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mardi, 12 juin 2018

La réinsertion des détenus, une obsession étonnante

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

La réinsertion des détenus, une obsession étonnante

La réinsertion des détenus, une obsession étonnante

Par André Murawski, conseiller régional Rassemblement national des Hauts-de-France ♦ Le jeudi 31 mai 2018, le Conseil régional des Hauts-de-France a accueilli un colloque sur la prévention de la récidive et des radicalisations. Ayant assisté à une partie de ce colloque, j’ai souhaité partager mes réactions.

Depuis les temps les plus reculés, les sociétés humaines sont organisées dans le but d’assurer à leurs membres les meilleures conditions d’existence. Pour ce qui concerne les relations publiques ou privées, un pacte social est défini et matérialisé par un corpus législatif et réglementaire. Dès lors, toute infraction à la loi constitue une violation des règles de vie auxquelles la société réagit par la contrainte, voire par la force. La punition peut être pécuniaire. Elle peut être privative de liberté. Dans certains pays, elle va jusqu’à l’application de la peine de mort.

S’il est clair que l’auteur d’une infraction ne doit pas en subir les conséquences au-delà de la sanction qui lui est infligée et que sa réinsertion dans la société doit être toujours possible, il est clair aussi que la société ne saurait faire plus en faveur de ceux qui enfreignent la loi qu’elle ne fait en faveur de ceux qui la respectent. Or, les débats auxquels j’ai assisté m’ont donné le sentiment d’une décadence du droit et d’un dévoiement de la solidarité.

En effet, si les débats portaient sur les auteurs de délits ou de crimes, il est frappant de constater que les victimes ou leurs familles étaient, comme c’est trop souvent le cas, méconnues ou sous représentées. Par exemple, Maître Morain, avocat étant intervenu pour faire sortir de prison le plus ancien détenu de France, a longuement évoqué la lourdeur de la peine infligée à son client, sans jamais avoir un mot pour la victime, un sexagénaire invalide que Michel Cardon et son complice avaient torturé, puis battu à mort avant de s’enfuir avec un butin dont la valeur s’élevait à 200 francs (30 euros). Fallait-il vraiment faire sortir Cardon de prison ? Je pense que non.

Evidemment, les personnes invitées à s’exprimer participaient pour la plupart du système judiciaire, de l’administration pénitentiaire ou d’associations d’aide à la réinsertion. Une aide dont on devine à la lueur des échanges qu’elle est plus active que celle à laquelle peut prétendre n’importe quel demandeur d’emploi, de logement ou de prestations sociales qui n’a jamais commis d’infraction. Cette inversion des priorités est anormale : la personne qui respecte la loi et qui est en difficulté devrait être accompagnée mieux que la personne qui a enfreint la loi et qui a causé à autrui une souffrance ou un préjudice parfois irréversibles. La défiance d’une frange importante de la population à l’égard des institutions procède souvent de tels constats.

Les discours prononcés lors de ce colloque montrent, en tout état de cause, que face à des conceptions erronées de la réinsertion, il reste beaucoup à faire. Dans ce domaine, la réforme devrait s’appuyer sur des valeurs morales dont la pertinence et l’efficacité ne sont plus à démontrer. La certitude de la sanction. Des peines intégralement exécutées. Des conditions de détention convenables sans exagération. Une contribution par le travail au coût de la détention… Ces valeurs sont-elles celles d’un certain conservatisme politique et sociétal ? Assurément. Et c’est tant mieux.

André Murawski
9 juin 2018

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

L’idéologie du « genre » : le refus de la réalité

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

enceinte,état civil,idéologie du genre,lgbt,transexuelleOn vit une époque renversante ! La réalité est niée et l’utopie érigée en certitude.

Une histoire survenue en Grande-Bretagne illustre parfaitement cette révolutionphilosophique et anthropocentrique qui corrompt l’intelligence et la société, et mène à la déconstruction de l’humanité.

Une femme veut devenir un homme et faire changer son inscription à l’état civil. Elle commence le processus clinique et bureaucratique de changement de sexe. Entre-temps elle est enceinte et accouche. Après la naissance du bébé, cette femme, désormais pour l’État britannique « homme », veut que sur l’acte de naissance de son enfant elle apparaisse comme « lui ». Le système juridique anglais évidemment ne le permet pas puisque seules les femmes accouchent.

La mère de l’enfant n’est pas d’accord. Elle débute un procès contre l’administration britannique en soutenant qu’avoir été enregistrée comme « mère » « viole son droit humain au respect pour la vie humaine et familiale » et qu’il s’agit « d’une interférence disproportionnée et non nécessaire à la lumière des changements survenus dans la société ». Face à l’objection que seule les femmes peuvent concevoir et accoucher, l’avocat de cette transsexuelle a répliqué que c’est désormais une pratique que les transsexuels puissent conserver certaines fonctions reproductives de l’ancien sexe. Donc les « hommes » transsexuels peuvent accoucher !

Cette histoire d’outre-Manche est la synthèse des aberrations monstrueuses échafaudées par la société nihiliste contemporaine : la réalité n’est plus reconnue comme telle mais n’est que le fruit de la volonté humaine, volonté qui, dans un délire d’omnipotence, ne doit connaître aucune limite. Les règles naturelles sont ainsi subverties par le désordre moral ambiant, chaque désir est élevé en droit. Et puisque est vrai tout et son contraire, alors la vérité n’existe pas : c’est le summum du nihilisme. La personne devient le centre de l’univers et elle est l’architecte de sa propre vérité, du moins cela est-il vrai pour les déjà nés, les sains, les protégés du politiquement correct. L’État est assujetti aux vouloirs des citadins mais pas de tous les citadins. Ce sont les modes qui font la vérité, Dieu et ses lois sont remisés au placard.

Le monde que veulent et préparent les Lgbt, le politiquement et sexuellement correct, défie dans un geste de révolte la Création divine ! Ce n’est que la continuité de la première révolte de Lucifer…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Légion étrangère

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

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Ysabelle Meï Lu Saura

Mon fils de 12 ans est revenu avec le devoir suivant, donné à toute la classe :

" Trouvez une photo de migrants. Vous la présenterez et vous direz pourquoi elle vous a particulièrement ému. »

Je l’ai un peu aidé…

Il est retourné en cours avec une photo d’un défilé de la Légion Étrangère et les commentaires suivants :

« 180 nationalités différentes dans la Légion, tous immigrés et ce qui m’a ému, c’est qu’ils sont venus pour servir la France et non pour foutre la merde.

Et aussi qu’'entre eux ils ont une vraie solidarité, quelle que soit la race, la religion ou la nationalité. Un exemple d’intégration réussie ! »

lundi, 11 juin 2018

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Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2018


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Suivez le coq : le label d’établissements garantie non-halal

Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2018

Suivez le coq
Lancé à la fin de l’année 2016, le label Suivez le coq indique les boucheries ou les restaurants certifiés non-halal. Une initiative signée l’association Vigilance Halal. 

« La qualité de l’élevage à l’assiette ». C’est le maître-mot de l’organisation Suivez le coq, une plateforme mise en place sous l’impulsion de l’association Vigilance Halal, présidée par le docteur Alain de Peretti.

Sur son site internetSuivez le coq met à disposition des internautes une carte permettant de géolocaliser les établissements ayant reçu le label éponyme dans toute la France. Pour recevoir cette distinction, les boucheries doivent vendre uniquement de la « viande de tradition française », c’est à dire garantie 100 % non halal.

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Car tel est le combat de Vigilance halal qui milite pour le bien-être animal en s’opposant aux abattages rituels. « L’abattage halal des animaux, qui tend à devenir la règle alors qu’il n’est qu’une dérogation, pose une double problématique : la souffrance animale et les risques sanitaires. Les scandales qu’il induit ont entraîné une dégradation de l’image de marque des professions de la viande. ». L’association argument : « Plus de 70% des français sont contre l’abattage halal et sont prêts à favoriser dans leurs achats de la viande garantie non halal : il y a donc un marché énorme ! Cela a été confirmé par les bouchers adhérents du réseau qui ont gagné des clients. »

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Sur la carte à retrouver sur leur site internet de Suivez le coq, plusieurs dizaines d’établissements sont labellisés en Occitanie, dont une petite quinzaine en Haute-Garonne. Du Comminges à Toulouse et sa périphérie, en passant par le Lauragais ou le Muretin.

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Cartographie des restaurants et boucheries labellisés « Suivez le coq » en Haute-Garonne et ses alentours.

La promotion du réseau est faite par des bénévoles qui profitent de leurs trajets quotidiens pour démarcher un restaurant ou une boucherie en se munissant préalablement du kit-partenaire téléchargeable sur internet. Les arguments de « suivez le coq » pour l’abattage traditionnels et non-halal y sont listés.

Bertrand.

 

Source : infos-toulouse