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mardi, 21 août 2018

IMMIGRATION-COLONISATION : AQUARIUS, L’ÉTERNEL RETOUR

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2018

 

Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.


Immigration-colonisation :  Aquarius, l’éternel retour
Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.
Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1://5 er://5  janvier://5 ) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.
  • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
  • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
  • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
  • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.
Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.
Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France. 

par Jean-François  Touzé  
membre du bureau politique du PdF

lundi, 20 août 2018

20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande »

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2018

Auteur : admin4
contre-info

philippeville1.jpg

elhallia.jpgIl y a à peine soixante ans…

Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française et toujours au pouvoir en Algérie – avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.

Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.

Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.

philippeville1.jpg

Souvenons-nous aussi comme des voisins chaleureux et ceux que l’on croyait des « amis » se sont transformés du jour au lendemain.

Description puis témoignage :

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« Aujourd’hui, la peur est dans le camp des policiers et non plus dans le camp des délinquants »

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2018

délinquants,peur,policiers

Entretien ce samedi 18 août 2018 avec Yves Lefèbvre, secrétaire général Unité SGP Police FO. Interrogé par RT France, le syndicaliste donne son analyse sur la polémique liée à l’utilisation des armes par la police dans un nombre croissant d’opérations :

 

dimanche, 19 août 2018

Pont effondré de Gênes: des « Allah Akbar » retentissent pour les 2 morts musulmans durant les funérailles catholiques

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Nice-Matin en profite pour clamer que "l'extrême-droite gouverne l'Italie et que les étrangers sont les victimes de nombreuses violences". En sachant ce que subissent les Italiens de la part des migrants depuis des années, un tel commentaire est non seulement non professionnel mais démontre la nocivité de la presse de gauche et sa proportion à publier des fake-news.

 

Quatre "Allah akbar" ont retenti dans un silence respectueux lors d'une parenthèse ménagée en hommage à deux victimes musulmanes pendant les funérailles d'Etat catholiques après l'effondrement du pont de Gênes.

En présence de tous les plus hauts responsables de l'Etat et de dizaines de prêtres, un imam a mené quelques minutes de prière psalmodiée en silence et ponctuée de quatre "Allah Akbar" (Allah est le plus grand), conformément à la formule rituelle des prières funéraires.

(...)

Nicematin.com via lesobservateurs

France : Grenoble, ville dirigée par un maire rouge-vert, est devenue un «Chicago français», selon un syndicat policier

Publié par Guy Jovelin le 19 août 2018

Une délinquance 63% plus élevée que dans les autres villes de France de la même taille. C'est une situation sécuritaire «catastrophique» que dénonce l'antenne du syndicat de police Alliance en Isère.

Le syndicat Alliance Police Nationale a dénoncé le 17 août l'insécurité «catastrophique» régnant à Grenoble, un «Chicago français», alors même que le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb était en déplacement à quelques kilomètres de là, dans le Vercors. Dans son communiqué, l'antenne iséroise du syndicat de police met en exergue «une délinquance 63% plus élevée» dans la cité alpine «que dans des villes de même taille». «Rien que sur ces quinze derniers jours, on dénombre plusieurs agressions au couteau et règlements de comptes par armes à feu, l'un des protagonistes ayant moins de seize ans...», relève-t-il.

Le syndicat souligne qu'avec d'«autres acteurs de la sécurité» (mairie, préfecture, direction de la sécurité publique), il avait «tiré le signal d'alarme» auprès du «gouvernement et des directions centrales», sans résultats. Alliance Police Nationale rappelle les propos du procureur de la République à Grenoble, Jean-Yves Coquillat, qui avait affirmé il y a un an n'avoir «jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrénée par le trafic de drogue». Déplorant que le ministre Gérard Collomb «ait préféré se consacrer à la sécurisation des activités sportives et à l’air pur du Vercors plutôt qu’à l'atmosphère beaucoup moins vivifiante de la cité grenobloise», le syndicat affirme que trente postes ne sont pas pourvus sur la ville, «sans perspective de renfort sur les prochains mois». Selon lui, les policiers démotivés «sollicitent leur mutation, faute d'attractivité pour les retenir». Il demande notamment que le bassin grenoblois «soit considéré en secteur difficile et bénéficie de la prime de fidélisation correspondante» comme c'est le cas à Lyon. Et qu'il reçoive rapidement de nouveaux effectifs, comme à Marseille. «Sans un changement radical de politique, dans peu de temps, la loi de la rue remplacera celle de la République», pronostique-t-il.

Dans la nuit du 28 au 29 juillet, Adrien Perez, un jeune homme de 26 ans, a été mortellement poignardé devant une boîte de nuit située à Meylan, près de Grenoble, alors qu’il tentait de défendre son ami agressé. Meurtris, ses parents ont dénoncé le climat de violence qui règne dans le pays, tandis que la droite pointe le laxisme de l'Etat.

RT via lesobservateurs