Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 06 juin 2018

Il faut rétablir la peine de mort !

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Auteur Roland DUBOIS

acte de guerre,assassins,peine de mort,

Quand la peine de mort est hors-la-loi, seuls les hors-la-loi infligent la peine de mort (*).

La majorité des Français est probablement favorable à l’application de la peine de mort aux auteurs de crimes particulièrement odieux et pour lesquels aucune circonstance atténuante ne peut raisonnablement être invoquée au regard du forfait perpétré.

Les nombreux sondages faits dans les années écoulées vont tous dans ce sens.

Il y a toujours eu une majorité pour estimer qu’elle demeurait un mal nécessaire pour punir, et aussi, ce qu’on occulte trop souvent, mettre hors d’état de nuire à nouveau, les monstres que sont devenus certains hommes.

Remarquons que, sur ce sujet de société majeur, on s’est bien gardé de demander par référendum leur avis aux Français, sans doute parce que la réponse n’aurait pas été celle que nos dirigeants souhaitaient.

Ce qui a joué contre le principe même de son application, c’est, psychologiquement, le côté barbare de l’exécution au moyen de la guillotine.

Nous étions les seuls dans le monde civilisé à pratiquer encore la décapitation.

On aurait pu trouver quelque chose de moins choquant.

Mais que des criminels en série, des assassins d’enfants, de vieillards, des monstres joignant la barbarie au meurtre, des terroristes ayant perpétré leurs forfaits aveugles dans des lieux où, nécessairement, ils allaient tuer et blesser n’importe qui, n’encourent pas la peine qu’ils n’hésitent pas à infliger à des innocents est une injustice. Et un encouragement.

Un meurtrier a intérêt à tuer les témoins possibles de son acte.

Dans le meilleur des cas, il augmente ses chances d’échapper à la police et à la justice.

Dans le cas contraire, deux, trois ou quatre victimes ne changeront guère son sort.

En outre, si on veut que, demain, notre société trouve encore des défenseurs en la personne des juges et des policiers, il faut aussi penser à les protéger.

Et la meilleure protection, c’est la possibilité que leur assassinat puisse mener tout droit au gibet. Peu d’humains en Occident ont de l’attirance pour le martyre.

Un argument fort contre la peine capitale est le risque de l’erreur judiciaire, hélas sans recours. Mais on pourrait modifier les textes, au moins dans ce cas, pour que la sentence ne puisse pas être prononcée sur la seule « intime conviction des jurés » – notion qui, dans un pays démocratique, est en elle-même, et dans tous les cas, une étrangeté, convenons-en.

Quand une sentence irréversible est possible, il faut des preuves indiscutables de la culpabilité ; et c’est de moins en moins utopique grâce aux progrès considérables, accomplis dans les années passées, et ceux à venir, par la police scientifique.

Les humanistes autoproclamés de ce pays vont sans doute être horrifiés de ce propos.

Ils ont deux arguments principaux : retirer la vie à un homme, fût-il un assassin, est contraire à nos valeurs, c’est se rabaisser à son niveau, et le risque du châtiment suprême n’est pas dissuasif, n’a aucune vertu préventive.

Déjà discutable dans une société en paix, où les crimes sont rares et ne remettent pas en cause les fondements de la société, ce point de vue est hors du temps quand on a affaire à des groupes ou des individus qui s’attaquent à n’importe qui dans le but ultime de détruire une société qu’ils haïssent, par la confusion, le désordre et la peur qu’ils propagent, et in fine par les affrontements qui surgiront inévitablement au sein de la population si l’État n’est pas inflexible.

Voilà près de 5 ans que le président et le Premier ministre de ce pays ont prononcé le mot guerre pour qualifier ce qui se passe chez nous ; sans toutefois oser nommer l’ennemi.

Infliger la mort est inséparable de l’acte de guerre. D’ailleurs, on n’est pas si regardant quand il s’agit d’aller bombarder les Syriens qui ne nous ont rien fait, du moins dans le passé récent, et qui ont les mêmes ennemis que nous.

Alors ? On peut tuer là-bas des étrangers anonymes assez inoffensifs pour nous, mais pas chez nous des ennemis déclarés de notre patrie, Français de surcroît généralement, donc des traîtres ? Ça n’a pas de sens.
Malheureusement, je pense qu’il faudra encore bien d’autres attentats et massacres, pour que nos chefs descendent enfin sur terre. Le courage et le bon sens ne sont toujours pas au pouvoir en France.

* « Supprimer la peine de mort ? D’accord ! Que Messieurs les assassins commencent ! » (Alfred Capus)

 

Source : les4verites

La dictature de la solidarité

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Auteur Lambert Christian

charité,dictature,idéologie socialo-communiste,immigrés,solidarité,

La solidarité a toujours existé. On l’appelait autrefois la charité. Toutes les religions l’ont pratiquée. C’était un devoir que d’aider le pauvre, le faible, le malheureux. Les évangiles en font foi. Sous la monarchie catholique existait déjà une sorte de sécurité sociale, non contraignante, administrée par le catholicisme aux multiples activités caritatives.

Le développement de l’idéologie socialo-communiste, à base marxiste, a fait passer la charité spontanée à la solidarité imposée et gérée par l’État, non plus dans un esprit de compassion, mais, au contraire, dans un esprit d’agressivité. Les pauvres sont produits par les riches, qui ne sont devenus riches qu’en exploitant les pauvres. Donc la solidarité n’est qu’une restitution partielle de ce qui a été volé. Autrement dit, c’est la « lutte des classes » qui régit tout dans nos sociétés faussement démocratiques. C’est la classe des pauvres qui doit reprendre ce qui lui a été enlevé par la classe des riches. Avec une telle idéologie, le climat est évidemment toujours très tendu. Ce n’est pas de la charité, c’est la guerre. Ce n’est pas l’amour, c’est la haine. Il reste que la redistribution coûte très cher à l’État, des milliards d’euros. C’est une politique de Gribouille au vinaigre. Les très nombreux fonctionnaires de l’administration fiscale, plus toute une administration de redistribution, surveillée et harcelée par les associations, les partis politiques et les syndicats, tout ce monde-là se paie au passage.

Dans cet esprit, il n’y en a jamais assez. Ceci s’ajoutant au reste, on augmente sans cesse la dépense publique. On creuse les déficits et on instaure une sorte de guerre civile larvée permanente. Ainsi la France pratique-t-elle la redistribution sociale la plus élevée de tous les pays du monde : la production de la France représente 3,7% de celle de la planète, alors qu’elle redistribue 15% des transferts sociaux mondiaux. Pour autant, vit-on en France mieux qu’ailleurs ?

Autrefois, il existait de grandes entreprises où l’emploi était assuré pour les parents et les enfants qui, après l’école, prenaient la relève. Des hôpitaux, appelés hôtels-Dieu, gérés souvent par des religieux, assuraient des soins à tous. Mais cette paix sociale ne plaisait pas aux marxistes. Les socialistes dénoncèrent cette forme de réussite comme étant du paternalisme. Ce n’était pas acceptable, le patron étant plus riche que ses salariés. Ce système disparut, remplacé par le chômage, l’anarchie et l’anxiété pour beaucoup.

C’est là l’un des aboutissements du socialisme, dont on a tout le loisir de contempler les résultats, que ce soit ceux du socialisme en devenir ou ceux du socialisme au pouvoir. Rappelons ce qu’a été l’URSS de Staline, la Chine de Mao, la Corée des Kim. L’idéologie socialiste apparaît comme étant avant tout fondée sur l’illusion. Entre les mains de politiciens qui finissent par se constituer en sorte de gangs de type mafieux qui, au pouvoir, s’en approprient les mille avantages. Ils en profitent largement et cherchent à les conserver à vie. Ils remercient les électeurs par des discours, des promesses et des rêves.

Chez les immigrés, c’est la même mentalité.

Selon eux, la France coloniale s’est enrichie en exploitant notamment les populations africaines. Il est donc juste et logique que ces populations reprennent ce qui leur a été enlevé, soit par l’aide au développement – des centaines de milliards –, soit en France par l’aide sociale. Le problème est que ce raisonnement est complètement faux. La colonisation n’a été en aucune façon un enrichissement, mais bien plutôt un appauvrissement et une série de problèmes et d’ennuis multiples, avec pertes humaines et financières. Des conséquences telles que la France est aujourd’hui menacée par une guerre ethnique résultant de l’invasion qu’elle subit de foules dépourvues de toute qualification.

On remarquera à ce propos que c’est dans ces foules que les partis et les syndicats recrutent désormais leurs troupes. Les manifestations sont souvent conduites par des porteurs de drapeaux rouges – on n’a jamais vu autant de drapeaux rouges – venus d’outre-mer. On notera aussi que ces colonisés d’hier sont considérés par Emmanuel Macron, le premier magistrat de France, comme les survivants d’un « crime contre l’humanité » commis par la colonisation française. Donc tous en repentance ! Que le socialisme veuille bien remettre les péchés que nous n’avons pas commis.

Bref, les Français seraient des criminels (Macron dixit) – on peut heureusement en discuter. Mais ce qui est sûr, c’est que les contribuables paient l’addition, ces très nombreux contribuables dont la vraie nature est indiquée de façon claire et définitive par la première syllabe de leur nom !

 

Source : les4verites

Le Gouvernement ferme la porte aux handicapés

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 05 juin 2018.

Débrouillez-vous seuls ! C’est en résumé ce que disent le Gouvernement et la majorité aux personnes en situation de handicap. L’article 10 de la loi Evolution du logement, de l’aménagement et du numérique (ELAN) est un grave retour en arrière pour l’insertion des handicapés. Seuls 10 % des logements neufs devront être obligatoirement accessibles aux personnes handicapées alors que la loi prévoyait jusqu’à aujourd’hui un taux de 100 %. Un coup dur pour tous ceux qui avaient gobé les grands et généreux discours de Macron.  

Comment est-on passé d’un discours grandiloquent sur la veuve, l’orphelin et l’handicapé à une loi inique qui met au ban de la société 24 % des actifs ? La recette est aussi simple que terrible : après les promesses, place à la réalité. Lors du débat de l’entre-deux tours, Macron avait pris soin de ratisser large et dans les dernières secondes, il avait utilisé sa « carte blanche » pour dire comment la vie avec un handicap deviendrait bien plus simple sous son quinquennat. Un discours convenu qui se révèle aujourd’hui inique au regard de la législation que vient de voter En Marche.

Un Gouvernement sans humanité

Alors que la loi exigeait que l’intégralité des nouveaux logements soient construits de telle façon à ce qu’ils soient accessibles aux personnes en situation de handicap, Macron a peut-être cru aider la cause en ramenant ce chiffre à un piteux 10 %. Que le président et ses sbires n’aient pas eu l’intention de se fouler pour mieux intégrer les handicapés est un fait, mais de là à rendre leur situation plus difficile encore… Il y a un gouffre insupportable que s’est empressé de franchir le locataire de l’Elysée. Un palais accessibles aux fauteuils roulants ? Peu importe, Macron marche sur ses deux jambes vers un libéralisme toujours plus débridé.

Les vieux, les jeunes, les chômeurs et maintenant les handicapés. Tous ceux qui ne sont pas prêts ou pas assez en forme pour suivre la France start-up sont priés de se trouver un bout de trottoir. Le bus Macron n’accepte que les « winners » ! Cette fois donc, ce sont les personnes handicapées qui se retrouvent démunies face à la perversité présidentielle. Ils ne pourront plus compter sur des logements neufs adaptés à leur situation.

Scandale crie le Gouvernement ! L’article inique qui a été voté ne veut pas du tout dire ça ! Alors oui, on passe bien de 100 % de logements adaptés à seulement 10 %, mais les 90 % seront « évolutifs ». Explications de Sophie Cluzel, la Secrétaire d’Etat soi-disant en charge des personnes handicapées : « Qu’est ce que ça veut dire un appartement évolutif ? Tout simplement que des travaux pourront être faits très facilement, à moindre coût, pour le moduler, et pas à la charge des personnes pour tout ce qui ressort des logements sociaux ». Le concept est tellement clair qu’il devra être défini par un décret…

Mais de quoi se plaignent donc les handicapés ? La Secrétaire d’Etat n’a-t-elle pas assuré que les parties communes seront accessibles ? La grande majorité qui n’aura pas de logement adapté sera ravie de passer son temps dans le hall d’entrée… Les associations mangent leur chapeau et voient que la concertation n’existe que pour balancer des idioties comme « Vive la démocratie participative ! ». Les associations ont dit non, le Gouvernement a pris note et vient de condamner des millions de personnes handicapées. Peut-être qu’avec leur précarisation en marche, ces dernières éviteront de voter Macron la prochaine fois ! D’ici là bonne chance à elles, car le salut ne viendra pas de ce pouvoir (pourtant) aveugle et sourd.

 

Source : 24heuresactu

mardi, 05 juin 2018

Drogue introduite en prison : une élue FN d'Albi interpellée à la maison d'arrêt de Rodez

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

Par Fabrice Valery

albi,drogue,fn,ramadji

L'élue albigeoise Glawdys Ramadji a été interpellée et entendue après la découverte de drogue sur son compagnon suite à une visite qu'elle a fait au parloir à Rodez. En 2017, elle avait déjà été l'objet d'une enquête et avait reconnu avoir introduit un téléphone portable en prison. 

Par Fabrice Valery 

L'élue municipale FN d'Albi, Glawdys Ramadji a été interpellée il y a une dizaine de jours à la sortie de la maison d'arrêt de Druelle à Rodez, à la suite d'un parloir prolongé avec son compagnon Dylan B. A l'issue du parloir, la fouille sur le détenu a conduit à la découverte de plusieurs barrettes de résine de cannabis. Elle a ensuite été entendue par les gendarmes à Rodez. 

Glawdys Ramadji est ressortie libre de cette audition mais selon nos informations la procédure n'est pas close et l'élue devrait avoir un nouveau "rendez-vous" avec les enquêteurs dans les jours qui viennent. 

Jointe par France 3, Glawdys Ramadji s'est refusée à parler de cette affaire, renvoyant les journalistes vers son avocat.

Contacté par France 3, Maître Philippe Pressecq, a reconnu que sa cliente avait bien été entendue par les gendarmes, selon lui, "pour vérification" car elle avait eu un parloir avec Dylan B. juste avant la découverte de la drogue dans la cellule. Elle a indiqué qu'elle n'était "en rien responsable de ce qui se passe dans les cellules de la maison d'arrêt" de Druelle, près de Rodez. 

Une source pénitentiaire indique cependant que la fouille du prisonnier a eu lieu juste après ce parloir prolongé et que la transmission de stupéfiant n'a pu se faire que pendant cet entrevue.

Déjà en 2017

L'élue avait déjà été mise en cause en 2017, après la découverte d'un téléphone portable dans la cellule de son compagnon. Elle avait reconnu auprès de France 3 avoir elle-même introduit le téléphone dans la prison lors d'un parloir. Une procédure avait également ouverte à cette époque pour introduction de stupéfiants en milieu carcéral. Elle avait été placée en garde à vue. Procédure qui n'est pas terminée. 

A la suite de la publication par France 3 de cette information, l'élue et son avocat avaient poursuivis en justice 18 médias dont France 3. Une procédure annulée par la justice

Ex-championne de boxe thaï, Glawdys Ramadji a été élue conseillère municipale à Albi en 2014 sur la liste FN conduite par Frédéric Cabrolier. Elle est également impliquée dans une bagarre avec un groupe de jeunes en mai 2017 dans le quartier de Lapanouse à Albi, chacun accusant l'autre de l'avoir agressé. 
 
Source : france3-regions.francetvinfo

Ramadan : La Ville de Bergerac accusée par la CAF d’entorse à la laïcité

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

Par  le 04/06/2018

Le courrier est signé par Michel Beylot, directeur de la Caisse d’allocations familiales (CAF) de la Dordogne. Rédigé le 28 mai, il a été enregistré à la mairie de Bergerac samedi. Michel Beylot y annonce être « dans l’obligation de suspendre l’agrément […] et les financements qui en découlent » des centres sociaux de la Brunetière et Germaine-Tillon, situés respectivement à La Catte et Naillac, deux quartiers prioritaires avec une importante population musulmane.

Motif : leurs locaux sont « mis à disposition » entre « 22 heures et 1 heure du matin sur la période du ramadan 2018 », avec « réquisition du personnel ». Inadmissible pour le directeur de la CAF, qui y voit un « lien direct avec un contexte purement confessionnel. Les centres sociaux sont soumis au respect des principes de laïcité, de neutralité et de mixité sociale ». Et de conclure : ils « n’ont pas à assurer tout ou partie de la gestion des périodes religieuses ».

« Complètement débile »

« C’est complètement débile de dire cela, réagit Daniel Garrigue. Il n’y a aucun caractère religieux là-dedans. C’est comme si on disait ‘‘à Noël il ne doit rien se passer car c’est contraire au principe de laïcité”. »

Pour le maire, le problème « est plus d’ordre public ». Il explique : « En cette période de ramadan, la nuit tombe tard et donc la rupture du jeûne aussi. Si bien que les gens se retrouvent dehors tard, au risque d’engendrer du bruit, de gêner les voisins, de provoquer des conflits, d’obliger à appeler la police… En leur permettant de se retrouver ailleurs que dans la rue, l’ouverture des centres sociaux absorbe cette vie de nuit. Mais si le ramadan tombe en décembre ou en janvier, nous n’avons pas à faire cela, car la nuit tombe tôt. »

Cette ouverture tardive s’accompagne aussi de « réquisition du personnel » des deux centres sociaux, indique le courrier de la CAF. « Normalement, nous nous appuyons sur des associations, répond Daniel Garrigue. Mais il n’y en a plus beaucoup dans ces quartiers. Des fonctionnaires de la Ville qui y sont impliqués se sont donc portés volontaires à ce titre. Mais comme on ne peut pas les mobiliser tous les soirs, nous avons demandé aux agents, sur la base du volontariat, s’ils étaient prêts. »