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vendredi, 23 février 2018

Viktor Orbán : « Le dernier espoir de l’Europe est le christianisme »

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2018

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Dans un entretien publié le 19 février dans le journal allemand Tagesspiegel, le ministre des Affaires étrangères du Luxembourg s’en est à nouveau pris au premier ministre hongrois Viktor Orbán qu’il a comparé à un dictateur. Ceci parce que dans son discours de dimanche sur l’état de la nation, Orbán a évoqué le projet de loi de son gouvernement intitulé « Stop Soros ». En vertu de cette loi, a-t-il dit, « nous affecterons à la défense de la frontière une partie des fonds reçus par les ONG pro-migrants – que nous considérons comme de fausses organisations de la “société civile” –, nous les soumettrons à un audit financier complet, et celles qui ne cesseront pas leurs activités néfastes seront tout simplement interdites – aussi puissantes et riches qu’elles soient ».

Mais ce ne sont pas les seuls propos qui ont irrité le petit Luxembourg, et sans doute pas que lui parmi nos élites européennes mondialistes et immigrationnistes. En effet, l’homme d’Etat hongrois, parlant des grands défis auxquels sont confrontés ses concitoyens, a été tout sauf politiquement correct : « Le danger qui nous menace vient des politiciens de Bruxelles, Berlin et Paris. Ils veulent que nous adoptions les politiques qui ont fait de leurs pays des pays d’immigration et qui ont ouvert la voie au déclin de la culture chrétienne et à l’expansion de l’islam. »

Cela ne veut pas dire pour autant que la bête noire des salons mondialistes bruxellois soit abattue, bien au contraire : « Nous sommes maintenant au bord de la victoire. Les pays du groupe de Visegrád sont inébranlables. Le monde orthodoxe reste ferme et il semble que la Croatie soit revenue à la raison. L’Autriche s’est maintenant tournée vers le patriotisme et le christianisme. En Bavière, une résistance spirituelle et politique s’est développée sous la direction de la CSU. » Pire encore pour les gens de la trempe du ministre luxembourgeois, Orbán a dit les mots qui fâchent : « Osons affirmer que nous pensons, nous, que le dernier espoir de l’Europe est le christianisme » (discours traduit par le site Visegrád Post).

Face à cet impudent, M. Asselborn voudrait que la Commission européenne lance une procédure de sanction contre la Hongrie comme elle l’a fait récemment avec la Pologne. Va-t-il aussi bientôt demander la même chose pour l’Autriche ? La nouvelle ministre des Affaires étrangères autrichienne, Karin Kneissl, choisie par le FPÖ, reprochait il y a une semaine à Merkel d’avoir, par sa politique, littéralement appelé les immigrants du Moyen-Orient à venir en Europe ?

En tout cas, la réponse de l’homologue hongrois d’Asselborn, Péter Szijjártó, ne s’est pas fait attendre. Szijjártó a rappelé au Luxembourgeois qui n’a que les valeurs européennes à la bouche ce que ces valeurs européennes impliquent : de respecter les accords européens, et donc aussi l’accord de Schengen qui impose de contrôler les frontières extérieures du bloc. Il lui a aussi rappelé que la défense des valeurs européennes nécessite de maintenir la sécurité en Europe, ce que fait la Hongrie en empêchant l’entrée d’immigrants clandestins. D’autres pays, malheureusement, refusent toujours de se dégager de leurs obligations dans ce domaine, d’où cette menace venant de Bruxelles, Berlin et Paris évoquée par Viktor Orbán.

 

Cet article Viktor Orbán : « Le dernier espoir de l’Europe est le christianisme » est apparu en premier sur Présent.

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

LA PEINE DE MORT A ETE ABOLIE, SAUF POUR LES VICTIMES. MERCI MAITRE BADINTER !

Publié par Guy Jovelin le 23 février 2018

 
 

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT


Rédigé le Jeudi 22 Février 2018 à 21:15 | 0 commentaire(s)

LA PEINE DE MORT A ETE ABOLIE, SAUF POUR LES VICTIMES. MERCI MAITRE BADINTER ! 


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Deux récentes affaires criminelles particulièrement odieuses, viennent de remettre en selle l’opportunité ou non du rétablissement de la peine capitale, sachant que, de toute façon, un tel mode d’exécution des criminels ne pourrait être rétabli qu’après une dénonciation des conventions européennes. Ensuite ces dernières, compte-tenu de leur « sensibilité », ne pourraient être invalidées  que par un vote populaire. Et là, il faudrait avoir déjà réformé la constitution pour que l’on puisse organiser une consultation référendaires sur un tel sujet de société, ce qui n’est pas le cas actuellement, avant de modifier la loi. 
Une « punition », vraiment ? 
Supposons que ces obstacles juridiques importants soient levés, quels avantages y auraient-ils à rétablir la peine capitale pour sanctionner des crimes particulièrement horribles, commis par des assassins ayant manipulé l’opinion publique ? Tout le monde se souvient du cynisme d’un Patrick Henry interviewé à Troyes par  la télévision, s’indignant de la disparition d’une petite victime alors qu’il savait très bien qui était le coupable, – lui-même ! –, ou, encore, de  la duplicité de cette mère de famille de Clermont-Ferrand inventant « l’évaporation » de sa petite fille dans un jardin public. Autres affaires, avec dernièrement la disparition d’Alexia Daval le 28 octobre 2017, une joggeuse  assassinée à Gray en Haute-Saône par son mari,  qui a joué pendant plus de trois mois la comédie auprès des siens, ou celle de Maëlys, tuée dans l’Isère dans la nuit du 26 au 27 août dernier par l’un des convives d’un mariage à laquelle elle assistait avec ses parents. Ces deux crimes ont bouleversé la France profonde. Dans tous ces cas, les assassins ont joué avec les proches, la presse, les enquêteurs, mentant effrontément, se joignant même aux recherches avec une cynique hypocrisie. Y a-t-il des circonstances atténuantes pour de pareils monstres ? Dans l’état actuel de l’échelle des peines, que risquent-ils ? Une perpétuité assortie d’une peine dite « incompressible » de 20/25 ans, c’est selon ? Sachant que des remises de peines pour « bonne conduite » ou pour cause de maladie sont toujours possibles. C’est inacceptable. C’est pourquoi l’application de la peine de mort représenterait, elle,  un avantage, disons….définitif ! 
Quatre bonnes raisons 
La première, c’est la sanction suprême pour une faute impardonnable. 
La seconde, c’est l’exemplarité de la peine qui, quoiqu’on en dise,  refroidirait l’ardeur de quelques imitateurs tentés de commettre, eux aussi, l’irréparable. 
La troisième, c’est la certitude d’une non récidive, car certains condamnés « à la perpétuité » ressortent de prison, bien souvent, avant d’être des vieillards repentis, et recommencent leur cycle criminel. 
La quatrième, c’est une saine mesure économique : point de frais d’internement ! 
L’affreuse guillotine inventée à une époque, comme aurait dit Georges Pompidou dans d’autres circonstances,  « où les Français ne s’aimaient pas », pourrait être avantageusement remplacée par une injection létale comme cela se pratique dans nombre d’Etats américains. Un pays, aux dernières nouvelles, classé parmi les « démocraties », non ? 
Une Justice « juste », doit être rendue au nom du peuple 
Or, que constate-t-on aujourd’hui ? De plus en plus de magistrats ont les yeux de Chimène pour les coupables qui sont des victimes de la société, on connait le fameux « l’homme est bon, c’est la société qui le corrompt ». Avec ce raisonnement celui, probablement, des membres du Syndicat de lamagistrature notamment, - ceux qui s’amusaient avec le fameux « mur des cons »-, le sort de la victime passe au second plan. Heureusement, c’est encore  l’USM qui est majoritaire chez les robes noires et pourpres. Le hasard a fait que j’ai été juré titulaire-suppléant dans une Cour d’assises. (Fonction très frustrante, car on participe de bout en bout aux débats sans avoir le droit de vote). 
.J’avais pu remarquer dans ce cas précis, le travail remarquable de la Présidente, mais aussi l’influence énorme des juges professionnels sur les jurés. Etant « le muet du sérail », je ne pouvais mettre mon… « grain de sel » pour faire dévier les perspectives de la sanctions. Tout dépend donc, en fait, du professionnalisme des magistrats et, in fine, qu’on le veuille ou non, de leurs inclinations idéologiques ou philosophiques, même s’ils s’efforcent de suivre le code pénal. Est-ce à dire que le système américain de juges élus par les citoyens serait meilleur ? Je ne me prononce pas, n’ayant pas assez de recul ni d’expérience en matières judiciaire et juridique. Mais force est de constater que depuis l’action de Robert Badinter à la tête du ministère de la justice sous l’ère de François Mitterrand (1) et l’abolition de la peine capitale, toute l’architecture des peines appliquées s’est trouvée bouleversée dans un sens plus laxiste. « On » nous avait vendu l’abolition par son remplacement par la prison à perpétuité. Or, les abolitionnistes nous disent aujourd’hui que tout le monde a droit à la rédemption,  à une « deuxième chance », - en ont-ils laissé, eux, les criminels, une deuxième chance à leurs victimes ?-, et que des hommes ou femmes enfermés à vie seraient des démons incontrôlables. Les Chrétiens diront que c’est la seule justice de Dieu qui compte et que tout pécheur a droit au rachat. 
Une peine de substitution effective et radicale ! 
La cause est entendue, et pour le moment, le couperet a été remisé au magasin des accessoires obsolètes. Mais la pire des solutions est celle qui existe. Elle va à l’encontre d’une société paisible que nous appelons de nos vœux. Car, faute d’une vraie justice condamnant sévèrement, mais avec équité, tout criminel, il est possible, qu’un jour, l’homme de la rue règle lui-même ses comptes, ce qui nous conduirait à la loi du lynchage. (Nous l’avons observé dans un prétoire allemand !). Tout se discute donc, actuellement, autour de la peine de remplacement. Pour l’honneur de la justice, pour le respect de la mémoire des victimes, pour apaiser la peine de leurs familles et pour le condamné lui-même, il faudrait que cette peine de substitution ne soit pas un purgatoire doré, sorte d’antichambre d’une liberté conditionnelle à terme, mais le châtiment quotidien d’une faute à expier que seule la loi naturelle interromprait. Aux dernières nouvelles, il n’en est rien. La prison à vie, ça n’existe plus. Non seulement les partisans de la suppression de la peine capitale ont gagné, mais, en plus, ils ont aboli aussi la perpétuité. La Droite nationale s’honorerait de réfléchir sur ce sujet et d’imaginer, faute de pouvoir juridiquement rétablir la sanction suprême, un système pénitentiaire radical pour les criminels les plus odieux, terroristes compris. Un « Guantanamo à la Française », une prison « à murs ouverts », en Terre Adélie ou aux iles Kerguelen, par exemple ? 
Jean-Claude R O L I N A T 
  
(1)Lequel, lorsqu’il était ministre de l’intérieur sous la IVème République pendant la guerred’Algérie, n’avait pas hésité à laisser nombre de condamnés du FLN à subir le châtimentsuprême ! 

jeudi, 22 février 2018

Les catholiques une fois de plus offensés sur France Inter: « Il te manque une jambe, va à Lourdes camarade! »

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2018

Daniel Morin
 

Le service public de radiodiffusion que les catholiques contribuent à financer par leurs impôts, semble se faire un malin plaisir à insulter ceux qui l’entretiennent. Dans un communiqué de ce jour, la Fédération Pro Europa Christiana nous signale une nouvelle offense proférée contre les catholiques sur France Inter le 12 février dernier :

« Tu es aveugle des yeux, il te manque une jambe, tu fais pipi vert fluo, (…) va à Lourdes camarade ! (…) Pour 1 000 euros tu passeras la nuit avec la 70ème miraculée, sœur Bernadette Moriau ».

Voici le genre de plaisanterie ignoble tenue sur France Inter ce 12 février 2018, le lendemain du jour où les catholiques fêtaient Notre Dame de Lourdes et le 160ème anniversaire de la première apparition de la Vierge en ce lieu !

 

Encouragé par l’hilarité des journalistes présents en studio, l’humoriste Daniel Morin a multiplié les sarcasmes contre le plus important pèlerinage de France et sœur Bernadette dont l’Église vient de reconnaître la guérison miraculeuse.

 

Il est inadmissible que le service public, payé par vos impôts, diffuse de telles injures contre le pèlerinage de Lourdes, si cher aux Français et aux catholiques du monde entier !

Ce n’est en effet pas admissible, et cette association invite à signer une pétition de protestation au ministre de la Culture et au président de Radio France : c’est ici ! Pour ma part, voici ce que je souhaite : si une grave maladie venait à frapper l’“humoriste” Daniel Morin, je lui souhaite d’obtenir sa guérison par l’intercession de la Vierge de Lourdes ! En attendant, et en lui souhaitant une bonne santé physique, prions pour obtenir la guérison de sa maladie morale : c’est une intention de Carême que je vous confie…

Source : Fédération Pro Europa Christiana, 15 septembre Via Christianophobie.fr

 

Pour verser des aides la CAF prend en compte le droit islamique (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2018

Par  le 14/02/2018

caf,droit islamique,kafalaEn France, les cas de kafala concernent principalement les enfants algériens ou marocains. À la lecture de la définition du ministère de l’Intérieur, on comprend que le droit musulman ne reconnaît pas l’adoption avec filiation, telle qu’elle est prévue par le droit français; sauf dans les cas de «la Turquie, l’Indonésie et la Tunisie» qui la permettent selon la circulaire du 22 octobre 2014 relative aux effets juridiques du recueil légal en France.

Selon cette circulaire, le droit français ne reconnaît pas la kafala comme une adoption «afin de respecter la souveraineté des Etats prohibant l’adoption», mais la considère comme un «recueil légal». Le texte précise que le «recueil légal» est «inconnu dans l’ordre juridique français» mais qu’il est «assimilé à une délégation d’autorité parentale ou une tutelle», qui permet la protection des mineurs. Enfin, la circulaire d’octobre 2014 s’appuie sur plusieurs conventions pour légitimer la reconnaissance de la kafala par le droit français: la Convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989; la Convention de la Haye du 19 octobre 1996 concernant la compétence, la loi applicable à la reconnaissance, l’exécution et la coopération en matière de responsabilité parentale et de mesure de protection des enfants; la Convention franco-algérienne relative à l’exequatur et à l’extradition du 27 août 1964 et la Convention franco-marocaine d’aide mutuelle judiciaire, d’exequatur des jugements et d’extradition entre la France et le Maroc du 5 octobre 1957.

En résumé: le droit français reconnaît la kafala, issue des législations de certains États du Maghreb (notamment celles de l’Algérie et du Maroc) et inspirée du droit musulman. Ce «recueil légal» est également considéré par la caisse d’allocations familiales, qui donne droit à l’allocation de soutien familial, dont le montant s’élève à 146,09 euros par enfant à charge. La laïcité ne joue ici aucun rôle puisqu’il s’agit de la reconnaissance par convention du droit de pays étrangers.

 

Libé Check News via fdesouche

Al-Arabiya interdit d’antenne en Europe : bon débarras !

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2018

Rédigé par Notre équipe le 21 février 2018. 

Al-arabiya-fake-news

A la suite de différents scandales de déontologie, la chaîne saoudienne Al-Arabiya a perdu sa licence de diffusion au Royaume-Uni et, de fait, dans le reste de l’Europe. Une décision logique quand on sait que cette dernière était en délicatesse avec les codes de diffusion de l’autorité britannique.

Le Royaume-Uni a-t-il finalement pris ses responsabilités ?

Après des années de soutien inconditionnel aux postures wahhabites les plus extrêmes, Londres vient (enfin !) de faire preuve de fermeté vis-à-vis d’Al-Arabiya, une chaîne saoudienne d’« information » connue pour ses écarts déontologiques à répétition.

Après une première amende de 120 000 livres infligée par l’Ofcom, le gendarme de l’audiovisuel britannique, Londres a finalement franchi le Rubicon en retirant sa licence à la chaîne d’informations saoudienne Al-Arabiya.

Ou plus exactement, c’est cette dernière qui aurait pris peur et remis sa licence alors qu’une enquête allait être ouverte contre elle pour diffusion de fake news.

Des fake news à l’origine de la sanction ?

L’information nous vient directement d’un concurrent et rival de l’Arabie saoudite : l’émirat du Qatar. Tout commence avec la lutte fratricide lancée par les pétromonarchies l’an passé. Fustigeant Doha pour ses positions trop indépendantes à son goût, l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis et plusieurs autres pays de la région décident d’imposer un blocus à l’émirat rebelle.

Les raisons officielles ont de quoi faire sourire : financement du terrorisme d’une part, et soutien à l’Iran d’autre part. Si la première tient davantage de la plaisanterie quand on se rappelle que l’Arabie saoudite a été le berceau de Ben Laden, la seconde se base sur des informations… fausses.

Car en mai 2017, l’agence de presse Qatar National Agency a subi un piratage informatique d’ampleur. Piratage au cours duquel les attaquants ont intégré un faux article attribuant au dirigeant du Qatar des propos qui glorifiaient l’Iran, ennemi éternel de Riyad. Par la suite, Al-Arabiya a repris ses informations, qu’elle savait pertinemment fausses, et les a diffusées en masse en Europe.

C’est sur ces bases que l’Ofcom avait décidé de lancer une enquête qui semblerait avoir contraint Al-Arabiya à remettre sa licence. La chaîne quant à elle s’en défend et prétend être partie de son plein gré, sans pour autant apporter la moindre justification à son départ.

Pour l’Europe, bon débarras !

 Au-delà de la guerre fratricide que se livrent l’Arabie saoudite et le Qatar, la perte de licence d’Al-Arabiya est indubitablement une bonne nouvelle pour l’Europe. Il est en effet inadmissible que le continent soit le jouet de pouvoir entre deux États, dans une crise qui ne le concerne pas.

En outre, la chaîne Al-Arabiya, quoi qu’on en dise, n’en est pas à son coup d’essai. Cette dernière avait déjà été sanctionnée pour avoir diffusé, sans son consentement, une vidéo d’un militant des droits de l’homme retenu en prison. L’amende avait été de 120 000 livres. Avec la suspension de la licence d’Al-Arabiya, c’est toute l’Europe qui peut souffler, dans la mesure où les droits de diffusion sur le continent étaient associés à la licence anglaise.

Alors que des chaînes comme Russia Today ont le plus grand mal à émettre sur les ondes, la perte de licence d’Al-Arabiya est enfin un signe de la fin du deux poids, deux mesures qui règne en Occident. La condamnation d’une chaîne historiquement connue pour ses accointances avec le pouvoir et récemment passée sous la coupe de l’impétueux MBS, prince héritier de Riyad, laisse entrevoir le retour d’une valeur oubliée par les médias de nos jours : la déontologie.

 

Source : 24heuresactu