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dimanche, 07 janvier 2018

La loi anti-fake news de Macron, c’est la loi Pravda !

Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2018

Il en a du culot le père Macron. Ses vœux à la presse ont été un tissu de négationnisme, un tissu de mensonges, un déni de véritable démocratie. Un appel à l’assassinat de la presse libre. Comme par exemple son attaque directe contre RT France qui est obsessionnel ! Et la guerre qu’il souhaite mener par une loi qui sera forcément votée par ses obligés de l’Assemblé Nationale, contre les soit-disant fake-news, autrement dit, en bon français contre les fausses nouvelles, est une preuve de son autoritarisme malsain.

Accuser les médias alternatives, comme celui que vous lisez en ce moment, est la preuve qu’il n’accepte que les versions approuvant sa politique. Accuser les journalistes de ces médias, d’utiliser les mêmes mots, les mêmes que ceux de journalistes de la presse largement subventionnée par le pouvoir , est la preuve qu’il a peur qu’un jour ou l’autre, l’espace de liberté qu’est internet remplace les dépêches orientées de l’AFP, l’agence officielle du Pouvoir reprises à satiété par nos magazines, nos journaux, nos chaînes.

La série de mesures qu’il annonce devrait nous faire frémir d’indignation tant elle va s’avérer anti-démocratique. Le fait du prince, le sentiment dictatorial de son action se présente à nous, une fois de plus et sous la forme perfide d’un sourire figé adressé à la confrérie journalistique officielle. Pour la rassurer sans doute sur son avenir qu’effectivement les médias libres risquent de mettre en pièces. Comme vient de le souligner sur RT France Eric Veraeghe, chroniqueur du site Atlantico, Emmanuel Macron veut protéger les grands groupes de presse qui sont, pour la plupart, en difficultés financières et qui ont, toujours ou presque, pris le partie de l’Élysée.

Avec sa loi anti-fake news, Macron se moque de nous quand il affirme vouloir protéger la vie démocratique en période électorale. Un seul son de cloche, le doigt sur la couture du pantalon républicain, voilà le mot d’ordre qu’il souhaite exiger du nouveau CSA qu’il souhaite créer.

« Sur les plate-formes internet, les contenus n’auront plus tout à fait les mêmes règles ». On se croirait revenu en URSS… en plein régime communiste qui contrôlait alors toute l’information. En fait, la loi Macron, ce sera la loi Pravda ! D’ailleurs, qu’entend-il par « les contenus sponsorisés de ces plate-formes internet » ?

L’avocat Régis de Castelnau trouve très inquiétants les propos du Président car ils vont contre l’obligation légale d’un pluralisme dans la diffusion des informations. Les pouvoirs renforcés donnés au CSA qui pourra annuler les autorisations d’émettre ou de diffuser et qui pourra contrôler leur contenu, sont de nature extrême. Le respect de la liberté d’expression du président de la république et les excès d ‘autoritarisme qu’on lui connaît ne sont pas de la maladresse, mais incontestablement une volonté de protéger les grands médias pour des raisons aussi bien économiques que politiques.

« J’entends défendre la démocratie en empêchant les gens de s’exprimer est une proposition irréprochable »  conclut l’avocat, interrogé par RT France

Les réseaux sociaux, comme cet avocat se demandent d’ailleurs qui a la définition réelle de ce terme de fake-news ? Qui va décider que la nouvelle diffusée sera une bonne ou une mauvaise nouvelle ?

Avec son discours à la Presse (officielle je le rappelle, car n’étaient invités que les « grands médias »), Macron envisage un réelle mesure dictatoriale. Et lorsqu’il critique ouvertement, sans la nommer la chaîne RT France d’être la voix de la Russie, a-t-il pensé un seul instant que les chaînes françaises pourtant payées avec l’argent du contribuable français,

 

Source : ndf

samedi, 06 janvier 2018

BONNE EPIPHANIE À TOUS!

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2018

En illustration: dyptique en ivoire. La scène de gauche est la nativité et celle de droite est l’Adoration des mages. Dyptique exposé aux musée du Louvre.

 

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Un islamiste Toulousain arrêté en Syrie

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2018

 
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 Capture d'écran du documentaire : Mirail, quartier impopulaire, illustrant une prière islamique dans la rue, lors du Ramadan 2016.

Un islamiste Toulousain, Mohamed Zine El Abidine Megherbi, a été arrêté en décembre dernier en Syrie par les forces kurdes. Il avait rejoint l’Etat islamique dès 2014. 

Encore un djihadiste toulousain à la une ! Mohamed Zine El Abidine Megherbi a été arrêté le 13 décembre 2017 par les Unités de protection du peuple kurde dans la région d’Hassaké (entre Mossoul et Raqqa). Âgé de 36 ans, l’homme s’était rendu avec sa famille en Syrie dès avril 2014.

Il n’est pas le seul à avoir été arrêté en fin d’année. Comme l’annonce Le Point, le Toulousain a été arrêté en compagnie de cinq autres ressortissants « français », alors qu’ils tentaient de fuir vers la frontière turque. Son frère, Najib Megherbi (29 ans), Thomas Barnouin (originaire d’Albi), , Kévin Gonot (31 ans, originaire du Lot), Thomas Collange (35 ans) et Romain Garnier (34 ans) sont ses compagnons d’infortune.

Deux vétérans du réseau islamiste d’Artigat arrêtés

Dans la liste de ces français arrêtés près de la frontière turque, deux noms sont familiers dans le réseau salafiste régional. En effet, Mohamed Megherbi et Thomas Barnouin sont tout deux des cadres importants de la tristement célèbre « filière Artigat », qui a vu former Abdelkader et Mohammed Merah, Fabien Clain et Sabri Essid. Tenue par l’imam Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », ce groupe recrutait des candidats au djihad pour les envoyer sur le front, en Irak.

Lire aussi : Entretien avec Alexandre Mendel : « Toulouse djihadiste »

Mohamed Megherbi et Thomas Barnouin ont déjà été condamnés en juillet 2009, à six ans de prison ferme pour avoir jouer un rôle clé dans la filière basée en Ariège. Peu après avoir purgé leur peine -écourtée-, ils rejoignent les rangs de l’Etat Islamique dès le début de l’année 2014.

Mohamed Megherbi s’est fait connaître dès le début des années 2000. Proche de la famille Clain, il épousa religieusement leur demi-soeur en 2002. Elle n’avait que 16 ans. En 2003, il devient un « candidat djihadiste de la première heure » pour aller combattre en Irak, selon les termes du jugement à son procès, rapportés par France 3. Entre 2003 et 2006, il effectue de nombreux allers-retours entre la France et la Syrie, jouant le rôle de « facilitateur » pour les candidats au djihad dans l’Irak voisin, il est interpellé en 2007.

Reste encore dans cette zone près de 1 700 sympathisants de Daech partis de France. A ce chiffre, du gouvernement Français, il faut déduire 278 morts et 302 retours dans l’Hexagone. On reste encore sans nouvelle de Sabri Essid, beau-frère des Merah et proche de Kévin Gonot.

 

Source : infos-toulouse

Funiculaire : la RATP retire la croix du Sacré-Coeur

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2018

Par  le 06/01/2018 

Religieusement correct oblige, la croix surmontant le sommet du grand dôme du Sacré-Cœur a été effacée sur les nouveaux écrans des cabines rénovées du célèbre funiculaire qui permet d’accéder à la butte Montmartre, dans le XVIIIe arrondissement de Paris.

En revanche, une colombe a été ajoutée à l’image. Le funiculaire, géré par la RATP, transporte 2 000 personnes toutes les heures, soit plus de trois millions par an, surtout des touristes venus du monde entier. La basilique est le second monument religieux parisien le plus visité.

 
 
 
 

Valeurs actuelles via fdesouche

Carl Lang, invité du Face à Face du 5 janvier 2018

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2018