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mardi, 05 juin 2018

La mairie LR de Compiègne (60) finance le repas du Ramadan. Appel à la prière qui résonne dans le quartier, agent municipal proche des salafistes…

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

Par  le 04/06/2018

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L’appel à la prière résonne dans le quartier du Clos-des-roses, à Compiègne. Mouhssine Assiz, en khamis, la longue tunique, et barbe drue, annonce ainsi le coucher du soleil et la rupture du jeûne. À 21 h 50, ce samedi 2 juin, l’Iftar, ce repas du soir pris durant le mois du Ramadan, peut débuter.

 

« C’est comme un repas de quartier ; il n’y a pas d’acteurs religieux ; je suis moi-même un simple croyant, ingénieur, directeur d’une usine Saint-Gobain à Thourotte », précise ce trentenaire. À deux pas de lui, un bidon métallique fait office de barbecue, les tablées pour plus 200 convives sont dressées sur la place du marché, par une douzaine de jeunes gens. « Le deuxième service événementiel de Compiègne », loue Benjamin Belaïdi, à l’origine de la première édition.

Ce dîner est soutenu par la municipalité : logo de la Ville sur les affiches, matériel communal mis à disposition, présence d’animateurs des quartiers, subventions aux associations organisatrices… Compiègne en fait-elle trop au regard de la loi de 1905, aux textes sur la laïcité et de la jurisprudence du conseil d’État ?

« Pour Noël, c’est naturel de faire un repas. L’Iftar doit devenir aussi naturel. Pas seulement entre musulmans. L’an passé, une association catholique était présente », revendique Abdoulaye N’diagye, secrétaire de Jeunesse Avenir Doré, association née dans le quartier. « C’est plus culturel que cultuel », se dit convaincu Romain Rayez, membre de l’UDI et coprésident du Conseil de développement pour Compiègne.

(…) Un banal banquet républicain, alors ? Pas vraiment. Aux beignets et jus de bissap, concoctés par les mères de famille africaines, s’ajoutent, par exemple, les faitouts fumants de boulgour, cuisinés par les bénévoles de l’une des mosquées de Compiègne, celle des turcophones. À table, les convives échangent ainsi sur leurs pratiques religieuses : la prière à 23 heures à la mosquée, le dernier thé avalé juste avant les premières lueurs du jour, parfois les horaires du travail aménagés pour ce mois de carême…

Et Mouhssine Assiz ne cache pas son espoir qu’un tel repas soit de nature « à montrer les vraies valeurs de l’islam ». Désir louable pour des croyants, mais assez peu neutre. « Je ne suis pas soumis à la neutralité. Je ne suis pas là en tant qu’agent du service public, mais comme militant associatif », argumente Benjamin Belaïdi, salarié municipal et déjà à l’origine d’une marche pro-Gaza et d’une collecte pour Barakacity, une ONG réputée salafiste.

De son côté, le maire Philippe Marini (LR) banalise volontiers et la manifestation, et la contribution de la ville « C’est une sorte de fête des voisins. La Ville rend service. C’est tout à fait justifié. » Et s’il n’était pas présent sur la place Baudelaire, samedi soir, c’était qu’il était à la mosquée, celle quai du Clos-des-roses. « L’imam m’invite, il a la courtoisie de le faire, j’y réponds. C’est pour manger un couscous et il est plutôt bon, en général », commente le maire sur le même ton patelin.

 

Aulnay-sous-Bois: Théo Luhaka et quatre membres de sa famille en garde à vue

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

Par  le 05/06/2018 
 

Mickaël Luhaka, 34 ans, avait été convoqué en mars dernier par la police judiciaire (PJ) de Seine-Saint-Denis mais ne s’était pas rendu à la convocation par négligence. Cette fois, la justice a choisi d’aller le chercher au domicile de ses parents à Aulnay-sous-Bois, tout comme son frère Théo et trois autres membres de leur famille.
(…)

L’enquête de la PJ porte sur le fonctionnement trouble de trois associations et sur l’utilisation de plusieurs centaines de milliers d’euros de fonds publics par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi (emplois aidés). (…)

 

Le Parisien via fdesouche

« Exploits » des migrants en ce mois de mai 2018…

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

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Bizarrement, on n’en parle moins dans les médias que le « superman » malien… Liste extrêmement partielle mais fortement indicative :

Notons également que les médias, si prolixe sur ce douteux sauvetage, sont d’un silence de carpe sur les exactions commises récemment par les migrants. Petit panorama rapide en ce qui concerne le mois de mai :

– 1er mai : arrestations du violeur d’une jeune femme à Offenburg (Allemagne) : un migrant de 24 ans.

– 1er mai : Attaque de la police à Witzenhausen (Allemagne) par un groupe de migrants voulant défendre un syrien.

– 3 mai : Kalmar (Suède) : condamnation à 12 mois de prison d’un groupe de migrant afghans violeurs collectifs d’une mère de famille.

– 3 mai : Berlin (Allemagne) : une vielle dame de 84 ans, Maria Müller, est tabassée à mort avec son propre déambulateur par un migrant camerounais notoirement connu des services de police. Le journal Die Welt commente : « avec une longue liste de délits et crimes qui vont du vol jusqu’à une douzaine de coups et blessures ainsi qu’une agression sexuelle. D’où la question : pourquoi un tel individu se trouve encore sur le sol allemand et n’a pas été expulsé ? Pour seule réponse, l’Office des réfugiés « demande de la compréhension et se cache derrière la protection des données des individus ». »

– 5 mai : Strasbourg, une femme de 35 ans est victime d’une tentative de viol et de meurtre par un migrant syrien de 33 ans.

– 5 mai : La Haye (Pays-Bas) : un migrant syrien, Malek F., poignarde trois personnes au cri d’Allah Akbar.

– 6 mai : Riem (Allemagne) : un migrant syrien menace plusieurs personnes avec un poignard.

– 7 mai : Lecco (Italie) ; lors d’un contrôle de titre de transport, des migrants nigérians tabassent un policier, le blessant grièvement.

– 7 mai : Esbjerg (Danemark) : les violeurs de deux adolescentes de 14 ans dans un centre commercial de la ville le 31 mars sont arrêtés. Il s’agit de deux migrants afghans. Ordre avait été donné d’étouffer l’affaire.

– 9 mai : Blankenberge (Belgique) : deux routiers polonais sont poignardés par des migrants qui tentaient de s’introduire dans leur camion. L’un d’entre eux est désormais paralysé au visage.

– 11 mai : Östervala (Suède) : une fillette de 10 ans est violée dans un cimetière par trois migrants.

– 11 mai : Caen : condamnation à 10 mois de prison ferme d’un migrant de 23 ans qui avait agressé une personne âgée le 26 avril.

– 11 mai : Houilles : un groupe de « mineurs » migrants se livre à plusieurs agressions contre des femmes afin de leur arracher leurs bijoux. Tous sont hébergés par le conseil départemental…

– 11 mai : Cognac : un migrant multirécidiviste condamné pour harcèlement sexuel d’une jeune adolescente.

– 12 mai : Paris : un migrant tchétchène poignarde plusieurs personnes avant d’être abattu par la police. Bilan : 1 mort, 2 blessés. L’attentat a été revendiqué par Daesh.

– 13 mai : Pozzallo (Italie) : deux policiers sont blessés à la tête par des migrants tunisiens.

– 14 mai : Montreuil : une jeune fille de 17 ans est violée par un migrant dans un foyer de travailleurs. Ce dernier doit se jeter par la fenêtre du 3e étage pour échapper à une tentative de lynchage perpétrée par 8 amis de la victime.

– 15 mai : Regensburg (Allemagne) : le migrant sénégalais Soueymane Sidki, dont l’expulsion avait été rejetée pour un vice de forme, comparait devant le tribunal pour le meurtre d’une ressortissante roumaine, Lica Luminata.

– 16 mai : Vienne (Autriche) : un migrant tchétchène de 16 ans poignarde à mort au cou avec un couteau de 20 cm une fillette de 7 ans car « il était dans un mauvais jour ».

– 16 mai : Lille : un migrant de 14 ans est interpellé pour l’agression d’une femme de 28 ans afin de la détrousser.

– 16 mai : Rathenow (Allemagne). Une quinzaine de migrants syriens lapident des citoyens allemands, en blessant 6.

– 16 mai : Belgique. Sur une aire d’autoroute, un groupe de migrants attaque une voiture de police à coups de bâton.

– 16 mai : Berlin (Allemagne). Armé de plusieurs couteaux, un migrant libanais de 16 ans blesse trois policiers alors que ces derniers tentaient de l’arrêter. Il s’était échappé de son centre d’accueil.

 – 17 mai : Rennes : un migrant afghan de 23 ans agresse sexuellement une femme et écope de 6 mois de prison ferme.

 – 17 mai : Linz (Autriche) : un jeune homme de 16 ans sauve une femme de 36 ans d’un viol dans un parc. L’agresseur est un migrant originaire du Moyen-Orient.

– 20 mai : Fogia (Italie) : un migrant gambien de 22 ans agresse une femme qui rentrait chez elle.

– 20 mai : Rome (Italie) : 4 migrants bangladeshis enlèvent et violent collectivement toute une nuit une femme de 44 ans sous le viaduc de Guidonia.

– 20 mai : Pau : un trentenaire est lynché à mort par deux migrants mineurs, un Azéri et un Tchétchène.

– 21 mai : Ecosse : une jeune karateka, Kelly Soutar, 29 ans, soudeuse de profession, voit ses agresseurs, des migrants bangladeshis, condamnés à 3 ans de prison. Elle leur avait administré une bonne correction alors que ces derniers avaient tenté de la violer.

– 23 mai : Dijon : deux migrants afghans tabassent dans un train une jeune femme sous prétexte qu’elle avait un décolleté. L’AFP mettra 3 jours pour y consacrer une petite dépêche, alors que FdSouche en avait parlé le soir même…

– 24 mai : Tuttingen (Allemagne) : un migrant pakistanais, Saïd K. armé d’un bâton clouté frappe plusieurs personnes dont un homme politique local, Bernd Mager (CDU) qui avait tenté de l’interpeller.

– 24 mai : Crémone (Italie) : un migrant nigérien tente de pousser une personne sous le train.

– 25 mai : Fürstenfeldbruck (Allemagne) : 7 employés d’un centre de demandeurs d’asile ont été blessés lors d’une émeute suscitée par des migrants nigérians.

– 25 mai : Plauen (Allemagne) : comparution devant le tribunal d’Hatem H., migrant syrien de 21 ans et auteur de 400 crimes et délits depuis son arrivée en Allemagne en octobre 2015.

– 25 mai : Croisilles : un migrant marocain agresse sexuellement une fillette de 11 ans.

– 26 mai : Calais : une policière est blessée par un migrant qui est immédiatement relaché.

– 27 mai : Lyon : démantèlement d’un laboratoire d’héroïne dirigé par un migrant albanais et installé dans un logement social.

– 27 mai : Moria (Grèce) : 72 blessés entre migrants kurdes, des partisans de l’islam revendicatif ayant agressés des laïcards pour une histoire de ramadan non respecté.

– 28 mai : Milan (Italie) ; un migrant égyptien est interpellé couteau en main et criant « Allah Akbar ».

– 29 mai : Saint-Gall (Suisse) : un migrant syrien tente d’arracher les yeux d’une jeune fille.

– 29 mai : Chemnitz (Allemagne) : un migrant syrien de 18 ans a séquestré et violé dans une cave une jeune fille de 15 ans. La victime était si grièvement blessée qu’elle a dû subir une opération chirurgicale.

– 29 mai : Paris : un migrant somalien est poignardé à mort par un autre migrant somalien.

– 30 mai : Montpellier : un migrant tente d’agresser une femme au CHU dans le service maternité mais est stoppé par un gendarme réserviste.

– 30 mai : Jemeppe-sur-Sambre (Belgique) : trois blessés dans une bagarre entre migrants.

– 30 mai : Schiedam (Pays-Bas) : un migrant syrien armé d’une hache crie Allah Akbar et tue un chien policier avant d’être neutralisé.

– 31 mai : Srb (Croatie) : une camionnette de migrants tente d’écraser des policiers.

Notons que sur les crimes des migrants, même un journal comme Bild s’indigne dans son édition du 25 mai : « Votre vie s’est terminée de la manière la plus brutale. Ils vous ont tués, poignardés, frappés à mort. Mais vous meurtriers ont une chose en commun : ils auraient tous dû être expulsés il y a longtemps ou même pas autorisés à être en Allemagne. » Et de mettre photos et âge des victimes des migrants : Mia, 15 ans ; Ayesha, 1 an ; Lica, 33 ans, Maria, 84 ans ; Maria, 19 ans et Susanne, 60 ans.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

RÉINFO, MAGAZINE D'INFORMATION DU PARTI DE LA FRANCE DU 4 JUIN 2018

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018 

Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, présenté par Sylvie Collet.


Au sommaire de ce numéro : 
  
• Le Front National change de nom : La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. 
• Mamoudou, le nouveau héros de la république : Une surcharge émotionnelle pour une récupération politique, qui ne doit pas nous faire oublier la multitude des actes de courage de nombreux Français oubliés des plateaux de télévision. 
•La Turquie avance ses pions :En Syrie, en Algérie et en Tunisie, mais aussi en Europe en Allemagne et tout particulièrement en France, Erdogan, ne prépare-t-il pas l'avènement d'un nouveau califat ? 
• L'Italie eurosceptique prête à gouverner.La morgue de l'Union européenne aura précipité la mise en place d'une plateforme commune de la nouvelle coalition italienne, mais pour combien de temps ? 
Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

La tyrannie de l’image ... Selon Mathieu Bock-Côté

Concentration

Certains n’y verront qu’une mode. On se lasse d’un réseau, on en adopte un autre. Ainsi va la vie dans une société qui a le culte du changement. 

Mais il y a peut-être autre chose dans ce basculement, soit une régression infantilisante qui nous pousse à penser de moins en moins avec des mots et des concepts et de plus en plus avec des images en mouvement.

Lire un statut Facebook, apparemment, c’est encore trop compliqué. Mais faire défiler des milliers d’images jusqu’à l’hypnose, c’est plus simple.

Autre piste à suivre : notre société accélère sa démocratisation – illusoire – dustar-system. Chacun veut mettre en scène sa vie, de manière glamour. Chacun veut briller, se vivre comme une vedette et sentir le désir de tous qui s’exprimera par la multiplication des « likes » et autres gratifications symboliques du même genre.

La révolution technologique de notre temps crée les conditions d’une généralisation fascinante du narcissisme. L’individu n’habite plus le monde, mais son propre monde fantasmé et veut qu’on l’admire en permanence. On le voit avec la dépendance aux réseaux sociaux : la moindre alerte suffit pour que l’individu se jette sur son écran avec une réaction pavlovienne.

Désespoir

Mais avec cette obsession de la représentation, l’écart entre la vie virtuelle et la vie réelle se creuse. Entre l’image projetée sur les réseaux sociaux et la vérité d’une vie, on trouve de moins en moins de points de contact. Qui sait encore jouir d’une belle vue sans la gâcher par un selfie ? Et si une photo ne suscite pas assez de réactions, le désespoir vient vite.

Un désastre psychologique à grande échelle nous attend.