Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 07 mars 2018

Propagande transgenre dans la série « Plus belle la vie »

Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

plus belle la vie,propagande,télé,transgenre

La série télé quotidienne « Plus belle la vie » diffusée sur France 3 depuis quatorze ans est un modèle du genre en matière de propagande. Jour après jour, depuis tant d’années, cette série a véhiculé un véritable pot-pourri de toutes les causes de la gauche : avortement, multiculturalisme, drogues, libertinage sexuel, homosexualité, homoparentalité,…

Continuant sur sa lancée, la série introduit un personnage transgenre, le temps d’une intrigue prévue pour durer cinq semaines.

Dans l’épisode de vendredi, la jeune Clara Bommel, 15 ans, persuadée de ne pas être née dans le bon corps, fera part de son mal-être à son père Clément et expliquera vouloir se faire dorénavant appeler Antoine.

L’interminable série accueillera aussi un acteur transgenre, Jonas Ben Ahmed, dans le rôle de Dimitri, le responsable d’une association locale.

 

« Cela fait deux ou trois ans que France 3 cherchait à aborder ce sujet. « , a expliqué Sébastien Charbiot, producteur de « Plus belle la vie », à Libération.

L’an passé, la chaîne TF1 avait déjà programmé « Louis(e) », une série dont l’héroïne est transsexuelle.

Quand on vous dit qu’il faut à tout prix se débarrasser de la télé !

 

Source : medias-presse.info

Surréaliste : comment Jacques Attali “comprend” le résultat des législatives italiennes

Publié par Guy Jovelin le 07 mars 2018

 

jacques attali,législatives italiennes,surréaliste 

 

Les élections italiennes montrent ce qui peut arriver aux pays européens qui ne font rien pour intégrer les exilés légalement présents sur leur territoire. Et en particulier pour leur permettre de travailler au plus tôt.

mardi, 06 mars 2018

Chômage : les promesses du candidat Macron partent en fumée

 Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2018

Rédigé par notre équipe le 05 mars 2018.

Avec Macron comme président, le chômage ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Pour les quelques malheureux qui y seraient encore confrontés, l’Etat serait un prince. De quoi enthousiasmer l’électeur-gogo, mais les belles promesses ne tiennent que le temps de la campagne… Dès lors qu’il faut faire les comptes, l’élan de générosité est beaucoup moins important. Le texte présenté par Muriel Pénicaud sur l’assurance-chômage se charge de rappeler cette réalité.

On regrette déjà le temps de la campagne présidentielle. A l’époque on pouvait croire avec raison qu’un vrai vent de changement allait pousser Hollande et tous ses sbires sur la touche. C’est pourtant son protégé Macron qui a raflé la mise. Depuis, il enterre une à une les promesses qui ont pu laisser croire que demain serait mieux qu’hier. Le dernier enterrement en grande pompe concerne le chômage. Ce dernier se porte malheureusement toujours aussi bien malgré le silence assourdissant qui ponctue les publications mensuelles. L’enterrement concerne plutôt les promesses relatives à l’assurance chômage… Le hasard, certainement…

Promesses et belles paroles

« Nous permettrons à tous les travailleurs d’avoir droit à l’assurance-chômage. Les artisans, les commerçants indépendants, les entrepreneurs, les professions libérales, et les agriculteurs disposeront, comme les salariés, de cette protection ». Autrement dit, Macron dans son programme imprimé noir sur blanc et relayé avec fanatisme par les médias promettait une « assurance-chômage universelle ». Il faut croire que la réalité jupitérienne est moins attrayante que les promesses électorales puisque la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, est sortie du bois avec un texte au rabais.

Les non-salariés pourront toujours prier pour avoir le droit à une assurance-chômage digne de ce nom, car la ministre a concocté une petite potion bien indigeste. Seuls les indépendants placés en liquidation judiciaire auront le droit à une assurance-chômage. Et ce n’est pas fini, car pour y avoir droit, il aura fallu tirer un bénéfice annuel autour de 10 000 euros. Cela revient à gratifier d’une assurance-chômage quelques milliers d’indépendants. La révolution macronienne a des accents de lilliputiens.

Cela se vérifie encore avec la mesure phare qui est tellement rapiécée qu’elle pourra à peine éclairer une cave sordide qui servira de logement à une prochaine victime du macronisme. Les salariés démissionnaires pourront bénéficier une fois tous les cinq ans des droits à l’assurance chômage. Cette promesse est respectée sauf que les conditions qui lui sont associées sont si drastiques que les heureux élus seront encore une fois très peu nombreux.

Ainsi, il faudra justifier de cinq années de travail sans interruption (un petit mois sans boulot et on peut dire adieu au chômage) et avoir un « projet d’évolution professionnelle » qui devra être jugé « réel et sérieux » avant même la démission. C’est à la commission paritaire régionale compétente de dire ce qui est sérieux ou non… Quand les planqués du service public passent au crible le sérieux d’une offre privée, des cheveux vont être arrachés… Cerise sur le gâteau, il faudra que le projet réponde « raisonnablement aux besoins du marché du travail ». Le tribunal de l’Inquisition aura tout loisir de découper en rondelles les projets qu’il n’aime pas.

Les promesses macroniennes sont donc très loin d’être respectées et les jeux parlementaires finiront de détruire un texte minable au regard de l’annonce électorale. Les politiques nous ont habitué aux reniements, mais avec Macron tout devait changer… Ceux qui ont cru à cette fable ont cru toutes les belles promesses du banquier. Maintenant il va falloir compter les retournements de veste. Un travail à plein temps qui pourrait peut-être créer de l’emploi !

 

Source : 24heuresactu

LE PARTI DE LA FRANCE PRÉSENT AUX LÉGISLATIVES PARTIELLES EN HAUTE GARONNE

Publié par Guy Jovelibn le 06 mars 2018

Dimanche 11 mars, J'aurais l'honneur de porter les couleurs du Parti de la France lors de l'élection législative partielle dans la 8ème circonscription de Haute-Garonne. Les électeurs les plus lucides auront l'occasion de voter pour un représentant de la droite nationale non-reniée qui veut clairement rendre la France aux Français et la désislamiser !


Le Parti de la France présent aux législatives partielles en Haute Garonne
 

L’armée syrienne progresse dans la Ghouta

Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2018

Carte de Damas et de la GhoutaL’offensive terrestre de l’armée syrienne contre la Ghouta monte en puissance. Appuyés par l’aviation russe, bien que les raids aériens aient beaucoup diminué, plusieurs milliers de soldats ont attaqué par l’Est. Des dizaines de chars ont également été mis en ligne. La zone Est étant largement rurale, la reprise des villages y est plus aisée que par l’Ouest en venant de Damas. La densité urbaine à l’Ouest aurait rendu les premiers combats particulièrement meurtriers, tout en laissant la possibilité aux islamistes de bénéficier de bases arrières. L’affaire ne sera pas simple et, comme à Alep, pourrait prendre plusieurs semaines.

En face, il semble qu’il y ait près de 20 000 combattants aguerris et fanatiques. Ils se répartissent en trois groupes principaux, aux effectifs inégaux. Le plus important est Jaich al-Islam (plus de 10 000 hommes), soutenu par l’Arabie Saoudite. Une grande partie de ses armes vient des Américains, qui ont aidé ce groupe lorsqu’il s’est séparé d’al-Nosra. Le second groupe est Faylak al-Rahman. Il est soutenu par le Qatar et les Frères musulmans (les Turcs ne sont donc pas loin). Lui aussi dispose de près de 10 000 hommes. Le troisième est le successeur d’Al-Nosra, Fatah al-Cham, mais ses effectifs sont beaucoup plus réduits, quelques centaines d’hommes au plus. Malgré leurs divisions, leur objectif était commun : la charia en Syrie.

Pour Damas, comme pour Moscou d’ailleurs, la Ghouta est devenue un objectif prioritaire. La désinformation est totale sur la guerre en Syrie et aucun média ne souligne que chaque jour des obus tombent sur la capitale syrienne. Ils viennent de la Ghouta bien sûr, où les islamistes disposent d’une artillerie performante. Jusqu’à présent, l’armée syrienne ne disposait pas de suffisamment d’effectifs pour cette difficile reconquête, la plus ardue depuis Alep. De plus, la présence de renforts iraniens ou libanais chiites n’était pas souhaitée dans cette zone presque exclusivement sunnite. Mais depuis la reprise de Deir ez-Zor, plusieurs milliers d’hommes ont pu être déployé.

La bataille s’annonce difficile et sanglante, mais on voit mal comment les islamistes pourraient sortir vainqueurs de cette nasse malgré leurs 20 000 combattants. Et Damas pourra respirer.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige