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samedi, 20 janvier 2018

Notre-Dame-Des-Landes : Courage, fuyons !

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2018

 

« Le courage, la fermeté, l’autorité de l’Etat, le respect des lois de la République… » le concert de louanges adressées à Edouard Philippe par le choeur médiatique, qui a repris très fidèlement, comme à son habitude, l’autosatisfaction gouvernementale, laisse pantois. La dictature molle qui s’est installée en France s’appuie sur la saturation de l’information par une pensée unique qui tend à déresponsabiliser les citoyens en leur promettant une évacuation en douceur des problèmes afin de maintenir la quiétude dans les esprits et la passivité dans la politique de l’Etat. Celui qui résiste à cette anesthésie ressemble au personnage de la pièce de Ionesco qui est le seul à ne pas devenir Rhinocéros. Il continue à voir les choses comme elles sont. Il y a encore, Dieu merci, de nombreux Français qui en ont la capacité.

Il n’y a aucun courage, mais au contraire, une très grande lâcheté à renoncer à un projet uniquement pour éviter l’affrontement avec des groupes de gauchistes qui occupent illégalement un territoire de la République au nom d’une prétendue ZAD. Le courage consiste à accomplir son devoir, à faire respecter une décision démocratique dans le cadre de la continuité de l’Etat. Celui-ci a une fois de plus démissionné, dans la logique du « syndrome Malik Oussekine » qui a paralysé le faux dur Chirac de Décembre 1986 jusqu’à 2007. Le malheureux accident de Sivens, puisque tel est la qualification qu’il faut retenir après la décision judiciaire de non-lieu, a réanimé la peur panique des autorités de devoir répondre de la mort d’un homme pour avoir voulu faire respecter la loi. C’est hélas une attitude qui renverse la hiérarchie de l’Etat de droit, dont on nous rebat les oreilles. Il n’y a pas d’Etat de droit lorsque des territoires de la République échappent à l’autorité de la Loi, lorsque le rapport de forces permet à une minorité violente de s’imposer face à une majorité de citoyens qui, directement ou au travers de leurs élus, ont exprimé la volonté générale.

On voit bien dans ce triste dossier de Notre-Dame -Des-Landes que les mots employés cherchent à masquer une réalité dont le sens est le contraire de ce qu’ils prétendent affirmer. Cette fois, on pense à 1984, et à la « novlangue » du génial Orwell. Il n’a plus d’autorité de l’Etat, lorsque celui donne raison à ceux qui ne respectent pas la démocratie. L’un des « zadistes » au milieu de la fête de la victoire de son camp, c’est-à-dire de l’illégalité, le proclamait sans vergogne : « nous avons fait plier l’Etat ». Le spectacle des commentaires était d’ailleurs déprimant : face à la joie des gauchistes et de la « France Insoumise », il y avait les malheureux citoyens, les oubliés de la majorité silencieuse, qui s’étaient donné la peine de participer à un référendum et qui croyaient avoir décidé de la réalisation de l’aéroport. Non, ce que les élus attachés à ce territoire, ce que la majorité de la population avaient voté, est effacé d’un revers de manche au nom de l’habileté politique. 51% des électeurs de Loire Atlantique s’étaient déplacés et avaient choisi le « oui » à 55, 7 %. 20 communes soutenaient le projet, conforté par 180 décisions judiciaires. Et l’on voudrait nous faire croire que la France est une démocratie ? Se moquer des électeurs est le meilleur moyen de les convaincre du contraire. La France est plus près d’une République bananière que de la Suisse.

La fermeté brandie par le Premier Ministre ressemble aux communiqués de guerre qui annoncent une retraite impeccablement exécutée, promesse des victoires à venir, quand elle n’est que l’aveu d’une bataille perdue. Palsembleu ! les drôles vont déguerpir, mais après les grands froids, des zones dont ils se sont emparées. Evidemment, puisqu’ils ont eu gain de cause. Et pourtant non ! L’autorité de l’Etat, le respect de la loi sont tombés à un tel niveau en France que cet espace soustrait à la République va sans doute lui être disputé au nom d’une prétendue supériorité « morale » du gauchisme archi-minoritaire sur les décisions d’une démocratie qui ne croit plus en elle-même. « Nuit debout » a fait école ! Mais comment faire respecter des gouvernants qui n’ont aucune parole ? M. Macron, le matamore qui clame faire ce qu’il dit, s’était engagé, comme Edouard Philippe d’ailleurs, à respecter le choix des électeurs. On voit qu’il n’en est rien.

Il restera la facture que paieront comme d’habitude les Français, y compris ceux qui seront les victimes directes de l’agrandissement de l’aéroport de Nantes, les habitants de Saint-Aignan, dont on se soucie comme d’une guigne. Il faudra indemniser Vinci, peut-être à hauteur de 350 Millions, traiter la délicate question des ventes de terrains et d’immeubles déjà réalisées, la compensation des dépenses des communes impliquées dans le projet, négocier en position de faiblesse avec l’opérateur, en lui abandonnant « Aéroport de Paris » par exemple. Sans doute le projet de Notre-Dame-Des-Landes était-il contestable à l’origine. Etait-il vraiment nécessaire, compte tenu des chiffres actuels de la fréquentation de celui de Nantes ? Il s’agissait d’un pari sur le développement du Grand-Ouest. Mais ce qui est sûr, c’est que la France devient incapable de mettre en oeuvre les grands équipements qui ont marqué l’épopée de la DATAR. On peut s’en réjouir en y voyant un recul de l’Etat. On peut au contraire y voir l’inefficacité grandissante d’un Etat obèse gorgé d’élus et de fonctionnaires et incapable d’éviter les débâcles qu’entraîne sa gestion calamiteuse : après la gabegie du retrait des portiques de l’écotaxe, au grand dam de Ségolène Royal, qui sort de son igloo pour savourer sa revanche, voici la grandiose faillite de Notre-Dame-Des-Landes !

 

Source : ndf

Témoignage : la peur d’un surveillant de prison

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2018

Déterminés, en colère, les surveillants bloquaient encore ce vendredi 19 janvier au matin des prisons, comme celle de la maison d’arrêt de Fresnes (Val-de-Marne). France 3 a recueilli le témoignage de l’un d’entre eux :

 

Source : ndf

vendredi, 19 janvier 2018

Corse : deux surveillants de la prison de Borgo agressés par trois détenus

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

Par  Mis à jour le 19/01/2018 

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Deux gardiens de la prison de Borgo (Haute-Corse) ont été grièvement blessés ce matin par trois détenus, dont un suivi pour radicalisation, ce vendredi. Les deux hommes, dont l'un a été plus gravement touché que l'autre, ont été transférés vers l'hôpital de Bastia, a indiqué la procureure de Bastia, Caroline Tharot.

Selon la direction de l'administration pénitentiaire, les deux surveillants, dont le pronostic vital n'est pas engagé, ont été attaqués par trois détenus de droit commun, et non par un seul comme indiqué dans un premier temps. L'un de ces trois détenus est suivi pour radicalisation religieuse, a-t-on précisé de même source à l'AFP.

Les trois détenus seraient retranchés dans leurs cellules et refuseraient d'en sortir. Un périmètre autour de la prison a été bouclé et une dizaine de véhicules de CRS sont arrivés vers 11h devant la maison d'arrêt, où la direction de l'administration pénitentiaire a confirmé à l'AFP qu'une opération de police était en cours.

Des soupçons de radicalisation pesaient sur l'un des détenus. Ces dernières ont été confirmées récemment par des écoutes téléphoniques transmises à la procureure, qui a ouvert une enquête. "Il s'agit d'une grosse agression, l'un des deux gardiens était inconscient et l'auteur est un détenu qui avait déjà une fiche signalétique sur son comportement", a indiqué à l'AFP Maxime Coustie, délégué régional UFAP.

 

Source : lefigaro

L’Oréal choisit une mannequin voilée pour une publicité pour shampoing

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

L'Oréal

Le géant des cosmétiques L'Oréal a choisi, pour sa nouvelle campagne publicitaire au Royaume-Uni, le mannequin Amena Khan. Celle-ci pose voilée pour promouvoir un shampoing – une décision destinée à incarner une «image disruptive» selon l'entreprise.

Alors que le domaine publicitaire est sous le feux de nombreuses critiques concernant des affiches jugées racistes ou stigmatisantes, la société L'Oréal a décidé de promouvoir l'un de ses shampoings d'une manière pour le moins originale. L'égérie pour le Royaume-Uni de la nouvelle campagne du géant des cosmétiques, le mannequin Amena Khan, pose en effet voilée.

 

Cette blogueuse musulmane spécialisée dans le domaine des soins de beauté, dont les cheveux ne sont donc paradoxalement pas visibles sur les affiches, a été choisie notamment parce qu'elle incarne une «image disruptive», selon Adrien Koskas, responsable de L'Oréal au Royaume-Uni, interrogé par le Huffington Post. Dans un univers selon lui empreint de clichés, le visage d'Amena Khan est donc supposé incarner un changement assumé de la part de l'entreprise.

«On doit se demander : pourquoi partons-nous toujours du principe que les femmes qui ne montrent pas leurs cheveux, ne s'en occupent pas ?», s'interroge Amena Khan dans un entretien accordé à Vogue. La campagne de L'Oréal, qui ne cible que le marché britannique, lui donne ainsi l'occasion de mettre à bas certains clichés qu'elle juge infondés. «Quand je sais que j'ai les cheveux gras, mais que je porte un voile, je me sens tout de même poisseuse», explique-t-elle.

L'entreprise espère que ce choix provoquera des discussions et se dit «excitée» de cette première. De son côté, Amena Khan se montre tout aussi enthousiaste et ne craint pas les débats que pourraient susciter son voile. «Si le message est authentique et la voix qui le porte sincère, alors on ne peut pas douter du message», explique-t-elle.

 

Source via lesobservateurs

Hongrie : Viktor Orbán annonce vouloir taxer les ONG pro-migrants et utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

 

Hongrie – Le gouvernement hongrois a annoncé sa volonté d’introduire un ensemble de lois visant à taxer les ONG soutenant la migration illégale et à utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières.

Cette nouvelle étape fait suite aux bons résultats de la consultation nationale sur le plan Soros, sur laquelle 2,3 millions de citoyens hongrois ont donné leur point de vue, quasi-unanimement favorable au gouvernement dans sa lutte contre l’influence des réseaux de George Soros.

Voici la note publiée par le Bureau international de la communication du gouvernement hongrois :

« Le gouvernement hongrois s’oppose à l’immigration illégale par tous les moyens possibles. Nous devons renforcer la sécurité des citoyens. Notre objectif est que l’Europe continue d’être le meilleur endroit sur Terre pour vivre. Dans l’esprit de cette vision, le gouvernement a présenté un ensemble de projets de loi au Parlement.

Les dispositions les plus importantes sont les suivantes :

– Toute organisation qui soutient l’immigration illégale en utilisant des ressources financières étrangères sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.

– Une taxe sera imposée sur le financement étranger des organisations soutenant l’immigration clandestine. Ce revenu public sera investi dans la protection des frontières.

 Il sera possible d’émettre des injonctions contre ceux qui participent à l’organisation de l’immigration clandestine. En substance, de telles injonctions s’appliqueront dans toute zone située à moins de 8 kilomètres de la frontière Schengen. Dans des cas spéciaux, un citoyen de pays tiers pourra être soumis à une injonction restrictive n’importe où en Hongrie. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.

Les consultations nationales de l’année dernière ont montré l’opinion presque unanime des citoyens hongrois, légitimant ainsi le gouvernement pour agir en ce sens : 1,7 million de personnes ont pris part et exprimé leur avis lors d’une consultation nationale au printemps dernier, alors que 2,3 millions l’ont fait l’automne dernier. D’après les résultats, les Hongrois veulent que l’immigration clandestine soit traitée une fois pour toutes. Ils demandent une protection renforcée des frontières au lieu de la relocalisation de migrants. Le gouvernement est également soutenu par les 3,3 millions de personnes qui ont rejeté la réinstallation par quotas des immigrants illégaux lors d’un référendum national en octobre 2016. »

 

VisegradPost / Deutsche Welle via fdesouche