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jeudi, 07 juin 2018

Narbonne : « Vous avez vu ce qui s’est passé à Trèbes, vous allez voir, on est des fous nous »

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018 

Par  le 06/06/2018

Cela avait commencé par une banale interpellation pour un excès de vitesse, mais les faits ont ensuite dégénéré

Le 1er juin dernier, Ben (*) est arrêté par une patrouille de police après un léger excès de vitesse. L’homme n’a pas son permis et donne en plus une fausse identité. Placé en garde à vue, le contrevenant s’énerve et perd le contrôle. Insultes et menaces de mort se succèdent mais surtout le mise en cause fait des références explicite aux attentats de Trèbes : « Je vais vous brûler, je vais vous kalach, vous avez vu ce qui s’est passé à Trèbes, vous allez voir, on est des fous nous ».

Le prévenu âgé de 29 ans comparaissait devant le tribunal correctionnel de Narbonne lundi 4 juin pour cinq infractions. Mais l’une d’elles attire l’attention du tribunal, celle d’apologie du terrorisme. Ben s’excuse pour ses paroles mais explique ne pas avoir été lui-même : « Ils m’ont emmené en garde à vue, je n’avais pas mangé, ni bu (NDLR : il faisait le ramadan) j’étais fatigué, on m’a interdit d’aller aux toilettes, je me suis pissé dessus, alors oui je n’arrivais plus à me contrôler ».

Elle requiert une peine de deux ans ferme et une interdiction des droits civiques et familiaux. En défense, Me Romain Bellet ne met pas en doute les quatre premières infractions (conduite sans permis, fausse identité, outrage à agent et menaces de mort) mais conteste celle d’apologie du terrorisme : « L’apologie est qualifiée de telle en présence d’un élément public, or les paroles ont été énoncées au sein du commissariat, l’infraction n’est pas caractérisée ».

 

Dammartin-en-Serve (78) : le migrant qu’il héberge le tabasse

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018

Le Courrier de Mantes – 06/06/18

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Source : fdesouche

Mai 68 : la fin du mythe

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018 

 

Cinquante ans, ça se fête, pourtant, il est aisé de constater que cet anniversaire, de la révolte des étudiants de mai 68, n’a pas donné lieu à de grandes festivités, à part quelques rappels inévitables dans les médias. Ce sont surtout les opposants qui s’en souviennent. Mais au fait, fêter quoi ? Si cette révolte, conduite par des fils de notables et des petits-bourgeois immatures, deviendra dans l’imaginaire d’une toute une jeunesse en mal-être, “La Révolution de mai 68 “, et qu’elle sera, ensuite, fantasmée par tous les bobos, d’ici et d’ailleurs, à l’origine, elle n’a séduit que peu de monde. Et, jamais, la majorité silencieuse. Qui n’a fait que subir ! Ce n’est qu’un peu plus tard, en gangrenant la plupart des politiciens de gauche et de la droite molle, que cette révolte va consacrer une idéologie libertaire qui se résume en deux slogans emblématiques : “il est interdit d’interdire” et “jouissez sans entraves”. Quel programme ! Pas étonnant, que de jeunes fauves pleins d’appétence fussent enthousiasmés par cette vitrine alléchante, avec ses slogans, claquants et vibrants comme des couperets : ils vont s’offrir une grande libération sexuelle débridée. Là où ça va se compliquer – Freud étant passé par là – c’est quand nos apprentis sorciers eurent l’idée saugrenue d’investir leur défoulement d’une véritable politique idéologique, pour l’appliquer à tous les rouages de l’État. Et ils réussirent, en désintégrant et en pervertissant toutes les valeurs qui fondent une société, normalement constituée.

On sait que le passage à l’âge adulte ne se fait pas sans extravagances, ni anicroches, mais, justement, avec le recul, on voudrait comprendre comment ce projet infantile de transmutation a pu aller au-delà du concevable et de toute logique politique rationnelle. Et nous fabriquer une société, à tel point invertie, où tout discernement est totalement impossible. D’une permissivité complètement ingérable, autant par ses lois que par ses mœurs, nous payons aujourd’hui le prix fort de toutes les sottises des enfants de mai 68. En déconstruisant la société de leurs parents, mais surtout en se regardant le nombril et d’abord leur propre intérêt, ils ont ouvert la porte au capitalisme mondialisé et au libéralisme… qu’ils disaient combattre – quelle foutaise ! Ils voulaient Lénine ou Mao, ils ont eu Mitterrand et, soudain, toute la gauche caviar est devenue ministrable. Ils voulaient abattre le religieux, ils ont eu l’islamisme et le voile partout, même à l’UNEF, syndicat soixante-huitard s’il en est. Ils voulaient que toute la classe ouvrière puisse aller à l’université, il n’y a jamais eu si peu d’enfants d’ouvriers dans les facultés. Échecs, partout ! Par contre, ils ont réussi à imposer leur idéologie mortifère dans toutes les institutions et les organismes d’État, les médias et la plupart des cerveaux pensants de notre pays, et même au-delà. Et, ils se sont érigés en petits commissaires de la pensée en corsetant la liberté d’expression et en investissant une pléiade d’associations “humanitaires” qui, dorénavant, contrôlent la plus simple expression malencontreuse qui peut vous envoyer en prison pour peu que cela ne convienne pas. Dans la foulée, ils ont établi les lois Gayssot, qui empêchent les historiens de faire correctement leurs recherches. La liberté est devenue un leurre et la terreur intellectuelle s’est institutionnalisée. Pourtant, le mythe de la révolution gauchiste semble s’éloigner à tout jamais. Mais l’interrogation sur sa conquête idéologique va encore perdurer longtemps.

Pour l’instant, quel aspect positif peut-on retenir de ces cinquante années de bêtises et de perversions ? Aucun ! Ou plutôt si, en cherchant bien, on peut en trouver un, un petit rien : les héritiers de mai 68, nouveaux bobos un peu écolos, en reprenant à leur compte un des slogans de mai 68, entre autres célèbres, “sous les pavés, la plage”, fleurissent les rues et les trottoirs où ils habitent… Peut-être par ce geste, s’exercent-ils à honorer, bientôt, la tombe d’une idéologie qui les formate encore ? Défunte, mais pas encore enterrée.

 

Source : ndf

La croissance démographique de l’UE s’explique entièrement par l’immigration !

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le grand remplacement par l’arrivée massive d’immigrés ? Cette fois, on ne pourra pas dire que cette affirmation est une fake news propagées par l’extrême droite. Non, c’est un journal tout ce qu’il y a de bien vu par le système, à savoir Libération, qui le confirme :

Question posée par Martin Issou le 26/05/2018

Bonjour, votre question a été raccourcie. La voici dans son intégralité : «Est-il vrai comme l’affirme le blog d’extrême droite Fdesouche que de nos jours en Europe l’intégralité de la croissance démographique est due à l’immigration ?»

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Vous faites allusion à un article publié sur le blog FDesouches titré : «Europe : la totalité de la croissance démographique est désormais due à l’immigration».

Cet article s’appuie sur un article publié sur Vatican News, reprenant un «rapport sur l’évolution de la famille en Europe», réalisé par l’Institut de politique familiale.

On retrouve, page 8 de ce rapport, la phrase citée par Vatican News et reprise par FDesouche : «dans les années 2015 et 2016, la totalité de la croissance démographique européenne est due à l’immigration puisque la croissance naturelle a été négative.»

Concernant l’année 2015, on lit dans un bilan de 2016 : «en 2015, le nombre de décès a dépassé le nombre de naissances vivantes dans l’UE-28 (pour la première fois depuis le début des séries chronologiques en 1961), entraînant la diminution naturelle de la population mentionnée ci-dessus. Par conséquent, l’augmentation de la population enregistrée en 2015 dans l’UE-28 a pu être entièrement attribuée au solde migratoire corrigé. En 2015, le solde migratoire corrigé représentait une augmentation de 1,9 million de personnes».

Même chose pour 2016, selon un communiqué d’Eurostat daté du 10 juillet 2017 : «Au 1er janvier 2017, la population de l’Union européenne (UE) était estimée à 511,8 millions de résidents, contre 510,3 millions au 1 er janvier 2016. Au cours de l’année 2016, autant de naissances que de décès ont été enregistrés dans l’UE (5,1 millions), ce qui signifie que la variation naturelle de la population de l ‘UE a été neutre. La variation démographique (positive, avec 1,5 million d’habitants supplémentaires) est donc due à l’apport du solde migratoire».

Il est donc exact de dire que sur les années 2015 et 2016, la croissance démographique de l’ensemble de l’UE s’explique entièrement par le solde migratoire. (…)

www.liberation.fr

 

Source : medias-presse.info

L’éducation selon Marlène Schiappa

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 06 juin 2018

L’exécutif actuel est une constellation qui se donne entièrement à la France. Un goût du partage trop prononcé qui se ressent dans la nouvelle catastrophe présentée fièrement par Marlène Schiappa. Tout a été dit sur la Secrétaire d’Etat, mais quitte à ne pas pouvoir faire parler d’elle en bien ailleurs que dans les magazines féminins, Schiappa a décidé de publier un nouveau livre. Intitulé « Si souvent éloignées de vous », il se veut être un guide pour ses deux filles. Consternant.

L’honnêteté intellectuelle nous conduit à dire que la rédaction de 24 heures actu n’a pas lu l’intégralité des 302 pages que constitue le machin censé constituer un ouvrage. A notre décharge, nous ne sommes pas dans les listes des journalistes (amis) qui ont eu le droit à la promotion d’un livre très personnel, mais promu par les agents du Secrétariat d’Etat dirigé par Marlène Schiappa. Dernière excuse : pourquoi payer 19,5 euros un ramassis de bêtises quand il suffit d’allumer sa télé pour voir Schiappa faire les mêmes leçons de moral à qui veut bien encore l’entendre ?

Même les journalistes craquent !

Dédouanés, nous remercions – une fois n’est pas coutume – les journalistes qui ont été contraints de lire ce truc afin d’en faire la promotion. Le niveau est tellement bas que même ceux chargés de mettre de la pommade sur une telle plaie intellectuelle et littéraire ont dû se résigner à critiquer un « roman de gare » qui « met bien mal à l’aise ». Pour en arriver à de telles conclusions, il faut pousser le bouchon loin, très loin. Mais Marlène Schiappa a démontré à plusieurs reprises qu’elle avait le potentiel et la volonté d’atteindre de telles extrémités. Mission réussie avec brio !

Par quoi commencer ? Il faut peut-être rappeler que ce livre est censé être écrit pour les filles de Marlène Schiappa. Des épisodes de vie lors de longues journées et soirées passées loin de ses enfants. Alors, il est certain que parfois, le courageux lecteur tombera sur des moments d’intimité qui révèlent le vide profond d’une femme certainement en avance sur son temps… « Quand le shampoing coule sur mes épaules, mon ventre, mes jambes, j’en ai partout, je me lave les mains avec ce liquide blanc, je patauge dedans ». Victor Hugo peut se rassurer, il a trouvé son héritière. Quel talent ! A moins que cela ne soit du niveau d’un vulgaire téléfilm érotique…

Mais non enfin, Marlène Schiappa n’est pas au Gouvernement pour rien ! Elle mène un combat héroïque grâce au génie jupitérien élu dans un moment « historique » pour la France et le monde. La comparaison grandiose arrive : « Comme si pendant des années, des apothicaires avaient tenté de guérir un pays malade en préconisant des saignées et que, enfin, un véritable médecin arrivait avec une poche de sang à transfuser ». En plus d’être un astre, Macron est un médecin merveilleux.

Et que dire de sa femme ? Beaucoup de bien ! Ça aide d’avoir une amie haut placée pour se cramponner à un poste malgré des faiblesses rédhibitoires. Alors c’est parti pour un portrait de Brigitte : « bienveillance, la gentillesse, l’engagement et la classe naturelle, ses allusions artistiques, son humour ravageur et son sourire irrésistible de l’éternel féminin ». Chacun voit son « éternel féminin » comme il l’entend…

Comment ne pas terminer cette recension en évoquant les conseils d’une maman à ses filles ? Une maman un peu tourmentée : « J’aimerais être féministe jusqu’au bout des ongles et vous dire que les garçons, on s’en fiche, mais quelque chose au fond de moi – un reste de mes aïeules romantiques de Corse et d’Italie ou le fait d’avoir trop relu Madame Bovary – m’empêche d’affirmer spontanément que rien ne t’oblige à tomber amoureuse ». Une maman qui croit important de préciser qu’elle a plein d’ « amis gays », « ce qui n’en fait pas de moins bons modèles masculins ». Ouf, nous voilà rassurés.

Bon courage aux quelques lecteurs (et lectrices, bien entendu) qui oseront compléter cette triste et pénible lecture. Une pensée également aux deux filles de Marlène Schiappa qui doivent grandir avec de tels repères. Bonne chance !

 

Source : 24heuresactu