Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 23 décembre 2017

LE GRAIN DE SEL DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2017

Le grain de sel de Jean-Claude ROLINAT

Attendue, espérée, la clarification de la situation politique par les urnes en Catalogne a  tourné au cauchemar au soir du jeudi 21 décembre 2017. La vox populi a offert à la Catalogne  et à l’Espagne la pire des situations ! Si les partis hostiles à l’indépendance sont majoritaires en voix,près de 52 %, ils sont minoritaires en sièges au Parlement local de Barcelone. Une solution, provisoire,schizophrénique ! 

Examinons de plus près les résultats des uns et des autres. Les séparatistes, qui retrouvent quasiment leur dernier score avec 47,6 % des 82 % de votants, obtiennent 70 des 135 sièges du Parlement régional, soit deux de plus que la majorité absolue, mais deux de moins qu’en 2015. Ils posent un défi majeur à l’Espagne et affrontent, une fois de plus, Mr Mariano Rajoy, chef du gouvernement central de Madrid et administrateur, provisoire, de la Généralité. Au sein de cette coalition indépendantiste, les électeurs ont placé en tête avec 34 députés, la liste  « Ensemble pour la Catalogne », celle justement de Carles Puigdement, le Président destitué qui vient d’être réélu député. « L’Etat espagnol a été vaincu. Rajoy et ses alliés ont perdu le plébiscite qu’ils cherchaient », a-t-il déclaré depuis Bruxelles où il est exilé. 

Une opposition majoritaire en voix, minoritaire en sièges 

Le camp unioniste est dispersé. Le Parti populaire du Premier ministre espagnol subit une « raclée » majeure en ne retrouvant que trois fauteuils de parlementaires sur les huit sortants. PODEM, « Catalogne en commun », le parti de la maire de Barcelone, la gauchiste Ada Colau, qui est favorable à un référendum d’autodétermination mais hostile à l’indépendance, a obtenu huit sièges. En revanche, le jeune parti CIUDADANOS emmené par la brune Ines Arrimadas ,caracole en tête des opposants à la sécession avec 25 % des voix et 37 députés. Mais, même en ajoutant les sièges de tous ces mouvements, ils n’en  cumulent que 57. C’est la quadrature du cercle….  

Fracturée, la Catalogne sera difficilement gouvernable 

Sur le papier, il y a une majorité. Conduite par qui ? Le leader sortant, Puigdemont, est toujours poursuivi pour «  rébellion, sédition et malversation de fonds publics » pour avoir organisé un référendum illégal. Son Vice-président issu de la gauche radicale, qui vient d’être comme lui réélu, est toujours sous les verrous. Il avait mené campagne depuis sa cellule grâce aux….tweets ! Au moment où ces lignes sont écrites, Rajoy et Puigdement, séparément bien sûr, vont s’exprimer. L’enjeu est énorme, et aucun des deux ne veut et ne peut perdre la face. Il n’y a plus, désormais, d’alternative : il faut, une fois pour toutes, trancher dans le vif. La seule solution réside désormais, selon nous, dans l’organisation légale d’un référendum constitutionnel sur, effectivement, oui ou non, la séparation de la Catalogne d’avec l’Espagne. Ceux qui ont joué avec le feu, qui bénéficient, encore, d’un injuste découpage électoral favorisant la province contre Barcelone, la ruralité contre les villes catalanes à l’exception de Gérone, fief de Puigdemont, en seront pour leurs frais : il n’y a pas, « aujourd’hui et maintenant », de majorité pour l’indépendance. 

Les indépendantistes Corses comme ceux du FLNKS auraient tort de se réjouir prématurément 

On sait que le dimanche 3 décembre, les électeurs corses ont voté majoritairement pour la liste coagulant autonomistes et indépendantistes, enfin ceux qui se sont déplacés, car un inscrit sur deux n’a pas voté ! Alors, Messieurs  Siméoni et Talamoni, les deux Présidents sortants de l’exécutif et du « législatif » corses, peuvent bien pérorer, se réjouir, se congratuler, se féliciter de leur performance, « à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». La seule satisfaction que l’on puisse ressentir à l’issue de ce scrutin marqué par un recul considérable du Front National qui, avec 3 % des suffrages, n’obtient aucun siège, - alors que sa Présidente avait été en tête lors de l’élection présidentielle du printemps dernier-,c’est que les institutions politico-administratives de la collectivité territoriale corse sont simplifiées. En effet,départements et région fusionnant, leurs compétences s’additionnent. 

En Nouvelle-Calédonie, le Premier ministre Edouard Philippe a fait la « tournée des popotes ». En 2018 , l’île et ses dépendances se prononceront sur leur maintien ou non au sein de la République française. Si la question était clairement posée, il ne fait aucun doute que les électeurs, toutes ethnies confondues, voteraient contre l’indépendance. Mais la question posée n’est pas encore rédigée et tout dépendra des options présentées au peuple géographiquement mêlé, des Canaques, des « caldoches », des Wallisiens et autres indonésiens. Dans les deux cas touchant la plus proche commela plus éloignée de nos îles, l’intégrité de notre territoire est menacée. Nous ne ne pourrons pas plaire à tout le monde. Quand je dis « nous », ce sont les patriotes, ce sont les Français attaché à l’unité de leur pays, qu’il soit continental ou… « exotique ». Mais les réalités historiques comme géographiques nous commandent d’être pragmatiques. On ne gouverne pas des îles comme la Seine-et-Marne ou le Loir-et-Cher ! Il y a dans ces zones aux caractères culturels bien trempés, parfois, opposés, des spécifiés dont il faut, nécessairement, tenir compte. Justement, l’autonomie, l’autogouvernement pour les questions qui ne relèvent pas du domaine régalien, offrent des solutions susceptibles de contenter tout le monde : ceux qui veulent que l’unité nationale soit respectée et, « en même temps » comme dirait Emmanuel Macron, ceux qui veulent «  de l’air » pour régler localement leurs affaires administratives, économiques et politiques. De plus, rien n’empêcherait, sous réserve de modification institutionnelle, que ces possessions insulairespuissent directement coopérer avec leurs voisins dans un dialogue régional fructueux : Cagliari n’est pas loin d’Ajaccio, Nouméa n’est pas très éloignée de Port Vila ! C’est tout le mal que l’on peut souhaiter à ces deux perles du collier français ! 

Jean-Claude ROLINAT 

vendredi, 22 décembre 2017

Assistants parlementaires du FN : Louis Aliot mis en examen pour « abus de confiance »

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2014

 

Après le Front national, puis Marine Le Pen, c’est au tour du vice-président du parti d’être mis examen dans l’affaire des assistants parlementaires européens.

 Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
Louis Aliot, le 21 juin à Paris.Louis Aliot, le 21 juin à Paris. THOMAS SAMSON / AFP

Après le Front national (FN), puis sa présidente Marine Le Pen, c’est au tour de Louis Aliot, vice président du parti d’extrême droite d’être mis examen pour « abus de confiance » dans l’affaire des assistants parlementaires européens, a appris l’Agence France-Presse, vendredi 22 décembre, de source judiciaire.

 Lire aussi :   Assistants parlementaires : le Front national mis en examen

Le député des Pyrénées-Orientales a été interrogé pour la première fois par un juge du pôle financier, au sujet de l’emploi, de juillet 2014 à fin février 2015, de son ex-assistant parlementaire Laurent Salles, déjà mis en examen pour « recel d’abus de confiance »Sur son compte Twitter, M. Aliot a réagi peu de temps après.

« La justice politique de mon pays vient de déposer au pied du sapin un petit cadeau de Noël. Malgré cette attention et la violation du secret de l’instruction, je continuerai à défendre ma liberté et l’indépendance des députés conformément à la séparation des pouvoirs. »

La justice soupçonne le FN d’avoir organisé un système sophistiqué pour financer ses activités politiques sur les fonds du Parlement européen normalement réservés à la rémunération des collaborateurs parlementaires.

Lire aussi :   Comprendre l’affaire des assistants parlementaires du FN

Préjudice de 5 millions d’euros

Les députés européens du Front national ont employé, comme le leur permettent les règles européennes, une soixantaine d’assistants parlementaires pour les aider dans leur mandat depuis leur élection en 2014. Ceux-ci étaient directement payés par le Parlement, dans la limite d’une enveloppe globale d’environ 24 000 euros par député.

En 2015, les instances dirigeantes du Parlement ont émis des doutes sur la réalité du travail de 29 de ces assistants parlementaires : occupant par ailleurs des postes stratégiques au sein du FN ou directement auprès de Marine Le Pen, ceux-ci n’auraient été embauchés au Parlement européen que pour en percevoir les indemnités, en travaillant pour le FN plutôt que sur les dossiers européens. Le Parlement européen estime à près de 5 millions d’euros le préjudice potentiel qu’il a subi.

 

Source : lemonde.fr

UNE CHRONIQUEUSE DE NRJ12 EN PLEINE TOURMENTE CAR ELLE EST HOSTILE À L'AVORTEMENT

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2017

"Crapules", "déchets de l'humanité", "cas irrattrapables"... Maeva Anissa s'est emportée mercredi sur Twitter après les critiques virulentes dont elle a fait l'objet. En cause : un message polémique de la chroniqueuse de l'émission Le Mad Mag diffusée sur NRJ12 remettant en cause l'avortement. "Je veux pas casser le délire de certaines filles mais vu comme ça même à 2 mois ça craint d'avorter", a écrit la jeune femme sur le réseau social en postant une photo représentant le corps d'une femme et un foetus au cours des neuf mois de grossesse.


Une chroniqueuse de NRJ12 en pleine tourmente car elle est hostile à l'avortement

Notamment interpellée par Gilles Clavreul, chargé de mission auprès du secrétaire général du ministère de l'intérieur, Maeva Anissa a tenté de se justifier avec des explications pour le moins étonnantes. "Hey j'ai le droit d'avoir un avis ? Une vie ? Une liberté sans que des matons du net viennent me casser la tête ???? MOI JE CONNAIS DES FILLES QUI AVORTENT 5 fois par mois !!!!!", a-t-elle posté, répétant que "l'avortement n'était pas une contraception"

Source : http://telestar.fr 

Allemagne: une école déplace la fête de Noël suite aux plaintes d’une élève musulmane qui protestait contre les chants chrétiens

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2017

islam

Suite à la plainte d'une étudiante musulmane, la fête de Noël a été annulée au Gymnase de Lüneburg Johanneum durant les cours. Comme le rapporte le site NDR, la fille s'était déjà plainte l'année dernière de la célébration obligatoire, parce que les chants chrétiens de Noël ne sont pas compatibles avec sa religion.

Par conséquent, la direction de l'école a décidé cette année de reporter la célébration à l'après-midi et de le faire savoir aux élèves qui aimeraient y assister.

**********

Il faut se frotter les yeux pour bien comprendre ce que fdesouche.com nous a donné à lire hier :

« Lüneburg, Allemagne : le lycée […] Johanneum a décidé d’annuler la traditionnelle fête de Noël, suite aux plaintes d’une élève musulmane. Cette élève a prétexté que les chants chrétiens entonnés pour l’occasion ne sont pas compatibles avec sa religion. »

 

Ce n’est pas un bobard puisque l’information provient d’un média allemand. Ce qui est tout à fait intéressant c’est que ce lycée, dont l’origine remonte à plus de six siècles, compte 1 100 élèves. Contrairement à la doxa démocratique qui veut que tout se décide à la majorité, on observe dans cette grotesque affaire qu’une seule voix l’emporte sur 1 099. La démocratie ne cessera décidément jamais de me surprendre. On peut admettre qu’une jeune fille musulmane estime que des chants chrétiens entonnés pour une fête de Noël, ne soient pas compatibles avec sa religion mais 1. rien ne l’oblige à les écouter : ce n’est pas une “matière” obligatoire ; 2. rien ne lui interdit de changer d’établissement ; 3. et si elle n’en trouve pas un à son goût en Allemagne, personne ne l’empêchera d’aller faire poursuivre études dans un autre pays : je peux lui fournir des adresses si elle n’en dispose pas. Ce qui n’est pas admissible, par contre, c’est que le Johanneum ait décidé d’annuler cette fête de Noël. On savait que l’Allemagne était en pleine crise de dhimmitude. Cette affaire nous en fournit un nouvel exemple…

N-TV.de via Fdesouche et Christianophobie.fr

Italie : « augmentation de 500% des arrivées de migrants en Sardaigne, les gens n’en peuvent plus »

Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2017

Par  le 21/12/2017 

Le député du parti de droite FdI, Bruno Murgia, dément les données du ministre Minniti sur les débarquements: « le flux migratoire de l’Algérie vers la Sardaigne a augmenté de 500% en deux ans, un fardeau que les Sardes ne peuvent plus supporter ».

Le gouvernement crie victoire pour la réduction des débarquements de migrants mais ce n’est pas l’ensemble de l’Italie qui s’en réjouis. En effet, en Sardaigne, les arrivées en provenance d’Algérie augmentent fortement. Cela a été confirmé par le ministre de l’Intérieur, Marco Minniti, lui-même, répondant à une question présentée à la Chambre par le groupe des Frères d’Italie.

En 2017, près de 2000 débarquements d’Algériens ont été enregistrés sur les côtes sardes. L’année précédente avait été de 1225, tandis qu’en 2015, 343.

Selon Minniti, «de janvier 2017 à aujourd’hui, le flux général par mer a enregistré une baisse globale de plus de 33% par rapport à 2016» . Le ministre de l’Intérieur a répondu au député sarde FdI, Bruno Murgia qui, dans une note, déclare: « Le flux de migration de l’Algérie vers la Sardaigne a augmenté de 500% en deux ans, autre qu’une diminution générale d’un poids qui les Sardes ne peuvent pas soutenir et difficile à intégrer mais que le gouvernement persiste à ne pas s’opposer et à minimiser « .

Selon Murgia, deux mille Algériens en un an sont « un flux énorme et insoutenable » pour la Sardaigne « qui subit déjà une profonde crise démographique ». « Les rapports montrent comment il est possible d’infiltrer ces flux de migrants par des éléments djihadistes »

Il Giornale via fdesouche