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vendredi, 07 septembre 2018

Belgique – La tête de liste du parti Islam menace un internaute : « je t’égorge comme un mouton hallal »

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2018

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Ça se passe en Belgique mais ce n’est pas une histoire belge ! Plutôt une sanguinaire histoire hallal

« Je t’égorge comme un mouton hallal » est la menace proférée sur Facebook par Philippe Latteur, tête de liste du parti Islam dans la commune de Woluwe-Saint-Lambert pour les prochaines élections municipales, à un internaute qui avait posté des photos de lui peu conformes à la loi islamique.

La tête de liste MR+ de cette commune, Amélie Pans, a porté plainte la semaine dernière à son encontre. Philippe Latteur, un récent converti à la religion coranique, n’a pas uniquement envisagé d’égorgement cet internaute qui lui déplaisait mais l’a aussi menacé de lapidation :

« Je vais te lapider plus vite que tu ne le penses. » 

Aujourd’hui, après le dépôt de plainte, il se défend :

« J’ai écrit tout cela sans le penser. »

Cette explication ne convaincra pas beaucoup de personnes puisque le parti Islam veut instituer en Belgique un État islamique à 100 % avec l’application stricte de la charia. Et l’égorgement et la lapidation ne sont-ils pas des peines en vigueur dans la loi islamique ?

http://www.rtbf.be/auvio/detail_le-mr-de-woluwe-saint-lam...

Francesca de Villasmundo

 

Source : www.medias-presse.info

Macron assiste à une cérémonie à la Synagogue pour le nouvel an juif

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2018 

C’est la première fois qu’un président de la République assiste à cette cérémonie : Emmanuel Macron s’est rendu mardi soir à la Grande Synagogue de Paris pour une présentation des vœux à la communauté juive pour les fêtes du Nouvel an juif, Roch Hachana, qui débutent dimanche.

Il a été accueilli par le grand rabbin de France, Haïm Korsia, le président du consistoire, Joël Mergui, et le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim, en présence de plus d’un millier de personnes qui lui ont réservé un accueil très chaleureux.

« Vous êtes comme le Mur occidental, [souvent appelé Mur des lamentations, NDLR] à qui nous confions nos peines et nos espoirs, sans qu’il ne nous réponde alors que nous savons bien que quelqu’un nous entend! », a déclaré le grand rabbin de France Haïm Korsia.

En présence des responsables de la communauté, le gratin parisien, des membres du gouvernement tel le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, et de politiciens de tout bord comme l’ex-président Nicolas Sarkozy, le maire de Paris, Anne Hidalgo, la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, et des députés, les responsables communautaires juifs ont fait part de leur inquiétude face à ce qu’ils nomment la montée des populismes, « la montée des racismes en Europe » et la hausse de l’antisémitisme :  « Nos rabbins […] constatent la recrudescence des actes antisémites, dont ils refusent que la paternité soit attribuée à des déséquilibrés », a souligné Joël Mergui, déplorant aussi « les dangers et les ravages de la parole antijuive » sur les réseaux sociaux. « Les faits redoublent », a abondé Haïm Korsia.

Joël Mergui a par ailleurs dit vouloir refuser d’être « les victimes collatérales d’une laïcité de repli qui croit lutter contre l’islamisme ». Il a mis en garde :

« Après avoir été longtemps le pays d’Europe de la plus grande immigration juive, la France est devenue aujourd’hui le pays de la plus grande émigration juive du monde ».

Il a demandé aussi que « l’abattage rituel, la circoncision, les fêtes religieuses » ne soient « plus perçues comme des concessions en marge du droit […] mais (soient) des libertés évidentes ».

Bien entendu nous n’oserons prétendre qu’il existe un lobby qui n’existe pas…

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Gérard Collomb
 
@gerardcollomb

À la grande synagogue de Paris, à quelques jours des fêtes de Roch Hachana, aux côtés d’@EmmanuelMacron qui présente ce soir ses vœux à la grande synagogue de Paris.
Shana Tova à tous les Juifs de France !

 

Francesca de Villasmundo

 

Source : www.medias-presse.info

Agnès Saal ou le nouveau monde selon Macron et Nyssen

Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 06 septembre 2018 

Le nouveau monde tant vanté par Emmanuel Macron peine à venir. Les rares ministres à venir de la société civile ont déjà explosé en vol. Nicolas Hulot a été tué par les lobbys et leur baudruche élyséenne tandis qu’une personne comme Laura Flessel a pris la porte pour avoir oublié de déclarer certaines sommes au fisc. Le gouvernement actuel est composé de professionnels de la farce élevés au grain de l’ancien monde. Mais d’autres secteurs continuent d’être vampirisés. Regardons du côté de la culture et d’Agnès Saal… 

Vous vous souvenez d’Agnès Saal ? Ce nom évoque un parfum de scandale pour ceux qui s’en souviennent. Il s’agit de l’ancienne directrice du Centre Pompidou qui avait été prise la main dans le sac pour des notes de taxi d’environ 24 000 euros. Il s’agit aussi de l’ancienne directrice de l’INA qui avait été condamnée par la justice pour environ 24 000 autres euros de frais de taxi. Une personnalité au service de la culture, mais surtout à son propre service avec l’argent des contribuables.

Condamnée et promue : quand l’ancien monde s’impose au nouveau

Un vrai ADN politique pour une Agnès Saal finalement stoppée dans ses délires financiers par une condamnation à trois ans de prison avec sursis et une double amende. Le ministère de la Culture auquel elle était rattachée l’avait suspendue six mois sans solde avant de la réintégrer en qualité de chargée de mission. On voit que malgré la faiblesse de la sanction, elle est bien plus sévère que ce qu’a enduré ce pauvre Alexandre Benalla avant sa médiatisation. Comme quoi l’ancien monde pouvait être plus stricte que le demi-Dieu jupitérien. Un Macron qui n’aime pas sanctionner (Benalla jouait avec le trophée des Bleus trois jours après la finale) et qui se plait même à gratifier les personnes les moins recommandables.

C’est ainsi qu’Agnès Saal a été promue dans la plus grande discrétion en août 2018. Le 3 août, elle a été gradée à un « échelon spécial » d’administrateur général qui lui permet de bénéficier d’un traitement annuel de 74 000 euros. Pour quelle raison ? Mystère ! Sa fine connaissance des taxis parisiens n’a pas aidé, c’est une certitude. Les connexions politique de Saal peut-être un peu plus. Parfaite représentante de l’ancien monde, elle sert désormais le soi-disant nouveau avec sa nomination, le 29 août, au poste de haut fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations au ministère de la Culture. Une nomination un poil moins discret puisque Françoise Nyssen s’auto-congratulait trois jours plus tard pour cette décision surprenante. Quand on vous disait que l’été cachait des décisions iniques…

A l’image d’une politique, rien ne semble devoir arrêter la course d’Agnès Saal. Une éthique bancale, une absence de résultats probants, une condamnation… Rien ne peut la couler avec des amis aussi puissants que Nyssen, Philippe et Macron. Une joyeuse bande de drilles qui font la pluie et le beau temps en dépit de la morale et des promesses de renouveau. Le monde de la culture est vérolé par le politique et quand ce dernier estime qu’ « il n’y a pas de culture française », on comprend mieux pourquoi tout est permis. A chaque jour suffit sa honte. A qui le tour demain ?

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 06 septembre 2018

Ces maladies médiévales et exotiques qui font leur retour en France

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

Par  le 06/09/2018 

Choléra, tuberculose, gale, rougeole… Des noms d’épidémies et de pathologies qu’on ne pensait lire que dans des romans médiévaux ou des livres d’histoire font leur triste réapparition dans les cabinets médicaux. Aucun continent ne semble épargné. Maxisciences fait le point. […]

Inquiétant Retour vers le Futur de maladies anciennes

– La gale : même si le scarpote, l’acarien responsable de cette maladie qui démange, a toujours été présent dans l’environnement, on n’en avait pas entendu parler depuis longtemps. Pourtant depuis 2002 et d’après le Haut Conseil pour la Santé publique, une augmentation de 10% de cas de gale a été notée. […]

– Le scorbut : même la maladie des marins a fait son retour cette année ! Alors qu’on pensait ce terme réservé aux histoires de corsaires du XVIIIe siècle, il faut désormais s’y faire : le scorbut est de retour. […]

– La rougeole : rien que ces 9 premiers mois, cette infection virale a déjà touché 41.000 personnes (adultes et enfants) en Europe dont 2.741 en France. Des chiffres inquiétants d’autant plus que l’épidémie pourrait être contenue grâce à un vaccin efficace et très sûr.Regroupé sous l’acronyme vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole), il est d’ailleurs obligatoire en France depuis le 1er janvier 2018. Il nécessite l’injection de deux doses, la première à l’âge de 12 mois et la seconde entre 16 et 18 mois. Seulement voilà, toutes les personnes à risques ne se font pas vacciner ou ne font pas le rappel indispensable à son efficience. Face à cette épidémie record, l’OMS a lancé, la semaine dernière, une grande campagne de sensibilisation.

– La tuberculose : Considérée comme la « maladie romantique du XIXème siècle » elle fait sa réapparition dans le monde et sur notre territoire, notamment à Mayotte, en Guyane et aussi en Ile-de-France. Selon l’OMS, cette pathologie infectieuse a devancé le SIDA parmi les maladies infectieuses les plus meurtrières et se classe désormais comme la9e cause de mortalitéde notre planète. Il existe pourtant un vaccin et un traitement adaptés mais les populations les plus défavorisées et isolées n’y ont pas forcément accès.

– Le choléra : une soixantaine de cas avérés et déjà 2 décès. L’Algérie est touchée par une épidémie de choléra dont le foyer serait une source d’eau naturelle contaminée, située à Hamr Al Ain, entre Alger et Tipaza. Le pays n’avait pas connu une telle épidémie, depuis 1986. Elle est malheureusement la manifestation sanitaire de la pauvreté des campagnes et de certains quartiers défavorisés de grandes villes.

La crise est suffisamment grave pour que le ministère français des Affaires étrangères appelle ses ressortissants voyageant dans le pays à la prudence sur son site internet et rappelle des règles d’hygiène à respecter. Et d’après Le Parisien, la DGS (Direction générale de la Santé) a demandé aux compagnies aériennes effectuant des liaisons directes avec l’Algérie ainsi qu’aux aéroports concernés de procéder à une désinfection en cas de suspicion de la maladie.

Au regard des causes de la recrudescence de ces maladies qu’on pensait d’un autre temps, ne devrait-on pas aussi parler d’une plus inquiétante pandémie mondiale, celle de la pauvreté ?

L’article complet sur maxisciences.com via fdesouche

Les Français contre l’arbitraire et la spoliation

Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2018

POSTÉ LE 05 SEPTEMBRE , 2018,

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L’actualité de cette fin d’été – en attendant que les polémiques politiciennes et les «affaires» en tout genre reprennent leurs droits à la rentrée – ne laisse pas d’être suggestive.

J’apprends par l’association «40 millions d’automobilistes» que 400 radars ont été vandalisés en juillet dernier, après l’entrée en vigueur de l’absurde limitation à 80 km/h sur route.

Naturellement, on ne peut pas encourager les déprédations – d’autant moins que c’est nous, contribuables, qui payons la note !

Mais la faute à qui ? Comme naguère les «bonnets rouges» face aux portiques d’écotaxe, les automobilistes, ulcérés d’être verbalisés et tondus, se défendent comme ils peuvent contre un État spoliateur.

Au demeurant, comme l’État, depuis des années, ne cesse de manifester qu’il ne comprend que le rapport de force et qu’il n’écoute jamais les opposants pacifiques, on voit mal comment cela pourrait avoir d’autres conséquences.

Il faut tout de même savoir que ces 400 radars vandalisés représentent une multiplication par 4 du nombre d’actes de vandalisme sur ces odieuses petites boîtes.

Comme le dit l’association, le radar est désormais ressenti par les automobilistes, non pas comme un outil au service de la sécurité, mais plutôt comme un outil au service du racket de l’État – et un outil pour rappeler l’arbitraire et la puissance de l’État.

Il devient possible que les Français se réveillent enfin de leur léthargie.

Pendant des décennies, ils ont assisté placidement au grignotage de leurs libertés.

Songeons que la révolution de 1789 a commencé, alors que l’arbitraire et la spoliation fiscale étaient infiniment moindres qu’aujourd’hui.

À l’époque, en moyenne, un contribuable payait autour de 10% de ses revenus en impôt. Aujourd’hui, c’est en moyenne par loin de 60%.

Et pour ceux qui paient l’impôt sur le revenu, il n’est pas rare de payer 80% ou plus de ses revenus en impôt.

Encore plus fort, la Cour de cassation, dans un jugement admirable, a déclaré que payer au fisc plus de 100% de ses revenus n’était pas confiscatoire !

Donc, oui, les impôts étaient infiniment moins lourds en 1788.

L’arbitraire aussi était moins pesant. Bien sûr, il y avait des privilèges que l’état de la société justifiait de moins en moins.

Mais, tous les privilèges n’étaient pas dénués de fondement. Le clergé, principale cible de la Révolution, payait ainsi sur les revenus de son patrimoine l’équivalent de notre Sécurité sociale et de notre Éducation nationale.

Et la morgue d’un Saint-Simon était tout de même moins insupportable que l’arrogance des petits marquis sortis de l’ENA, comme Alexis Kohler, ou parvenus au sommet du pouvoir par le fait du prince, comme Alexandre Benalla.

Je ne parle pas ici de l’arbitraire judiciaire. Pourtant, on ne compte plus les lois qu’il est absolument impossible de respecter (des lois sur le financement de la vie politique aux lois sur la liberté d’expression, en passant par les lois fiscales elles-mêmes). Cela se traduit par un mépris général de ces lois – et une condamnation des adversaires politiques.

Je crois que jamais, dans l’histoire de France, la spoliation fiscale et l’arbitraire n’ont été aussi forts. Jamais nos libertés n’ont été autant foulées aux pieds – et ce n’est pas fini, puisque Macron et sa clique annoncent que le pire est à venir.

Mais notre vénéré président, qui n’a pas l’air d’apprécier les vieux Gaulois, devrait aussi se méfier des Francs. Nous nous appelons ainsi du fait de notre attachement séculaire à nos libertés, il devrait peut-être le méditer !

 

Source : les4verites