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lundi, 03 avril 2017

L’ancien maire de Londres dans la tourmente pour avoir parlé de collaboration entre le nazisme et le sionisme

Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2017

Royaume-Uni – Au cours d’une audience disciplinaire au sein du parti travailliste, Ken Livingstone, ancien maire de Londres et membre du parti travailliste, a réaffirmé jeudi qu’Adolf Hitler était favorable au sionisme et qu’il y avait une « vraie collaboration » entre les nazis et les sionistes allemands avant la Seconde Guerre mondiale.

L’ancien maire de Londres avait déjà déclaré l’an dernier qu’Hitler avait encouragé les juifs d’Allemagne à s’installer en Palestine, « avant qu’il ne devienne fou et qu’il ne finisse par tuer 6 millions de juifs ».

« Quand le mouvement sioniste a demandé au gouvernement nazi s’il pouvait interdire aux rabbins juifs de faire leurs sermons en yiddish et ordonner qu’ils les fassent en hébreu, [Hitler] a accepté ».

Jeudi dernier, Ken Livingstone était convoqué à une audience disciplinaire du parti travailliste pour décider son éventuel renvoi du parti, en raison de ses opinions sur les liens entre Hitler et le sionisme, qui ont déjà conduit l’an dernier à sa suspension du parti travailliste par le chef du parti Jeremy Corbyn.

Ken Livingstone a déclaré que « lorsque, en juillet 1937, de nombreux nazis de haut rang se sont réunis pour cesser d’envoyer des Juifs en Palestine parce qu’ils pourraient créer un état juif, une directive d’Hitler est arrivée en pleine réunion qui disait ‘non, nous continuerons cette politique’ ». « Toutes les personnes qui étudient l’histoire savent tout cela, c’est vrai », a poursuivi l’ancien maire de Londres.

Livingstone avait été suspendu du parti travailliste à la suite d’une interview à la BBC datant d’avril 2016 dans laquelle il avait déclaré : « rappelons-nous quand Hitler a remporté son élection en 1932, sa politique de l’époque était que les Juifs devraient être déplacés vers Israël. Il soutenait le sionisme ».

« Toute suggestion affirmant que mon intention était d’établir une équivalence entre le nazisme et le sionisme est entièrement fausse », a ensuite précisé Ken Livingstone.

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 02 avril 2017

France, fille ingrate de l’Eglise

Publié par Guy Jovelin le 02 février 2017

Les dernières données sur la croyance en Dieu (celui des chrétiens, donc pas Allah) en Europe est très instructive. La France est le 4e pays le plus athée de l’Union Européenne, derrière la République Tchèque, l’Estonie et la Suède.

Une analyse plus pointue de chaque pays permet de déterminer des tendances. La République Tchèque est logiquement en première position avec 16 %. Ce pays protestant, berceau de l’hérésie de Jean Hus, disposant dans sa ville de Prague de l’une des capitales du talmudisme, n’est guère surprenant à cette place. La République Tchèque a toujours été un pays gangréné par l’apostasie. Seul pays d’Europe de l’Est où des religieuses se sont déshonorées en collaborant avec l’armée rouge pour des tâches immondes, l’ombre méphitique du Golem de Prague plane sur cette nation.

L’Estonie et la Suède, deux autres nations protestantes, sont à la 2e et 3e place avec 18 % de croyants.  Ce sont deux nations riches, dont enferrée dans les croyances matérialistes, d’autant plus que l’Estonie a subi le joug soviétique de 1940 à 1941 et de 1944 à 1991, ayant subi une importante saignée de population (un tiers de la population environ a succombé dans les camps de la mort soviétiques). Quant à la Suède, elle est dans le même cas que les Pays-Bas : nation en voie de décadence totale, malgré des ultimes résistances de plus en plus grandes, dévoiement de la pensée chrétienne vers un ethno-masochisme peccamineux, pays moribond puisque pays à âme morte.

La France est donc 4e avec 27%. Pays de la guerre civile, la France vit depuis 228 ans sous un joug cathophobe qui a délibérément saigné à blanc les provinces catholiques lors de la boucherie de 1914-18 et qui, en 1944, a liquidé un nombre conséquent de catholiques lors de l’épuration gaulchévique et sa centaine de milliers de morts (97.000 à 150.000). La France a cependant été le fer de lance de la révolte des fidèles catholiques contre la soumission des autorités religieuses à Mammon, que ce soit en 1976 avec Mgr Lefebvre ou en 2014 avec La Manif pour Tous.

En 5e position, on trouve le Danemark et les Pays-Bas, deux pays connus par la licence des mœurs y régnant et par leur appartenance au monde protestant. Deux pays qui, étant allé au fond du puit de la déchéance, commencent à remonter lentement sur le plan politique, aidés il faut le dire par l’attitude des colonies de peuplement musulmanes.

A la 7e place ex-aequo, la Slovénie et la Lettonie, avec 32 % de croyants. La Slovénie, plus riche des pays de l’ex-Yougoslavie, tour à tour membre de l’Empire austro-hongrois, du Royaume de Yougoslavie, annexée par l’Allemagne nazie puis incorporé dans la Yougoslavie communiste, a subi les influences étrangères plus souvent mauvaises que bonnes. Quant à la Lettonie, l’autre pays protestant de l’URSS avec l’Estonie, les églises protestantes n’ont pas su comme en Pologne transformer l’essai.

En 9e position, la Finlande, toujours pays protestant avec 33 %. Longtemps pauvre, donc moins infectée que la Suède, la Finlande est également en proie désormais à une prise de conscience identitaire, qui ne se transforme pas une prise de conscience religieuse de par la faute d’une « élite » religieuse aussi vendue au « Prince » de ce monde que ses politiciens.

En 10e position, le plus athée des pays orthodoxes, la Bulgarie avec 36 % seulement de croyants. Ayant payé un lourd tribut à la résistance contre l’envahisseur ottoman et l’oppresseur communiste, l’église orthodoxe n’a pas su obtenir les mêmes positions qu’elle a acquise dans la Russie proche, dans un pays où les communistes sont encore puissants et moins inféodés à l’Union Européenne que les anciennes nomenklaturas d’Europe orientale.

En 11e position, ex-aequo, la Grande-Bretagne et la Belgique avec 37 %.  La Grande-Bretagne a vu l’église anglicane souffrir d’une vague de départ sans précédent suite à son inféodation aux dogmes planétariens sur les questions des mœurs.  L’abandon des classes populaire par un clergé La situation de la Belgique a été en partie similaire à celle de la France quant à l’ineptie du clergé. Clergé gauchisant qui a réussi à braquer la très catholique Flandre en rejetant les partis identitaires

En 14e position, ex-aequo, l’Allemagne et l’Autriche avec 44 %. Les clergés allemands et autrichiens étaient déjà gangrénés par le modernisme depuis le début du XXe siècle (Benoît XV fut élu en lieu et place de Rafael Merry del Val au cri de « plus d’intégriste sur le trône papal » scandé par les évêques allemands et autrichiens). La Bavière constitue encore un bastion de l’Eglise, tout comme le Tyrol de l’autre côté. Les catholiques sont légèrement majoritaires sur les protestants, ces derniers ayant payé au prix fort les massacres ethniques de 1945.

En 16e position, la Hongrie avec 45 %. Autre pays profondément catholique où l’Eglise fut persécutée par les communistes (pour la majorité juifs), c’est aussi un pays où, comme en Pologne, les anciens tortionnaires communistes repeint en rose social-démocrasse et soutenus par Bruxelles et Washington ont été supplantés par une droite de conviction qui rend coup pour coup.

En 17e position, la Lituanie avec 47 %. Celui des pays Baltes qui est le plus fidèle à la foi est aussi le seul des trois qui est catholique.

En 18e position, l’Espagne avec 59 %. Pays profondément catholique, elle l’est encore majoritairement grâce à un clergé qui tient encore la route. Les atrocités communistes ne datent que de 80 ans, la vigilance est encore de mise, le clergé ayant même osé défier le premier ministre israélite Zapatero et le juge Garzon.

En 19e position, la Slovaquie avec 63 %. La partie catholique de la Tchécoslovaquie, seul pays d’Europe dirigé par un ecclésiastique au XXe siècle, a toujours défendu fermement sa foi, la rapprochant plus de Budapest que de Prague. La mutation des communistes locaux en nationaux-communistes est un élément prouvant l’importance de la foi.

En 20e position, la Croatie avec 69 %. Pays catholique rival de la Serbie orthodoxe et de la Bosnie musulmane, elle s’est battue de 1919 à 1939, puis de 1945 à 1993 pour arracher sa liberté. Les catholiques militants ont été le fer de lance de la lutte pour l’indépendance et il en reste encore une combattivité certaine.

En 21e position, ex-aequo le Portugal et l’Irlande avec 70 %. Deux pays assez similaires, qui ont connu une misère propice à l’émigration, où l’Eglise est partie prenante de l’identité nationale, même si l’épiscopat commence à baisser sa garde, l’Europe y veillant…

En 23e position, l’Italie avec 74 %. Pays catholique dont la capitale est le siège papal, la foi y est encore profondément ancrée, l’Eglise y ayant été persécutée il y a près d’un siècle (sous la maison de Savoie, un prêtre en soutane risquait la prison s’il n’était pas « en service »).

En 24e position, ex-aequo la Grèce et la Pologne avec 79 %. La Grèce voit l’église orthodoxe jouer un rôle capital (et que l’Europe voudrait bien voir détruit, d’où son soutien aux opposants en toc de Syriza contre la vraie opposition qu’est l’Aube Dorée). Même chose en Pologne, où l’église catholique – colonne vertébrale du pays – a été le fer de lance de résistance contre les nazis, les communistes et maintenant les européistes.

En 26e position, Chypre avec 88 %. Pays orthodoxe confronté à une occupation-colonisation de la partie septentrionale de l’île, ce qui met les chrétiens dans une position de combat, propice au maintien de la foi.

En 27e position, la Roumanie avec 92 %. Pays d’une grande pauvreté, la Roumanie fait partie du monde orthodoxe. Particulièrement persécutée sous le régime communiste (notamment par les juifs Pauker et Roman) et étant comme en Pologne le socle de la résistance, l’église orthodoxe a encore une influence déterminante pas encore entamée selon l’axiome « plus un pays est pauvre, plus la foi y est intense », l’homme ne pouvant adorer deux dieux en même temps…

Il n’y pas de données ni pour le Luxembourg, dont on sait que le taux de croyance est entre 40 et 49 %, ni pour Malte qui se situe entre 70 et 79 %.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

samedi, 01 avril 2017

[Revue de presse] Les réfugiés : richesses pour l’Europe ?

Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2017

Paris Vox – 7 étudiantes de l’école européenne de droit de Toulouse ont décidé de réaliser une conférence le 1er avril prochain à Paris afin de « valoriser l’apport des réfugiés en Europe ».


Le programme de la soirée sera riche et constitué de deux parties.

  • 18h30 : Exposition du photographe NnoMan autour d’un Buffet convivial
    19h30 : Succession d’interventions ayant pour thème commun “les réfugiés, richesses pour l’Europe”.

Les intervenants seront :

  • Aref Sultani, membre du BAAM asso (bureaux d’aide aux migrants)
  • Vincent Fillola, membre d’Avocats Sans Frontières
  • Mr Touzeil-Divina, professeur agrégé de l’Université Toulouse Capitole

Afin de prouver l’apport et la richesse culturelle des migrants plusieurs intermèdes musicaux sont prévus avec des performances de rappeurs afghans et syriens. Une performance d’un violoniste aura lieu également.

Les étudiantes déplorent l’absence de femmes intervenantes pour intervenir sur la question des réfugiés, aussi nous leur conseillons une visite au centre de Migrants de La Chapelle dans le 18ème arrondissement de la capitale ou elles constateront que les femmes sont peu représentées dans les réfugiés à Paris. (Voir notre reportage : https://www.parisvox.info/2017/02/10/centre-daccueil-repo...)

A aucun moment, en revanche, les organisatrices ne déplorent l’absence de contradicteurs ou d’opposants à leur vision angélique de l’immigration.

Soulignons que cet événement a été financé par des internautes https://www.leetchi.com/c/projet-de-prenons-la-parole .

L’événement est présenté ici : https://www.facebook.com/RefugeesESL/

 

Source : infos-toulouse

Albi (81) : Rachida, la meurtrière de l’institutrice, bientôt déclarée irresponsable pénalement ?

Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2017

Par le 31/03/2017 

La Chambre de l’Instruction près la Cour d’appel de Toulouse a examiné ce jeudi 30 mars le dossier de la mère d’élève, qui avait mortellement poignardée Fabienne Terral-Calmels. On se dirige vers une irresponsabilité pénale. Il n’y aurait donc pas de procès devant les assises du Tarn.

La meurtrière de Fabienne Terral-Calmels, institutrice à l’école Edouard Herriot d’Albi, pourrait ne pas être jugée par une cour d’assises. La Chambre de l’Instruction près la Cour d’Appel de Toulouse a examiné son cas ce jeudi 29 mars et pourrait, au terme du délibéré, la déclarer irresponsable de ses actes.

Le 4 juillet 2014, cette mère de famille avait poignardé l’enseignante de sa fille devant l’école. L’institutrice n’avait pas survécu à ses blessures. Au coeur de l’été, ce drame avait suscité une émotion à Albi, dans la région et dans toute la communauté éducative en France.

Devant la Chambre de l’Instruction, l’avocat de la famille de la victime a demandé qu’un procès ait lieu. Que l’on sache pourquoi cette femme a poignardé l’enseignante.

Mais le passé psychiatrique de la mère de l’élève et les expertises des spécialistes qui l’ont examiné, devraient, sauf surprise, conduire les magistrats à déclarer l’irresponsabilité pénale de la meurtrière et son placement définitif en unité psychiatrique.

La Chambre de l’instruction a mis sa décision en délibéré au 3 mai prochain.

France 3

 

Source : fdesouche

Immigration : l’Autriche interdit la burqa et la distribution publique du Coran

Publié par Guy Jovelin le 01 avril 2017

Attentats islamiques obligent, les pays européens, sans mettre un terme toutefois à l’immigration-invasion et à la visibilité de l’islam sur le sol du Vieux Continent, émettent de petites lois sensées rassurer leur concitoyens. C’est comme mettre un sparadrap sur une plaie encore ouverte !

La coalition arrivée au pourvoir en Autriche a décidé, afin de lutter contre l’immigration et les dérives fondamentalistes, de serrer la vis : la burqa et autre voile qui couvrent le visage des femmes en public seront interdits ainsi que la distribution de copie du Coran en public par les groupes salafistes. D’autre part les demandeurs d’asile devront participer à des cours d’allemand et de culture autrichienne, autrement leurs allocations sociales seront réduites.

« Seulement ainsi ces personnes pourront obtenir le respect de la majorité de la population »

a expliqué le ministre des Affaires Étrangères et de l’Intégration, Sebastian Kurz. Message adressé aux milieux islamistes que l’on espère décourager ainsi avec ces mesurettes.

L’initiative viennoise apparaît aussi comme un renforcement du message envoyé précédemment à Bruxelles le lendemain des fêtes commémorant le Traité de Rome : l’Autriche souhaite obtenir une dérogation sur le plan européen par rapport au relogement des migrants. La réponse des technocrates bruxellois ne s’est pas fait attendre : c’est un Niet comme au temps des soviets.

« L’Autriche doit respecter ses engagements, aucun pays ne peut se retirer de manière unilatérale d’une décision qui est contraignante. Il peut choisir d’agir en-dehors de la loi, chose que nous trouverons déplorable, mais ce serait un comportement qui ne restera pas sans conséquences »

a déclaré le porte-parole de la Commission européenne, Natascha Bertaud. Avec de tels diktats comminatoires et menaçants, qui ne respectent aucunement le droit des peuples à se protéger contre l’invasion, on comprend mieux le Brexit !

Vienne ne s’est cependant pas laissée démonter et a répliqué :

«Nous croyons qu’une exception soit nécessaire pour l’Autriche, parce qu’elle a accompli son devoir. Nous en discuterons avec la Commission et nous enverrons au plus vite une lettre, puis les discussions commenceront »

a ajouté le chancelier autrichien, Christian Kern, qui estime que son pays a fait ce qu’il pouvait pour les « migrants » et ne peut faire plus.

Le problème est que tous les pays européens ont fait plus qu’ils ne le peuvent et sont saturés, spécialement l’Italie et la Grèce où débarque la majeur partie des clandestins en provenance d’Afrique. Ce n’est donc pas la répartition de ces immigrés hors-la-loi dans les différents pays européens qui réglera le problème de l’invasion migratoire mais le rapatriement des clandestins chez eux et le refoulement de leurs bateaux de fortune vers leur point de départ, souvent libyen.

Mais cela Bruxelles ne veut l’entendre et continue, par complaisance coupable envers les financiers et les grandes entreprises en recherche de main d’œuvre à bon marché et par idéologie mondialiste, à promouvoir une immigration-invasion qui asphyxie les nations européennes et provoque un Grand Remplacement.  

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info