ans, les pacifistes étaient à l’Ouest et les SS 20 à l’Est, aujourd’hui la bombe démographique est au Sud et les féministes au Nord.

Pauline Mille

https://reinformation.tv/feministes-ecosexuelles-amour-ar...

 

Source : leblogalupus

Épidémie de choléra en Algérie

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

 

algérie,choléra,épidémie

L’épidémie de choléra s’étend en Algérie, où deux personnes sont mortes et 46 personnes ont été contaminées depuis début août. Pas de quoi donner envie d’accueillir de nouveaux immigrés algériens en France…

 

 

Source : ndf

Et la pédophilie au sein de la communauté juive…

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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La pédophilie est un crime abominable qui doit être réprimé avec la plus grande sévérité, cela ne fait aucun doute et il ne doit y avoir à ce sujet aucune exception. Or, si les médias dominants occidentaux ne manquent pas une occasion de faire leurs gros titres au sujet d’affaires de pédophilie impliquant des clercs catholiques, quitte à entretenir une confusion des chiffres en mêlant des affaires vieilles de 70 ans avec des dossiers actuels, ces mêmes médias dominants se font particulièrement muets au sujet de l’ampleur des scandales de pédophilie au sein des communautés juives.

Pourtant, il existe un organisme juif, Amudim, dirigé par le rabbin Zvi Gluck, qui traite particulièrement le sujet des abus sexuels pédophiles au sein de la communauté juive ultra-orthodoxe.

Depuis sa création en 2014, l’association Amudim a pris en charge environ 5.000 cas.

Le siège principal d’Amudim se trouve à New York, mais des bureaux ont récemment été ouverts en Israël. Et le rabbin Gluck explique qu’Amudim reçoit quotidiennement des appels du monde entier.

Le rabbin Gluck s’est d’abord intéressé au problème de la toxicomanie au sein de la communauté juive ultra-orthodoxe. « J’ai réalisé que beaucoup de gens que j’étais amené à aider avaient été victimes de violences sexuelles dans l’enfance et qu’il n’y avait pas vraiment de choses mises en place pour les aider », explique-t-il. « J’ai fait mon premier discours public sur ce sujet, qui a fait beaucoup de bruit dans la communauté juive, au mois d’octobre 2010. » Des propos qui n’ont pas plu au sein de sa communauté. Mais il précise : « mon père étant très influent, mes détracteurs n’ont pas pu s’exprimer publiquement contre moi », contrairement à un grand nombre d’autres personnes qui se sont attaquées aux scandales pédophiles au sein de la communauté juive et qui ont été chassées de leurs villes et traînées dans la boue.

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Mais ce n’est que depuis 2015 que l’association Amudim organise des conférences sur le sujet et met le doigt sur le problème de la pédophilie au sein des écoles juives orthodoxes.

Le rabbin Gluck souligne que le budget annuel d’Amudim est passé de 380.000 dollars en 2014, à 3,9 millions de dollars en 2017. Selon le rabbin, Amudim a déjà géré 2.166 cas au cours des six premiers mois de 2018 et reçoit 40 à 50 nouveaux dossiers chaque semaine et environ 200 appels par jour. Avant de préciser : « Entre 35 et 40 % de nos clients ne sont pas pratiquants. Nous travaillons désormais avec deux programmes laïcs en Israël. Je dirais que c’est davantage juif que religieux. »

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Source : medias-presse.info