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vendredi, 22 décembre 2017

A la Légion étrangère, gare à celui qui voudrait faire disparaître les crèches de Noël !

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2017

   20 décembre 2017

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Malgré les controverses entretenues par quelques ayatollahs de la laïcité, il subsiste au moins un endroit où la crèche de Noël fait l’unanimité. C’est au sein de la Légion étrangère !

La Légion étrangère accueille pourtant des hommes de nations et de croyances différentes. Mais tous prennent un véritable plaisir à se retrouver autour des crèches de Noël qui, dans chaque régiment, font l’objet d’un concours. Chrétiens ou non, les légionnaires ne se font pas prier pour participer à la confection de ces crèches de Noël.

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La Légion étrangère est une famille et les crèches de Noël font partie de ses traditions. « Sur une caisse de munitions, sous un arbre du voyageur, à l’abri d’une dune, ou dans les caves du régiment… » Bien fou celui qui voudrait y mettre fin !

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Source : medias-presse.info

 

jeudi, 21 décembre 2017

Voyagez low cost avec Edouard Philippe !

Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2017

Rédigé par notre équipe le 20 décembre 2017

 

Les Premiers ministres se suivent et se ressemblent étrangement dès lors qu’il s’agit de dilapider l’argent public. Edouard Philippe vient de réaliser un coup de maître avec un vol Tokyo-Paris, début décembre, qui aura coûté la modique somme de 350 000 euros. Le Premier ministre a gagné en confort et est rentré deux heures plus tôt à Paris. La République peut se réjouir même si le contribuable, lui, risque d’être un peu moins enthousiaste.  

Une fois au pouvoir, c’est buffet à volonté ! Et un buffet luxueux s’il vous plaît ! Edouard Philippe, Premier ministre inutile n’est pas un grand amateur de mets délicats et hors de prix au regard de son physique longiligne. Son péché mignon est autrement plus inquiétant (et coûteux) ! Monsieur aime les avions de luxe. Le genre d’appareil que louent les millionnaires sur un coup de tête en embarquant toute leur suite. Edouard Philippe a pris des réflexes de divas friquées, car à son retour de Nouvelle-Calédonie début décembre, il a tout bonnement quitté l’A340 affrété par l’Armée de l’air pour s’installer dans le très luxueux appareil de la compagnie Aero Vision.

Pourquoi se priver ? Ce sont les Français qui paient !

Ce nom ne vous dit rien ? Pas étonnant ! Aero Vision s’adresse aux ultra-riches qui peuvent céder à tous les caprices que la vie place sur leur chemin. Ainsi, Edouard Philippe et une bonne partie de sa délégation a fui comme la peste l’avion confortable de l’armée pour aller se prélasser dans un luxe aussi malsain que déplacé. Il en aura coûté la bagatelle de 350 000 euros. Pas de souci, ce sont les Français qui paient ! Et ils paient cher, car l’A340 de l’armée pris entre la Nouvelle-Calédonie et Tokyo par le Premier ministre a dû logiquement regagner Paris. Ce sont donc deux avions qui ont été mobilisés et qui pèsent sur les finances publiques.

Ce genre de scandale aurait déboulonné le politicien le plus accroché au pouvoir dans une démocratie réelle, mais pas en France. Edouard Philippe intervient au micro de RTL et assure très tranquillement qu’il « assume complètement » cette affaire et avance des justifications qui donnent la nausée aux malheureux auditeurs. « Cet avion, assez ancien et sans sièges business, ne sert pas en temps normal à transporter ni des autorités militaires ni des membres du gouvernement en long courrier et de nuit ». Pas de siège business ! Le vol vers le Japon a dû être extrêmement traumatisant. Edouard Philippe ferait bien de demander un dédommagement pour le préjudice subi !

C’est ainsi que 350 000 euros ont été dilapidés pour que Monsieur Philippe et sa cour composée d’une soixantaine de personnes puissent rejoindre Paris sans avoir trop les jambes et le dos courbaturés. L’histoire retiendra que l’A340 de l’armée est arrivé à Paris deux heures après l’avion de luxe de Philippe. Deux heures qui justifient aussi ce coût faramineux. Pendant ce laps de temps, le Premier ministre a certainement pu déjouer une demi-douzaine d’attentats et pris des décisions qui vont faire de la France le phare du monde au XXIe siècle.

Et pour enfoncer le clou et un Manuel Valls qui pensait copiner avec le Gouvernement, Edouard Philippe balance que son trajet a été 30 % moins cher que celui de l’ancien Premier ministre socialiste lorsqu’il s’était rendu en Nouvelle-Calédonie en 2017. Le Catalan a peu apprécié la comparaison et a fait savoir que son voyage avait inclus des passages rapides en Nouvelle-Zélande et en Australie. Deux vols de plus donc pour expliquer cette différence de 30 %. Espérons qu’Edouard Philippe soit solidement ancré dans le sol de France à partir de maintenant, car à ce rythme les milliards vont voler et ne redescendront pas dans le budget de l’Etat. A moins qu’une nouvelle taxe destinée à financer les voyages de luxe de sa seigneurie de Matignon ne soit prochainement votée…

 

Source : 24heuresactu

A l’heure des polémiques sur les crèches

Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2017

Journal de Tintin de décembre 1948

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Journal de Tintin de décembre 1954 

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Source : contre-info

CARL LANG UN CHEMIN DE RÉSISTANCE

Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2017

jeudi 21 décembre 2017par Pierre Picace

Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, tel pourrait être le sous-titre du livre d’entretiens entre Carl Lang, Président du Parti de la France (PdF) et Jean-François Touzé. L’ex secrétaire général du Front national, qui a pris dès 2008 ses distances avec Marine Le Pen, y expose le sens de son engagement. Il y affirme qu’il est possible de faire renaître une véritable Droite nationale, sociale, populaire, identitaire et européenne capable de défendre la France et ses valeurs de civilisation, sans en dissimuler la difficulté, tant l’omniprésence du FN dans les médias et l’opinion occulte tout autre message.

En prenant la tête du Front national, Marine Le Pen ambitionnait d’en faire un instrument pour sa conquête du pouvoir. On allait voir, ce qu’on allait voir ! Dehors les vieilles badernes, à commencer par son vieux père de Président d’Honneur, qui selon elle, prenait un malin plaisir à freiner son ascension grandiose. Las, trois fois hélas, que reste-t-il, six ans après de ce « désir d’avenir ». Peu de chose en vérité. Un groupe de parlementaires européens qui se délite au gré des ambitions des uns et des autres (Le point d’orgue pourrait être atteint, si d’aventure les députés du FPÖ décidaient, dans un souci de respectabilité, à quitter le groupe l’Europe des nations et des liberté après son entrée dans le gouvernement autrichien.).
Un tiers des personnes élues aux municipales et régionales ont déjà mis les pouces ou scissionné mettant à mal la fameuse implantation synonyme, selon Marine Le Pen et son ex bras droit Philippot, de la professionnalisation du parti. A l’Assemblée, celle qui se voulait la principale opposante au macronisme en est encore à chercher sa place, si jamais, elle la trouve.
Ne parlons même pas des affaires judiciaires, elles sont si nombreuses et variées, que même le Petit Poucet en perdrait son chemin. Quant aux finances : le congrès dit de la refondation et du changement de nom, il s’apparente plutôt à celui de la dernière chance avant le dépôt de bilan. La disparition du néo-FN, maintenant que Marine le Pen sait qu’elle ne sera jamais Présidente de la République, serait la meilleure des choses qui puisse arriver à la Droite national, si elle veut se relever du champs de ruines idéologiques où l’a laissée l’expérience Marine le Pen/Philippot. Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, c’est en quelque sorte le message que porte ce livre d’entretiens.

UN CHEMIN DE RÉSISTANCE
Carl Lang
190 pages
20,00 € (+ 4,00 € de port)
Cahier photo
Les Bouquins de Synthèse nationale
ISBN 978-2-36798-043-0

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Source : national-hebdo

mercredi, 20 décembre 2017

Loin des banlieues explosives, la misère invisible des villages français

Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2017

Par  le 19/12/2017

Une sociologue auvergnate dresse un portrait vertigineux de la pauvreté dans le monde rural français

Loin de la misère souvent explosive des banlieues françaises, la pauvreté des campagnes est une réalité plus silencieuse, invisible. C’est toute l’utilité du travail d’Agnès Roche, sociologue à l’Université de Clermont Auvergne et que Le Temps a rencontrée, de mettre des mots sur ces «vies de pauvres» du monde rural, ces «sans-dents» moqués par François Hollande.

 

Si cette pauvreté rurale trouve en partie son terreau dans la crise agricole, elle frappe aussi les jeunes des classes populaires – en France, la moitié des pauvres ont moins de 30 ans. Comme Julie et Simon, 23 et 20 ans qui vivent en couple dans un village du Puy-de-Dôme et dont la sociologue raconte l’histoire de vie. Simon a été bûcheron, mais se retrouve déjà en arrêt avec le dos en miettes: il refuse de travailler «dans un clapier» devant un ordinateur. «La priorité pour l’instant, c’est de manger à peu près à notre faim, le reste passe après…» Le tabac est le seul luxe du jeune couple: «Quand tu fumes, tu ne penses pas: «Putain, je suis dans la merde.»

Pour survivre, «c’est ici le règne de la débrouille» pour tous. Des missions d’intérim, de l’aide à domicile, des petits trafics, de la cueillette des champignons. «A l’année, on en fait pour 500 euros, c’est toujours cela.» Au fil des pages, ce sentiment de «clôture terrible et de soumission des destins» frappe le lecteur. Malgré quelques petits miracles: mère à 17 ans, Corinne et son compagnon Gérard se sont rencontrés dans la rue. Après des années de galère et un coup de pouce du destin – l’équivalent de 10 000 francs suisses gagnés au loto –, le couple a trouvé un équilibre fragile «dans leur petit cocon» à la campagne avec leurs six enfants. Corinne cultive un potager et élève des volailles: «Mon chemin, pour moi, c’est ma fierté.»

 

Le Temps via fdesouche