Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 27 juin 2018

Les projets secrets de Daech pour semer la terreur en France

Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2018

attentats,califat,daech,france,terreur

Pendant que le ministère de l'Intérieur interpelle des pères de famille qui se préparent visiblement à se défendre, l'Etat islamique se prépare à envoyer des adolescents-soldats ayant grandi en Syrie commettre des attentats en France. Ces "Lionceaux du Califat" ont grandi en Syrie, ont été recrutés par l'Etat islamique et ils seraient au coeur d'un projet secret mené par l'organisation terroriste. Ce projet serait même entré en phase opérationnelle. Les détails font froid dans le dos :

  • Recruter des enfants ayant grandi en Syrie.
  • Attendre qu'ils grandissent pour qu'ils deviennent "méconnaissables", "pour pas qu'il y ait de reconnaissance faciale".
  • Une fois passée l'adolescence, les envoyer en France commettre des attentats.

L'Etat islamique envisagerait aussi de commettre des attaques dans les campagnes françaises.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mardi, 26 juin 2018

Projet d'attentat islamophobe : le Conseil français du culte musulman se porte partie civile

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

TERRORISME - Au lendemain de l'interpellation de 10 personnes soupçonnées de fomenter des attentats islamophobes, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a indiqué, devant la caméra de LCIn qu'il se porterait partie civile, afin d'avoir accès au dossier.

Les membres du Conseil français du culte musulman (CFCM) ont rencontré, lundi 25 juin, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, après qu'un coup de filet dans la mouvance de l'ultra-droite a mis au jour un projet d'attaques terroristes potentiellement pensé par dix personnes, actuellement placées en garde à vue. 

Le président du CFCM Ahmet Ogras s'est ainsi expliqué au micro de LCI : "On a confirmé notre souhait d'être partie civile pour avoir accès au dossier, connaitre les lieux de cultes visés et les personnalités visées. Nous avons un devoir, en tant que représentants, d'apaiser, mais aussi de défendre notre culte et les personnes qui le pratiquent. Nous remercions les services de l'Etat, les représentants des forces de l'ordre, la DGSI, le groupe Sentinelle pour la sécurisation de nos lieux de culte. Nous avons face à nous un ministre de l'Intérieur qui assume ses responsabilités et partage les réalités du terrain."

"Nous remercions notre communauté musulmane qui est digne, ne répond pas aux provocations des uns et des autres, s'est félicité le représentant. Nous demandons que tous les représentants des partis politiques - je dis bien tous - soient solidaires de cette communauté. Nous invitons les institutionnels qui défendent les droits de l'Homme à partager cette solidarité."

Pistolets et grenades

Selon nos informations, les arrestations se sont déroulées dans la nuit de samedi à dimanche par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en Corse, en région parisienne et en Charente-Maritime. Sur place, les enquêteurs ont retrouvé des fusils, des pistolets et des grenades artisanales lors des perquisitions.

Les dix interpellés avaient "un projet de passage à l'acte violent, aux contours mal définis à ce stade, ciblant des personnes de confession musulmane". Les gardés à vue, parmi lesquels une femme, ont entre 32 et 69 ans.

Immigration – Quand Mamoudou le héros se moque de nous !

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Une information est passée inaperçue, aussi m’empressé-je de vous la livrer brut de pomme, comme le veut l’expression populaire. Brut de sa brutalité, tellement elle paraît énorme !

Le retour de notre héros national – enfin, celui de la grande presse et de tous ceux qui acclament l’épopée de l’Aquarius. Celui d’un rescapé de la Méditerranée qui a englouti tant de ses semblables.

Je veux parler de Mamoudou Gassama, le migrant araignée.

Samedi, après un voyage sans histoire dans le ciel méditerranéen de quelques heures, il est arrivé à Bamako – qu’il avait pourtant fui, aurait-il pu dire au Président Macron, car son pays était en guerre et qu’il y risquait sa vie tous les jours dans son petit village de Yanguiné .

Brandie par une dizaine de groupies, entourées d’une petite centaine de jeunes, une immense toile fêtait le retour de « notre héros Mamoudou Gassama » sur l’aéroport Modibo-Keïta-Senou. La journaliste de TV5 Monde y allait, elle aussi, de ses éloges, y voyant une foule immense attendant son paladin qui n’avait pu, faute de papiers, dit-elle, revenir dans son pays depuis 2013.

C’est donc avec de tout récents papiers français que le héros est revenu au pays. Un billet payé par qui, d’ailleurs ? Fier comme on peut l’imaginer, star d’un pays en guerre, jeune homme qui a refusé de porter l’uniforme pour défendre son pays contre les djihadistes qui tuent tous les jours ses compatriotes. Et dont, d’ailleurs, on se demande s’il revêtira jamais l’uniforme des sapeurs-pompiers de Paris à qui il avait rendu une visite de courtoisie sur invitation du Président Macron, et dont il avait pourtant appliqué à la lettre la devise « courage et dévouement ».

N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ? Indécence par rapport aux 22 soldats français tombés au Mali qui sont morts pour que des Mamoudou puissent vivre, libres, dans leur pays ? Indécence par rapport au président de la République française qui doit regretter – on l’espère – à cette heure d’avoir aussi vite reçu ce migrant si empressé à regagner son pays et qui, en somme, s’est bien moqué de lui et de la France ?

Comme tous ces Maliens venus accueillir leur héros d’un jour et pour lesquels la France envoie ses soldats affronter le terrorisme islamiste. Ne feraient-ils pas mieux d’ovationner nos soldats plutôt que de faire la fête à ce jeune migrant devenu immigré répondant, debout dans une voiture découverte, à leurs acclamations ?

Sur le site de PressAfrik.com, un certain Moussa commente son arrivée ou son retour au pays avec ces mots crus et cruels : « C’est un connard, il rentre chez lui et apparemment il est en sécurité alors qu’il est venu demander l’asile en France donc à cause de lui on va dire que les autres aussi peuvent rentrer chez eux sans problème pour leur sécurité ! Un pauvre con africain, sans intelligence ! »

Combien étaient réellement en danger chez eux parmi ceux qui sont sur l’Aquarius ?

Source : Boulevard Voltaire via lesobservateurs

Image : TV5 Monde

Solde migratoire «nul» en Europe ? Après la Bosnie, BHL à nouveau en délicatesse avec la réalité

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

bhl,europe,solde migratoire

«Il n'y a pas de crise des migrants. Le solde migratoire, comme disent les démographes ou les économistes, est nul, c'est-à-dire que la balance entre les gens qui quittent l'Europe et les gens qui rentrent est à peu près à zéro» a affirmé le 24 juin, Bernard Henri Levy dans l’émission  Le Grand Rendez-Vous diffusée par Europe 1-C News et Les Echos. Le très médiatique philosophe réagissait aux tensions grandissantes entre les pays européens concernant l’accueil des migrants.

Comme l'a repéré l'AFP sur sa plateforme de fact-checking Factuel, il s'agit là d'une énième assertion du philosophe qui se heurte à la réalité. Chiffres à l'appui, la journaliste d’Europe 1 Géraldine Woessner a rapidement rectifié : «C'est faux : le solde migratoire est au contraire largement positif en Europe. La dernière fois que ce solde a été négatif, c'était en 1984.»

Se référant à l'institut en charge des statistiques pour l'Union européenne, Eurostat, elle a en outre rappelé que la population européenne avait augmenté de 35 millions d’habitants depuis 1990 et que «77% de cette augmentation [était] due au seul solde migratoire» en raison notamment de l’instabilité politique et sécuritaire dans certains pays de la rive sud de la Méditerranée.

Et l'AFP d'enfoncer le clou : «Si l'écrivain voulait dire que ce solde migratoire s'approchait de zéro ces dernières années, c'est tout aussi faux : même s'il a entamé une décrue depuis, il a connu en 2015 un pic, similaire à un précédent autour de l'année 2003.»

Ce n’est pas la première fois que l’essayiste prend quelque liberté avec les faits. Dans un raisonnement visant à justifier les bombardements occidentaux contre Damas, il avait évoqué le 10 avril dans l’émission C à vous sur France 5 deux massacres aux «armes chimiques» en Bosnie. Pourtant, aucun des deux massacres évoqués, ceux du marché du Markala du 5 février 1994 et du 28 août 1995, n'a été décrit par les enquêtes internationales comme ayant été d'origine chimique. Là aussi, le philosophe avait été rattrapé par l'AFP.

Lire aussi : Affaire Babtchenko : BHL, Glucksmann, Duval... ces personnalités rattrapées par la vérité

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

Viktor Orban : « Nous pouvons vous offrir tout le soutien nécessaire pour la réémigration. L’Islam ne fera jamais partie de l’identité des pays européens »

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

À l’occasion du premier anniversaire de la mort d’Helmut Kohl, le Premier ministre hongrois Victor Orbán a délivré le 16 juin dernier un discours crucial. Avec Shahin Vallée, nous croyons qu’il marquera le débat de la prochaine année électorale européenne. Orbán revendique pour son mouvement une place centrale dans la conception du néo-nationalisme européen, et sa position doit être comprise.

(…) Nous souhaitons donc traduire en exclusivité ce texte important qui inaugure la bataille politique et culturelle des élections européennes de 2019.

« (…) Abordons désormais la question de la frontière et de la clôture. Nous devons défendre la frontière extérieure. C’est la condition préalable à la libre circulation au sein des frontières. La défense de la frontière fait partie des “devoirs-obligatoires”. (…) Nous avons constaté que la position de la Hongrie, jadis condamnée, est désormais de plus en plus acceptée. Nous n’attendons pas de remerciements auxquels nous ne sommes pas habitués. Nous ne jubilerons pas non plus. Il n’est pas agréable de constater que la valeur de la monnaie de certains a baissé après trois années de crise, tandis que la nôtre l’a fait immédiatement. »

« Peut-on atteindre un compromis dans le débat sur les migrants ? Non – et ce n’est pas nécessaire. Il y a ceux qui s’imaginent que chaque partie adverse devrait faire des concessions, qu’ils devraient discuter puis se serrer la main. C’est une mauvaise approche. Certaines questions ne pourront pas aboutir à un consensus. Cela n’arrivera pas, et ce n’est pas nécessaire. L’immigration est l’une de ces questions. Aucun document ne stipule que l’entrée d’un pays dans l’Union européenne implique que ce dernier devienne une terre d’immigration. Lorsque nous sommes entrés, nous n’avons pris aucun engagement de ce genre. Il est également vrai que les documents fondateurs de l’Union européenne ne déclarent pas qu’un État-membre ne puisse pas chercher à se transformer en pays d’immigration. C’est pourquoi il y a des pays d’immigration dans l’UE, où les migrants sont les bienvenus, où les populations locales veulent bien les intégrer et se mélanger avec eux. Il y a aussi des pays qui ne veulent pas de migrants, qui ne veulent pas se mélanger avec eux, et où leur intégration est donc hors de question.»

« Dans de telles situations, il n’y a pas besoin de compromis, mais de tolérance. Nous tolérons que certains États-membres de l’espace Schengen admettent des migrants. Cela a et aura des conséquences – y compris pour nous. De même, ils devraient tolérer le fait que nous ne voulons pas le faire. Ils ne devraient pas nous sermonner, ils ne devraient pas nous faire chanter, ils ne devraient pas nous forcer, mais ils devraient simplement nous donner le respect propre aux États-membres ; puis il y aura la paix sur le Mont des Oliviers. »

« (…) L’avenir de l’Union européenne dépend de sa capacité à défendre ses frontières extérieures. C’est la prochaine question qui se pose pour l’avenir de l’UE. Si nous défendons nos frontières, le débat sur la répartition des migrants n’a plus de sens, car ils ne pourront plus entrer. S’ils ne peuvent pas entrer, il n’y a personne à répartir. C’est simplement du bon sens. Et si nous suivons cette ligne de conduite, la seule question est de savoir ce que nous devons faire de ceux qui sont déjà entrés. Notre réponse à cette question est qu’ils ne devraient pas être répartis, mais qu’ils devraient être ramenés chez eux. »

« (…) Nous pouvons vous offrir tout le soutien nécessaire pour la réémigration. Depuis longtemps, nous disons qu’il faut exporter de l’aide et non pas importer des problèmes. Nous pouvons également donner des conseils à toute personne qui en fait la demande. Il y a un conseil que nous pouvons également donner qui provient de l’expérience historique de la Hongrie : chacun doit se rendre compte que l’Islam ne fera jamais partie de l’identité des pays européens. »

Il faudrait savoir quelle est la réponse de l’Islam. Nous, les Hongrois, nous savons de quoi il s’agit. Pour les musulmans, si l’Islam fait partie de l’Allemagne, alors, l’Allemagne fait partie de l’Islam. Cela mérite réflexion (Nd Christian Hofer: C'est une réponse adressée àAngela Merkel qui avait déclaré, dans son premier discours au Bundestag, après sa réélection : « L'islam fait désormais partie de l'Allemagne. »). En plus d’offrir un exemple, une assistance et des conseils, nous devons également souligner – de façon bienveillante mais ferme – que nous n’abandonnerons jamais notre avenir et que nous ne permettrons jamais à personne de nous imposer quoi que ce soit contre notre volonté. Si nous ne sommes pas en mesure de parvenir à un résultat satisfaisant dans les négociations à venir, si nous ne sommes pas en mesure d’accepter – ou même de tolérer – les points de vue des uns et des autres sur les questions de migration et de budget, alors nous attendrons. Attendons que le peuple européen exprime sa volonté lors des élections de 2019. Alors ce qui doit arriver arrivera.

 

Legrandcontinent.eu

Source2 : Le Point