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lundi, 22 janvier 2018

En marche vers le cannabis pour tous

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 22 janvier 2018 

Dans un rapport censé être publié ce mercredi, mais déjà parvenu dans toutes les rédactions, on apprend que le meilleur moyen de lutter contre le cannabis est de n’en faire qu’un simple délit… très rémunérateur pour les comptes de l’Etat. Se procurez une substance illicite et se détruire la santé ne débouchera que sur une amende forfaitaire de 200 euros. De quoi abreuver les comptes publics aux dépends d’une situation sanitaire déjà alarmante.  

La machine est enfin lancée. Le cannabis doit trouver une place quasi-officielle au sein de la société française, mais plus encore dans l’économie. Un rapport parlementaire rédigé par deux hurluberlus issus des rangs LR et LaRem, fiers de présenter la solution aux problèmes que représente le cannabis, met les pieds dans le plat. Le « tout répressif » comme il est de bon ton de dire ne fonctionne pas. Il y aurait 1,4 million de fumeurs réguliers auxquels s’ajoutent 700 000 consommateurs dont la dépendance est si forte que pas un jour ne se passe sans fumer leur(s) joint(s). La France a un réel problème avec le cannabis et la solution préconisée est de faire avec.

Le fric avant tout

Comme pour tout renoncement, il faut l’accompagner de justifications. C’est là que, soudainement, les parlementaires s’intéressent au travail des policiers et de la justice. Ces deux autorités seraient submergées par les cas de consommation de cannabis pour un résultat dérisoire. Ainsi, sur les 140 000 personnes interpellées chaque année, l’immense majorité a finalement le droit à un rappel à la loi (comme Dray pour ses mystérieuses montres à complication). Les tribunaux déjà à l’agonie (une excuse pour être laxiste ?) et les policiers qui passent plus de temps à remplir de la paperasse qu’à sécuriser nos rues seraient ainsi mobilisés sur de vrais problèmes.

Ce discours est sympathique et peut s’entendre, mais le glissement du cannabis vers une substance, certes non souhaitée, mais finalement acceptée est le premier pas dans un engrenage bien connu : la légalisation totale. Depuis des années, les médias s’extasient sur des pays qui ont dit oui au progrès… Les Pays-Bas et les Etats-Unis pour les plus symboliques d’entre eux. En fait, ces exemples tournent en boucle, car il n’y a pas tant de pays qui affirment publiquement se désintéresser de la santé (mentale) de leurs populations. La Californie légalise le cannabis à des fins médicales avant d’ouvrir toutes les vannes et de faire bientôt des Etats-Unis le pays le plus important à légaliser une substance hautement nocive.

Cela rappelle les promesses en carton des socialistes au sujet du mariage homosexuel. Le PACS, le mariage entre personnes du même sexe, la PMA pour les couples homosexuels puis la GPA. Il suffit de mettre le doigt dans l’engrenage pour se retrouver avec toute la panoplie d’une société décadente. La « contraventionnalisation » du cannabis chère au candidat Macron (il avait dans un premier temps jugé normal de dépénaliser) est la première étape d’une légalisation aux effets catastrophiques d’un point de vue sanitaire. Tous les médecins sérieux le disent, une amende n’a aucun effet sur un individu déjà dépendant d’un produit. L’étape numéro un n’est donc qu’une grande manœuvre pour pomper de l’argent où il se trouve encore. A raison de 200 euros d’amende pour chacune des 140 000 personnes interpellées chaque année, c’est Bruno Le Maire qui se frotte les mains !

Une future légalisation mettra un terme à cette belle rente peut-on penser. Que nenni ! L’Etat aura alors les revenus issus de la TVA et sera bien plus motivé pour lutter contre les trafics qui ne manqueront pas de concurrencer les circuits officiels. De plus, les consommateurs seront toujours sous la menace d’amendes s’ils ne fument pas au bon endroit ou au bon moment. Les comptes publics peuvent faire la fête, la santé des Français un peu moins, mais ce ne sont pas nos élites qui méprisent le peuple qui vont commencer par s’en soucier. Prochaine étape l’héroïne et le crack ? Ça va danser gaiement sur les quais du métro parisien !

 

Source : 24heuresactu

DÉJEUNER PATRIOTIQUE AVEC CARL LANG LE 27 JANVIER DANS L’AUDE

 

Carl Lang se rendra à Peyriac sur Mer le samedi 27 janvier, à l’invitation de Guy Jovelin, responsable régional du PdF, pour un déjeuner de rentrée avec militants et sympathisants du Parti de la France


Déjeuner patriotique avec Carl Lang le 27 janvier dans l’Aude
Réservation obligatoire auprès de Guy Jovelin ou du PdF31.Voir les coordonnées sur l’affiche.

dimanche, 21 janvier 2018

13E MARCHE POUR LA VIE EN DIRECT !

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2018

17h30 : aux journalistes qui demandent un chiffre il est répondu 220 000... Oui 220 000 avortements en France chaque année! 


13e Marche pour la vie en direct !

Nous étions environ 40 000 à affronter les éléments climatiques et surtout de nombreux jeunes, qui, 43 ans après l'abominable Loi Veil, marchent pour demander le respect de toute vue humaine et l'abolition de l'avortement.  

Au Trocadéro : 

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17h10 : 

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Carl Lang et Myriam Baeckeroot : 

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Les Polonais sont avec nous :  

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Source: lesalonbeige.fr 

 

Vladimir Poutine s’immerge trois fois dans un lac glacé pour célébrer le baptême du Christ

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2018

  20 janvier 2018

Dans la nuit de jeudi à vendredi 19 janvier 2018 (théophanie orthodoxe à date fixe), Vladimir Poutine s’est plongé dans les eaux glacées du lac Saliger  (à mi-chemin entre Saint-Petersbourg et Moscou), à l’occasion de l’anniversaire du baptême de Jésus-Christ par saint Jean-Baptiste, selon la tradition orthodoxe qui a vu cette année 1,5 millions russes affronter l’eau glacée, en sacrifice traditionnel et pour la purification du corps et de l’âme. Les participants, complètement immergés, doivent tremper trois fois leur tête dans l’eau au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

«Il y avait beaucoup de fidèles et le Président a assisté à une partie de la liturgie dans la cathédrale, tout se passait donc en public. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de montrer les photos», a déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, ajoutant que Vladimir Poutine  plongeait «dans le trou [dans la glace] depuis plusieurs années».

Un acte révélateur

Ceux qui cèdent à la propagande occidentale riront sous cape en se disant que le président russe flatte son électorat alors qu’il est candidat à la présidence pour la deuxième fois cette année. Quels que soient les motifs qui ont poussé Vladimir Poutine à célébrer la Théophanie, le président russe ne fait que ce qu’il a toujours fait depuis 1999, année où il a été président de la fédération de Russie pour la première fois. Par ailleurs, cela démontre aussi que la foi des Russes est vive prés de 30 ans après la chute du régime athée soviétique, ce qui n’est hélas plus le cas en Occident. Si les Russes n’étaient pas sensibles aux démonstrations de foi, cette vidéo ne serait jamais parue en pleine période électorale. Et si les autorités de  la Fédération n’encourageaient pas cette foi, elle serait en déliquescence comme en Occident. On peut même constater le complet renversement de paradigme entre l’Occident et l’Europe orientale depuis la chute du régime communiste, puisque du temps de l’empire soviétique, l’Occident mettait Dieu en avant, alors que les soviétiques raillaient la foi en Dieu de l’Occident, tandis qu’aujourd’hui ce sont les anciennes républiques soviétiques d’Europe, Russie en tête, mais aussi la Pologne et la Hongrie qui se revendiquent de leur foi en Dieu à travers l’orthodoxie ou le catholicisme et qui, -en ce qui concerne les pays de l’Union européenne-, luttent pour protéger leur identité religieuse face aux attaques de Bruxelles.

Il importe donc peu de sonder les reins et le cœur du président Poutine. Même dans les meilleurs moments de la Guerre froide, jamais les chefs d’État occidentaux n’ont manifesté avec autant d’éclat ni de constance leur foi en Dieu. Celle-ci n’était manifestement qu’un argument contre leur adversaire pour flatter les chrétiens de Russie [ainsi que l’avait dénoncé Soljenitsyne, surpris de l’athéisme militant qui sévissait en Occident], on le constate bien aujourd’hui où pour continuer de faire de la Russie le faire-valoir de leurs ambitions, les oligarques occidentaux ont inversé leurs arguments contre la Russie, bien loin de se féliciter du retour officiel à la foi de celle-ci et de la fin des persécutions religieuses dans les anciens pays soviétiques.

Des Français suivent l’exemple d’1 à 2 millions de Russes qui se sont baignés dans les eaux glacées pour célébrer le baptême du Christ.

Une tradition qui fait de plus en plus d’émules en Russie chaque année.

Voir aussi:

Migrants : habiter chez une famille française pour mieux s’intégrer

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2018 

Par  le 20/01/2018 
 
Ilias vit depuis sept mois avec Paul et Brigitte, sa famille d’accueil.
 
Face à la difficulté de certains centres d’hébergements d’urgence d’accueillir tous les réfugiés, le Samu Social de Paris a lancé en 2016, son programme Elan. Il permet à des citoyens qui le souhaitent, d’accueillir pendant quelques temps (entre 3 et 12 mois), un réfugié. L’objectif est de l’aider à s’intégrer dans la société française, en apprenant la langue et l’aider à s’émanciper. C’est le cas d’Ilias, il vit à Gif-sur-Yvette (Essonne) chez Paul et Brigitte. Témoignages recueillis par François-Pierre Noel

Ilias, réfugié somalien, arrivé en France il y a 2 ans :  » Si on parle votre langue, le Français dit ‘bienvenue’ mais si on le parle pas, il dit le contraire  »

Ilias est arrivé en France il y a 2 ans. Ce Somalien de 29 ans a dû quitter son pays car il y était menacé de mort. Pendant plus d’un an, il a alterné entre la rue, les appartements de ses amis et les chambres d’hôtels. Depuis juin, il a intégré le programme Elan et vit, désormais, dans sa nouvelle « famille d’accueil ». Au départ, il ne connaissait pas un mot de français hormis les chiffres,  » j’avais besoin de les connaître si je voulais acheter des choses « . Depuis son arrivée dans « sa famille » comme il l’appelle, ses progrès sont spectaculaires :

Je me sens bien, je sens qu’ici j’habite avec ma famille, j’ai franchi une étape par rapport à avant. Quand je suis arrivé, j’avais pleins de questions, je demandais toutes les 5 minutes :  » C’est quoi ça ? Et ça ? » Pour moi, c’était une surprise quand j’ai vu la chambre, je me suis dit  » c’est grand ! « 

Il a aussi découvert les vacances, un concept qu’il ne connaissait pas en Somalie. Paul et Brigitte, sa « famille » d’accueil, est ravi de l’intégration réussie d’Ilias dans leur cercle familial. Même si Paul reconnait qu’il y avait une certaine « appréhension » au début, tout s’est dissipé très vite au vue du projet et de la motivation d’Ilias pour sa nouvelle vie française.

Ce qui était important pour nous, c’était le sérieux de sa motivation. C’est à dire que l’on ne fasse pas ça pour rien. Il nous a dit tout de suite, je veux m’intégrer, je veux parler français, je souhaite fonder une famille. Je pense qu’il a une réelle motivation et ça nous plaît beaucoup parce qu’on l’impression de servir cette motivation. S’il arrive vraiment à une autonomie complète, c’est gagné.

Paul, retraité à Gif-sur-Yvette (Essonne) :  » Ce programme, ça nous change vraiment le regard sur l’autre  »

En France, de nombreux migrants n’ont pas accès aux centres d’hébergements d’urgence, par manque de place ou parce qu’ils sont sur le territoire illégalement. C’est le cas des migrants qui ont déjà été fichés dans un autre pays de l’Union Européenne. Discuter avec Ilias, des difficultés concernant l’immigration mais aussi de parler de la vie en générale a permis à Paul de prendre conscience de certaines réalités concernant la vie des réfugiés :

D’un point de vue mathématique, on peut se dire que s’il y avait seulement 1 famille française sur 1000 qui faisait cet effort-là, il n’y aurait plus de problème de migrants. Le deuxième point que je trouve aussi, très important, dans cet accueil, c’est justement de faire disparaître le mot  » problème de migration ». Pour nous, Ilias, ce n’est pas un migrant, c’est Ilias et ça permet finalement de voir la personne derrière.

Aujourd’hui, des liens forts se sont créés entre la famille de Paul et Ilias. Paul sait qu’ils ne « vont pas disparaître comme ça ». Des cas comme Ilias, il y en a 34 en Île de France. Nadège Letellier est responsable du programme Elan au Samu Social de Paris, elle voit que cette méthode fonctionne et permet au réfugié logé, de se faire une place dans la société française. Cette cohabitation permet d’offrir de beaux échanges à la famille qui l’accueille :

Rencontrer l’autre et l’accepter en tant que tel, découvrir sa culture, sa manière de penser et de voir les choses, c’est forcément des expériences qui enrichissent personnellement. Je pense qu’une intégration réussie, ce n’est pas avant tout, travailler et avoir un logement. Je pense que pour se sentir bien, avoir une place, sa place, il faut aussi un réseau amical et familial. Le fait d’être accueilli, comme ça, dans une famille française, renforce ce sentiment d’inclusion et ça leur redonne confiance.

Pendant qu’Ilias vit chez Paul et Brigitte, le programme Elan l’aide dans ses démarches administratives. Une méthode qui fonctionne puisque certains réfugiés qui ont intégré le programme sont devenus autonomes.

France Culture via fdesouche