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mercredi, 15 août 2018

Bonne question :

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

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Source :  synthesenationale

 

 

mardi, 14 août 2018

"Le halal une exigence pour vous et pour nous" Dans les rues de Toulouse.

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2018

 
L’image contient peut-être : une personne ou plus et plein air
 
 
 
 

France. Jean-Claude Gayssot, communiste « veut sauver l’honneur de l’humanité en accueillant les migrants de l’Aquarius. »

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2018

Le port de Sète prêt à accueillir l'Aquarius: "La France doit sauver l'honneur de l'Europe et de l'humanité"

Lundi, l'ancien ministre communiste Jean-Claude Gayssot,actuel directeur du port de Sète a proposé d'accueillir l'Aquarius. Le navire humanitaire est à nouveau bloqué en mer avec 141 migrants à son bord.

Tancrède ن@Tancrede_Crptrs
 
 Jean-Claude Gayssot veut sauver l'honneur de l'humanité et de l'Europe.

En 100 ans le communisme est responsable de millions de morts et de nombreuses dictatures dans le monde.
Aujourd'hui il évoque l'humanité alors qu'il encourage et aide le trafic des passeurs.

RMC via lesobservateurs

Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2018

Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

Des migrants en cuisine ? L’immigration n’enrichit que les patrons

Par Julien Dir, contributeur de Breizh-Info ♦ Comme à son habitude, Julien Dir ne mâche pas ses mots en évoquant l’une des actualités du moment : la volonté des syndicats de l’hôtellerie et de la restauration de faire travailler des migrants à des postes vacants. Un cynisme affiché qui a de quoi faire réagir.

Ils dirigent l’UMIH, puissant syndicat patronal de l’hôtellerie restauration, ou bien encore la GNI (Indépendants) : ils ont en commun de vouloir accélérer le processus d’immigration en France au nom d’une soi-disante « pénurie de main d’oeuvre » en France, dans ce domaine.

A l’heure actuelle, 130.000 emplois seraient à pourvoir dans l’hôtellerie-restauration en France. Le turn-over est très important dans de nombreux établissements.

Mais plutôt que de s’interroger sur les causes de ce turn-over, de cette pénurie de main d’oeuvre, c’est la solution des migrants qui est envisagée par ces patrons sans vergogne, qui valident ainsi le slogan « l’immigration n’enrichit que les patrons » qui fleurissait dans les villes de Bretagne il y a quelques années.

Pourtant, les explications à cette pénurie de main d’oeuvre sont simples : quiconque a travaillé dans l’hôtellerie-restauration le sait. C’est très mal payé. Les évolutions ne sont pas nombreuses. Beaucoup de patrons ne sont pas très à cheval sur les horaires et les rotations, et rechignent à payer au tarif juste, y compris quand les salariés font des efforts et s’adaptent aux contraintes du métier. Des patrons – il est vrai – pas vraiment aidés par l’État, qui leur ponctionne charges et taxes, rendant tout simplement impossible l’embauche honnête financièrement d’un employé.

Résultat : ce sont essentiellement des jeunes qui font leurs classes (leurs premiers boulots) dans la restauration, trop contents de pouvoir trouver un job d’été et fermant souvent les yeux sur les conditions de travail (la plupart n’y connaissent d’ailleurs rien du tout au droit du travail). Avec des migrants, le bénéfice serait encore plus large. Difficulté de maîtrise de la langue, méconnaissance totale du droit du travail, l’UMIH espère sans doute avoir à disposition un bataillon de « salariés/esclaves » encore moins regardant que la population européenne, à qui les représentants de l’hôtellerie-restauration sont incapables de proposer des salaires et des conditions de travail justes.

Étonnamment, ce sont les associations d’extrême gauche, pro migrants, qui font également le forcing pour que le patronat puisse embaucher, rapidement, des migrants à bas prix dans les domaines qui seraient « en pénurie » de main d’œuvre. Les idiots utiles qui n’ont toujours pas compris qu’ils servaient les intérêts du marché, et qui ont en plus l’impression de faire de l’humanitaire. Certains doivent se frotter les mains devant tant d’idiotie.

Quoi qu’il en soit, à Paris, dans certaines grandes villes de France, certains n’ont pas attendu pour embaucher des migrants et pour avoir des travailleurs clandestins dans leurs cuisines. Le consommateur, lui, celui qui fréquente les « grands restaurants » ou quelques bistrots ici ou là, serait bien inspiré de demander aux patrons des établissements qu’il fréquente de pouvoir voir les cuisines avant de s’installer. Et de boycotter ceux qui embauchent des migrants au détriment des Européens, patrons qui auraient sans doute fait beaucoup d’argent à l’époque de la traite négrière.

Au rythme où les choses vont, dans 5 ou 10 ans, Mamadou, serveur en crêperie à Huelgoat, vous amènera votre galette de blé noir, en vous comptant l’histoire des Monts d’Arrée, pendant qu’Amza expliquera aux clients d’un restaurant huppé de Saint-Malo l’histoire de Surcouf et de l’indépendance de la cité corsaire.

Le patronat lui – voir en Allemagne où ces derniers protestent contre les expulsions de migrants – se frottera les mains.

« Souriez, vous êtes remplacés ». 

Julien Dir
09/08/2018

Source : Breizh-Info

Crédit photo : Mugisho beni [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

Nos entreprises ont plié bagage en Iran. Quid de l' « Europe puissance » ?

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L'usine Peugeot de Khodro, près de Téhéran, en 2016. (Photo BEHROUZ MEHRI/AFP)

C'est un fait que, nonobstant les ventes perdues, parfois considérables, la quasi-totalité des entreprises européennes, notamment celles du secteur automobile, aéronautique, et de l'énergie, mais pas seulement, ont plié bagage en Iran.

Elles ont obtempéré sans broncher. La double menace de rétorsions sur le marché américain et de pénalités financières étatsuniennes pour les transactions avec l'Iran simplement parce qu'elles se traitent en dollars, ont amplement suffi à contraindre les entreprises européennes à se retirer sans délai du marché iranien. Peugeot-Citroën renonce à 300 000 véhicules annuels, Airbus à des intentions de commandes de l’ordre de 100 avions, et ainsi de suite.

http___o.aolcdn.com_hss_storage_midas_ea8f4497f5413b8041c682f899dcefc5_206359961_RTX2YHNJ.jpgQu'importe que la plupart des États signataires du traité sur le nucléaire iranien conclu sous Obama le proclament toujours en vigueur : après que Trump l'eut déchiré (mai 2018) et qu'il eut rétabli les sanctions qui frappaient l'Iran, ce traité s'est vidé de tout contenu. Les velléités de résistance européenne, un temps affirmées, parfois en termes bravaches, ont fait long feu. On a pensé à résister, on a envisagé de s'organiser pour cela. Puis, on a abandonné, calé, renoncé. Paroles verbales, volonté faible, réactivité nulle ! Résister était trop difficile, eût demandé trop d'efforts... Notamment des accords monétaires et financiers avec la Russie et sans-doute aussi avec la Chine. Les Européens n’en ont pas eu la volonté ni le courage. 

Il faut bien en tirer les conclusions. s'agissant de la prétendue « Europe puissance ».  

Qu'on le regrette ou non, et sans-doute faut-il le regretter, les faits sont là. Ceux qui ont dit, cru, professé que l'addition de 27 ou 28 économies nationales formant un marché unique de cinq cents millions de citoyens-consommateurs, constituaient ipso facto une puissance, et - pourquoi pas ? - la première du monde, ont été des naïfs, des incompétents ou des marchands d'illusions.  

Trump démontre qu'il n'y a de puissance économique et d'ailleurs aucune autre d'un type quelconque, notamment militaire, qu'adossée à une souveraineté. Trump incarne la nation américaine. Il décide souverainement en son nom. Mais il n'y a ni peuple, ni nation, ni État européens. En conséquence, il n'y a pas davantage d’ « Europe puissance ».

Il nous faut bien nous répéter : il n'est, même en matière économique, de réelle puissance que politique. 

 

Source : lafautearousseau