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mardi, 21 mars 2017

Un producteur de fraises bio picard part en guerre contre l'Espagne

Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2017

Par Eric de La Chesnais Mis à jour

 

Des fraises espagnoles cultivées sous serre à Rociana del Condado, près de Huelva, en Espagne.

C'est lors d'un déplacement dans les fraiseraies andalouses que Jean-Claude Terlet a constaté l'utilisation d'un insecticide radical interdit par Bruxelles.

David contre Goliath. Jean-Claude Terlet, maraîcher bio picard installé à Celles-sur-Aisne, près de Soissons, depuis 1981, a porté plainte pour concurrence déloyale contre l'Espagne. Selon lui, le pays qui produit près de huit fois plus de fraises (350.000 tonnes par an) que la France laisse ses exploitants - dont les plantations se trouvent principalement à Huelva, près de l'embouchure du Guadalquivir - utiliser des traitements interdits par Bruxelles depuis des années à cause de leur forte toxicité. Et notamment l'endosulfan, un insecticide radical qui appartient à la famille chimique des organochlorés connus pour leurs effets néfastes sur le système nerveux central.

C'est lors d'un déplacement dans les fraiseraies andalouses que Jean-Claude Terlet a constaté l'utilisation de ce produit très bon marché (3 euros le litre seulement), en raison de la présence de bidons «made in China» sur les parcelles. Le producteur français vise aussi dans sa plainte deux autres substances chimiques interdites pour leur caractère cancérigène: la chloropicrine ou le bromure de méthyle, de puissants désinfectants. L'utilisation de ces molécules interdites permet une productivité et des rendements très compétitifs. À près de 2 euros le kilo à Rungis, la camarosa, la fraise espagnole bas de gamme, est ainsi quatre fois moins chère que la fraise bio picarde qui atteint, elle, les 8 euros le kilo. «Si l'on ne fait rien, il n'y aura bientôt plus de producteurs de fraises en France», prévient Jean-Claude Terlet, bien seul dans son combat, les organisations de producteurs de fraises ne le suivant pas.

 

Source : lefigaro

Visa Schengen/ Des nouveaux assouplissements accordés pour les Algériens à partir du mois d’avril

Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2017

Les autorités françaises comptent assouplir la procédure d’obtention du visa Schengen au profit des ressortissants algériens. Les services consulaires français seront contraints de ne pas dépasser un plafond de 10% de demandes rejetées.   

Les services consulaires français ont reçu, la semaine dernière, une directive de la part de leur tutelle les instruisant de procéder à un assouplissement de la procédure d’obtention de visa Schengen au profit des ressortissants algériens. À partir du mois d’avril prochain, les services consulaires français ne pourront dépasser le seuil de 10% de demande de visas Schengen rejetés, a-t-on appris de plusieurs sources concordantes.

Le délai de réponse ainsi que la durée du voyage ont également été modifiés. Les consulats français en Algérie se devront de rendre une réponse en six jours au lieu de dix. Les ressortissants algériens pourront également  bénéficier de cartes de séjours dont la durée a été prolongée (entre six moins et cinq ans). L’application de ces nouvelles mesures n’a pas été encore clarifiée. Mais, selon nos informations, elles profiteront aux profils jugés très fiables par les autorités consulaires comme les travailleurs qualifiés, les businessmans, chercheurs ou enseignants, artistes ou fonctionnaires bien rémunérés.

Massi M. 

 

Source : algerie-focus

Une ex-élue Front National de Perpignan dénonce le fonctionnement du parti

Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2017

Par Carine Alazet avec Marc Tamon 

Clotilde Font, ex élue Front National de Perpignan, a quitté le parti frontiste il y a un an - mars 2017 / © F3 Pays catalan
Clotilde Font, ex élue Front National de Perpignan, a quitté le parti frontiste il y a un an - mars 2017 / © F3 Pays catalan

Clotilde Font, élue conseillère municipale en 2014 sur la liste de Louis Aliot, a démisionné du FN l'an dernier. Elle a témoigné dans le magazine d'investigation de France 2 "Envoyé Spécial", consacré au financement du parti frontiste, un système que la justice soupçonne d'être illégal.

Par Carine Alazet avec Marc Tamon

Clotilde Font avait été élue sur la liste de Louis Aliot en 2014 lors des élections municipales à Perpignan, avant de démissionner il y a plus d'un an.
Jeudi dernier, la Perpignanaise a témoigné dans l'enquête d'Envoyé Spécial sur un système de financement politique que la justice soupçonne d'être illégal..

Je me suis aperçue que quelqu'un avait usurpé ma signature et avait rempli un document à ma place.

Louis Aliot en déplacement à l'étranger, c'est Nicolas Sanchez, suppléant aux dernières élections cantonales aux côtés de Clotilde Font, qui répond à ces accusations.
Il estime que l'ex-élue agit par "esprit de revanche" parce qu'elle n'a pas eu la place qu'elle souhaitait sur la liste frontiste aux dernières élections régionales.

Clotilde Font pensait retrouver au Front National, le RPR des années 90 dont elle était membre.. Déçue, elle décrit un parti clannique. 

Après sa démission du groupe frontiste au conseil municipal (mais pas de son mandat de conseillère municipale et communautaire), Clotilde Font a récemment lancé un mouvement apolitique dénommé "Evolution 66".

Reportage de Marc Tamon et Jean-François Puakavase 

Clotilde Font a témoigné dans le magazine d'investigation "Envoyé spécial". Elue en 2014 conseillère municipale sur la liste de Louis Aliot, elle a démissionné il y a 1 an. Reportage de Marc Tamon et Jean-François Puakavase - F3 Pays catalan
 
Source : france3-regions.francetvinfo

Najat Vallaud-Belkacem et la littérature au programme du bac L

Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2017 

 
Grande révolution!
Faisant partie des incultes n’ayant pas eu la chance de bénéficier de la refonte éclairante de notre Najat pas nationale, je me souviens qu’au début des années 60, période de ma scolarité, il existait une excellente série sur la littérature française en cinq tomes: “Lagarde et Michard”.
Une version “modernisée” du temps des manuels de littérature qui prit la suite des grands monuments du genre tel Faguet…
Et là, il faudrait que quelqu’un en apporte un exemplaire à Belcassine!
Curieusement c’est qu’on y trouvait des femmes figurez-vous!…
Dont évidemment Madame de Lafayette…
Mais peut-être que Belkassine ne sait pas lire?
 
Et non contente d’étaler cette ignorance, nous la voyons déplorer qu’au chapitre “Littérature du Moyen Age”, il n’y ait eu “que deux femmes depuis trente ans au programme de l’agrégation”! (sic!)
C’est vrai que cette période a été d’une telle profusion (?) d’auteurs que c’est difficile de choisir!
Accessoirement, la “langue française” à l’époque n’était guère encore ni généralisée ni fixée. Mais c’est sans doute un peu compliqué à expliquer à Belkassine…
En fait, l’histoire n’a guère retenu, dans cette période, que la poétesse Marie de France…
Et il ne faut pas oublier qu’en cette période dite du “triomphe des clercs” l’instruction était essentiellement présente dans le monde religieux.
Et bien sûr un certain nombre de lettrées de l’époque ont laissé des traces, même si elles sont bien occultées aujourd’hui : c’étaient des femmes d’Eglise!
Certes, elles sont sans doute moins célèbres qu’Hildegarde de Bingen, devenue emblématique.
Mais dans tous les cas il est évident que le laïcisme de l’Education nationale ne va pas aider à les faire connaître et encore moins à les mettre dans ses programmes! 
 
Rappelons que depuis 1911 le concours de l’agrégation est interdit aux ecclésiastiques pour cause de dogmatisme laïciste de l’Education nationale, ce qui conduit les postulants et postulantes des couvents et séminaires à différer leurs vœux et leurs ordinations pour pouvoir passer préalablement le concours!
 

BARCELONE A L’HEURE ESPAGNOLE

Publié par Guy Jovelin le 21 mars 2017

lundi 20 mars 2017, par Michel Dantan

barcelone,catalogne,espagne,indépendantistes15000 d’après les organisateurs, 6500 d’après la police, les anti indépendantistes catalans sont descendus nombreux dans les rues de Barcelone pour faire savoir haut et fort tout le mal que leur inspirait le « coup d’état séparatiste » que projettent d’organiser les partisans du détachement de leur province du reste de l’Espagne. Si se ne fut pas un raz de marée auquel d’ailleurs les organisateurs ne s’attendaient pas en raison du climat d’hispanophobie ambiante auquel se trouvent confrontés les opposants au séparatisme, la manifestation n’en a pas moins atteint l’objectif de démontrer que la rue n’appartenait pas aux seuls partisans de l’indépendantisme. Les sondages réalisés ces derniers temps pour faire le point sur les tendances de l’opinion quant à l’éventualité d’une séparation des deux entités ont démontré qu’adversaires et partisans de ce processus étaient quasiment à égalité. La perspective de voir compromise la paix sociale et la coexistence pacifique nécessaires à la prospérité de leur province pourrait avant qu’il ne soit trop tard faire pencher la balance du côté des catalans de plus en plus nombreux à penser que l’indépendance les conduirait vers une impasse ne débouchant que sur la misère, le chaos, et jusqu’à la perte de leur identité culturelle dont la défense n’est certainement pas le monopole des seuls séparatistes.

 

Source : national-hebdo