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mercredi, 10 janvier 2018

Par crainte des migrants, de plus en plus d’Allemands s’arment pour se défendre en cas d’agression

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Par  le 10/01/2018 

Sur son site Internet, Carolin Matthie, une Allemande de 24 ans, se décrit comme «mannequin, auteur et influenceur». Au cours des derniers mois, cependant, elle est mieux connue pour le pistolet qu’elle porte dans un étui, niché dans le bas de son dos.

Maintenant, l’étudiante de l’université de Berlin est la tête d’affiche d’un nombre croissant d’Allemands s’armant de plus en plus.

Matthie a acheté son pistolet après une agression à l’été 2016. En retournant chez elle dans un dortoir universitaire dans une zone déserte de la capitale, six hommes ont commencé à la suivre et ont crié après elle dans une langue étrangère.

Les hommes ont soudainement disparu, at-elle dit, lorsqu’une voiture d’une compagnie de sécurité est passée par hasard.

De peur de ne pas avoir la même chance une deuxième fois, Matthie a payé 50 € pour une licence d’armes à feu et 189 € pour un pistolet à air Walther P99.

« Cette arme est dissuasive, dit-elle, je n’ai pas encore eu besoin de m’en servir ».

« Maintenant, je sais ce que je peux faire en cas d’urgence, j’ai un plan si je suis attaqué et ça fait du bien ».

Élevé dans un village de campagne, Matthie dit qu’elle et ses amis parlent souvent d’un sentiment croissant d’insécurité à Berlin. Elle fait clairement le lien avec la crise des réfugiés en Allemagne il y a deux ans, quand plus d’un million de migrants sont arrivées dans le pays en quelques mois.

Bien que les chiffres se soient stabilisés depuis, les vendeurs d’armes voient une corrélation entre les pics de ventes et de nouvelles attaques contre les femmes par les demandeurs d’asile et les réfugiés.

Irish Times

 

Au niveau fédéral, il y a eu un bond impressionnant de +74% entre janvier 2016 et mai 2017 (total ~524 000 permis), motivé par le terrorisme et l'immigration : http://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/kleiner-waffenschein-mehr-als-500-000-deutsche-fuehren-schreckschusswaffen-15096962.html 

Kleiner Waffenschein: Mehr als 500.000 Deutsche führen Schreckschusswaffen

Die Zahl der Inhaber eines Kleinen Waffenscheins steigt immer weiter. Es sind schon fast doppelt so viele wie im Frühjahr 2016. Grund ist wohl steigende Verunsicherung.

 

faz.net via fdesouche

Bien des Français de France sont malheureux

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

POSTÉ LE 09 JANVIER , 2018

france,lourde fiscalité,malheureux,pauvreté

Il y a quelques jours, dans un supermarché, j’ai entendu une dame âgée disant devant un plat à 5,92 € : « C’est trop cher pour moi. » Des enseignants m’ont confié que de jeunes enfants paraissaient le matin à l’école pâles et affaiblis. Ils n’avaient pas pris de petit-déjeuner. Négligence ? Non, pauvreté. D’autres, nombreux, adultes et enfants, se nourrissent de féculents parce que ce n’est pas cher, sans parler de ceux qui « sautent un repas » parce qu’ils n’ont pas les moyens de s’en offrir deux. Comment pourrait-il en être autrement chez ceux qui, habitant en ville, ont une retraite de 600 euros par mois ?

En face de cette pauvreté que subissent dans le silence des braves gens, adultes et enfants de France, on constate le formidable gaspillage de l’argent public par les responsables qui, de pseudo-droite ou de gauche, gouvernent la France, eux, dans le plus grand confort, mettant en œuvre avec entrain la préférence étrangère.

Combien de milliards d’euros ont-ils été dilapidés en pure perte dans ce qu’on appelle la « politique de la ville », inaugurée par « Nanard » Tapie, ministre de Mitterrand. Grâce à cette politique, on a aujourd’hui 570 zones de non-droit, livrées à l’anarchie ? Combien de milliards d’euros sont-ils dilapidés dans l’octroi du droit d’asile, des soins prodigués aux 600 000 clandestins que compte la France, de l’aide à l’Afrique que Macron vient verbalement de doubler ? Plus les milliards gracieusement remis aux associations, ainsi qu’aux syndicats pour la « formation » qui forme si bien que la France entretient 6,5 millions de chômeurs, le double de la moyenne européenne, alors que les braves gens, les modestes, les silencieux, de Bourgogne, de Bretagne, du Midi, et d’ailleurs, se privent parce qu’ils n’ont pas de quoi manger à leur faim. Oui, la France en 2017 est un pays où des Français ont faim et ils ont honte de l’avouer.

Voilà ce qui se passe en France, administrée par 610 000 élus et 5,7 millions fonctionnaires, et où l’on trouve dans l’énorme administration fiscale des douzaines de directeurs aux salaires tellement exceptionnels que la Cour des comptes n’a pas pu moins faire que de les publier et de s’en étonner. Ces fonctionnaires, généralement de fervents partisans de « l’égalité sociale », ont un salaire de 16 fois le SMIC.

Ainsi la France, qui parmi tous les pays du monde impose la plus lourde fiscalité, a-t-elle aussi la gouvernance la plus hypocrite qui soit. Sa devise n’est plus : « Liberté, égalité, fraternité », mais : « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».

Le système est néanmoins solide parce que ceux qui en profitent se réservent le pouvoir politique et médiatique qui condamne tous ceux qui ne veulent penser, dire, et agir comme il faut. La presse est, en effet, comme chacun le sait, largement subventionnée par l’argent public. Les mal-pensants, et a fortiori les mal-disants, sont des blasphémateurs à exclure de la société, en les maintenant dans un état permanent d’indignité nationale. Tout ceci parce que la gouvernance française reste, à ce jour, sans le dire, fidèle au sacro-saint programme crypto-communiste du Conseil national de la résistance.

Lorsque, dans quelques décennies, notre pays sera un État en anarchie africaine et musulmane, la minorité des vrais Français aura disparu, laissant la place à la soumission pour les survivants du socialisme, de l’égalitarisme et de la misère à partager.

Est-il encore temps de mettre fin à l’œuvre destructrice de ces gens-là ?

Il serait instructif de poser la question à Emmanuel Macron qui, en guise de cadeau pour 2018, ajoutera quelques milliards d’euros supplémentaires de prélèvements obligatoires aux très nombreux milliards d’euros de prélèvements déjà acquittés par les ménages en 2017, laissant apparaître 18 milliards d’augmentation par rapport à 2016 !

On voit qu’on est loin des 60 milliards d’euros de baisse de dépenses publiques et des 20 milliards de baisse annoncée des prélèvements obligatoires.

Cerise sur le gâteau fiscal, on aura d’ici à 2022, une hausse de 172 % des taxes sur l’énergie.

Pour terminer, je dois corriger l’omission d’un mot, qui a provoqué une erreur, dans ma dernière chronique : « L’échec constant de la diplomatie occidentale depuis 20 ans. » Il est écrit dans cet article : « les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire à la modernité », il fallait lire : « Les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire et du Moyen-Âge à la modernité. » Nul n’ignore, en effet, que les origines de la civilisation occidentale se situent au Moyen-Orient, plus précisément en Mésopotamie où, 10 000 ans av. J.-C., existaient déjà des centres urbains. Les Sumériens y furent à l’origine de l’écriture et de l’architecture. Les Égyptiens y créèrent une civilisation brillante, pharaonique, hellénistique et romaine. C’est à partir du VIIe siècle que les Arabes se lancèrent au nom de Mahomet à la conquête de l’Afrique du Nord, envahissant l’Espagne, arrivant même jusqu’à Poitiers en 732 et, sur leur passage, tout fut anéanti. Aujourd’hui, ils reprennent le même combat. Tout le monde sait cela.

 

Source : les4verites

Et si l’on donnait la parole aux Français… et aux autres Occidentaux ? (XXI)

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Et si l’on donnait la parole aux Français (XVII)

Chronique de Michel Geoffroy, essayiste, contributeur régulier de Polémia.

En France, la macronmania c’est bien fini

57% des personnes interrogées se disent choquées par les mots utilisés par Emmanuel Macron, lors d’un déplacement mercredi 4 octobre 2017 à Egletons (Corrèze) (sondage Harris Interactive pour RMC et Atlantico du 5 octobre 2017).

La cote de popularité d’Emmanuel Macron s’établit à 42% des personnes interrogées, soit 20 points de moins depuis son élection en mai 2017 (baromètre BVA pour La Tribune et Orange réalisé les 24 et 25 octobre 2017).

Selon le sondage ifop réalisé du 10 au 28 novembre 2017, elle remonterait à 46% d’opinions favorables, soit toujours moins d’un Français sur deux.

Seulement 35% des personnes interrogées se déclarent satisfaites du début du quinquennat d’Emmanuel Macron, contre 59% qui s’affirment « mécontentes ». Seules 27% des personnes interrogées lui font confiance pour accroître le pouvoir d’achat et 26% pour « rassembler les Français » (sondage Harris Interactive du 2 au 3 novembre 2017).

Les Français inquiets pour leur avenir et leurs libertés

72% des internautes interrogés se déclarent inquiets quant à la sécurité de leurs données personnelles en ligne (sondage de l’institut BVA réalisé pour Le Figaro les 24 et 25 octobre 2017).

67% des personnes interrogées estiment que la liberté d’expression est menacée dans les médias traditionnels en France et 67% pensent qu’elle est menacée dans la société en général (sondage IFOP Fiducial, pour CNews et Sud Radio, des 19 et 20 décembre 2017).

76% des personnes interrogées jugent la société française comme inégalitaire, 22% affirmant même qu’elle est « très inégalitaire », tandis que 20% seulement considèrent qu’elle est au contraire « égalitaire ». Les inégalités perçues comme les plus graves concernent l’accès aux soins (57%), l’emploi (53%), le logement (46%), l’éducation (32%) (étude PEP/Kantar réalisée du 9 au 23 octobre 2017).

63% des personnes interrogées estiment que leur avenir personnel est aujourd’hui « bouché » (sondage Ipsos du 10 au 17 octobre 2017).

Les Occidentaux contre le multiculturalisme

50% des Australiens interrogés sont d’accord pour dire « qu’ils se sentent parfois dans un pays étranger ». 74% des personnes interrogées pensent que l’Australie n’a pas besoin de plus de personnes. 54% veulent un arrêt de l’immigration, tandis que 55% sont d’accord pour dire que l’Australie « risquait de perdre sa culture et son identité » (sondage TAPRI réalisé du 31 juillet au 17 août 2017).

55% des Américains blancs interrogés pensent que « la discrimination contre les personnes blanches existe aux Etats-Unis aujourd’hui » (sondage NPR/Robert Wood Johnson Foundation/Harvard T.H. Chan école de santé publique, du 26 janvier au 9 avril 2017).

90% des 18-24 ans en Hongrie comptent voter pour des partis anti-immigration aux prochaines élections (sondage Europe Elects du 2 au 15 novembre 2017).

57% des personnes interrogées sont hostiles à la construction de nouvelles mosquées en France et 79% sont opposées à l’autorisation du burkini sur les plages (sondage Ipsos du 10 au 17 octobre 2017).

Michel Geoffroy
22/12/217

 

Source : polemia

Annulation de la circulaire qui demandait aux hôpitaux psychiatriques de dénoncer leurs patients sans-papiers

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, avait demandé à l'ARS de Paca de retirer sa lettre directive.
Révoltés par une circulaire de l’Agence de santé régionale de Paca demandant aux hôpitaux psychiatriques de participer à l’expulsion de leurs patients sans-papiers, les syndicats du secteur viennent d’obtenir son annulation.

Les sans-papiers traqués jusque dans leur lit d’hôpital. Une circulaire, émise par l’Agence régionale de santé (ARS) de Provence-Alpes-Côte-d’Azur le 7 décembre dernier, sollicitait les directeurs d’hôpitaux psychiatriques du sud de la France pour obtenir leur appui dans l’expulsion de certains patients en situation irrégulière. Après la fronde des deux principaux syndicats de psychiatrie, jugeant ces consignes "inacceptables", la voici finalement "annulée" ce vendredi 5 janvier, selon les informations de LCI.

Obligation de quitter le territoire à faire signer au patient

Une annulation obtenue en partie grâce au soutien de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Alertée par les syndicats, celle-ci a désavoué jeudi 4 janvier l’ARS en lui demandant de retirer sur-le-champ la lettre directive. Jugeant là "une initiative malheureuse", d’après les propos de son entourage rapportés par la chaîne d’information.

Dans son courrier adressé aux hôpitaux, l’Agence justifiait son initiative par l’objectif de "prévenir l’ordre public". Elle précise que "le suivi des hospitalisations sans consentement fait l’objet d’une attention particulière de la part des autorités préfectorales", alors elle poursuit : "Dans la mesure où ces patients sont pris en charge par vos équipes, je vous informe que mes services vous communiqueront en même temps l’arrêté préfectoral de levée des soins sans consentement, la décision de l’obligation de quitter le territoire ainsi qu’une notification à faire signer par le patient."

En d’autres termes, il revenait donc aux professionnels de santé de faire signer à leurs patients leur obligation de quitter le territoire avant de la transmettre aux services compétents, comme indiqué à la suite du courrier.

"Collusion regrettable"

"Notre rôle est de soigner, non pas de regarder les papiers", peste le docteur Alain Mercuel auprès de Libération, président de la commission médicale d’établissement de l’hôpital Sainte Anne de Paris. Un avis partagé par l’Union syndicale de la psychiatrie (USP) et le Syndicat des psychiatres des hôpitaux (SPH).

Dans un communiqué publié le 29 décembre dernier, les deux organisations s’inquiétaient d’une "collusion regrettable entre des agences chargées de la santé et des décisions de police intérieure." Selon elles, "la consigne donnée aux personnels soignants (est) de devenir des agents administratifs pour le compte du ministère de l’Intérieur". Et d’avertir : "Nous n’avons pas l’intention de collaborer à de tels mélanges des genres." Avec la suppression de cette circulaire, ce bras de fer a son vainqueur.

 

Source : marianne

Les enfants gâtés

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2018

 

Dans l’univers du spectacle en général, celui de la télé et du cinéma en particulier ou dans le monde du football, les enfants gâtés pullulent. Quelques-uns sont “fils ou fille de”. Après tout, ce n’est pas une tare, notamment quand certains d’entre eux révèlent un réel talent. Cela dit, c’est assez facile d’être un honnête bateleur, quand on se sent protégé et que l’on sait que son patronyme va rassurer les producteurs. Pour les autres, n’ayant aucune disposition particulière, l’ascension sociale se fera tout de même sans encombre : les relations, ça aide ! Tant mieux pour eux. Et si la plupart gagnent beaucoup d’argent en s’amusant, il n’y a là rien de répréhensible. Par contre ce qui est moins sympathique, ce sont leurs déclarations intempestives que le système utilise comme si elles étaient des vérités incontestables. Surtout, le plus déplaisant, c’est quand ces enfants gâtés deviennent méprisants et pontifiants, alors qu’ils ne sont que des clowns, et qu’ils se prêtent au jeu en finissant par croire, eux-mêmes, qu’ils sont les nouveaux philosophes des temps modernes. Plutôt que de donner des leçons de savoir-vivre à tous ceux qui sont les véritables piliers économiques et culturels du pays, qui triment chaque jour pour que la France reste un pays où il fait bon vivre, ils feraient mieux de se taire. Et quand ils insultent des policiers, en les traitant de “bâtards”, quelles que soient les circonstances, là, on frise l’indécence. Car, on connaît l’habituelle compassion des “fils et filles de”, envers les nouveaux “damnés de la terre”, délinquants en tous genres et autres dealers des cités, pauvres “victimes des brutalités policières”…

Dans le monde du football, les enfants gâtés sont rarement des héritiers. Tout au moins, ceux qui sont sur le terrain. Il faut reconnaître que ceux-là transpirent toutes les sueurs de leur corps, pour arriver au sommet d’une carrière. Mais là où ça dérape, c’est justement quand ils y arrivent. Beaucoup, n’ayant aucune éducation et un pois chiche à la place de la cervelle, se muent, très vite, en véritables vauriens capricieux et insolents. Le plus souvent vulgaires et incultes, ne sachant pas prononcer un seul mot en bon français, crachant sur la France à tout-va, ils sont présentés comme des exemples de réussite sociale. Idoles de toute une jeunesse décérébrée qui rêve de devenir célèbre à tout prix, le système ne se prive pas pour porter au pinacle leurs moindres faits et gestes. Bel exemple !

 

Les enfants gâtés aux patronymes prestigieux sont une aubaine pour le néolibéralisme, uniquement préoccupé par la rentabilité immédiate ; la reproduction sociale des élites est plus efficiente que la méritocratie qui mettra trop de temps à porter ses fruits. Pour cela, la consolidation des dynasties est assurée par une savante mise en place de l’entre-soi dès l’école (privée) où se retrouvent tous les enfants de la crème du monde artistique, économique et politique. Et les liens se créeront très vite, naturellement, pour tenir, plus tard, le haut du pavé ! Cela est particulièrement vrai dans le microcosme du cinéma : on ne compte plus les enfants issus de professionnels du spectacle qui ont été consacrés par un César… sans réelle justification. Et qui leur permet de faire des carrières fructueuses. Facilement. Comme il leur est facile de passer pour un bon comédien, devant une caméra, après quinze prises de vue et si le metteur en scène est un peu compétent. Bien sûr, quand on a une solide formation d’acteur, c’est mieux – pour le spectateur – mais ce n’est pas indispensable. Au théâtre, c’est une autre paire de manches. Tous les acteurs connaissent la différence : il vaut mieux éviter, devant les spectateurs, de redire, en rigolant, une réplique ratée. Ici, la désinvolture de l’enfant gâté n’est pas de mise.

Dans le monde économique où la méritocratie est particulièrement en panne, c’est un ancien dirigeant du CNPF (ancien MEDEF) Yvon Gattaz qui, en paraphrasant Marcel Achard, a eu un trait d’humour qui résume bien la condition de cette société élitiste : “Pour la succession des entreprises familiales, les patrons se partagent en deux catégories : ceux qui croient que le génie est héréditaire et ceux qui n’ont pas d’enfants”. Quel que soit le domaine, le génie n’est jamais héréditaire. Mais si l’héritier n’est pas génial, c’est un moindre mal, s’il assume, plutôt bien, son job. Sinon qu’il se taise ! Tout au moins sur la manière d’exercer un métier, mal payé, à ceux qui n’en rigolent pas tous les jours.

 

Source : ndf