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dimanche, 10 juin 2018

Seine-Saint-Denis : violente agression aux cris de « Dégagez, on n’aime pas les Blancs ici ! »

Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2018

Auteur : Pierrot

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« Une jeune fille et sa mère ont été victimes d’une violente agression, le 20 mai dernier, alors qu’elles se dirigeaient vers la gare pour rentrer chez elles, à Pierrefitte-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, signale l’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blancs (OLRA).

Les deux femmes (la mère est malvoyante et se déplace avec une canne) ont notamment reçu des jets de cailloux, une barre en métal et un morceau de béton de la part d’un groupe de « jeunes », qui ont multiplié les insultes racistes : « Dégagez, on n’aime pas les Blancs ici ! », « Retourne-toi, regarde-nous sale pute, sale blanche ».

L’OLRA, qui accompagne les victimes dans leurs démarches juridiques, précise que la jeune femme, blessée à la tête et toujours en état de choc, a été transportée par les pompiers à l’hôpital, et qu’un arrêt de travail ainsi qu’un suivi psychologique ont dû être mis en place. Une plainte a été déposée. »

Source : VA via contre-info

Les chiffres vertigineux de l’immigration en 2017

Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2018

Auteur : admin4

En 2017, l’État a recensé 412 000 étrangers supplémentaires : 262 000 nouveaux titres de séjour + 100 000 demandeurs d’asile + 50 000 « mineurs » isolés . Des chiffres qui ne comprennent pas les clandestins… 

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Source : contre-info

samedi, 09 juin 2018

9 juin 721 : Quand Eudes d’Aquitaine arrêtait la conquête musulmane à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2018

 

Eudes d'Aquitaine
 
Le 9 juin est une date méconnue bien que victorieuse pour la ville de Toulouse. En effet, c’est à cette date qu’en 721, les troupes d’Eudes d’Aquitaine stoppèrent l’invasion arabo-musulmane dans le sud-ouest de la France.

Suite à la conquête de l’Espagne et du Portugal, formant le califat d’Al-Andalus, les Sarrasins prennent le parti de remonter dans le Sud de la France. Ainsi Narbonne est conquise en 718, de même qu’Agde, Béziers et Nîmes, mais Eudes d’Aquitaine se mettra en travers de leur chemin à Toulouse…

Lire aussi : L’occupation musulmane en Languedoc au VIIIe siècle

Le cas de Toulouse est très particulier dans cette période : une fois ces villes tombées, Toulouse demeurait le dernier rempart contre l’invasion de l’Aquitaine et, au delà, du royaume franc. L’année 721 sera décisive : le siège de Toulouse et la défaite de l’Émir Al-Samh ibn Malik devant ses remparts vont entraîner la chute de l’occupation sarrasine sur notre sol.

Lire aussi : Portrait d’Eudes d’Aquitaine

La bataille de Toulouse n’aurait jamais été remportée sans Eudes d’Aquitaine : fils du duc de Gascogne Bodogisel et de Sainte Ode de Francie, son autorité s’étend de la Loire aux Pyrénées, jusqu’au Rhône à l’est. Alors que l’armée de l’Al-Andalus entame sa conquête, les royaumes francs d’Austrasie, dirigé par Charles Martel, et de Neustrie, dont le maire du palais est Rainfroi, se livrent une guerre sans merci dans laquelle intervient Eudes en 717. Cette lutte de pouvoir facilite grandement l’avancée musulmane sur les terres franques.

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Lorsque débute le siège de Toulouse par 5 000 musulmans en novembre 720, la cité s’épuise rapidement. Eudes planifie une sortie héroïque le 9 juin 721 : en sous-nombre mais profitant d’un effet de surprise absolu, il met en fuite l’armée de l’émir Al-Samh ibn Malik par une charge de 2 000 hommes sur ces paroles légendaire : « Sur mon honneur, je vous le dis, jamais on ne parlera l’arabe ici ! ». L’émir, bien qu’il ait rapidement fui devant le courage des Francs, est rattrapé et tué. Inspirés par cette victoire, les Wisigoths d’Espagne se soulèvent à leur tour, appuyés par Eudes qui poursuit le général maure Ambiza. En 726, il parvient à massacrer entièrement cette armée entre Toulouse et Narbonne.

« Longue est la plainte des arabes car leur cœur est bien lourd. Les Francs chantent leur petite victoire à Poitiers, mais nous, nous pleurons notre immense défaite devant Toulouse. Et nous implorons Allah d’accueillir au paradis, nos morts restés sur la chaussée des martyrs. »

Ibn Hayyan ben Abou Djebbala (fakys du khalife Omar au VIIIe siècle), cité par l’historien El Maqqari El Tlemcani (1591-1632)

Malgré leurs rivalités politiques, Charles Martel et Eudes s’allient en 731, pour consolider leur pouvoir et bâtir une armée afin de vaincre et déjouer les prochaines invasions. Devant l’avancée des armées de Charles Martel et d’Eudes de Gascogne réunies, Abd el-Rahmann, émir de Cordoue arrête sa progression entre Poitiers et Tours le 17 octobre 732. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, que se font face les ennemis. Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Abd-er-Rahman meurt au combat et la nuit suivante, ses hommes se retirent. L’armée musulmane est ainsi définitivement stoppée.

A. de Bermont.

Lire aussi : Boisson Divine : ils ont chanté la bataille de Toulouse

Nouvelle insulte LGBT envers les chrétiens [Add: la mairie de Tours se désolidarise]

Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2018

Appelez en masse la mairie de Tours (au vu du logo elle finance l'opération) pour protester au 02 47 21 60 00 :

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Ils n'auraient jamais osé faire ça avec Mahomet

Cela fait la 1000e fois que l'on dit ça...

Cela fait la 1000e fois que c'est vrai.

Les AFC, Tous pour la famille et Alliance Vita ont écrit une lettre adressée ce vendredi au maire de Tours et au président du conseil départemental :

"L'affiche d’annonce de la Gay Pride blesse profondément les familles tourangelles. Nous vous demandons de faire retirer ces affiches qui vous engagent."

Les associations dénoncent

"une promotion de la GPA, que l’affiche promeut de façon malhonnête en présentant un homme avec un enfant et en parlant de PMA, qui ne s’adresse qu’aux femmes".

Addendum - communiqué du maire de Tours :

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Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

Dans Rivarol de cette semaine : un article sur le livre de Carl Lang, "Un chemin de résistance"

Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2018

1a422e_a782e68f61494665ba2360dabd85d104~mv2.pngDans un livre d’entretiens avec Jean-François Touzé, Un chemin de résistance, Carl Lang raconte ces quarante années d’engagement politique, trente ans au Front national de Jean-Marie Le Pen (1978-2008) et près de dix ans à la tête du Parti de la France. Dans le cadre d’un dialogue sincère et à coeur ouvert, l’ancien secrétaire général du Front national expose le sens de son engagementet réaffirme saferme volonté de faire renaître avec d’autres une droite nationale, sociale et populaire authentique.

Carl Lang explique que s’il a rejoint le Front national, mouvement alors jeune et groupusculaire, tandis qu’il avait à peine vingt ans, c’était essentiellement par anticommunisme et par patriotisme, par rejet du marxisme si prégnant alors à l’école, à l’université, dans les esprits et par amour de la nation et des valeurs et principes de la droite authentique : le respect du sacré et des traditions, la défense de la famille, l’amour de la patrie, la promotion des libertés : liberté de l’esprit et libertés économiques, le sens des responsabilités.

Carl Lang raconte en détails, de manière vivante et passionnante, ses trente années d’engagement au FN, dont près de vingt à de très hautes responsabilités, au secrétariat général et à la délégation générale de 1988 à 1995, puis de 1998 à 2005. Il relate tous les combats mémorables menés au côté de Jean-Marie Le Pen, combats électoraux bien sûr, mais aussi prises de positions politiques lucides et courageuses contre la guerre du Golfe en 1990-1991, contre le traité de Maastricht en 1992 et contre la Constitution européenne en 2005.

Le président du Parti de la France évoque les tensions montantes avec Marine Le Pen à partir de son émergence médiatique en 2002. Il rappelle qu’en tant que directrice stratégique de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2007, elle avait imposé des choix aberrants comme le discours de Valmy et celui sur la dalle d’Argenteuil, ainsi que la Beurette en string sur une affiche. Et Carl Lang de préciser fort justement : « Cette orientation chevènementiste est bien antérieure à l’arrivée de Florian Philippot au Front national. […] Dans Le Figaro du 12 décembre 2006, Marine Le Pen n’hésitait pas à déclarer : “la candidature de rassemblement du peuple français, débarrassée des spécificités religieuses, ethniques ou mêmes politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen”. Voilà une phrase qui résume à elle seule ce que pense Madame Le Pen. […] Aujourd’hui je me demande dans quelle mesure elle ne souhaitait pas l’échec de son père. »

Carl Lang relaye également la façon dont il a été suspendu du FN en 2008 car il n’acceptait pas d’être numéro deux de la liste FN dans le Nord-Ouest pour les européennes de 2009 derrière Marine Le Pen car s’effacer derrière elle, c’était accepter son positionnement politique et stratégique et valider le fait qu’elle avait vocation à succéder à son père à la tête du FN. Sa suspension a conduit Lang et ses amis à fonder début 2009 le Parti de la France qui, bien que modeste, sans argent et sans relais médiatique, entend rester fidèleaux principes, aux valeurs et aux convictions de la droite nationale. L’infâme exclusion de Jean-Marie Le Pen, les purges successives, l’abandon du nom Front national et des fondamentaux prouvent que l’analyse de Carl Lang, comme d’ailleurs celle de RIVAROL, sur Marine Le Pen était pertinente.

Le calamiteux débat du second tour de la présidentielle de 2017 qui a fait honte à tous les nationaux n’ayant pas un QI d’huîtres et le septennat désastreux de liquidation du FN montrent la lucidité de tous les anti-marinistes historiques. Ils étaient relativement peu nombreux, ils ont été traînés dans la boue, traités de tous les noms, mais ils avaient vu juste.

JB

 

Source : synthesenationale