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jeudi, 20 juillet 2017

Macron veut la peau de l’armée française

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

Rédigé par notre équipe le 20 juillet 2017

 

Les lecteurs de 24heures actu le savent, Emmanuel Macron est un mondialiste hystérique qui s’applique depuis qu’on lui a donné une parcelle de pouvoir à saccager tout ce qui est (trop) français. Le pays qu’il dirige désormais lui inspire du dégoût et il compte bien mettre à genoux les rares institutions qui ne se sont pas complètement écroulées. L’armée française est dans le viseur et les tensions qui se sont soldées par la démission du général Pierre de Villiers sonnent le début de l’hallali pour une armée haïe des politiques.

Comme tous les hommes politiques, Macron s’est fait élire sur des promesses qu’il n’a jamais envisagé de mettre en œuvre. Seuls les tollés provoqués par des revirements et la crainte de voir son image écornée dans les médias et les sondages permettent de réduire le rythme de l’échouage du bateau France. Mais s’il existe bien un domaine dans lequel le chef de l’Etat n’a aucun risque de rébellion et donc de polémique dangereuse pour son statut jupitérien, c’est bien l’armée. Aïe ! La réalité fut tout autre et Macron a encore une fois étalé en place publique ses intentions hostiles envers tout ce qui est trop français.

Asphyxier l’armée pour mieux achever la France

En page 8 du programme du candidat Macron on peut lire : « Nous augmenterons les moyens de nos armées. Nous mobiliserons 2% du PIB qui serviront à renouveler les avions ravitailleurs,
à moderniser les blindés de l’armée de terre, ainsi que la flotte de surface de notre marine nationale ». Une mesure pour le moins salutaire, car l’armée est devenu le jouet préféré des socialistes qui l’ont envoyé partout ou presque sans pour autant pouvoir bénéficier des moyens nécessaires pour assurer ses missions. Sauf qu’en plus d’être un menteur, Macron est un traître, car non content d’avoir promis un budget en hausse, il s’est amusé à annoncer la veille du 14 juillet que le budget consacré à la Défense ferait l’objet d’une baisse de près d’un milliard d’euros dès cette année.

La sécurité des soldats n’est pas une priorité et celle des Français encore moins. L’armée ce n’est pas assez l’esprit start-up et pas assez glamour pour le couple présidentiel. Il faut en plus trouver de l’argent pour la Première dame et son cabinet qui auront pour charge d’aider une presse déjà ventre à terre à produire de beaux articles. Ça coûte cher ! Alors il faut procéder à des coupes sombres et c’est l’armée qui trinque. Déjà branlante, la Défense est tout simplement asphyxiée par cette baisse de près d’un milliard d’euros et le gel de 2,7 milliards de crédits.

Cet assassinat aurait dû se passer dans le silence et l’indifférence générale sauf qu’un homme, Pierre de Villiers, chef d’Etat-major des armées, a fait part aux parlementaires de son effroi face à une mesure dont l’objectif est particulièrement malsain. Des propos qui auraient dû rester confidentiels et qui ont pourtant fuité… Ni une ni deux, Macron joue au généralissime et se place une couronne sur la tête pour bien montrer que les soldats qui donnent leur vie pour la France ne sont rien d’autres que des pions prêts à être sacrifiés selon ses intérêts et son humeur.

L’honneur d’un homme – le déshonneur d’un président

Après plusieurs jours pendant lesquels Macron s’est excité tout seul – le général de Villiers étant astreint à un devoir de réserve – il a finalement obtenu la démission de celui qui ne voulait pas cautionner la mise à mort de l’armée. Le désormais ex-chef d’Etat-major parlera-t-il publiquement après son départ ? Il est probable que non, car c’est un homme d’honneur qui respecte les règles d’une institution en danger de mort. Le plus scabreux et que son successeur, le général François Lecointre est désigné comme un « héros de guerre ». Une manière de dire que le général de Villiers est un planqué qui n’a jamais connu le front. Après avoir tué un homme et l’institution qu’il représente, on le salit. Macron n’est décidément pas le gentil entrepreneur décrit par les médias…

Le chef de l’Etat est peut-être un entrepreneur, mais celui en charge de la destruction de la France. L’armée ne doit être plus qu’un lointain souvenir et le 14 juillet sera bientôt célébré par une descente des Champs-Elysées des chars de la Gay Pride et des immigrés sous des airs technos. L’armée doit mourir car elle est encore trop française. Il faut la fondre dans un grand n’importe quoi européen et si les coupes sombres ne suffisent pas, Macron s’appuiera sur des scandales (réels ou fabriqués) pour faire de l’armée un ramassis de tueurs et de violeurs aux yeux des Français. Tout est possible, ils ont bien voté Macron après avoir envoyé Hollande à l’Elysée…

 

Source : 24heuresactu

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

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LES CAPRICES D’UN ENFANT GÂTÉ 
Emmanuel est brillant. Fils de bonne famille, un profil de premier de la classe, collectionneur de diplômes, crâne d’œuf et énarque pour tout dire, - pléonasme ? - , il a également accompli l’exploit très original d’épouser sa maitresse… d’école ! Parvenu au fait des honneurs, il compose avec elle un couple atypique mais très, disons, très « glamour », tout à la fois « chic » et décontracté, celui qui plait aux revues en papier glacé et stupéfie les capitales étrangères : Paris, décidément, sera toujours Paris ! 


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Un horizon dégagé 
Depuis son étonnante  élection à la magistrature suprême, tout semblait marcher sur des roulettes pour le jeune Emmanuel : pas de troubles à l’horizon,  pas d’attentat majeur, des banlieues calmes en apparence, une majorité parlementaire pléthorique, une opposition anéantie et un Front National déconsidéré. Et puis, l’horizon des vacances anesthésie toute velléité de rébellion…  Merkel, Poutine, Trump, Netanyahou, tous dans la poche à grands  coups de claques amicales dans le dos et de grands sourires enjôleurs, le tout  maquillant  les désaccords comme  la balayette cache la poussière sous le tapis. 
Le grain de sable 

Mais voilà, un grain de sable dans les roulements à billes, un couac dans les roulements de tambours, , un mensonge à assumer par rapport à une promesse faite aux armées que l’on ne semble cajoler qu’à l’occasion des revues et autres défilés,  vient de ternir cette image d’Epinal du beau jeune homme à qui tout réussit. De quoi  s’agit-il ? Un « détail »  comme dirait  notre  « grand blond », il y a 850 millions d’Euros qui disparaissent du budget  de la défense ! Dans ces conditions, comment atteindre  l’objectif des 2 % du PIB ?  Evidemment, là ça coince et  ça ne passe pas du tout pour le chef d’état-major des armées, le général cinq étoiles Pierre de Villiers, le frère de Philippe.  Auditionné au Palais Bourbon, le CEMA  fait part de son étonnement et de son mécontentement devant la commission de la défense de l’Assemblée Nationale. Rien de plus normal pour un cadre militaire  de ce niveau .L’homme, brillant lui aussi, est dans son rôle d’avertisseur, d’éveilleur : il informe le législateur que les limites du supportable sont dépassées et que l’armée ne pourra pas remplir toutes les missions que l’exécutif lui confie : matériel souvent obsolète ou soldats trop sollicités. Alors, trop c’est trop et le général le dit franchement.   Il s’est sans doute trouvé une balance pour faire le petit rapporteur auprès du locataire du faubourg  Saint-Honoré, lequel a recadré publiquement  et sèchement  Villiers, rappelant à tous les galonnés et étoilés de France et de Navarre qu’il est le chef ! C’est qui le chef ? «  C’est moi », s’est sans doute écrié le Président  Emmanuel Macron dans sa stupéfiante « remontée de bretelles » proférée la veille du 14 juillet. Lui, Il n’a pas connu les joies et servitudes du service militaire, les blagues de bidasses, l’odeur prégnante des rangers dans une chambrée, la délivrance d’une bonne  douche après une  marche harassante ou le staccato des armes automatiques que l’on tient  dans ses mains. Contrairement à tous ses prédécesseurs qui, eux, savaient de quoi ils parlaient lorsqu’ils évoquaient la chose militaire, il n’a jamais mis les pieds dans une caserne avant d’être promu par le hasard du suffrage universel  Chef de l’Etat. Par ailleurs, dame Parly qui a été nommée ministre des armées, est-elle plus compétente que son marcheur de Président, pour occuper une telle fonction à l’hôtel de Brienne ? A moins que, ex de Bercy, elle ne soit là que pour couper dans le budget de la « grande muette » ? 
Caprice de Prince 
  
Il n’aime pas, Emmanuel,  que son jouet se rebiffe,  sinon il le casse, car il n’a jamais été habitué à ce qu’on lui résiste. Jusqu’à présent,  tout lui a réussi, toutes les portes se sont ouvertes, la bonne étoile qui planait sur son berceau continue de veiller sur lui. Des hommes de l’ombre sont là pour lui. Mais,  en humiliant  quasiment le chef des armées, il a commis  sa première gaffe d’enfant gâté. Avec lui, c’est « En marche ou crève » !  Pierre de Villiers ne s’est pas écrasé, il a courageusement démissionné : bravo mon général, la France, la France du pays réel, cette France-là  est derrière vous. Les applaudissements de vos subordonnés  qui vous ont accompagné jusqu’à la sortie du ministère, ont dû siffler aux oreilles du Président ! Dommage qu’il ne se soit pas trouvé un seul hiérarque militaire pour refuser de vous succéder. Il est vrai que depuis la fin dramatique de l’affaire algérienne, les soldats ne sont plus que des militaires ayant le petit doigt sur la couture du pantalon et l’œil fixé sur le tableau d’avancement .Et demain,  en « Macronie »  triomphante, ne seront-ils plus que de simples fonctionnaires ? 
Jean-Claude R O L I N A T

mercredi, 19 juillet 2017

En Allemagne, la baisse du chômage et l’islam ont fait plonger les ventes de viande de porc

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017 

 

La baisse du chômage et la croissance de la population musulmane ont un impact négatif de plus en plus sensibles sur les ventes de viande de porc en Allemagne, indiquent des chiffres de l’agence statistique Euromonitor.

L’année dernière, les Allemands ont consommé en moyenne 36,2 kilos de porc, ce qui est 1,7 kg de moins que l’année précédente. C’est la cinquième année que l’on constate cette tendance à la baisse et elle ne fera que se poursuivre, dit Tim Koch, qui analyse l’industrie de la viande pour l’Agricultural Market Information Company.

 

Koch voit deux raisons principales:

– Comme de plus en plus de gens travaillent, ils peuvent acheter de la viande plus chère et en manger plus souvent à la cantine de l’entreprise, où l’on sert du poulet et du bœuf plutôt que du cochon. Lorsque les cantines servent du porc, elles le proposent souvent avec un second type de viande pour les musulmans de l’entreprise.

– L’Allemagne compte maintenant quatre millions de musulmans, un nombre qui a augmenté depuis la crise des réfugiés.

Mais l’afflux des réfugiés n’est pas le seul facteur de réduction de la consommation de viande de porc. Les rapports sur la grippe porcine, la cruauté envers les animaux dans les élevages porcins et les mises en garde au sujet de l’impact des aliments fabriqués à base de porc sur la santé, ont aussi eu une grande influence sur les ventes de viande de cochon.

1500 types de saucisses

La consommation de porc a donc chuté de 10 % depuis 2010, mais cette viande reste extrêmement populaire en Allemagne. Dans les différentes régions du pays, on recense plus de 1500 sortes de saucisses différentes, dont la majorité est fabriquée à base de porc.

 

Source : express.live

La dictature de l’inversion

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017 

Avec l’arrivée du Parti socialiste et de toute la gauche au pouvoir, en 1981, c’est, en fait, les idées de mai 68 et son fameux slogan “il est interdit d’interdire” qui se sont installées définitivement dans le paysage quotidien des Français. Déjà à l’œuvre dans la société, l’inversion des valeurs, devient la norme au plus haut sommet de l’État et contamine, avec délectation, toutes les élites politiques et médiatiques. La devise “Famille et Patrie”, trop connotée, est mise au pilori et, donc, les valeurs traditionnelles de la famille et l’amour de la patrie doivent être, à la moindre occasion, tournées en dérision. La peur des mots est définitivement actée et les petits commissaires de la pensée veillent au grain. Mais, comme si cela ne suffisait pas, tout est pris à contre-pied. On glorifie la laideur et la grossièreté, l’insignifiant et le détail. Une chaîne télé sera même dédiée à ça : Canal + ! Qui verra défiler tous les clowns d’une génération, fils et filles de, spécialement engagés pour leur fatuité, afin d’organiser des “after-hours”. Qui n’amusent que leurs semblables ! Dans tous les domaines, toutes les minorités et toutes les différences, les plus incongrues, sont magnifiées et deviendront des porte-drapeaux. L’art n’est plus une recherche spirituelle, mais une quête incessante de l’esbroufe. Tout ce qui peut épater, choquer et requérir du public, est monté au pinacle. Depuis, la société subit un nivellement par le bas (très bas) comme jamais auparavant !

Dans le même temps, cette idéologie libertaire – de l’ouverture à tout et au n’importe quoi – va, très vite, servir le principal intéressé : le marché et tout le système financier. Cela, les gauchistes ne l’avaient pas prévu, tellement la dégénérescence de leurs idées était avancée ! Par contre, ayant bien compris d’où soufflait le vent, une fois au pouvoir, les politiciens de tous bords vont devenir, peu ou prou, les idéologues du marché. Ils vont très vite assimiler, que cette économie n’a pas vraiment besoin de citoyens pour fonctionner à plein régime, mais qu’elle a besoin de consommateurs compulsifs, abrutis par des slogans publicitaires soporifiques vantant la possession frénétique de gadgets innommables inventés par des entrepreneurs avides de fric. Complices de ce système, les gouvernements successifs vont, désormais, nous resservir la même recette. Et, maintenant, Macron, n’échappant pas à la règle, nous joue, malgré la saturation, le gauchiste de service en appliquant le précepte : “du passé faisons table rase”. Du moins en apparence ! Son image est bien la seule chose qui l’intéresse. Pour que tout change sans que rien ne change. Son action politique se réduit à la communication par l’entremise de ses amis, patrons de grands groupes de presse. Aux ordres ! Et nous prenons du Macron, matin, midi et soir.

 

Si la dictature de l’inversion fait, encore, des ravages chez nos élites et y est toujours à l’œuvre, la bataille des idées continue et se fait ailleurs. Principalement sur Internet où la diffusion des idées pour remettre la France à l’endroit, est devenue majoritaire et touche des couches très larges de la population. On arrive aujourd’hui à une situation préoccupante où l’élite, complètement assujettie à l’idéologie soixante-huitarde, se retrouve, de fait, déconnectée de la réalité du pays. Qui, lui, reste profondément attaché aux valeurs traditionnelles, certes en évolution, mais toujours dans une continuité culturelle (sans quoi, il ne pourrait y avoir de civilisation). Cette civilisation que nos apprentis sorciers de “l’interdit sans l’interdit” voudraient, bien volontiers, voir disparaître. Pour mettre à la place une société multiculturelle fortement communautarisée, à la fois, transgenre et hyper sexualisée ? Visiblement, une partie du boulot est déjà accomplie…

L’achèvement dépendra de la résistance populaire.

 

Claude Picard

 

Source : ndf

Minneapolis : Un migrant somalien devenu policier abat sans pitié une femme blanche

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017

Petit flash d’actualité sur le portail de Free  annonçant  qu’aux Etats-Unis « une femme a été abattue par le policier qu’elle avait appelé à l’aide ». Nulle autre précision. Dans l’hystérie actuelle, le lecteur non-informé traduit « une pauvre noire abattue par un flic blanc raciste ». Effectivement, il y avait dans cette histoire du noir et du blanc, sauf que…

La victime, Justine Damond, est une femme blonde de 40 ans, professeur de yoga, ressortissante australienne. Le flic assassin, Mohammed Noor, est un « migrant » somalien engagé dans la police en 2015. Ce dernier l’a abattue alors qu’elle venait d’appeler le 911 (l’équivalent américain du 17 ou du 112) pour signaler une possible agression dans une ruelle près de chez elle, à Minneapolis. Selon le Minneapolis Star Tribune, citant trois sources, le policier a tiré sur la victime vêtue d’un pyjama à travers une vitre de leur véhicule après qu’elle se soit approchée d’une des portières pour leur parler. Selon son fiancé Zach Diamond : « Elle a entendu du bruit dans la ruelle donc elle a appelé la police et les flics sont arrivés. Et ensuite, tout ce que je sais, c’est qu’ils ont pris la vie de ma meilleure amie ». « Je suis dégoûtée et profondément perturbée.  Nous ne connaissons que peu d’éléments à ce stade. Nous voulons tous en savoir davantage», a déclaré Elisabeth Ann « Betsy » Hodges, maire de Minneapolis.

Le migrant, âgé de 31 ans, fut le premier Somalien à intégrer  les forces de police de la ville. Il avait déjà fait parler de lui le 25 mai 2017 pour l’arrestation violente et arbitraire d’une femme à son domicile, la blessant à l’épaule. La police locale est dirigée par une lesbienne militante (mais mère de famille…), Janee Harteau. Les romans d’Harold Armstead Covington commencent à devenir la réalité…

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info