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vendredi, 17 août 2018

Comme un goût qui ne va pas…

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2018

Rédigé par notre équipe le 16 août 2018. 

 
 
 
 

Avez-vous déjà eu l’impression de manger de la nourriture insipide ? Malheureusement, cela est devenu la norme. Tout doit répondre à des critères et des règlementations qui n’ont plus rien à voir avec la terre, la nature et les saisons. Tout es sous vide, tout est à portée de main, mais rien n’est bon. Une étude de l’Association nationale de défense des consommateurs prouve une nouvelle fois que la modernité comprend des limites bien plus graves qu’il n’y paraît.

Et si ce que nous mangions n’avait plus de goût ? L’Association nationale de défense des consommateurs s’est posée la question et a fait un test avec des abricots et des fraises venus de France et d’Espagne. 900 personnes ont participé à cette étude aux résultats assez spectaculaires. A peine un tiers des individus qui ont testé les différents fruits proposés les trouvent agréables en bouche. Il faut payer plus cher pour avoir des produits de qualité répètent les bobos et autres passionnés du 100 % bio. Sauf que l’étude montre aussi que la différence de prix n’est pas forcément un gage de meilleur goût. Prendrait-on les consommateurs pour des gogos ?

Consomme et tais-toi !

L’étude en question, publiée ce 14 août, n’est guère surprenante. Notre société a fait la chasse depuis trop longtemps au naturel pour qu’il se retrouve dans nos assiettes. Tout doit être calibré, uniformisé, standardisé. Un délire de producteurs 2.0 ? Non, les règles venues de Bruxelles édictées par des gens en costume hors de prix (que le prolétaire français ne peut pas se payer même en travaillant) ne sont là que pour se donner bonne conscience et aider en passant les industriels. Les petits producteurs sont condamnés à disparaître car dans l’impossibilité de se mettre aux normes. Chaque année, des nouvelles règlementations extrêmement contraignantes s’ajoutent aux précédentes et donnent le monopole à ceux qui ne jurent que par l’élevage et l’agriculture intensifs.

Les aliments sont censés être moins dangereux, mais pourquoi cette course à la perfection doit-elle entraîner un renoncement au (bon) goût ? Alors que notre société peut se payer le luxe de manger pour apprécier les bonnes choses et non pas seulement manger pour survivre, il devient presque impossible de trouver des aliments avec du goût. Tout est sous vide et ce qui ne l’est pas a été à ce point standardisé que la norme gustative s’est effondrée. Et même en achetant plus cher la différence n’est pas significative. Sommes-nous condamnés à prendre les restaurants étoilés pour cantine pour apprécier ce qui reste de bon ?

Le plus curieux dans cette étude est de voir que deux tiers des personnes ne sont pas satisfaits par le goût des aliments proposés. Malgré des décennies de malbouffe où le sucre de synthèse est roi, une majorité a encore le bon goût de reconnaître ce qui est bon et ce qui n’a aucun intérêt gustatif. Il serait intéressant de faire une pareille étude sur des enfants afin de savoir si la contamination au plus jeune âge tue définitivement la possibilité d’apprécier une nourriture de qualité. L’homme n’est peut-être pas qu’une machine à payer des impôts et à consommer n’importe quoi.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 16 août 2018

Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2018

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 Bernard Plouvier

Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

 

Source : synthesenationale

Classement des villes les plus agréables à vivre de la planète, les villes les moins agréables se situent essentiellement en Afrique

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2018

Par  le 15/08/2018 

La vie serait douce à Vienne. La capitale autrichienne a détrôné Melbourne (Australie) en tête du classement annuel des villes les plus agréables à vivre de la planète, publié par l’hebdomadaire britannique The Economist.

En troisième position, on trouve Osaka (Japon), puis Calgary (Canada) , Sydney (Australie), Vancouver (Canada), Toronto (Canada), Tokyo (Japon), Copenhague (Danemark) et Adelaïde (Australie).

CNews

(…) Des infrastructures défaillantes, un mauvais accès à des services de base comme la santé, l’éducation ou la culture, ainsi que l’insécurité, sont les facteurs qui font la différence entre les villes les mieux classées et celles qui sont mal positionnées dans cette étude. Fort logiquement, les mégalopoles des pays en développement, et notamment en Afrique, sont celles qui obtiennent les pires notes.

Francetvinfo via fdesouche

Hollande y croit toujours !

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2018

Rédigé par notre équipe le 15 août 2018

Au secours ! Effet d’un soleil persistant ou simple délire personnel ? Quoiqu’il en soit François Hollande revient sur le devant de la scène à mesure que Macron s’enfonce dans les mensonges. L’ancien président est de plus en plus présent dans les médias. Il ne dit rien sur le fond (le contraire aurait été surprenant) et s’applique uniquement à faire passer un message : Je suis là ! Oui, Hollande est là, encore et toujours et croit même avoir une chance de rafler la mise en 2022. Fidèle à lui-même (et seulement à lui-même), Hollande est complètement à côté de la plaque.  

Peut-on avoir été chassé de l’Elysée à coups de pied aux fesses et revenir triomphant cinq ans plus tard ? Certains y ont cru et n’ont fait que traverser la vie politique française pendant de longues et pénibles années. Valérie Giscard d’Estaing fut le premier exemple d’un long oubli qui s’est achevé à Bruxelles à rédiger sous la dictée d’eurocrates une Constitution européenne inique. Nicolas Sarkozy a goûté à la double humiliation de perdre contre Hollande en 2012 et de ne même pas passer le premier tour de la primaire de droite en 2017. Sa stratégie de vrai-faux retour fut un échec fracassant qui ne sera pas oublié.

Hollande ne connaît pas ses leçons 

Eh bien si, l’exemple Sarkozy a déjà été oublié par certains et plus particulièrement par un homme : François Hollande. Le président qui a tout raté au point qu’il n’a pas pu se représenter en 2017 fait mine de penser (ou pense vraiment) que son bilan est bon et qu’il sera réhabilité à mesure que la baudruche Macron se dégonflera. Une baudruche remplie par ce même Hollande qui n’a pas compris que la poudre de perlimpinpin était aussi nocive qu’un trop plein de pâtisseries qu’il aime tant. Hollande y croit dur comme fer grâce à un livre rédigé par Laurent Joffrin dans lequel Hollande ne commence même pas le début d’une autocritique.

Il y croit tellement que la machine à spéculations le place déjà comme un challenger (victorieux) de Macron en 2022. Un compte Twitter François Hollande 2022 mène la danse (compte non officiel) et des tracts Hollande 2022 avec la tête du candidat Hollande alors en plein régime ont été distribués dans plusieurs régions cet été. Un tract qui explique sans sourciller que tout allait bien sous Hollande… La honte n’a jamais étouffé personne et certainement pas ceux qui ont un ego surdimensionné.

Hollande joue au président idéal juste en se comparant avec Macron. Ce dernier ne tente plus que de timides sorties auprès des vacanciers ramenés à la va-vite par une cellule de com’ en manque d’inspiration. Hollande, lui, se plait à se montrer en photo avec une dizaine de gogos qui ont acheté son livre et attendent une dédicace. Les grandes foules sont ailleurs, mais l’esprit est là. Il faut faire croire que Hollande est proche de ses « sans dents » contrairement à Macron trop occupé à jouer dans sa piscine même s’il « préfère mille fois la mer ».

Hollande est un comique qui s’est perdu en politique. Au lieu de rejoindre la Jamel Comedy Club, il vient embêter Macron jusqu’à Brégançon en prenant soin de passer quelques jours à l’ombre du fort. Pourquoi pas ? Hollande est perdu pour la cause socialiste. S’il peut embêter gentiment son poulain et successeur, il fera au moins rire un peu. Allez, bonnes vacances à ces Messieurs. Ils en ont bien besoin au regard de leur situation respective !

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 15 août 2018

Italie – Salvini : Plus aucune mosquée ne sera érigée en Italie

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

 
 

Le Ministre de l’Intérieur italien et leader de la formation de droite « Liga Nord », Mattéo Salvini, a annoncé, ce dimanche, via sa page tweeter, que plus aucune mosquée ne sera érigée en Italie.

Il a expliqué que la donation de terrains de la communauté au profit des mosquées, soulève toujours la colère des citoyens qui préféreraient que ces terrains soient réservés à des projets d’intérêt commun.

 

Source : tunisienumerique