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mardi, 26 juin 2018

Chili : 2000 étrangers ayant commis des délits expulsés d’ici fin 2018

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Par  le 26/06/2018

Quelque 2.000 étrangers en situation irrégulière au Chili, ayant des antécédents judiciaires ou purgeant une peine de prison, seront expulsés d’ici la fin de l’année, a annoncé lundi le gouvernement du président de droite, Sebastian Piñera.

Les expulsions ont commencé vendredi, dans le cadre d’un plan mis en place par le gouvernement chilien pour faire face à l’arrivée massive de migrants ces quatre dernières années, passés de 400.000 à plus de 1,1 million dans le pays, dont 300.000 sont soupçonnés d’être en situation irrégulière.

La première étape du plan visera les étrangers qui, après avoir purgé une peine de prison, n’ont pas été expulsés du pays. Puis, les migrants incarcérés seront expulsés du Chili dès leur sortie de prison, a-t-elle expliqué. […] Les Vénézuéliens et les Haïtiens sont les communautés ayant le plus augmenté leur flux migratoire vers le Chili ces dernières années.

Le Figaro via fdesouche

Fait-on vraiment la guerre contre les djihadistes ?

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

POSTÉ LE 19 JUIN , 2018, 5:07

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250 morts, plus de mille blessés. C’est, à ce jour, le bilan approximatif des attentats terroristes, c’est-à-dire islamistes, dans notre seul pays ; et cela en trois ans seulement.

M. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement supporte mal la critique.

Il dénonce le « manque d’unité nationale face au terrorisme ». Il affirme qu’« il n’y a pas moyen d’empêcher ce type d’événements ».

Sur l’internement éventuel des fichés S, il ajoute : « Si vous les enfermez, vous ne pouvez pas remonter les filières, démanteler des opérations qui adviendraient demain. »

Autrement dit, il vaut mieux laisser en liberté les futurs assassins pour pouvoir collecter des renseignements sur les futurs assassins !

Décidément, je ne suis pas « câblé pareil ».

Et la majorité des Français non plus, qui préféreraient sans doute qu’on neutralise les assassins, avant qu’ils ne les assassinent.

Évidemment, après chaque attentat, toute réponse à une question posée à une de nos têtes pensantes est précédée de : « Permettez-moi d’abord d’avoir une pensée pour … ».

Le président, les ministres s’émeuvent, dénoncent l’acte barbare, « qui ne dissuadera pas la France de défendre ses libertés ».

On s’interroge, comme s’il y avait le moindre doute à ce sujet, sur les motifs des assassins, dont on pense qu’ils se sont radicalisés en prison où ils sont déjà presque tous passés.

Pour résumer, on pourrait arriver à la conclusion que la dernière chose à faire est de mettre en prison les individus dangereux car on aggrave leur cas et le nôtre.

De terroristes potentiels « modérés », on en fait des assassins.

Mais la résistance s’organise : on fait acte de résistance en buvant une bière à la terrasse d’un café, cible potentielle, en organisant des marches blanches, en déposant des fleurs sur le lieu des massacres, en multipliant les cellules psy.

On nous rassure en rappelant que les divers services de renseignements et les corps de police sont efficaces, ce qui est vrai ; que leurs effectifs se renforcent – près de 10 000 prévus d’ici la fin du quinquennat ; on verra.

On ne peut rien faire de plus, paraît-il, et on nous rappelle que le risque zéro n’existe pas.

Le procureur général de Paris s’alarme-t-il de ce que, dans les deux ans, des centaines de djihadistes radicalisés dangereux vont être remis en liberté, leur peine effectuée ?

La garde des sceaux lui répond « qu’ils seront surveillés de près », alors qu’on sait que le renseignement et la justice sont déjà saturés, et de toute façon, « dans un État de droit, on ne peut rien faire de plus » (déclaration du 30 mai).

Il ne lui vient pas à l’idée qu’on pourrait peut-être changer la loi de l’État de droit, quitte à ce que quelques libertés marginales soient temporairement écornées, ce qui ne peut nuire qu’aux hors-la-loi.
Que préféreront les Français ? Être un peu gênés pendant quelque temps ou être tout à fait morts ?

 

Source : les4verites

Esclavage en Libye : ce que cache l’Afrique du Nord

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Esclavage en Libye : ce que cache l’Afrique du Nord
25 JUIN 2018 | POLÉMIA

Par Gabriella Lima, journaliste ♦ Le trafic d’êtres humains est un sujet sensible mais peu discuté. Il est difficile à croire que cette pratique barbare n’a pas disparu. Le cas des réfugiés libyens a pour autant soulevé de nouveau cette question.
Le 7 juin, le Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies a sanctionné six chefs de réseaux de trafiquants de migrants en Libye. Mais ce n’est qu’une goutte dans l’océan.


Une plaque tournante de trafic humain

Le réseau des trafiquants est composé de groupes armés, qui contrôlent les frontières sud et une partie de la côte du pays. Les marchés illicites se trouvent principalement à proximité de Tripoli. Des migrants, essentiellement des jeunes hommes, y sont vendus comme esclaves pour une somme allant de 300 à 500 dollars. Originaires surtout du Nigeria, du Sénégal et de Gambie, les migrants sont capturés alors qu’ils font route vers le nord de la Libye, d’où ils comptent gagner l’Europe en traversant la Méditerranée. Tout au long de ce voyage, ils sont capturés par de différentes milices opérant dans le pays. Les autorités libyennes, dont beaucoup tirent profit du trafic, font semblent de ne pas le savoir.

Un contexte politique très instable

En effet, le gouvernement de transition n’est pas capable d’arrêter ce business scandaleux et lucratif. La Libye est meurtrie par les luttes d’influence et les violences entre groupes armés rivaux depuis la chute du régime de Kadhafi en 2011.

La disparition de l’esclavage dans la deuxième moitié du XXe siècle fut liée à l’urbanisation et le développement industriel. Néanmoins, une reconfiguration économique après l’assassinat de Kadhafi, l’émergence des groupes armés contrôlant l’industrie pétrolière et le déclin des conditions de vie, tout cela a favorisé de nouveau ce commerce illicite.

Il est évident que pour régler le problème, il faut s’attaquer à ses racines. Le pays a besoin d’un ensemble des dispositions visant à mettre fin à l’instabilité et au chaos politique. Certains croient que la crise, à laquelle France a contribué à l’époque, devrait se résoudre avec le temps. Contrairement à tous les espoirs, elle risque de s’aggraver.

Les dirigeants libyens ne sont pas pour autant pressés à l’idée de stabiliser le pays alors que les leaders étrangers semblent ne pas pouvoir comprendre que le seul moyen d’arrêter l’afflux de migrants consiste au retour de la paix en Libye.

Gabriella Lima
25/06/2018

Source : Metamag

Crédit photo : Antoine Taveneaux [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

lundi, 25 juin 2018

Syrie: selon Assad, Daesh et al-Nosra reviendront avec l’aide des Occidentaux pour former un califat

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

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Dans une interview accordée à la chaîne russe NTV et diffusée le 24 juin, le président syrien Bachar el-Assad a estimé qu'il fallait craindre de voir renaître les groupes terroristes Daesh et al-Nosra. Selon Bachar el-Assad, ils n'auraient pas abandonné l'idée de créer un califat en vertu du soutien dont ils disposeraient de la part des pays Occidentaux.

«C'est une menace religieuse avec un soutien politique. Cela n'arrive pas de façon spontanée. Ils reviendront parce que les forces occidentales les utilisent encore et encore mais sous différents noms», a déclaré le président syrien.

Bachar el-Assad a poursuivi son raisonnement en dressant une comparaison avec les Moudjahidines qui ont combattu contre l'armée soviétique en Afghanistan et qui étaient qualifiés par le président américain de l'époque, Ronald Reagan, non pas de terroristes, mais de «combattants de la liberté».

«Maintenant, on les appelle des terroristes. Mais peut-être que dans 10 ans, ils seront utilisés ailleurs, sous un autre nom. C'est seulement du "rebranding", c'est un outil des Occidentaux», a soutenu Bachar el-Assad.

Et quand l'impact des terroristes n'est pas suffisant sur le terrain et qu'il sont repoussés militairement, les Occidentaux mettent en place des «histoires à dormir debout» sur de prétendues attaques chimiques, selon Bachar el-Assad. «Ces histoires sont utilisées lorsque leurs forces – les terroristes sous leur contrôle – sont vaincues dans une partie de la Syrie», a expliqué le président syrien.

«Ces histoires impliquant des armes chimiques sont un prétexte pour une intervention militaire directe et des attaques contre l'armée syrienne», a-t-il ajouté, rappelant que Damas avait détruit ses stocks d'armes chimiques en 2013.

Lire aussi : Syrie : Moscou dénonce l'enquête de l'OIAC et expose le matériel récupéré aux rebelles à Douma

 

Extrait de: Source et auteur

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Les migrants de l’Aquarius jettent aux ordures les couvertures et les vêtements offerts par la Croix Rouge.

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2018

Le 24 juin, plusieurs utilisateurs de Facebook ont ​​critiqué le fait que de nombreux migrants du bateau l'Aquarius avaient jeté des vêtements et des serviettes qui leur avaient été offerts par la Croix-Rouge.

Les vêtements ont été trouvés dans des bennes à ordures du complexe éducatif de Cheste, où de nombreux migrants ont été logés jusqu'à ce qu'ils aient finalisé leurs demandes d'asile.

Et ceci malgré le fait que dès la première nuit en Espagne, certains migrants ont été vus dans un restaurant à Cheste en payant des boissons avec des billets de 100 €.

Même les plus jeunes migrants, qui étaient logés dans une résidence étudiante à Alicante comme nous l'avons déjà signalé ici, ont été aperçus en train de faire la fête dès leur première nuit, malgré les Espagnols libéraux prétendant que ces migrants étaient "choqués" et "traumatisés" par leur voyage depuis la Libye.

Caso Aislado@CasoAislado_Es
 
 

Y así acabó la ropa que se le entregó a los inmigrantes del Aquarius. En contenedores de basura. https://casoaislado.com/tiran-contenedores-basura-la-ropa-donada-cruz-roja-los-inmigrantes-del-aquarius/ 

Encuentran en contenedores de basura la ropa donada por Cruz Roja a los inmigrantes del Aquarius

Las fotos están circulando en las redes sociales. En ellas se ve numerosa ropa donada por Cruz Roja en los contenedores de basura.

casoaislado.com 

Comme on peut le voir sur la photo, les conteneurs débordent de vêtements, serviettes et couvertures distribués par la Croix-Rouge - certains colis sont même intacts et leur contenu est indiqué : «1 survêtement, 1 t-shirt, 1 paire de chaussettes, 1 sous-vêtements ".

Les habitants locaux s'indignent du manque absolu de gratitude que ces immigrés soi-disant «stressés».

Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch