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mardi, 23 janvier 2018

Le CESE, sous influence maçonnique, se prépare à promouvoir l’euthanasie

Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2018

par   22 janvier 2018

 

Le Conseil Economique, Social et Environnemental français, (CESE), a mis en place une commission « fin de vie » qui a reçu des représentants des cultes le 11 janvLe CESE, sous influence maçonnique, se prépare à promouvoir l’euthanasieier, puis des représentants d’obédiences maçonniques (le GODF, la GLDF, le DH et la GLFF) le 18 janvier.

Rappelons que le CESE est nettement sous influence maçonnique. Le CESE dispose d’ailleurs de sa propre fraternelle maçonnique, le Cercle Iéna, qui regrouperait 52 des 233 membres du CESE, mais pas tous les francs-maçons du CESE, bien plus nombreux. Des francs-maçons membres du CESE parmi lesquels figurent d’anciens grand maîtres du Grand Orient de France, ardents promoteurs de l’euthanasie.

Voilà de quoi déjà déduire l’orientation des résultats de la commission « fin de vie » du CESE.

Ajoutons à propos du CESE que le total brut de l’indemnité mensuelle d’un membre du CESE s’élève à 3.786,76 euros (pour une moyenne de dix jours de travail par mois) dont 1.838,23 euros d’indemnité représentative de frais non imposable.

 

Source : medias-presse.info

Zone à déblayer

Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2018

 

Depuis plus d’un demi-siècle on avait tout lu, tout entendu, tout écrit sur le projet de transfert de l’aéroport de Nantes à Notre-Dame-des-Landes. À l’époque, bien lointaine, de sa conception, on y attendait le Concorde. Or, on a fait, en juin 2015, environ 52 ans après le début de l’affaire, se prononcer les habitants de la Loire-Atlantique : à tort ou à raison, ils ont voté à 55 % pour ce projet.

On se sera moqué de leur avis, on s’est essuyé les pieds sur ce paillasson. On : c’est-à-dire l’État central, le gouvernement d’Édouard Philippe et d’Emmanuel Macron. La démocratie réelle peut donc encore nous surprendre.

Reconnaissons au bénéfice du gouvernement actuel qu’il avait hérité de ce dossier et qu’il n’avait pas jusqu’ici permis de mesurer son incapacité éventuelle à trancher enfin.

Nous savons désormais combien il excelle dans les formules chèvre chou. On les appelait dans les congrès radicaux-socialistes d’autrefois les motions nègre blanc, mais la formule est devenue aujourd’hui inconvenante.

Chèvre le 16 janvier le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb annonçait l’expulsion des occupants les plus radicaux, c’est-à-dire de quelques douzaines de militants d’extrême gauche. Une telle annonce suppose, rappelons-le l’intervention de milliers de représentants des forces de l’ordre.

Mais chou le 17 janvier après avoir fait durer l’incertitude, le Premier ministre annonçait l’abandon du projet, tout en fixant une date, habilement assez vague, le printemps pour le départ des zadistes.

Car le problème le plus préoccupant reste celui de l’occupation de la ZAD, signifiant zone d’aménagement différé. Les gauchistes ont transformé sémantiquement celle-ci en ZAD, rebaptisée zone à défendre. Dans cette conception défense signifie amoncellement d’immondices et production de crasse. Dans cette industrie les gauchistes sont demeurés imbattables depuis leurs exploits de 1968, dont on s’apprête à commémorer l’opportun cinquantenaire.

 

Tout le monde est en mesure de comprendre ceci : au-delà même de la zone de Notre-Dame-des-Landes et de ses quelques hectares, ne pas la nettoyer revient à ouvrir la bonde à l’agitation autour de la petite cinquantaine de dossiers ce type en France.

Le danger de contagion ne peut, par conséquent, échapper à personne.

Retenons bien les déclarations de Gérard Collomb le 16 janvier (1)⇓. “Le président, annonçait-il, prendra sa décision, sur le projet d’aéroport, dans les prochaines semaines”. En fait la décision était déjà prise et elle allait être rendue publique par le chef du gouvernement 24 heures plus tard.

 

Car le même ministre ajoutait “évidemment, nous sommes toujours prêts à maintenir l’ordre républicain”. “Prêts à” ne signifie pas ici obligatoirement “décidés à”. Et ordre “républicain” ne veut pas dire nécessairement grande propreté. Nous nous en doutions. Nous en recevons la confirmation.

La zone “sera en tout cas évacuée des éléments les plus radicaux” voilà la belle promesse dont les indigènes de la Loire-Atlantique aimeraient désormais recevoir confirmation.

On mesurera ainsi de quel courage sont capables nos dirigeants. Mais ne l’oublions jamais, dans notre démocratie, ce qui compte ce ne sont pas les manants des territoires, c’est l’État central, ce sont les privilégiés du système. Ces gens ont rendu sinon odieuse au peuple, au moins péjorative, et souvent ridicule, l’appellation d’élite.

> Jean-Gilles Malliarakis anime le blog L’Insolent

 

Source : ndf

Règlement de conte

Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2018

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 Georges Feltin-Tracol

A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.

À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.

Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !

Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.

 

Source : synthesenationale

lundi, 22 janvier 2018

17 Députés musulmans à l'Assemblée Nationale

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2018


En Marche !!! en compte 10
Dans 5 ans ils seront 130 
et dans 10 ans ils seront majoritaires !!!
Houellebecq a raison, la soumission est "En Marche"
Tous ces élus (ou élues) sont des bi-nationaux d'origine marocaine,
algérienne, tunisienne, togolaise, sénégalaise...
La conquête de la France s'accélère !!!
Elle se manifeste maintenant dans un lieu de pouvoir.

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Nîmes (30) : les musulmans s’offrent une nouvelle mosquée en centre-ville

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2018

 Par  le 21/01/2018
 

L’année 2018 commence bien pour les musulmans de Nîmes. Deux ans après la fermeture de la mosquée de la Miséricorde sur décision de la municipalité en raison de l’insalubrité du bâtiment, l’achat du bien a pu être finalisé. Reste encore à faire les nécessaires travaux de mise aux normes du bâtiment afin d’en jouir pleinement.

Ils sont sortis d’affaire par la grande porte. Après avoir été menacés de se retrouver sans lieu de culte en 2016, les responsables de l’Association culturelle islamique qui gèrent la mosquée de la Miséricorde sont désormais propriétaire du bâtiment abritant le plus vieux lieu de culte musulman de Nîmes (Gard) après avoir finalisé l’achat la veille de l’année 2018.

Ce sont environ 450 000 euros qui ont collectés pour s’approprier le bâtiment de 2 000 m² situé dans le centre-ville. Un luxe dans la mesure où de très nombreuses mosquées de France sont excentrées. L’Association culturelle islamique s’en est donné les moyens grâce au soutien de ses fidèles.

 

SaphirNews via fdesouche