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samedi, 24 février 2018

LE PSOE RENOUE AVEC SES VIEUX DEMONS

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2018

samedi 24 février 2018par Michel Dantan

espagne,franquisme,psoe

La Loi de Mémoire Historique que le gouvernement socialiste conduit par José Luis Zapatero avait fait adopté par les Cortès en 2007 et qui avait pour objectif de réhabiliter les victimes de la guerre civile imputables au régime franquiste ne suffit plus à ses auteurs. Le parti socialiste espagnol veut aller plus loin en infligeant des peines d’emprisonnement et d’amendes à quiconque témoignerait sa sympathie pour ledit régime. Quiconque reconnaîtrait par exemple, même chiffres à l’appui, que le régime franquiste avait apporté à l’Espagne plusieurs décennies de paix civile et de prospérité reviendrait à en faire l’apologie et partant s’exposerait à de sévères représailles judiciaires. Si d’aventure cette loi était adoptée, une période de véritable chasse aux sorcières s’ouvrirait ainsi à l’encontre de toute personne chargée d’assurer le fonctionnement de n’importe quelle fondation ou institution quelconque ayant pour vocation de perpétuer sinon la mémoire du franquisme du moins d’en faire connaître les évènements marquants à partir de recherches historiques. Autant dire que c’est bien à la liberté d’expression que le PSOE compte s’en prendre dans le but d’imposer aux espagnols sa propre version de la guerre d’Espagne qu’il deviendra dés lors impossible de contester sous peine de tomber sous le coup de la loi. Pour contrer ce projet de loi d’inspiration totalitaire qui remettrait en cause les fondements mêmes de la constitution espagnole déjà mise à mal par la loi liberticide de 2007, l’historien Pio Moa en appelle à la conscience de ses concitoyens, et les invite à se mobiliser pour faire échouer cette entreprise de falsification de l’histoire de la guerre Civile espagnole puis du régime franquiste. Pour l’historien, l’heure n’est plus aux pleurnicheries devant le spectacle des statues équestres déboulonnées du Général Franco ou lorsque des rues sont débaptisées parce qu’elles portaient le nom d’illustres combattants de la cause nationale, mais à l’action à partir d’initiatives citoyennes diversifiées dans lesquelles il appartiendra à ses concitoyens de faire preuve d’imagination. Pour Pio Moa, ce n’est pas sur les partis politiques comme Podemos, Ciudadanos ou le Parti Populaire qu’il faudra compter pour relever ce défi, mais sur le bon sens de ses compatriotes et leur capacité à réagir face à l’immoralité d’une telle loi qui si elle venait à être adoptée sous l’impulsion d’une bande de revanchards socialistes, reviendrait à faire passer pour d’innocentes victimes ceux qui tout en se qualifiant de démocrates (1)) œuvrèrent par des méthodes révolutionnaires à la destruction de la légalité républicaine et tous ceux qui en s’inspirant des tchékas (2) soviétiques firent couler le sang de milliers d’espagnols. 
(1) On en comptait 226, rien qu’à Madrid.
(2) A partir de l’année 34, la violence nourrit la rhétorique socialiste. Parmi les dix commandements du jeune socialiste espagnol, on retiendra particulièrement l’extrait suivant paru en 1934 dans » Renovacion » : « L’unique idée que le jeune socialiste doive avoir gravé dans son esprit est que le socialisme ne peut s’imposer que par la violence, et que le camarade qui propose le contraire, qui a encore des rêves démocratiques quel qu’ils soient est un traître… » . P.Broué : « La Révolution espagnole 1931-1934 ».

 

Source : national-hebdo

La France « prête à accueillir » la djihadiste Melina Boughedir, selon la ministre de la Justice Bellou

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2018

Belloubet
 

La ministre de la Justice s'est exprimée au sujet de cette Française, condamnée en Irak à sept mois de prison, qui devrait prochainement être jugée en France.

Mélina Boughedir s'était rendue en Irak en 2015, pour rejoindre son mari parti faire le jihad. Condamnée en Irak à sept mois de prison pour entrée illégale sur le territoire, la justice irakienne a ordonné, lundi 19 février, sa libération et son expulsion. À son retour en France, elle devrait être jugée par les juridictions françaises.

Invitée de RTL ce mercredi 21 février, Nicole Belloubet a évoqué le cas de cette femme de 27 ans, sans pouvoir donner d'indications sur sa date de retour dans l'Hexagone. "Nous suivons cela avec les attachés irakiens", déclare la garde des Sceaux, évoquant une question "sans doute de semaines".

"Dès qu'elle arrivera en France, elle sera prise en charge par un juge, elle sera judiciarisée, sans doute placée en garde à vue avant qu'une décision la concernant ne soit prise. (...) Si les juges en décident ainsi, elle sera placée en détention", détaille la ministre de la Justice au micro de RTL. "La France est tout à fait prête à l'accueillir et à répondre par une mesure judiciaire", a poursuivi Nicole Belloubet.

 

Source via lesobservateurs

vendredi, 23 février 2018

Le Docteur Touraine, ce franc-maçon chargé de faire passer l’euthanasie à l’Assemblée nationale

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le débat à l’Assemblée nationale sur l’euthanasie a tout d’une mascarade.

Le président du groupe d’études « Fin de vie » à l’Assemblée nationale, Jean-Louis Touraine, est un « maître » franc-maçon, porte-voix de l’Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD).

Jean-Louis Touraine, professeur de médecine lyonnais de 71 ans, député La République En Marche de la 3e circonscription du Rhône après l’avoir été pour le Parti socialiste, est aussi « Maître » au sein de la loge « Les amis choisis ».

« J’oscille entre l’athéisme et l’agnostisme. Je suis entré en franc-maçonnerie, au Grand Orient, sur le tard. », a-t-il déclaré.

Et, dans les loges, le Docteur Touraine a déjà largement fait part de ses opinions mortifères qui sont, du reste, celles affichées par toutes les obédiences maçonniques de par le monde.godf-euthanasie-oct2017.jpg

Cet individu, que l’on dit très habile, occupe donc une place de choix pour manipuler les débats à l’Assemblée nationale en faveur de l’euthanasie.

Le Docteur Touraine se garde bien, d’ailleurs, d’utiliser le terme « euthanasie ». « Le mot “euthanasie” a été utilisé dans le passé pour dix mille choses et cela induit de la confusion », déclarait-il en octobre à Paris lors d’un colloque « Fin de vie, la liberté de choisir ». « Il était employé par les médecins nazis, et pas que par eux, par l’ensemble des nazis », ce qui « a complètement détourné le terme de sa réalité ».

De la même façon que la novlangue a remplacé le mot « avortement » par « IVG », le Docteur Touraine souhaite remplacer « euthanasie » par « assistance médicalisée à mourir ».

La maîtrise de la sémantique et son détournement sont des techniques indispensables pour manipuler l’opinion publique et lui faire admettre les pires horreurs.

Et, comme toujours, il s’agit de présenter le mal sous l’apparence d’un bien. Le Docteur Touraine raconte donc que les Français sont privés d’une « liberté essentielle » : « Nous voulons ajouter ce droit nouveau, cette possibilité pour quelqu’un de dire : je veux que ma vie s’arrête maintenant. »

Manipulateur, le docteur Touraine affirme que « quatre mille euthanasies clandestines » ont été pratiquées et réclame donc de légaliser cette pratique.  L’Ordre des médecins a indiqué depuis que ce chiffre venu de l’ADMD, officine para-maçonnique, était « faux ».

 

L’étape suivante ? L’euthanasie des enfants !

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Source : medias-presse.info

Libérer les agriculteurs du joug administratif

Publié par Guy Jovelin le23 février 2018

L'IREF (Institut de Recherches Economiques et Fiscales) a publié une étude sur la crise agricole. Présentation :

 

Capture d’écran 2018-02-23 à 07.41.37"Troisième exportateur mondial il y a encore 15 ans, la France est passée en sixième position, derrière les Pays-Bas et l’Allemagne. Cette chute de compétitivité s’accompagne d’une baisse drastique des revenus de très nombreux agriculteurs : un tiers d’entre eux a gagné moins de 350 € par mois en 2015.

• Une véritable technostructure administrative est pourtant au chevet de l’agriculture avec près de 1 fonctionnaire pour 20 exploitations. Le contribuable finance le secteur à hauteur de 33 milliards d’euros, soit environ 100 € par ménage par mois. Il serait plus rentable pour de nombreux exploitants de toucher directement leur subvention sans travailler plutôt que de continuer leur activité.

• En plus d’une gestion particulièrement dispendieuse, les organismes publics et parapublics tels que les SAFER, les chambres d’agriculture ou les interprofessions constituent de véritables corporations au service d’intérêts politiques ou syndicaux et au détriment de la concurrence, de l’innovation et de la liberté d’entreprendre des producteurs minoritaires.

• Face aux dérives politiques et corporatistes de la technostructure administrative limitant la compétitivité des agriculteurs français, l’IREF propose de privatiser et mettre en concurrence la plupart des organismes la composant, d’abandonner progressivement les subventions et de limiter la réglementation pour permettre aux agriculteurs français de répondre aux enjeux de notre époque de manière durable et autonome."

En conclusion, l’IREF fait les propositions suivantes :

  1. Le périmètre d’intervention de l’État doit être drastiquement restreint. Les missions du ministère de l’Agriculture doivent se limiter aux services administratifs propres à toute activité économique. Cela implique une réduction significative de sa taille, voire sa suppression, tout comme ses administrations déconcentrées.
  2. Comme tout entrepreneur, un exploitant doit avoir le droit de produire ce qu’il désire, en qualité et quantité souhaitées. Toute forme de contrôle monopolistique de l’offre doit être éliminée.
  3. Il est indispensable de repenser la création de normes en responsabilisant l’agriculteur tout en réduisant la réglementation. Il serait pertinent d’adopter la politique consistant à supprimer préalablement deux ou trois réglementations existantes pour toute nouvelle réglementation décidée par l’UE ou l’État. Le droit coutumier, la responsabilité civile et pénale et la concurrence normative ne devraient pas être négligés pour allier compétitivité et gestion des nuisances environnementales associées à l’agriculture.
  4. Face aux effets pervers des subventions, il est urgent de rétablir les signaux de marché, libérer le pouvoir d’achat du contribuable, laisser les exploitations les plus compétitives innover et concurrencer celles qui sont sous perfusion d’argent public. Il faudrait envisager les négociations sur la PAC post 2020 avec une stratégie de sortie progressive et définitive du financement forcé de l’agriculture européenne par le contribuable, comme cela a été fait dans plusieurs pays du monde. FranceAgriMer et l’ASP pourront alors être supprimés.
  5. Un agriculteur doit pouvoir disposer de sa propriété et des fruits de son travail comme il l’entend avec ceux qui sont disposés à échanger avec lui. En ce sens, le contrôle des structures et les SAFER peuvent être supprimés sans délai. Toute forme de soutien public à l’installation des jeunes agriculteurs doit être abandonnée.
  6. Il faut privatiser et mettre en concurrence les chambres d’agriculture tout en mettant fin à la TATFNB et aux subventions publiques qui leur sont allouées afin de ne plus faire financer la défense des intérêts particuliers d’une corporation par le contribuable. Les agriculteurs pourront ainsi retrouver leur liberté syndicale (et par conséquent celle de ne pas se syndiquer) et ne plus être soumis à un système représentatif majoritaire, contraire à la liberté d’association. Les missions administratives réalisées jusqu‘à présent par les chambres d’agriculture pourront alors être transférées aux services déconcentrés de l’État. De manière générale, toutes les activités de conseil aux agriculteurs devraient être libérées, privatisées et mises en concurrence.
  7. En violation avec la libre concurrence et la libre association, les interprofessions doivent perdre toutes leurs prérogatives légales et leur caractère contraignant. Leur financement doit rester strictement volontaire et limité à leurs membres, sans aucun lien légal ou financier avec les institutions publiques. En ce sens, les CVO et les subventions qui leur sont allouées peuvent être supprimées sans délai.
  8. La MSA, symbole de l’échec du système de retraite par répartition, doit servir d’exemple pour une réforme plus globale vers un système par capitalisation en permettant la création de fonds de pension afin d’assurer une véritable retraite aux agriculteurs. La MSA doit être privatisée et mise en concurrence pour en faire une véritable mutuelle. Les retraités actuels de ce régime peuvent être transférés au régime général. Les problèmes sociaux des exploitants les moins compétitifs ne peuvent plus faire l’objet d’une perfusion d’argent public illimitée. Les politiques protectionnistes vis-à-vis de ces exploitations doivent cesser pour que ces agriculteurs puissent envisager sereinement une restructuration ou une reconversion professionnelle.
  9. Les syndicats d’agriculteurs ne devraient recevoir aucun financement public et ne reposer que sur les cotisations volontaires de leurs membres.
  10. Enfin, pour les mêmes raisons que celles invoquées ci-dessus, les organismes publics et parapublics suivants peuvent être privatisés et mis en concurrence tandis que toute forme de soutien public ou de financement obligatoire peut être aboli pour :
    • le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER),
    • l’institut national de l’origine et de la qualité (INAO),
    • l’Office de développement de l’économie agricole d’outre-mer,
    • l’Institut français du cheval et de l’équitation,
    • le Pari mutuel urbain (PMU),
    • l’Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique.

Dans son étude sur les suicides des agriculteurs, Santé publique France liste une série de facteurs aggravants pour les agriculteurs déprimés tels que les « problèmes de modernisation, de normes écologiques à respecter, de procédures administratives lourdes ou encore […] de transmission de l’exploitation ». Il est urgent de redonner le droit aux paysans d’être de véritables entrepreneurs sur leurs terres et d’éliminer la technostructure d’État dont le rôle consiste ni plus ni moins à leur casser les genoux au nom de considérations arbitraires pour leur offrir a posteriori des béquilles avec l’argent du contribuable. Une telle réforme affectera probablement lourdement les structures agricoles actuelles et accélérera la reconversion d’un certain nombre d’exploitations. Mais elle est nécessaire et plus elle sera retardée, plus l’adaptation sera violente. Les agriculteurs français disposent des terres, du climat et des talents nécessaires pour répondre aux attentes des consommateurs et pour relever les défis de notre époque. Laissons-les révolutionner l’agriculture de demain."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

Saint-Malo (35) : Le maire Claude Renoult annonce « l’objectif de repeupler » la cité historique avec des migrants musulmans clandestins

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2018

Source Breiz Atao cliquez ici

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La cité historique de Saint-Malo va bientôt recevoir des dizaines de migrants clandestins à l’initiative du maire, Claude Renoult. L’objectif décrété par ce dernier : « repeupler » la ville historique avec des allogènes, notamment en accordant des logements sociaux aux clandestins afro-musulmans.

Saint-Malo participera à « l’élan de solidarité nationale », comme le souhaitait le maire, en ouvrant un centre d’accueil pour migrants. Plus précisément un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES). Le préfet de Bretagne Christophe Mirmand et le maire de Saint-Malo Claude Renoult l’ont confirmé mercredi 21 février 2018.

Une première colonie de 50 éléments extra-européens seront installés dans la commune, « pas de famille, uniquement des hommes majeurs isolés et résidant actuellement en région parisienne », précise le Préfet seront logés dans cette partie d’immeuble composée de plusieurs appartements.

Cependant, le maire a un autre objectif : « repeupler » le centre historique de la cité corsaire. Pour cela, il va offrir des logements sociaux flambants neufs.

Quant à l’ancien bâtiment de la DDTM, situé rue de la Crosse Intra-Muros, et longtemps pressenti pour accueillir ce centre, la mairie est actuellement en pourparlers pour le racheter à l’État et y aménager des logements sociaux et intermédiaires, toujours dans l’objectif de « continuer à repeupler Saint-Malo », insiste le maire.

Des logements sociaux qui bénéficieront, naturellement, aux « nouvelles populations » devenues prioritaires en la matière. La colonisation rampante de la ville au profit des migrants afro-musulmans a donc commencé. Ce que l’édile qualifie de « repeuplement », c’est-à-dire l’exacte application de ce qu’avait annoncé Manuel Valls lorsqu’il était chef du gouvernement français (lire ici).

Le niveau de xénophilie du maire et de la clique qui l’entoure est tel que l’africanisation et l’islamisation sont perçues comme devant être recherchées à tout prix pour « repeupler » cette cité historique emblématique.

La tiers-mondisation qu’elle induira fatalement, spécialement en termes d’effondrement culturel et de crime, condamne la ville à disparaître dans l’abîme du déclin et de la déchéance.

La dégénérescence du personnel politique actuel annonce l’inévitable catastrophe pour des populations qui auront accepté de se subordonner à des chefs qui organisent l'invasion et le chaos ethnique.

 

Source : synthesenationale