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dimanche, 03 juin 2018

RN

Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2018

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samedi, 02 juin 2018

APPEL DE CARL LANG AUX MILITANTS DU FRONT NATIONAL HISTORIQUE

Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2018

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Carl Lang, président du Parti de la France s'adresse aux militants du Front National historique


Je souhaite aujourd’hui m’adresser plus particulièrement aux militants élus et sympathisants du front national historique. 

Hier, le 1er juin 2018, Marine le Pen a liquidé le Front national. Finalement cela s’est fait assez vite. 

Héritière du Front National en 2011, elle en a exclu Jean marie le Pen, son père, fondateur et président d’honneur en août 2015 et donc annoncé en juin 2018 la mise à mort politique du Front National. Sept années ont suffi pour dilapider l’héritage politique et détruire le mouvement fondé par son père en 1972. 

Il est à noter que dans ce discours d’enterrement du Front national elle n’a pas cité une seule fois le nom de Jean Marie Le Pen. Pas un mot pour celui qui a fondé et présidé durant près de 40 le FN avant de le léguer à sa fille. 

À l’infâme trahison politique s’ajoutent l’ignominie personnelle et l’abjection morale. 

Mais cette situation nouvelle a au moins le mérite de la clarté. La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est enfin bouclée. 

Marine Le Pen a réalisé ce dont rêvait toute la classe politique et médiatique depuis l’émergence électorale du FN en 1983 : dissoudre le Front National. 

Même dans leurs rêves les plus fous, les ennemis de la cause nationale ne pouvaient imaginer que le mouvement fondé par Jean Marie Le Pen en 1972 serait détruit par sa propre fille. C’est leur divine surprise. Et pour la famille nationale, c’est une abomination. Il ne reste plus aujourd’hui du FN de Marine Le Pen qu’une montagne de dettes et les rendez-vous multiples à venir devant le tribunal correctionnel. Après la liquidation politique, la liquidation financière. 

Lorsque nous avons créé le Parti de la France, j’ai déclaré que je n’avais aucune confiance, ni politique, ni personnelle, ni technique en Marine Le Pen et que je refusais de cautionner sa prise de contrôle de fait du Front national dès 2007. 

Les faits ne cessent de nous donner raison et ce, malgré sa promotion médiatique et ses anciens résultats électoraux. Tout ce processus politique qui a conduit à l’élimination du Front National repose sur quelques éléments. 

Tout d’abord, la recherche obsessionnelle de la soi-disant dédiabolisation. À croire qu’elle devait penser que les idées du Front national étaient diaboliques. Pourtant, chacun sait que la diabolisation médiatique et politique est une arme psychologique utilisée en particulier par la gauche, autoproclamée morale contre tous ses adversaires. Les dictatures communistes, quant à elles, diabolisaient leurs opposants en les qualifiant d’ennemis du peuple, de contre-révolutionnaires, d’agents du capitalisme ou de la CIA. La gauche française traite ses adversaires de racistes, d’antisémites, d'extrémistes de droite ou d’homophobes, au choix, en fonction de l’actualité. 

Croire que l’on peut mener le combat politique de résistance nationale sans subir la diabolisation par les ennemis de la nation est d’une affligeante stupidité. Dans cette naïve démarche de dédiabolisation qui conduit mécaniquement à l’allégeance, Marine le Pen n’en fera jamais assez. Elle a exclu son père, liquidé le Front national mais elle s’appelle encore Le Pen. Afin d’aller au bout de sa logique de reniements il faut qu’elle change de nom. C’est d’ailleurs ce qu’elle devrait faire, rendre son nom et son parti à son père. 

Un autre élément qui permet de comprendre la volonté de tourner le dos au Front national est tout simple, Madame Le Pen ne croit pas aux valeurs et aux principes de la droite nationale, elle fait du souverainisme de gauche et, finalement, pour résumer, elle pense comme Chevènement. 
 Enfin cette démarche correspond aussi à une quête de normalisation médiatique dont le but est de rester toujours médiatiquement compatible. 

Telle est la triste réalité. 

Dans cette situation et quelles que soient les désillusions et l’immense déception bien compréhensibles de nombreux militants de l’ancien Front National, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la résignation ou au renoncement, il est à l’engagement. 

J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le parti de madame Le Pen à rejoindre le Parti de la France. 

Ensemble nous avons défendu durant de longues années au sein du Front national historique de Jean-Marie Le Pen, les valeurs et des principes de notre droite nationale populaire et sociale. 

Ensemble, nous allons continuer à le faire au sein du parti de la France. 

Et toujours au service de la cause, du peuple et de la nation. 

Nous savons que renoncer ce serait disparaître. 

Rejoignez-nous. 

Continuons le combat de résistance de la droite nationale. 

 

"Touche pas à mon peuple"

Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2018

Les Haut-Garonnaises et Haut-Garonnais peuvent compter sur le Parti de la France

Rejoignez-nous!

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APPEL DE CARL LANG AUX MILITANTS, ÉLUS ET SYMPATHISANTS DE DROITE NATIONALE ET DE L’EX FRONT NATIONAL.

Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2018

Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, Marine Le Pen vient aujourd’hui de liquider le Front national. 
La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. 


 Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.
Le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission. 
Si l’on ajoute à tout cela les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, la gestion calamiteuse et caractérielle de ses ressources humaines, la montagne de dettes du Front national et les renvois multiples devant le tribunal correctionnel, on constate qu’elle a non seulement transformé l’extraordinaire boulevard électoral qui s’offrait à elle en 2017 en chemin de traverse, mais surtout qu’elle a réussi là où toute la classe politico médiatique avait échoué depuis 40 ans : enterrer le Front national. Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse. 
Dans cette situation, et quelles que soient les désillusions et les déceptions compréhensibles de nombreux militants de l’ancien FN, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la réserve ou aux renoncements. Il est au nécessaire engagement. 
J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue ! 



Communiqué de presse de Carl Lang  
Président du Parti de la France

vendredi, 01 juin 2018

Le Conseil constitutionnel confirme la fermeture de l’école coranique Al-Badr

Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2018

 
   
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Après une longue bataille juridique de deux ans, le Conseil Constitutionnel vient de confirmer la fermeture de l’école coranique Al-Badr, dans le quartier de Bellefontaine à Toulouse. Le rectorat avait ordonné sa fermeture en 2016, mais la justice avait autorisé sa ré-ouverture le lundi 4 septembre 2017.

Fermée depuis le début de l’année 2017, le tribunal administratif de Toulouse avait rendu, le 4 juillet de la même année, deux jugements en faveur de l’école hors contrat du quartier Bellefontaine. Le rectorat de l’académie était pourtant l’instigateur de sa fermeture après un avis défavorable émit en 2016. Mais selon les juges, les motivations pour fermer cette école étaient insuffisantes et ils ont donc annulé l’interdiction d’ouverture de l’école Al-Badr, qui accueillait une cinquantaine d’élèves de la sixième à la troisième.

Lire aussi : Éducation islamique, entraînement au tir : l’école Al-Badr en pleine polémique

La décision du rectorat se justifiait après inspection, que l’instruction dispensée au sein du groupe scolaire « n’était pas conforme au droit ». Des faits contestés par le directeur de l’établissement Al-Badr, Abdelfattah Rahhaoui, qui fût condamné à 4 mois de prison avec sursis et une interdiction de diriger un établissement d’éducation. Gérée durant cette année scolaire par deux autres responsables ayant présenté un projet éducatif différent, le tribunal administratif avait donc donné son feu vert. L’école est aujourd’hui toujours dirigée par cette association, dont l’imam Rahhaoui est membre.

Pour l’occasion, l’établissement avait décidé de changer de nom et se nomme désormais « Avicenne », en référence au philosophe et scientifique persan, de l’époque médiéval qui influencera grand nombre de savants musulmans.

Lire aussi : Qui est Abdelfattah Rahhaoui ?

L’école Al-Badr et son directeur bien connu par la justice

L’école Al-Badr s’était déjà fait connaître par le passé. En décembre dernier, le tribunal correctionnel de Toulouse a ordonné la fermeture de cette école condamnant son directeur de l’époque à 2 mois de prison avec sursis pour des violences sur deux enfants de moins de 15 ans entre 2013 et 2014. S’en est suivi un bras de fer long de plusieurs mois, puisque malgré la condamnation de justice, l’école ouvrait encore ses portes jusqu’en février 2017, en toute illégalité.

La décision du Conseil Constitutionnel

Le Conseil Constitutionnel a confirmé le 1er juin au matin le texte de loi par lequel la justice a ordonné la fermeture de l’école, et condamné son directeur, Abdelfattah Rahhaoui, pour « enseignement non conforme ». Cette décision fait suite à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par Abdelfattah Rahhaoui à la suite de son jugement. Cette QPC visait l’article du code pénal concernant les écoles hors contrat.

 

Source : infos-toulouse