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lundi, 02 juillet 2018

Macron, illusionniste de l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2018

illusionniste,immigration,macronEmmanuel Macron est-il immigrationniste ? Certainement, malgré quelques déclarations quasi solennelles qui viseraient à nous faire admettre l’inverse.

Est-il donc illusionniste ? Sûrement. C’est d’ailleurs de cette façon qu’il s’est imposé pour devenir président de la République et le stratagème a bien fonctionné. Ni à droite, ni à gauche … mais à droite ou à gauche quand la situation lui est favorable pour garder le cap. Maintenant, horizon 2022.

Récemment, au cours du « feuilleton » Aquarius, sur le sauvetage de 630 migrants, qui a tenu en haleine les médias, les politiques, les ONG pro-immigration, notre président de la République ne nous a franchement pas éclairés sur son avis personnel sincère.

Il nous a, si je puis dire, menés finalement en « bateau » en se contredisant :

– Dans un premier temps, il a semblé ne pas vouloir écouter les sirènes de la gauche qui auraient bien voulu le voir récupérer l’Aquarius et qui hurlaient, sur l’air habituel de l’immigrationnisme à tout va : droits de l’homme, droit d’asile pour tous, etc.

– Dans un second temps, il a lâché du lest et s’est permis de faire la leçon à l’Italie, débordée depuis des années en matière d’arrivée de clandestins, qui refusait d’accueillir l’Aquarius.
Il a même osé parler de « cynisme et d’irresponsabilité du gouvernement italien » !

L’Europe est de plus en plus divisée par le problème des migrants. Il y a ceux qui n’acceptent pas, ceux qui n’acceptent plus, ceux qui veulent accepter moins et ceux qui acceptent en donnant l’illusion de ne pas accepter trop, comme c’est le cas actuel de la position « macroniste ».

Emmanuel Macron sait que les Français dans leur ensemble ne sont pas favorables à une politique immigrationniste dont ils mesurent chaque jour les inconvénients, d’autant plus que 90 % environ des migrants qui arrivent ne justifient pas d’être accueillis puisque ce sont des migrants économiques.

Il a donc laissé la main à l’Espagne et à son nouveau gouvernement de gauche pour ne pas irriter davantage l’opinion (des futurs électeurs).
Rappelons que, selon les études d’opinion, actuellement, 70 % des Français sont opposés à l’accueil des migrants économiques.

Dès que les 630 migrants de l’Aquarius ont posé le pied à Valence ce 17 juin, Emmanuel Macron a dit qu’il accepterait ceux qui veulent venir en France – bien sûr, sous conditions.

Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux l’a assuré : il y aura un choix « au cas par cas pour accueillir ceux qui dépendent du droit d’asile » …

On acceptera donc en France ceux qui, dans les 45 jours, auront vu leur demande d’asile acceptée en Espagne, pays de leur arrivée. Seulement, comme la plupart savent qu’ils ne pourront pas obtenir le droit d’asile, bien peu en feront la demande et les autres vont disparaître dans la nature. Le statut de clandestins leur suffira et direction la France au plus vite !

Le tri au « cas par cas », cela fera donc, en réalité, beaucoup de cas à venir.

En regardant les informations télévisées le 18 juin, les premiers « naufragés » disaient qu’ils voulaient aller en France.

Peu après, les journalistes précisaient : plus de la moitié des migrants !

Et ce sera évidemment plus encore, car ils ne veulent pas rester en Espagne.

Dans ce pays, en effet, l’État-providence est peu développé et le taux de chômage est très élevé, même s’il est en régression.

Ceux qui y resteront risquent d’être exploités comme travailleurs « au noir » dans des conditions parfois inhumaines, surtout dans le Sud.

Alors, les belles pancartes des gauchistes espagnols : « Bienvenue chez vous ! » ne les retiendront sûrement pas.

En France, ça paie même sans travailler !

Bien sûr, on nous parle de nouveau projet de loi asile et immigration qui devrait « maîtriser » l’immigration. Tel qu’il est défini, il ne maîtrisera guère mieux qu’auparavant et il serait bien illusoire d’y croire.

 

Source : les4verites

dimanche, 01 juillet 2018

La politique d’immigration australienne: modèle à suivre ou déshonneur?

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2018

Par  le 30/06/2018

 

Au moment où les populistes anti-immigration ont le vent en poupe en Europe et aux Etats-Unis, l’Australie se vante de sa propre politique draconienne, stratégie controversée mais efficace qui a largement dissuadé les migrants de gagner ses rivages.

Depuis l’adoption par les conservateurs au pouvoir de cette ligne dure envers les clandestins voici cinq ans, Canberra s’est attirée à la fois des louanges et des dénonciations acerbes.

Jusqu’alors, des migrants désespérés originaires d’Afghanistan, du Sri Lanka et du Moyen-Orient prenaient la mer à partir de l’Indonésie pour débarquer quasi quotidiennement sur les côtes septentrionales de l’immense pays. (…)

Toulouse : Une église profanée par des militants LGBT

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2018

 
 
 
 
La chapelle Notre-Dame du Férétra a été victime des bombes de peintures de militants LGBT, à Toulouse. Des slogans appelant à la profanation ont été découvert samedi matin. 

Les militants LGBT s’en prennent aux catholiques. Samedi matin, des graffitis ont été découverts sur les murs de l’une des plus anciennes chapelles de Toulouse. Notre-Dame du Férétra, qui accueille plusieurs centaines de fidèles chaque dimanche, suivant la messe dans le rite traditionnel, enseigné par le pape Pie V, au XVIe siècle, a été victime de dégradations sur son édifices. Plusieurs tags ont été découverts en fin de semaine. Le premier est une injonction selon les militants LGBT qui auraient supposément commis ces actes : « Satan punit les homophobes ». Sûrement une vérité révélée dans un sacro-saint écrit laïco-homo-transsexuel.

Sur un second tag, dévoilé par Autan-Réinfo, une menace est clairement écrite noire sur blanche – enfin sur rose, selon la couleur des briquettes de l’édifice. « Église en feu », « sale prêtre », peut-on lire. Une menace d’une profanation programmée ?

Cette chapelle n’est pas anodine dans l’histoire de Toulouse. Elle a accueillit la dépouille de saint Thomas d’Aquin en 1225. Une nuit durant, le corps du docteur de l’Église a été veillé avant d’être mené jusqu’au couvent des Jacobins, où sont encore visibles ses reliques.

C’est donc une ancienne chapelle, située place Saint-Roch, à l’entrée du quartier Empalot, qui a été victime de personnes malveillantes. Mais qui sont-ils ?

L’enquête avance petit à petit. Si les auteurs ne sont pas identifiés, leur profil ne laisse guère de doute. Un fidèle, ayant constaté les dégradations, confie à Infos-Toulouse : « Ce sont des anarchistes et des militants LGBT. Sur les murs, en plus des slogans pro-gays, il y a le symbole des anarchistes ».

 

Source : infos-toulouse

samedi, 30 juin 2018

FIERS D'ETRE PIEDS NOIRS

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2018

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Le 30 juin 1962 à 10 h du matin, malgré l'opposition de de #Gaulle, le général #Franco donne l'ordre à ses capitaines d’embarquer les pieds-noirs, faisant fi de la pression imposée par la France.
Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pieds-noirs abandonnés sur les quais d’#Oran et livrés à la barbarie du #FLN.
De Gaulle est également informé que l’aviation et la marine de guerre espagnoles sont en route jusqu’aux eaux internationales, face à Oran.
Finalement, face à la détermination du général Franco, la France cède et le samedi 30 à 13h00 ces deux bateaux espagnols peuvent embarquer 2200 pieds-noirs, 85 voitures et un camion.
Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent s’opposer à la montée sur leurs bâtiments d’une compagnie de #CRS qui voulaient lister tous les pieds-noirs embarqués à destination de l’Espagne.
Les capitaines espagnols avouèrent n’avoir pas compris l’attitude arrogante des autorités françaises dans une situation aussi dramatique.
Contre vents et marées, finalement à 15h30, les quais d’Oran, noirs de monde, se vidèrent. Les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge.
De l’arrivée jusqu’au départ des ferrys espagnols, une liesse, joie et larmes, s’était emparée des pieds-noirs aux cris de « Viva Espana ! » et « Viva Franco ! » ...

 

Macron le petit frappe encore

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 28 juin 2018 

Macron le Petit

Le mois de juillet arrive et Macron serait peut-être bien inspiré de prendre des vacances. Avec un tel phénomène, le temps de repos revient cher (une piscine à 34 000 euros, des frais de sécurité à faire pâlir Trump, etc.) mais au moins les Français les plus vulnérables pourraient peut-être sortir de la tempête dans laquelle ils se débattent depuis un an. La réforme de la SNCF est passée et c’est désormais aux retraités de prendre le train du libéralisme macronien en plein sur le corps.  

Non content de détruire tout ce qui reste d’une France martyrisée par des années de mensonges et de compromissions, Macron aime par dessus tout se mettre en scène. La dernière en date eut lieu dans son bureau ou copiant encore son ancien papa Trump, il signait la loi sur la fin de la SCNF sous prétexte de la sauver. Benjamin Griveaux entre sous l’œil des caméras suivi de sa sainteté jupitérienne, laquelle précède la ministre des Transports, Elisabeth Borne. L’équipe de destruction presque au complet s’assoie pour laisser signer le grand Macron.

Petit, mais violent avec les petites gens

Grand ? Pas si grand que ça malgré les images scénarisées. Car lors de leur entrée dans la pièce, on voit que le plus grand de la bande est sans conteste Griveaux. Pas étonnant, Macron ne fait qu’1m73 et Borne est insignifiante au sens propre comme au figuré. Mais lorsque les trois compères s’assoient, Macron dépasse les deux autres. La poudre de perlimpinpin aurait-elle de nouveaux effets insoupçonnés ? Le président et son ego ne peuvent pas paraître plus petits alors on a mis à disposition une chaise à l’assise plus basse pour le trop grand ministre. L’image filmée est idéale, les deux ministres sont comme deux enfants aux côtés du bon petit père des peuples.

Enfin, petit oui, père non et certainement pas du peuple français. Car avec sa politique de destruction systématique, rien n’y personne n’a de joker. Les difficultés pour joindre les deux bouts ne sont plus une garantie d’être laissé un peu tranquille par un matraquage fiscal grotesque, mais aux effets ignobles. La dernière preuve de cette politique qui s’en prend délibérément aux plus fragiles s’appelle la pension de reversion.

Le Gouvernement avait pourtant juré la main sur le cœur qu’il ne toucherait pas aux pensions de reversion. Même Macron avait dû intervenir en ce sens pour stopper une polémique mal venue pour lui, mais née d’inquiétudes réelles face à un exécutif qui veut faire les poches des plus démunies pour mieux aider les ultra-riches à remplir les leurs. Malgré les assurances au plus haut niveau de l’Etat, les retraités n’en ont rien cru et ils ont eu raison puisque Castaner a fait une sortie remarquée. Le chef d’En Marche et Secrétaire d’Etat aux Relations avec le Parlement a estimé que des pensions de reversion pourraient « baisser » pour certains retraités et « augmenter » « pour d’autres ». Baisser alors que la pension moyenne n’est même pas de 500 euros ? Baisser alors que la pension maximale est de 900 euros ?

L’ignominie du Gouvernement n’a pas de limite. La seule limite fixée est celle des routes départementales à 80 km/h alors que les Français n’en veulent pas. Les retraités qui ont le malheur d’être veufs vont donc avoir les poches plus vides encore. Moins d’argent, mais plus de plomb dans la tête pour ne plus voter pour Macron et son sourire carnassier ? Si tous les trompés du macronisme votaient pour défendre leurs intérêts, nul doute que Macron n’aurait déjà plus d’avenir. Avec un chômage en hausse de 0,3 % dont personne ne veut parler à commencer par le Gouvernement, cela fait des millions de mécontents. Le libéralisme débridé devait faire sortir la France du chômage de masse en moins de deux… Encore une fake news ?Décidément…

 

Source : 24heuresactu