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dimanche, 18 février 2018

LA MAFIA NIGERIANE DERRIERE L’ASSASSINAT DE PAMELA MASTROPIETO

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2018

samedi 17 février 2018par Michel Dantan

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Les clans mafieux n’ont plus le monopole de la cruauté en Italie, l’assassinat de la jeune Pamela Mastropieto dont le corps a été retrouvé découpé en morceaux répartis dans deux valises abandonnées dans une zone rurale de Pollenza vient d’en apporter la preuve. Le principal suspect, une jeune nigérian de 29 ans, Innocent Oseghala, aurait d’après le psychiatre et criminologue Alessandro Meluzzi agit selon les codes de la mafia nigériane présente en Italie depuis seulement quelques années. Les limites de la barbarie ayant été franchies, le criminologue italien soupçonne le criminel présumé de s’être livré à des actes de cannibalisme rituel sur la victime, ce mode opératoire n’étant pas une exception mais une règle parmi les membres de la mafia nigériane souligne t-il dans une interview. « Mais personne n’en parle de peur de se voir traiter de raciste » déplore le psychiatre qui fait le constat suivant « Nous devons nous habituer à ces choses. Il ne s’agit là que de la partie visible de l’iceberg destinée à croître ». Autant dire qu’à moins d ‘un réveil de l’opinion publique italienne et d’un sursaut des autorités le Black Axe » ou « la Hache Noire » surnom donné à la mafia nigériane, a de beaux jours devant elle. 
Source : http://tv.liberoquotidiano.it/video/italia/13308590/pamel...

samedi, 17 février 2018

Indépendants : les limites du non salariat

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2018 

Rédigé par notre équipe le 16 février 2018.

Le salariat est une aliénation de l’être humain qui peut se révéler très malsaine. L’individu n’est plus qu’un subordonné qui accepte toutes les tâches qu’on lui donne dans l’espoir de toucher un salaire souvent faible et d’éviter le chômage par tous les moyens. Le salariat est une soumission plus ou moins volontaire à laquelle certains préfèrent le travail indépendant. Ce dernier est de plus en plus présenté comme la panacée, mais à y regarder de plus près indépendance ne rime pas souvent avec richesse.  

La sortie du salariat est souvent vécue comme une renaissance. Après des années à devoir s’écraser sous le poids d’un chef ou d’une direction méprisante, travailler pour soi donne un parfum de liberté. Maître de son emploi du temps, libre de mettre en pratique ses idées, le terme d’indépendant n’est pas usurpé même si des contraintes existent et pèsent parfois lourdement. Côté politique, l’indépendance est plus perçue (et vendue) comme un moyen de s’enrichir beaucoup et vite. Vous avez l’âme d’un entrepreneur ? Vous avez une idée géniale ? Lancez-vous, créez votre boîte et devenez le nouveau Bill Gates ! Macron pense que le rêve de tous les enfants est de devenir milliardaire alors allons-y gaiement !

Indépendants et pauvres

Pourtant une étude de l’INSEE parue cette semaine montre que les travailleurs indépendants sont loin d’être tous logés à l’enseigne de la réussite et des millions. Selon les chiffres officiels, ils sont 2,7 millions (hors secteur agricole – pas besoin de plomber des chiffres déjà mauvais) de non salariés à travailler. Pour 89 % d’entre eux, il s’agit de leur activité principale. A l’intérieur, les disparités sont énormes. Pour sortir gagnant de cette affaire, il faut avoir fait de longues études et endosser les habits de médecin, dentiste, pharmacien, comptable ou juriste. Généralement, ces professionnels émargent à plus de 4 000 euros par mois.

Le reste est beaucoup moins attrayant, un indépendant sur deux gagne moins de 2 290 euros par mois, un quart gagne moins de 1 100 euros par mois et un sur dix gagne moins de 480 euros mensuels. On est plus proche du cauchemar que du rêve jupitérien. Mais dire qu’on est auto-entrepreneur, c’est plutôt tendance. Le vent de l’entrepreneuriat souffle fort depuis mai 2017 et tant pis si les chauffeurs de VTC ont juste de quoi se payer un sandwich et le plein d’essence. Ils ne sont pas employés ! Ils sont libres ! Sauf que dans notre société, la misère impose des chaînes dont il est impossible de se délivrer. Il faut soit subir jusqu’à la fin de sa vie soit sortir du système.

L’image du self-made man, de l’entrepreneur parti de rien et qui a bâti un empire doit rapidement sortir de l’esprit des gens. Hollywood et la poudre de perlimpinpin sont là pour faire rêver. La réalité sonnante et trébuchante est bien moins attrayante. Mais au moins, les indépendants ont une qualité précieuse pour le politique comme Macron. Avec les trois clopinettes qu’ils parviennent péniblement à gagner et leur statut qui sonne bien, ils sont directement hors des statistiques du chômage. Et quand les statistiques sont bonnes, c’est une réélection d’assurée !

Riches (pas beaucoup), pauvres (beaucoup), voire très pauvres (beaucoup trop), peu importe pour nos politiques. Vive le travail non salarié !

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 16 février 2018

Le nombre de mineurs étrangers en France explose, leur coût atteindrait 1,5 milliards d’euros

Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

Par  le 15/02/2018 

Le coût annuel de leur accueil atteindrait 1,5 milliard dans six mois. L’État livrera ses solutions le 6 mars.

La courbe est exponentielle. De l’aveu même des départements, le coût de la prise en charge des mineurs étrangers non accompagnés (MNA) ne cesse d’augmenter. Compte tenu du nombre d’accueils enregistrés chaque semaine, les collectivités estiment que la facture pourrait atteindre 1,5 milliard dans six mois, alors qu’elle était évaluée à 1 milliard en septembre dernier.

Dans les Hautes-Alpes, la situation devient préoccupante. «Les chiffres avaient déjà été multipliés par vingt entre 2016 et 2017 et le flux continue, crescendo. On ne sait pas comment nous allons finir 2018», s’alarme Jean-Marie Bernard, président de ce département de 140.000 habitants, qui compte 1300 MNA. En plein mois de février et malgré les neiges hivernales, les arrivées sont aussi importantes qu’au mois d’août.

Le coût de la prise en charge d’un mineur étranger au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint 50.000 euros par jeune et par an, alors que la contribution de l’État ne dépasse pas 1250 euros par mineur. Chaque année, les départements assument ainsi 25.000 cas, soit 1,25 milliard d’euros.

Le 6 mars, le premier ministre recevra le président des départements de France, où ce problème aigu sera abordé. Édouard Philippe a commandé un rapport sur ces mineurs isolés pour évaluer précisément l’ampleur du phénomène et proposer des solutions. Cette mission a été conjointement menée par les services de l’État et les départements.

Selon une récente note issue de ces travaux, révélée mardi, deux scénarios sont envisagés pour décharger les collectivités. Le premier conserve le principe de l’évaluation décentralisée des migrants, en augmentant les moyens financiers jusqu’à 106 millions d’euros pour 60.000 individus.

La seconde piste consisterait à confier l’évaluation et la mise à l’abri des jeunes migrants à l’État. Ce projet ne pourrait s’amorcer qu’à partir de 2019. Il impliquerait la construction de centres d’hébergement et l’organisation de plateformes interdépartementales. Coût prévu: 125 millions d’euros par an pour 50.000 jeunes étrangers.

 

Le Figaro via fdesouche

Guy Jovelin rappelle la volonté du Parti de la France de débarrasser définitivement notre société des monstres qui assassinent des enfants

 

En pleine campagne électorale dans la 8ème circonscription de Haute-Garonne pour l'élection législative partielle du 11 mars prochain, Guy Jovelinrappelle la volonté du Parti de la France de débarrasser définitivement notre société des monstres qui assassinent des enfants

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Même les militants pro-migrants constatent que ce n’est plus possible !

 Publié par Guy Jovelin le 16 février 2018

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Par Dominique Monthus

Un sympathique article qui dit la vérité sur certaines situations de fait évidemment intolérables. [Boulevard Voltaire, 12.02] La République française s'avère toujours plus incapable d'y porter remède et les laisse s'aggraver jusqu'à ce qu'une explosion survienne.   LFAR 

a85f6c9b9fad047f6b095db1e7325e82.jpgSur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent. Devant la réalité des faits.

Ainsi, la semaine dernière, dans deux pays européens, deux acteurs d’institutions ou d’associations « migrants-friendly » ont fait leur coming out pour dire différents aspects très concrets de l’impasse migratoire.

En Allemagne, c’est une militante engagée dans l’aide aux réfugiés qui a confié à la presse polonaise et allemande l’amer savoir de son expérience au plus près des migrants musulmans. Elle s’appelle Rebecca Sommer. Pensant d’abord que « les visions médiévales des Arabes changeraient avec le temps », elle s’est rendue à l’évidence et a déclaré qu’il était « presque trop tard pour l’Allemagne ». Elle analyse le problème ainsi :

« Les réfugiés musulmans ont grandi avec un système de valeurs complètement différent du nôtre, ont subi un lavage de cerveau religieux depuis l’enfance et n’ont aucun désir de s’adapter à la vie occidentale. »​‌

Elle a constaté que l’aide que l’Allemagne leur a accordée était regardée avec « arrogance et mépris ». Elle affirme avoir été traitée de « stupide salope allemande ». Rebecca Sommer tire de son expérience personnelle, de ce qu’elle a vu sur le terrain, deux enseignements : d’une part, l’islam prend une importance croissante dans la culture allemande, dans les institutions et les écoles ; d’autre part, les cultures européennes, si elles veulent survivre, doivent s’affirmer et se défendre. Rebecca Sommer a, en particulier, encouragé les Polonais à rester « inflexibles » dans leur opposition à la politique de l’Union européenne :

« Aucun peuple, ni groupe, que ce soient les Italiens, les Français, les Allemands ou les Polonais, ne pourront subsister en tant que nation, s’ils ne défendent pas de façon raisonnable leurs intérêts. »​‌

Rebecca Sommer : un nom à retenir.

En France, on ne compte plus les déclarations de personnalités ou d’institutions culturelles en faveur des migrants, depuis le ministre de la Culture qui, complètement irresponsable, veut leur offrir des places gratuites de ciné ou de théâtre…

Or, la semaine dernière, la présidence de l’université Paris VIII, dont un bâtiment est occupé par une trentaine de migrants, après les avoir accueillis, découvre que ce n’est plus possible.

D’abord, elle déplore le manque de dialogue de la part de ces migrants et de ceux qui les soutiennent. Ils perturbent le fonctionnement normal de l’université, pénalisent les étudiants et se mettent en danger. Eh oui, les universitaires découvrent que trente migrants, cela crée des problèmes d’intendance. Si cette petite expérience pouvait les aider à mieux réfléchir quand ils brasseront, dans leurs statistiques et leurs réflexions, non plus une trentaine mais des millions de migrants, qui sait, peut-être leur vision du monde, de l’Europe, de la démocratie, de la culture en sera-t-elle un peu modifiée… 

Le communiqué de la présidence continue ainsi :

« Si nous nous efforçons de répondre systématiquement aux demandes formulées, force est de constater que la réciproque n’existe pas ».​‌

Tiens, des migrants fermés au dialogue… Il y est même question d’« impasse ».

Bien sûr, elle rappelle qu’au début, elle a soutenu l’occupation « par humanité », mais déclare à présent :

« Nous en appelons à la raison à notre tour. Tout le monde sait qu’il n’est pas dans les pouvoirs d’une présidence d’université d’obtenir des titres de séjour. »

Un peu tard, non ?

Cette affaire d’une présidence d’université prise à son propre piège est emblématique du problème idéologique français face à l’immigration : la raison n’arrive qu’à la fin, quand c’est le chaos, quand ce n’est plus possible.

Cette idéologie de gauche irresponsable, tiers-mondiste par réflexe soixante-huitard et qui est toujours là, à la tête de nos institutions éducatives et culturelles, bêlante, pour appeler à l’ouverture à tous et partout, a été incapable d’inventer un humanisme de la raison et nous lègue une situation violemment déraisonnable. De deux choses l’une : qu’elle se taise enfin ou qu’elle se convertisse comme Rebecca Sommer.  

 

Source : lafautearousseau