Ecrit parPierre-Alain Depauw
Allemagne – A Berlin, un prêtre de 54 ans, aumônier de la paroisse française, a été assassiné jeudi dernier par un immigré qu’il avait accueilli dans son presbytère.
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Publié par Guy Jovelin le 27 février 2018
Allemagne – A Berlin, un prêtre de 54 ans, aumônier de la paroisse française, a été assassiné jeudi dernier par un immigré qu’il avait accueilli dans son presbytère.
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Publié par Guy Jovelin le 26 février2018
La présidente du Front national, Marine Le Pen, a qualifié dimanche sur BFMTV de "honteux" les tweets racistes contre une jeune métisse choisie pour incarner Jeanne d'Arc aux prochaines festivités annuelles célébrant l'héroïne d'Orléans. "C'est honteux ! Il faut que tout le monde comprenne que ces fêtes qui se déroulent chaque année sont là pour exprimer les valeurs que défendait Jeanne d'Arc", a-t-elle déclaré.
"Ceci n'a rien à voir avec la couleur de la peau". "Ce n'est pas un biopic de Jeanne d'Arc, ce n'est pas un film (sur) Jeanne d'Arc, ce sont des valeurs d'engagement, ce sont des valeurs de foi. Et cette jeune fille, en l'occurrence, répond à tous les critères et ceci n'a évidemment strictement rien à voir avec la couleur de la peau", a souligné la finaliste de l'élection présidentielle.
(...)
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Publié par Guy Jovelin le 26 février 2018
En Allemagne, la presse est partagée suite à la décision de la Banque alimentaire d’Essen (bassin de la Ruhr) de ne plus accepter de nouveau bénéficiaire migrant : le sujet met sur la table la gestion de la solidarité entre autochtones et étrangers.
https://www.welt.de/politik/deutschland/article173914349/Nach-Kritik-an-Aufnahme-Stopp-Die-Betreiber-der-Essener-Tafel-sind-nicht-gleich-auslaenderfeindlich.html?wtrid=socialmedia.socialflow….socialflow_twitter
A Essen, ville d’un demi-million d’habitants, la Banque alimentaire (die Tafel) n’accepte plus de nouveau demandeur étranger, lesquels totalisent déjà 75 % des bénéficiaires. La structure met temporairement cette mesure en place pour ne pas effrayer les personnes âgées dont on voit déjà un grand nombre ne plus se présenter à la distribution de nourriture.
Même si tout le monde conçoit ce que cette élue SPD (socialiste) rappelle en précisant que le besoin prime sur la nationalité, la presse se retrouve très divisée dans les commentaires.
Certains médias mettent directement le problème sur la table : la distribution d’aliments reflète la réalité de certains quartiers devenus par l’afflux de migrants des zones difficiles. Suite à cette décision, on ne peut pas tout de suite taxer les dirigeants et les bénévoles de cette Banque alimentaire locale de personnes qui n’aiment pas les étrangers.
D’autres médias titrent que cette décision de la Banque alimentaire d’Essen est « l’information la plus glaçante de l’hiver » ou bien « dans un pays comme l’Allemagne, personne n’a le droit de mourir de faim ». Ce genre de média met en cause les volontaires en insistant uniquement sur l’aide à apporter aux migrants, mais en oubliant la plupart du temps le sort alarmant des personnes âgées.
Concrètement, la réalité est bien celle-ci : un certain nombre de personnes d’un certains âge n’osent plus se présenter dans des files constituées d’une quantité impressionnante de jeunes forts et au tempérament imprévisible.
Le problème se retourne aussi contre les politiciens : comment permettre que des personnes pour la plupart bénévoles depuis des décennies se voient donner des leçons de morale alors qu’elles sont quotidiennement mises devant les faits ? Dénoncer une situation critique et une réalité difficile à gérer n’autorise personne à taxer les volontaires de racisme.
Toujours sur le même sujet, un journal qui semble avoir fait son travail sur le terrain et non seulement autour de la machine à café de la rédaction titre : « c’est un problème de demander de la tolérance à des personnes qui se battent pour leur dignité ». Il y aurait bien un semblant de « concurrence » entre les nécessiteux, et l’affaire actuelle à Essen met l’accent sur le fait que s’indigner d’une telle question pose bien un problème dans un pays prétendument riche. Cette affaire est le reflet de la société, allant de la réalité des structures d’aide mais aussi la condamnation d’un état providence qui n’accorde pas ce qu’il devrait accorder : un système d’aide efficient à ceux qui peuvent y prétendre.
Même journal qui explique l’absence des aînés à la distribution d’aliments, à Essen mais sans doute largement à travers l’Allemagne : « les personnes âgées ne viennent plus parce qu’elles se sentent mises à l’écart, mais parce qu’elles sont réellement placées au second plan ». Demander de la tolérance à ceux qui luttent pour leur dignité ou le peu de dignité qui leur reste encore pose un grave problème.
Dernière réaction de la presse : « on contraint des bénévoles à devenir des travailleurs sociaux ». Par exemple, le simple fait de rappeler des règles de bonne conduite dans une file d’attente suffit à brandir des soupçons de discrimination à leur encontre.
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Publié par Guy Jovelin le 26 février 2018
Anne Hidalgo, le maire de Paris, a du capituler face à l’indignation quasi-générale qu’avait suscitée sa décision de ne pas accorder de sépulture parisienne à l’académicien Michel Déon. Le grand écrivain français,qui ne professait pas il est vrai les idées socialisantes du maire de Paris, aura bien une tombe dans la capitale malgré une administration parisienne devenue pour le coup ultra tatillonne…
Au micro de Charlotte Lalanne, l’écrivain Jean-Christophe Rufin avait osé évoquer des « raisons idéologiques » au refus du maire de Paris :
« C’est un grand écrivain et il est possible qu’il n’ait pas rempli tous les papiers qu’il fallait avant sa mort. Mais ce qu’on demande n’est pas exorbitant. Un raisonnement vaguement administratif pour cacher un parti-pris idéologique c’est quelque chose d’insupportable. […] ”
Secrétaire de Charles Maurras, militant dès l’adolescence à L’Action française, royaliste convaincu, ancré à droite résolument, le dernier des Hussards a gagné une dernière bataille sur le sectarisme des gens de gauche !
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy Jovelin le 26 février 2018
Rédigé par notre équipe le 25 février 2018
Le Salon de l’agriculture a débuté hier et a d’ores et déjà eu la « joie » de recevoir un président toujours aussi soucieux de baratiner son auditoire pour mieux faire passer la pilule du libéralisme. Chahuté à plusieurs reprises, Macron a perdu son calme. Loin de l’ambiance feutrée des clubs pour ultra-riches, le chef de l’Etat a bien du mal à se faire passer pour ce qu’il n’est pas : le protecteur des travailleurs (de la terre).
Passage obligé pour tous les présidents, le Salon de l’agriculture est un bon moyen de prendre la température de la France. Une France dont on ne parle jamais vraiment sauf entre un sujet entre le froid qui arrive en hiver et les chutes de neige trop ou pas assez abondantes dans les stations de ski. La France rurale se meurt et cela fait des années que ça dure. Chirac aimait les agriculteurs, mais n’a pas fait grand-chose pour eux, Sarkozy les méprisait, Hollande s’en foutait comme de tout (sauf pour remplir sa bedaine) et Macron ne les entend même pas.
Tous les accords ne se valent pas
Déambulant dans les stands à la recherche de l’image sympa qui tournera dans toutes les rédactions pendant 48 heures, le président de la République a dû discuter avec les culs-terreux qui se plaignent. Et ils sont nombreux ! Des revenus indigents, des retraites inexistantes et des lois qui les tuent à petit feu. Sans surprise, on constate que les jeunes générations ne se bousculent pas pour reprendre un flambeau plus que vacillant. Les agriculteurs et les éleveurs ne sont plus que des esclaves de la mondialisation et ils ont l’idée saugrenue de venir se plaindre à un Macron qui ne mérite que des lauriers pour son formidable travail.
De quel travail parle-t-on ? Un agriculteur ou un éleveur travaille quinze heures par jours, passe un temps interminable à remplir de la paperasse pour rassurer Bruxelles et doit remercier ses bienfaiteurs pour les 400 euros qu’il peut se payer à la fin du mois. Le taux de suicide est démentiel et les politiques font semblant de se pencher sur le problème. On réunit les acteurs de l’agroalimentaire, on scelle des accords mort-nés et on attend que les agriculteurs et éleveurs remercient nos chers adorateurs du marché mondial pour les accords, eux, qui sont mis en œuvre à leurs détriments.
L’accord avec le Mercosur pour que la viande sud-américaine envahisse les rayons français ? Ce n’est pas ce qui a mis les éleveurs dans la panade entend-on de la bouche présidentielle. Que cela empire encore les choses ne traverse pas l’esprit d’un Macron dont le seul objectif est l’ouverture totale des frontières. Il se félicite de la fin programmée du glyphosate, mais n’a pas compris que les cancers, les vrais, vont venir avec les hormones de croissance et les OGM du continent américain.
Hué, chahuté, Macron s’en est pris à certains contestataires de l’ordre ultra-libéral en leur gueulant dessus. L’objectif est de montrer un président combattif à des Français qui ne comprennent pas que la mort de leurs agriculteurs signifie la disparition d’un pays entier. Mais hurler des « ça va aller mieux ! Attendez un peu ! » ne change rien à la situation dramatique de nos paysans.
Que les Franciliens se pressent au Salon de l’agriculture, car dans quelques années, il ne restera plus rien de ceux qui ont fait la France pendant des siècles. Le progrès libéral sera passé par là et tous ceux qui l’auront contesté seront enterrés depuis longtemps.
Source : 24heuresactu
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : coq, macron, salon de l'agriculture | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |